venerdì 20 febbraio 2009

Look collector pour Malibu


Les graphistes français, Niark1 et le duo The Feebles, ont conçu chacun une bouteille collector avec leur propre vision de Malibu : le premier, NiarK1, rompt avec la blancheur originelle de la bouteille par la création d'un univers exotique, à la fois luxuriant et sombre, soulignant ainsi les origines caraïbéennes du rhum utilisé dans l’élaboration de Malibu.

Le duo the Feebles a imaginé un pastel de couleurs légères et lumineuses qui évoquent la multiplicité des saveurs des cocktails Malibu et la douceur du produit.

Résultats : deux bouteilles collector Malibu avec deux visions différentes de la marque.

NiarK1 et the Feebles donnent ainsi un nouveau design à la fameuse bouteille icônique de cette boisson au goût de soleil.

INFOS PRATIQUES :Dipsonible dans les bars et les discothèques en mars Chez Monoprix mi-avril et dans tous les points de vente de la grande distribution en mai.Prix : 9,80 €

Montblanc pour l'Unicef



Montblanc poursuit sa collaboration avec l'UNICEF pour combattre l'illettrisme dans le monde, cette année, l’engagement de Montblanc, connu pour son investissement dans l'art et la culture, s’enrichit d’avantage.

Signature International, l'UNICEF et Montblanc ont donné naissance à "Montblanc - Signature for Good ", Un projet qui sera révélé le 20 Février 2009, à Los Angeles.

Signature International est une initiative culturelle, fondée en 2005 par Rosalie Miller et Hamilton Mann, qui crée des opportunités artistiques et valorise le talent des artistes à travers des manifestations à but non lucratif. Pour "Montblanc - Signature for Good ", 12 extraordinaires Actrices connues pour leur talent et leur beauté, ont accepté d'être photographiées et de donner leur portrait pour une exposition au bénéfice de l'UNICEF, un organisme de bienfaisance que toutes étaient prêtes à soutenir.

Les 12 "muses", Emily Blunt, Marcia Cross, Helen Hunt, Lauren Hutton, Mila Jovovich, Jessica Lange, Eva Longoria, Sienna Miller, Christina Ricci, Susan Sarandon, Mira Sorvino, vêtues de robe couture et parées de bijoux signés Montblanc, ont été photographié par le photographe américain Roger Moenks, chacune représentant une héroïne de la littérature classiques.
Parmi ces personnages : Scarlett O'Hara de "au temps emporte avec le vent" (Eva Langoria dans la photo), Juliette de "Romeo et Juliette", Marguerite Gauthier, de "La Dame aux Camélias".Les 12 portraits étonnants seront dévoilé, le Vendredi avant les Oscars, le 20 février 2009, lors d’un diner de Gala organisée par Montblanc.

Cette Soirée honorera l’engagement des 12 actrices et leur sentiment de devoir moral et culturel à l'appui de l'UNICEF pour soutenir leurs efforts de lutte contre le problème mondial de l'illettrisme. Chaque photo est unique et chacune sera signée par sa muse pendant la soirée.
La série de 12 portraits sera ensuite déplacer à travers le monde pendant 6 mois, avant de retourner à Los Angeles pour être mis aux enchères dans la nouvelle boutique Montblanc de Rodeo drive, par Sotheby's à la fin de l'été ; le 8 Septembre 2009, journée internationale de la lutte contre l’illettrisme.
L'argent généré par la vente aux enchères sera entièrement reversé à l'UNICEF.En Parallèle de cet événement Montblanc dévoilera également le soir du 20 février une nouvelle ligne exclusive Unicef, vendu dans les 360 boutiques de la maison et dont les bénéfices seront reversés à l’UNICEF.

concorso letterario sul web via Facebook


Concorso letterario sul web per scrittori in erba.
Ed infine anche l'amore fu trasformato dal web.
Ebbene sì. Di oggi la notizia che a poco meno di due settimane da San Valentino è stato indetto un concorso letterario che premierà l'aspirante scrittore che, penna alla mano, riuscirà ad esprimere con parole nuove il sentimento più vecchio del mondo. Fin qui niente di nuovo. Un concorso letterario come tanti che mette al centro l'Amore come tematica.

