mercoledì 23 ottobre 2013

Sondaggio : Gli uomini italiani sono i più eleganti,










Un sondaggio dice che il top dell'eleganza maschile é italiano.

Ma questo lo sapevo da sempre!



Un sondaggio effettuato da Skyscanner, sito leader nella comparazione di voli, rivela quali sono le popolazioni ritenute tra le più eleganti, in base a nazionalità e genere.
Svetta in cima alla classifica dell'uomo più elegante la popolazione maschile italiana, che a differenza delle donne, superate dalle francesi, è stata riconosciuta come la più 'stilosa'. 





Tra i primi posti, in entrambe le classifiche, ci sono inglesi e francesi. 
Il cuore dell'Europa sa mantenere un certo fascino anche nell'eleganza del  vestire. 
Ad esclusione dei tedeschi, la cui eleganza, a quanto pare poco percepita, li ha piazzati agli ultimi posti, sia uomini che donne.

A metà classifica, con il loro stile caratteristico, ci sono gli spagnoli e le popolazioni scandinave con un più che dignitoso 4° e 5° posto. 

Seguono giapponesi, americani e russi, che ad ogni modo, considerata la loro ormai nota grande affluenza nei negozi d'alta moda italiana, stanno probabilmente perfezionando l'aspetto dell'eleganza nel vestire. 


Qual è la popolazione più elegante?
 
Gli uomini più eleganti

  1. Italiani 
  2. Inglesi 
  3. Francesi 
  4. Scandinavi 
  5. Spagnoli 
  6. Giapponesi 
  7. Americani 
  8. Russi 
  9. Tedeschi
  10. Polacchi
Le donne più eleganti

  1. Francesi 
  2. Italiane 
  3. Inglesi 
  4. Scandinave
  5. Spagnole 
  6. Russe 
  7. Americane 
  8. Giapponesi 
  9. Polacche
  10. Australiane
11. Tedesche...
 

martedì 22 ottobre 2013

L'Hotel Le Sauvage de Besançon





En cherchant un hôtel pour mon prochain voyage à Besançon, ma ville d'adoption depuis mon arrivée en France, j'ai découvert un hôtel charmant, l'Hôtel Le Sauvage situé dans le centre de la ville et au pied de ma chère Citadelle.

Ouvert en mars 2012 et occupant l'ancien monastère des Clarisses, l' hôtel de charme Le Sauvage est situé dans le quartier historique de Besançon, à 500 mètres des anciens remparts de la citadelle.


Avec une vue imprenable sur la ville et la vallée du Doubs, ce lieu unique fait place aujourd’hui à un Hôtel 3 étoiles de 24 chambres tout confort. 








Une terrasse exposée au soleil couchant, un parking fermé et
un grand parc ombragé font de cet hôtel un véritable havre de paix en plein centre ville. 













lunedì 21 ottobre 2013

Buon appetito al ristorante ! e teniamo conto del prezzo del "coperto"!





Ho trovato una divertente riflessione sull'esistenza del "coperto" al ristorante e la condivido

Il “coperto” è un atto di fede.
Nessuno saprebbe dire con precisione cosa diavolo sia. 

Ma lo paghiamo lo stesso, tutti quanti, riconoscendone l’esistenza e certificando, di conseguenza, la sua legittimità.

Paghiamo il nostro coperto quotidiano. 
Anche se i tavoli sono orfani di tovaglia, come va di moda oggi nei locali più à la page. 
Anche se, sotto il piatto, ci stendono un fogliaccio di carta da macelleria (ormai tanto diffusa nella nostra ristorazione  che i macellai la chiamano “carta da trattoria”). 
Anche se il pane – voce gemella sul menu – è una ciofeca di mollica cruda e stopposa.  
A meno di 2 euro, un coperto non ce lo sogniamo nemmeno in osteria. 
Fino a 3 euro, tratteniamo compostamente la stizza.

Oltre quel valico, però, anche la fede vacilla. E si fa strada qualche dubbio che, all’occorrenza, l’oste imbriglia con paternalismo: “D’altra parte, caro signore, le abbiamo servito un calice di spumante e una tartina come cadeau di benvenuto… ”.

Ah, sì? Quindi, stiamo pagando un vostro regalo? Benissimo. 
In previsione di risposte come questa, è bene aver portato da casa un simpatico pensierino (la pallina del cane, un soldatino mangiucchiato dai figli, il bottone di un vecchio cappotto…) . 
Va esibito al momento del conto (dal quale avremo avuto cura di detrarre il costo del coperto) e consegnato sul piattino assieme alle banconote.
“Anch’io vi voglio bene”, sussurrerete con aria commossa.
Naturalmente niente mancia !


sabato 19 ottobre 2013

Coup de coeur pour le Champagne Gervais Gobillard de Hautvillers






Aujourd'hui j'ai découvert un nouveau Champagne...
Voici son histoire.