Ciò che fa la differenza è che questa volta non c'è nessun indirizzo a cui spedire i propri palpitanti versi.

L'idea è piuttosto semplice e, se vogliamo, un po' banale.

Ma di certo avrà grande seguito sul web.
Dario Flaccovio editore infatti ha bandito un concorso letterario on line sfruttando la notorietà di Facebook, il social network più famoso al mondo e l'altrettanto nota ricorrenza degli innamorati, San Valentino.
Il meccanismo è semplice.

Quanti vorranno partecipare al concorso potranno inserire le proprie righe come post al gruppo facebook collegato al concorso.
Come?
Basta cercare su facebook il gruppo “Ah, l'amore, questo folle sentimento...”, inserire la propria storia d'amore ed il gioco è fatto.
Il vincitore si aggiudicherà tre libri.

Nell'ordine: Quello che veramente ami di Riccardo Arena, Incontro a Daunanda di Giancarlo Narciso e Bambole perdute di Renzo Saffi.
Tutti editi da Dario Flaccovio editore!
Insomma poteva esserci un'idea più semplice e di sicuro successo che mettere insieme il facile sentimentalismo di metà febbraio e la presunta festa ad esso collegato per fare pubblicità ad una casa editrice?
Per chi avesse deciso di partecipare, di seguito il regolamento del concorso.

Regolamento: Il racconto, in lingua italiana, non dovrà superare le 3000 battute.L'autore, nello spazio “argomento di discussione”, deve scrivere il titolo del racconto.I partecipanti dovranno pubblicare il proprio racconto nell’Area discussioni del gruppo, in modo che tutti lo possano leggere, apprezzare e commentare. I racconti, inediti, saranno pubblicati entro e non oltre il 10 febbraio 2009.Tra tutti i racconti pervenuti in tempo utile la giuria, composta da Riccardo Arena, Giancarlo Narciso e Renzo Saffi, a suo insindacabile giudizio, sceglierà il vincitore e segnalerà il primo classificato.

I partecipanti al concorso rinunciano, contestualmente all’invio dei racconti, a qualsiasi titolo di riconoscimento dei diritti di autore.Il curatore del gruppo si riserva la facoltà di eliminare eventuali testi offensivi, a sfondo sessista o razziale.Perché l’amore è di ogni colore, non ha partito ed è patrimonio dell’umanità!

Festival di Sanremo : il libro!

Sanremo e' Sanremo.
Il libro..
Un libro racconta la kermesse
Ancora una volta torna il Festival di Sanremo.

Sempre targato RAI1, con i soliti fiori, le solite polemiche, canzonette, vecchi artisti, nuovi “talenti” e tutta la festa intorno.

Sanremo è comunque un evento che fa scrivere e parlare.

Per i fan, quest'anno é uscito in libreria “Sanremo è Sanremo. I retroscena del Festival dal 1951 al 2007” di Federico Gennaccari e Massimo Maffei, edito da Armando Curcio Editore.

L'opera racconta il Festival di Sanremo, dalla prima all'ultima edizione, attraverso i quintali d'inchiostro e carta stampata che in quasi 60 anni son stati immolati alla causa sanremese.
Ogni capitolo è dedicato a un anno della kermesse con tanto di descrizione della manifestazione, elenco delle canzoni in gara, dischi più venduti, curiosità e peculiarità dell'anno in questione.
Una via di mezzo tra il reportage giornalistico e un testo narrativo.
Una quantità di informazioni appassionerà i veri estimatori del Festival italiano per antonomasia, ma che di certo interesserà anche quanti sapranno leggere tra le righe la storia di cinquant'anni del nostro paese.
Al ritmo di musica le pagine ripercorrono il boom economico, la contestazione giovanile degli anni '60 sino ad arrivare ai giorni nostri.
Uno spaccato dell'Italia che è stata e che sarà.

mercoledì 18 febbraio 2009

Les hommes et le ménage


Les hommes sortent la poubelle mais jettent l'éponge
Selon les résultats d’un sondage européen, la répartition des tâches ménagères au sein du couple reste déséquilibrée en faveur des hommes qui rechignent pourtant à l’admettre

Pour la plupart des hommes, les corvées ménagères se compteraient sur deux, voire trois, doigts de la main : faire les courses (67 % déclarent le faire sans se plaindre), vider les poubelles (74 %) et, éventuellement, prendre en charge la cuisine (56 %).
C'est ce que révèlent les résultats d'un sondage publié le 3 février 2009 par Ipsos et Mapa-Spontex.

« Lorsqu'on leur cite une liste de neuf tâches ménagères courantes et qu'on leur demande quelle est leur attitude la plus fréquente face à ces tâches, les hommes reconnaissent que pour la moitié d'entre elles, ils essaient d'éviter de les faire voire ne les font jamais », indique l'étude réalisée dans quatre pays européens - France, Royaume-Uni, Italie et Espagne - auprès de 2 000 personnes vivant en couple. Ainsi, la majorité des hommes interrogés avouent « rechigner ou refuser de repasser (73 %), nettoyer les sanitaires (67 %), trier le linge et lancer une lessive (61 %), changer les draps (61 %), laver les sols (59 %) ».
La stratégie de l'esquive...
Et pour se soustraire à l'enfer du récurage, la gent masculine serait prête à tout, ou presque. Se montrer aux petits soins avec leur belle, promettre de s'y mettre la prochaine fois, faire la sourde oreille.

En dehors de ces stratagèmes les plus fréquemment employés, certains iraient même jusqu'à bouder dans leur coin ou supplier leur femme d'ajourner leur peine.
Toujours selon l'étude, « se cacher ou sortir de la maison est une stratégie que 29 % des hommes ont déjà employée ou pourraient employer, de même que faire du chantage (28 %) ou faire semblant d'être souffrant (27 %) ».
Jamais à court d'arguments, les récalcitrants emploient tour à tour la flatterie (« je le fais moins bien que toi »), l'argument du manque de temps ou de compétences pour justifier ou masquer leur propension à l'oisiveté.
Les femmes en feraient moins qu'elles le prétendent
Selon les sexes, le ressenti des situations diffère cependant.

Les femmes auraient tendance à minimiser le rôle des hommes pour les tâches les plus rébarbatives et ne confirment l'investissement de leur conjoint que pour quatre corvées sur neuf, en moyenne.
« On note de réels décalages entre ce qu'ils disent et ce que les femmes observent de leur côté », indique l'étude.
C'est le cas pour le fait de laver les sols (41 % des hommes disent le faire sans rechigner mais seulement 37 % des femmes confirment leurs dires, soit un décalage de quatre points).
Une divergence de point de vue que l'on observe aussi à propos du changement des draps (six points de décalage), de la gestion du linge (sept points), de l'entretien des sanitaires (cinq points) ou encore du repassage (sept points).
De même, le sondage révèle que « les hommes minimisent presque systématiquement les déclarations des femmes qui disent s'investir sans renâcler dans les tâches ménagères ».
Tandis que 92 % des femmes déclarent trier le linge et lancer des machines sans rechigner seulement 75 % de leurs compagnons estiment que c'est vraiment le cas (soit dix-sept points d'écart !).

Les femmes seraient d'ailleurs de moins en moins enclines à assumer seules les basses besognes.
Une source de conflit pour un couple sur deux
Sur la question de la répartition des tâches, hommes et femmes ne font pas bon ménage. Si 59 % des interrogés reconnaissent qu'ils devraient en faire plus, les deux sexes ne sont pas d'accord sur la valeur du « plus ».
Alors que ces dames jugent en faire « beaucoup plus » que leurs conjoints, ces derniers estiment seulement devoir en faire « un peu plus ».

D'où les disputes qui éclatent au sein de 56 % des couples de moins de 35 ans refusant de passer la serpillière sur certaines injustices ou menus privilèges...