Situé au cœur de la Champagne à 5 kilomètres d’Epernay, véritable carrefour entre la vallée de la Marne et la Montagne de Reims, le site incomparable de HAUTVILLERS,  domine le vignoble avec son Abbaye où le Grand Cellérier Dom Pérignon fit naître, vers 1681, les premières bulles de Champagne. 
Grâce à son moine bénédictin, Hautvillers est devenu le village le plus renommé de la région.
La situation géographique des vignobles de la Maison J.M. Gobillard & Fils permet de produire les 3 cépages champenois :
  • Pinot Noir
  • Pinot Meunier
  • Chardonnay

Hautvillers riche en histoire grâce à son Moine Dom Pérignon

Ce magnifique village entouré par la forêt domaniale d’HAUTVILLERS, vous réserve de nombreuses surprises.
Ainsi au détour d’étroites rues escarpées vous pourrez découvrir une multitude d’enseignes en fer forgé où vous vous laissez surprendre par de superbes points de vue.
L’origine d’Hautvillers est directement liée à l’existence de son Abbaye.
L’Abbaye connaîtra bien des vicissitudes au cours des siècles puisqu’elle sera pillée près de 17 fois.
En 1668, arrive à Hautvillers, un moine Bénédictin; sa sagesse et son instruction le font choisir comme Cellérier de l’Abbaye.
Dom Pérignon est un être étonnamment moderne et perfectionniste.
A cette époque, la conjoncture n’est pas bonne, l’Abbaye se remet mal de l’incendie causé par les Huguenots, les rentes ne suffisent plus et la viticulture rapporte peu.
Grâce à Dom Pérignon, la vigne prit une grande extension, non seulement à Hautvillers mais dans toute la région.
Vers 1681, Dom Pérignon fit de l’Abbaye d’Hautvillers «le Berceau du Champagne »
Il donna, sur la culture de la vigne, sur le choix de la combinaison des raisins, sur l’élaboration des vins, des règlements qu’on était heureux de suivre. Les vins faits sous sa direction étaient avidement recherchés.
Dom Pérignon fit naître les premières bulles de Champagne.
Il mit au point :
  • Le collage des vins afin d’en extraire le dépôt qui subsiste dans la bouteille.
  • Les assemblages
  • Le pressurage fractionné qui permet d’obtenir un jus blanc à partir de raisins noirs
  • Le bouchon de liège qui remplace la cheville de bois et le suif
  • Il modifie la forme des bouteilles (fond creusé) en augmentant leur épaisseur afin de les rendre plus résistantes à la pression.
Le vin de Champagne deviendra vite une boisson très célèbre grâce au 1er Ministre de Louis XIV. Ce fut Colbert qui fit connaître le Champagne.
Dom Pérignon mourut en 1715, il est inhumé dans l’Eglise d’Hautvillers sous une dalle en marbre près du sanctuaire.
C’est pourquoi, Hautvillers, Perle de la Champagne, site pittoresque et incontournable de la Région, situé dans le Parc Naturel de la Montagne de Reims, vous emporte au cœur de l’histoire d’un village où il fait bon flâner, pour cela nous l’appelons, « le berceau du champagne ».






Gervais GOBILLARD, agriculteur à Courtisols avec ses parents décide, vers 1933, de devenir indépendant et, au grand dam de sa famille, achète, avec ses maigres économies, 2 hectares de vignes à Hautvillers, village de son épouse. Il veut être viticulteur et élaborer son champagne.


A cette époque, seules les grandes maisons de négoce connaissent le succès. 
Les petits vignerons comme Gervais ne connaissent que la misère, et beaucoup d’entre eux abandonnent pour reprendre l’agriculture. Il persévère dans sa conviction que le champagne ne sera pas toujours réservé aux « Grands » de ce monde. 
Après plusieurs années de labeur, il possède sa propre marque et surtout il fidélise déjà une clientèle.
Il transmet à son fils Jean–Marie sa passion de la vigne et du vin.
Le champagne se démocratise, les terres à vigne se replantent et les besoins en plants sont énormes. Le phylloxera, ce puceron parasite qui a détruit tout le vignoble en début de siècle, est toujours présent. Il faut greffer les plants sur des bois américains résistants à cet insecte.

Jean-Marie et son épouse Françoise, créent la pépinière viticole. Le succès est rapide et cela leur permet d’investir progressivement dans le vignoble, ce qui, vers 1970-80 était encore possible. 