Tour d'Europe de l'investissement ménager des hommes :
Machisme à l'italienne
Les Italiens sont les plus récalcitrants à se retrousser les manches. Au total, 15 % d'entre eux reconnaissent ne faire aucune tâche ménagère sans rechigner contre 10 % en France et au Royaume-Uni et seulement 8 % en Espagne. C'est d'ailleurs en Italie que le partage des tâches ménagères génère le plus de disputes !
Révolution espagnole ?
Si l'on en croit leurs déclarations, les hommes espagnols seraient particulièrement assidus à l'exécution des tâches ménagères et ce au-delà de la moyenne européenne.
Mais, de l'avis des femmes, leurs conjoints auraient tendance à embellir la situation. D'ailleurs, c'est en Espagne que les hommes utilisent les plus nombreux stratagèmes pour échapper au ménage.
Exemplarité britannique
Les Britanniques font figure de chefs de file en matière d'équité dans la répartition des tâches au sein du couple : 26 % d'entre eux déclarent en faire exactement autant que leur conjoint(e) contre 17 % des Européens, en moyenne.
La France et le Royaume-Uni sont considérés comme les deux pays où les hommes font le plus d'efforts pour s'occuper des tâches ménagères (33 %) mais les Françaises restent, malgré tout, les plus nombreuses d'Europe (81 %) à déplorer en faire plus que leur conjoint...


Le concours World Press 2009


Créée à Amsterdam en 1955, l'organisation World Press Photo vise à stimuler et soutenir le photojournalisme en promouvant un échange d'informations libre et non restreint.

Pour ce faire, elle organise des expositions, met en place des programmes éducatifs, tente d'accroître la visibilité des photographies de presse à travers différentes publications et organise un concours annuel destiné à valoriser les meilleures parutions photographiques.
Cette année pour la 52e édition du concours, le jury a récompensé 64 photographes de 27 nationalités différentes dans dix catégories thématiques différentes : spot news (photos d'actualité), general news (informations générales), people (personnes), sport actions (exploits sportifs), sports features (reportages sportifs), contemporary issues (problèmes contemporains), daily life (vie quotidienne), portraits (portraits), arts and entertainment (arts et divertissement) et nature (nature).
Pour chacune de ces catégories, les participants pouvaient soumettre soit des singles (images isolées) soit des stories (reportages composés de plusieurs images).

Dans la photo :
Photographe : Anthony Suau pour Time Magazine, Etats-Unis
A la suite d’un avis d’expulsion, le détective (armé) Robert Kole vient s’assurer que la famille qui ne pouvait plus rembourser son emprunt immobilier a bien quitté les lieux.
Illustrant la crise des subprimes, ce cliché pris le 26 mars 2008 à Cleveland dans l’Ohio a obtenu la plus haute distinction du concours World Press Photo 2009.
Le photographe américain lauréat se verra remettre son prix ainsi que 10 000 euros lors d’une cérémonie prévue à Amsterdam le 3 mai prochain.


Les enfants terribles de Philip Glass

LES ENFANTS TERRIBLES de Philip Glass d’après Jean Cocteau

Belle mise en images de Cocteau dans les spirales somnambules de Glass
piano et direction musicale
Véronique Briel
Vincent Leterme
Stéphane Petitjean
Cécile Restier
chorégraphie Yano Iatridès
avec
Muriel Ferraro (soprano)
Myriam Zekaria (soprano)
Jean-Baptiste Dumora (baryton)
Paul Crémazy (ténor)

Entre les évasions romanesques du poète Jean Cocteau, mort en 1963 et la musique minimaliste répétitive de Philip Glass, né en 1937, on pourrait tisser une espèce de toile de fond qui serait la reprise en boucle d’obsessions somnambules. Ici, le huis clos d’une adolescence fantasmée dans une chambre où le temps s’arrête et tourne sur lui-même, comme tournent sur elles-mêmes, en lancinantes mélopées, les thèmes et variations de la musique.
Frère et sœur, orphelins sans doute, Paul et Elisabeth ne peuvent vivre que l’un relié à l’autre et ils en mourront.
Ni Gérard qui aime Elisabeth, ni Agathe qui aime Paul et en est aimée ne pourront rien contre la spirale qui enferme leur couple, et où plane l’ombre fatale de Dargelos, le caïd de l’école qui a blessé Paul d’un jet de pierre. Une tragédie psychotique en quelque sorte la communication avec le réel est coupée…
Une partition pour trois pianos électroniques .

Après Hydrogen Jukebox à Nantes il y a à peine un mois (voir webthea du 17 janvier 2009), c’est le deuxième opéra de l’inventeur du minimalisme américain qui est repris sur les scènes de France.
Mais la pâte musicale en est tout autre même si le principe répétitif est maintenu en fugues tourbillonnantes. La partition cette fois est concentrée sur trois pianos électroniques dont Véroniques Briel, Stéphane Petitjean et Claude Collet manipulent les motifs qui se font écho sur d’infimes variations. Le compositeur quasi mythique de Einstein on the Beach révélé en 1976 au Festival d’Avignon, ne surprend plus. Son écriture est entrée dans les mœurs et les oreilles.
Une illustration intérieur nuit
Pour ces Enfants Terribles si joliment portés au cinéma par Jean-Pierre Melville en 1950 sur des musiques de Haydn et de Bach, celle de Glass constitue une sorte de battement de cœur et de pouls en saccades et en chamades.
Une illustration en intérieur nuit qui se fond dans la mise en scène de Paul Desveaux et les chorégraphies hallucinées de Yano Iatridès.
Les quatre interprètes jouent, chantent et dansent avec des bonheurs divers.

Muriel Ferraro passe de Dargelos à Agathe avec une élégance lointaine, malgré une diction parfois hésitante et en dépit d’une sonorisation sans utilité Damien Bigourdan offre à Gérard un chant juste et une prestation d’honnête copain, Myriam Zekaria a la charge de défendre les crises d’Elisabeth la sœur mante religieuse, elle joue la comédie avec ferveur, virevolte avec grâce mais abuse tant de ses ressources vocales que celles-ci tournent à l’aigre.
C’est le jeune baryton Jean-Baptiste Dumora qui fait de Paul, le frère blessé et floué, le portrait le plus juste et le plus poétique.
Décors futés jouant sur des espaces intercalés, lumières en clair-obscurs noir/blancs/prunes, costumes d’un chic désuet : Cocteau, ses paradis artificiels et ses enfers d’enfance se retrouvent en terrain familier.
Le 19 février2009 à l’Opéra Théâtre de Besançon, à 20 h

Philip Glass, né en 1937 à Baltimore, impose son propre style de musique fondé sur des structures répétitives en boucles avec addition de rythmes, sur l’enchaînement d’accords parfaits qui ne répond pas à l’harmonie traditionnelle mais à des relations plus complexes. Il est impossible de citer son impressionnante production musicale.
Philip Glass a marqué la création musicale des cinquante dernières
années, et a travaillé aux côtés des plus grandes figures de la création contemporaine notamment avec Bob Wilson.


Il entretient une relation privilégiée avec l’œuvre de Cocteau.
A partir de La belle et la bête (1994), Orphée (1993) et Les Enfants terribles (1996), il écrit des « opéras-films » : il enlève la bande sonore originale, il y introduit sa propre musique et remplace les dialogues par des parties chantées.

extrait d'un blog:

"Etant accro à la musique minimaliste et répétitive, je me préparais donc à me délecter d'un opus inconnu de moi (il faut dire qu'il compose autant que Cyril Lignac publie de livres), surtout après avoir lu une critique plus que positive dans Le Monde.
Et pourtant, "Du Monde comme de Télérama, des critiques toujours tu te méfieras"...Première minutes non surprenantes.
Trois pianos dans la pénombre, une mélodie lancinante qui incite les ondes alpha à venir titiller le cerveau.
Puis de la neige sur la scène, puis une bataille de boules de neige, un récitant qui clame, très bien, un très beau texte de Cocteau, puis un escogriffe qui se met à chanter, en français, qu'il aime jouer aux boules de neige.
Et ces chants, c'est tout ce que je déteste, la musique contemporaine des années 20-30, où l'idée de mélodie comme de poésie était perçue comme la soumission à des règles musicales bourgeoises et désuètes.
Donc, on chante de la prose sans aucune ligne mélodique, sautant d'octave en octave en un seul temps.Et je n'accroche pas.
Mon Chevalier non plus. Et pourtant, les artistes sont techniquement bons, pianistes comme chanteurs, tout particulièrement Damien Bigourdan (Gérard), excellent en récitant. Les quelques ballets sont intéressants, bien mis en scène.
Les pianos délivrent une musique lancinante - et mélodique - à souhait.
L'histoire est terrible, et terriblement bien rendue.
Et l'on peut se demander d'ailleurs si Jean Cocteau aurait pu présenter une telle oeuvre aujourd'hui, où se mèlent homosexualité (féminine assurément, masculine en filigrane), inceste, consommation de drogues variées...
Mais ces chants, ces chants... On aime ou on n'aime pas et, assurément, les avis étaient partagés dans la salle hier soir, une belle brochette de copines faisant une ovation avant même le rappel quand déjà nous courions vers la sortie
.En résumé, n'allez voir Les Enfants terribles mis en musique par Philip Glass que si vous a-do-rez Ute Lemper quand elle interprète les oeuvres les plus inaccessibles de Kurt Weill.
Si vous n'avez pas compris un mot à ce que je viens de dire, passez votre chemin."
Un extrait ici.