En 1982, leur domaine, situé en majeure partie à Hautvillers est d’environ 8 hectares de vignes, et la pépinière toujours prospère. 
Malheureusement, en 1982, lors d’un tragique accident, le destin décide d’empêcher Jean-Marie de profiter de sa réussite. 

Ses fils, Philippe, Jean-François et Thierry sont très jeunes (Sandrine, leur sœur n’a que 13 ans), mais leur père leur a toujours inculqué le sens du travail, de la responsabilité et de la fraternité.
30 années sont passées, leurs valeurs restent toujours les mêmes, l’entreprise est en expansion constante. 

Gervais et Jean Marie seraient certainement fiers de leurs descendants, mais ceux-ci n’oublient jamais que, sans leurs aînés, ils n’auraient pas eu la chance de vous faire connaître et apprécier le Champagne JM GOBILLARD & FILS.



30% Chardonnay, 35% Pinot Noir, 35 % Pinot Meunier

Assemblage traditionnel des trois cépages champenois. 30 % des vins de réserve sont réincorporés lors de l'assemblage pour obtenir chaque année une régularité gustative et qualitative.
Minimum 2 ans de vieillissement en cave. Nez fin et élégant, souple et équilibré en bouche.
Un Champagne ample sur des arômes riches et bien fondus. Qualitée proposée en demie-bouteille et en bouteille.
Dosage (sucre) : 8g/L.

lunedì 14 ottobre 2013

Gli italiani sarebbero gli ultimi a lasciare la mancia !




La crisi si ripercuote sulle mance, gli Italiani i meno propensi a lasciare un extra.

Tra i viaggiatori dello stivale poco più di 1 su 5 lascia sempre una mancia, ma per il 58% la colpa è della crisi economica 
La crisi esiste anche per le mance, soprattutto in Italia, è quanto emerge da un sondaggio di TripAdvisor®, il sito di viaggi più grande al mondo*, che ha coinvolto circa 7.000 viaggiatori europei di cui oltre 1.100 italiani**
L’indagine, volta a capire le abitudini dei viaggiatori in fatto di mance, ha messo in evidenza la tendenza degli italiani a non lasciare la mancia come abitudine, un po’ per un fatto di cultura e un po’ per colpa della crisi economica.
“Il sondaggio dimostra che non avendo in Italia l’abitudine di lasciare mance, anche all’estero tendiamo a comportarci nello stesso modo” ha dichiarato Valentina Quattro, portavoce di TripAdvisor per l’Italia.  
“A rendere ancora più improbabile un cambio di rotta, la crisi che in Italia, più che negli altri paesi europei, pare abbia influenzato ulteriormente questa propensione”.
Gli Italiani sono gli ultimi in Europa a dare le mance in vacanza
I viaggiatori del Bel Paese sono poco propensi a lasciare mance, solo poco più di 1 su 5 (23%) ha infatti dichiarato di lasciare sempre un extra per il servizio offerto da hotel e ristoranti. Un terzo rispetto ai viaggiatori tedeschi per i quali la mancia è una abitudine nel 69% dei casi

Ecco la lista delle nazionalità intervistate, dalla più alla meno propensa a lasciare una mancia:

Germania
Russia
Francia
Inghilterra
Spagna
Italia
La colpa è della crisi !
Se da una parte la mancia non è una consuetudine tipicamente italiana, dall’altra la situazione economica attuale è risultata essere un fattore aggravante. 

Quasi un italiano su 3 (58%), infatti, ha dichiarato che la crisi lo ha spinto a ridurre o eliminare del tutto le mance. E sebbene anche gli altri Paesi intervistati abbiano a loro volta registrato una simile influenza, è l’Italia la nazione che più di tutte ha accusato il colpo, seguita da Spagna (54%), Russia (37%), Francia (35%), Regno Unito (31%) e Germania (21%).

** Il sondaggio TripAdvisor sulle mance in vacanza è stato condotto dal 3 al 23 maggio 2013 su 6.964 viaggiatori Europei, di cui 2.200 Inglesi, 1.017 Francesi, 1.142 Italiani, 679 Tedeschi, 721 Spagnoli e 1.035 Russi. Le medie ponderate relative ai dati europei sono state ottenute tenendo conto del numero di intervistati per ogni Paese partecipante al sondaggio.
***

domenica 13 ottobre 2013

Il mitico Bar Zucca di Milano




Bere un caffè o un aperitivo al Bar Zucca di Milano é e resterà un rito.

Personalmente preferisco un Rabarbaro amaro servito con ghiaccio tritato e seltz ! Oppure un eccellente caffè ristretto, dipende...

La storia del Bar Zucca fa parte delle storie dei locali milanesi che hanno contribuito a fare di Milano la capitale della cultura. 

Questo locale, testimone di  un secolo e mezzo di storia, è rimasto  un punto fermo  e un simbolo dell’identità cittadina. 