Exactitudes, ritratti fotografici




La Provincia di Roma presenta, per la prima volta in Italia, Exactitudes, progetto costituito da una serie di ritratti fotografici multipli realizzati dagli artisti Ari Versluis e Ellie Uyttenbroek.

Il duo olandese, da sempre interessato ai "dress codes" (codici d'abbigliamento), ha chiamato la loro serie, Exactitudes (una contrazione dei termini inglesi exact e attitude), traducibile in "stesso atteggiamento".

Registrando i loro soggetti in un'identica cornice, con pose simili e uno specifico codice d'abbigliamento, gli artisti realizzano un archivio quanto più scientifico e antropologico dei tentativi fatti dalle persone per distinguere se stessi dagli altri, assumendo un'identità di gruppo specifica.
Sposine, teenager, vagabondi, fan del tatuaggio, macellai e molto altro. Un' enciclopedia fotografica che raccoglie tutti gli stili, i modi di vestire e le tendenze de! gli ultimi anni.Un lavoro di osservazione lenta e minuziosa, di suddivisione in categorie e sottocategorie - 112 serie di Exactitude - che, dopo le esposizioni di Parigi, Berlino, Londra, Toronto, Buenos Aires, New York ed altre città in tutto il mondo, è possibile ammirare a Roma, a Palazzo Incontro.

Roma, Palazzo Incontro - Via dei Prefetti, 22
Dal 14 febbraio al 26 aprile 2009
Ingresso gratuito
Orario: 10 - 19, tutti i giorni escluso il lunedì
Telefono informazioni: 06 692050220
Organizzazione e comunicazione: CivitaCatalogo: 010 Publishers, Rotterdam, Netherlands
Ufficio Stampa Provincia di Roma Emanuele Lanfranchi, tel. 06 67662289
Eugenio Berliri, tel. 06 67662289 cell. 3454374669
CivitaBarbara Izzo tel. 06 692050220 cell. 348-8535647,
Arianna Diana tel. 06 692050258,

Vampiri & compagnia


Il sangue nero del vampiro, di Valerie Stivers,
Vertigo Pink Newton Compton (9,90 euro)

Kate McAlliston, giovane studentessa, accetta di lavorare come stagista presso una prestigiosa rivista di moda.
Tra angherie e umiliazioni Kate riesce comunque a emergere, ma all’improvviso viene assalita dal terribile sospetto che l’intero staff sia composto da vampiri.

Un romanzo divertente e leggero, tra Buffy l'ammazzavampiri e Il diavolo veste Prada:
il sangue non è mai stato così di moda!

gossip : Salma Hayek si é sposata


Colpo di scena nella vita sentimentale di Salma Hayek.
La bella attrice zitta, zitta ha sorpreso tutti sposando in gran segreto il ricco uomo d’affari francese e padre di sua figlia Valentina, Francois-Henri Pinault.

Dopo l’annuncio della loro separazione avvenuta la scorsa estate dopo due anni d’intenso amore, i due non si sono persi di vista, pur vivendo altre storie e flirt vari.
Ma le cose ora sono cambiate: complice la magia di San Valentino e una ritrovata intesa, le due colombelle si sono giurate eterno amore proprio nel giorno della festa degli innamorati con una cerimonia riservatissima a Parigi.

Ah, l’amour!

martedì 17 febbraio 2009

Dans la colonie pénitenciaire de Philip Glass


Ce soir au Théâtre Musical de Besançon, rue Mégevand
à 20h
In the Penal Colony
Opéra de chambre, 2000

Livret de Rudolph Wurlitzer d'après La Colonie pénitentiaire de Franz Kafka
En anglais
Dans une île est installée la colonie pénitentiaire d’une grande puissance. Un observateur étranger — européen — s’y trouve en visite.
Dans cette prison, les condamnés n’ont droit à aucun procès, ne sont pas informés de la sentence.
Dans cette prison les exécutions sont publiques et très courues. Elles se font à l’aide d’un appareil hérissé de pointes et d’aiguilles qui inscrivent dans les chairs mêmes du condamné les motifs de sa condamnation. Après un spectacle long et sanglant, le condamné meurt.

Deux écoles s'affrontent autour de cette technique d’exécution capitale: le nouveau commandant de la colonie la remet en question, l’officier qui manipule la machine la défend avec une passion presque mystique.
L’observateur étranger est invité à assister à une exécution publique.
L’officier essaye de s’en faire un allié dans le conflit qui l’oppose au nouveau commandant.
Il lui fait une démonstration de l’extraordinaire technologie de sa machine à tuer sans pouvoir le convaincre de prendre parti.
Alors, l’officier prend la place du condamné sur la machine qui se détraque et s’emballe. La mort inter vient plus rapidement qu’à l’ordinaire.
Le visiteur reprend le bateau…

lunedì 16 febbraio 2009

Vogue : Anna Wintour come Miranda Priestley?


Dopo vent’anni Vogue potrebbe cambiare pagina, e soprattutto, cambiare la sua direttrice.

Anne Wintour, la virago a capo del giornale di moda più famoso al mondo, potrebbe essere ben presto destituita.

Semplici indiscrezioni che sono trapelate dal NY Post, che per ora non sono state confermate.

Si chiude un’epoca e se ne apre un’altra?
Come reagirà il mondo del fashion di fronte alla possibile sostituzione di uno dei pilastri della moda di tutto il mondo?
Un parallelismo col cinema è in questo caso d’obbligo.

Il diavolo veste Prada, il film che scimmiottava il mondo del fashion e i suoi dittatori, con allusioni proprio a danno della Wintour, vedeva la direttrice di fantasia Miranda Priestley (Meryl Streep) nelle sue stesse condizioni. E fa sorridere che proprio come nel film, il posto della direttrice di Vogue America potrebbe essere preso da Carine Roitfeld, direttrice di Vogue France.

Un segno del destino? Possibile. Ma se la cinematografia divenisse per un attimo davvero lo specchio della realtà, la povera Anne non dovrebbe temere nulla, dato che il suo alter ego nel film distrusse con un’abile mossa la sua rivale francese (Jaqueline Follet), tenendo ben saldi scettro e corona.




Une librairie " a part" à Besançon


Découverte au détour des ruelles du centre ville de Besançon, la librairie "L'autodidacte" est une librairie à part.

Ouverte en octobre 2000 par le groupe Proudhon de la Fédération anarchiste, la librairie L’Autodidacte (5 rue Marulaz, 25000 Besançon) s’est imposée comme un lieu de débat politique, de rencontre, de culture vivante.

Petites maisons d’éditions, artistes, auteurs, militants s’y sont succédés.

Citons, entre autres, Cesare Battisti, Mathieu Ferré, Jean Bernard Pouy, Maurice Rajsfus, Louis Arti.

Aujourd’hui, cette initiative risque de prendre fin, le local étant en vente.

Les amis de la librairie ont décidé de sauter le pas et d’acheter les locaux pour continuer l’aventure.

C’est pourquoi ils lancent dès aujourd’hui une souscription pour réunir la somme qui leur manque : 30.000 €.

Estimant que l’existence de L’Autodidacte est nécessaire en ces temps de réaction galopante, beaucoup de monde a participé à cette souscription, une multitude de petites sommes sont parvenues à la fin à constituer une grosse somme.

un blog..

ho scoperto un blog davvero interessante!
Hermans Joseph Iezzoni, uomo dalle molte anime.
In lui convivono Poesia, Diritto del lavoro, contrattualistica e umorismo.
Un humour british, misurato e sottile .

conosci la San Faustino?


Ho scoperto solamente oggi che il 15 febbraio é la San Faustino, festa in cui si celebrano i single! Questa insolita e divertente festa arriva alla sua nona edizione e propone appuntamenti ed eventi speciali in tutta Italia

Vietato alle coppie felici e innamorate che hanno avuto la San Valentino (che barba!)...