Il Bar Zucca, con la sua storia e il suo sapore, é unico nel suo genere.
Situato in quell’angolo della Galleria Vittorio Emanuele, dove si può ammirare il Duomo, é nella famosa Galleria che fu progettata nel 1864 da Giuseppe Mengoni (morto mentre la costruzione era in corso, precipitando da un’impalcatura). 

Punto di ritrovo abituale di Giuseppe Verdi e Arturo Toscanini di ritorno dalla Scala, da Marcello Dudovich e Carlo Carrà dove vi trascorrevano le nottate, del Re Umberto I, , di Umberto Boccioni, che lo immortalò nel famoso dipinto “Rissa in Galleria”, conservato alla Pinacoteca di Brera (nel quadro vengono  infranti i vetri del Caffè). 

E’ noto che le sue vetrine, tra il 1867 e l’inizio della Grande Guerra, andarono in frantumi ottantasette volte. 

Fu ed é frequentato anche da altri illustri  protagonisti del mondo della cultura, della politica, dello spettacolo, da cittadini comuni e da turisti. 
In anni più recenti da Michail Gorbaciov. 

Lo storico Caffè rimane il salotto dei milanesi, nonostante negli anni siano cambiati nomi e proprietari senza mai smarrire la sua vera identità. 

Il locale di Gaspare Campari fu  inaugurato il 15 settembre del 1867 in contemporanea con la Galleria Vittorio Emanuele II, primo Caffè milanese a far parte dell’Associazione “Locali Storici Italiani”. 

Chiuse la sua saracinesca solo nel maggio del 1873 per la morte di Alessandro Manzoni in segno di lutto. 
Lo scrittore abitava in via Morone 1, oggì è diventata un museo. 

Giunto dalla natia Novara, Gaspare divenne famoso in tutto il mondo per l’invenzione di un “bitter all’uso di Hollanda” che diventerà universalmente noto come il Bitter Campari

A Gaspare succederà il figlio Davide che, nel 1915, di fronte al Campari, aprirà il Camparino e nel 1919,dopo la guerra, il primogenito Campari passa la mano alla famiglia Zucca del rabarbaro (bevanda dal gusto originale ed autentico). 

Negli anni ’60 e fino al ’90, Guglielmo Miani, di origine pugliese, a soli 17 anni, lascia Andria per trasferirsi a Milano. Diventa famoso per la catena di negozi Larus ed in seguito rileva l’attività. 
Mecenate della cultura e premiato a Londra, Miani mantiene intatta l’atmosfera e lo stile caratteristico. 

Ancora oggi l’insegna nera con la scritta dorata “Zucca in Galleria” è una delle tante immagini simbolo della galleria milanese. 

Nel 1999 Orlando Chiari sposato con Teresa Miani, diventano gli (attuali) proprietari dello “Zucca”.   





Appoggiarsi al bancone intarsiato di Eugenio Quarti, famoso ebanista del primo ‘900, ammirare i lampadari di Mazzucotelli, l’unico “fabbro” che eseguì in ferro battuto delle vere opere d’arte, i raffinatissimi mosaici liberty di Angelo d’Andrea, le due prestigiose sale al primo piano, sapientemente ristrutturate nel rispetto degli arredi art decò dall’architetto Filippo Perego, che già nei primi del ‘900 erano adibite a ristorante. 

Vale la pena passare di lì, fosse solo per ammirare le opere d'arte raffinate che costituiscono la decorazione e l'arredo di questo storico locale : i lampadari di Mazzucotelli, l'unico "fabbro" che eseguì in ferro battuto delle vere opere d'arte oppure i raffinatissimi mosaici liberty di Angelo d'Andrea che fanno ritrovare in quelle cascate di fiori e d'uccelli variopinti tutto il sapore di un'epoca che sopravvive, piena di fascino, nell'angolo più milanese di Milano.

Oggi "Zucca in Galleria" dispone di due prestigiose sale al primo piano, che già nei primi del '900 erano adibite a ristorante. 

La sapientissima ristrutturazione dell'architetto Filippo Perego, nello straordinario rispetto degli arredi "art deco" del locale, arricchisce "Zucca in Galleria" di un ambiente accogliente e raffinato, dove incontrarsi per prendere il the o per gustare un piatto veloce a mezzogiorno, per un meeting o una conferenza di lavoro o per il brunch della domenica.


Tuttora è un elegante ed accogliente ristorante che vanta una raffinata scelta di piatti legati alla tradizione milanese. 



giovedì 10 ottobre 2013

Alaïa au Palais Galliera de Paris !



Le musée de la Mode de la Ville de Paris, le Palais Galliera fermé pour travaux depuis 2009, rouvre ses portes pour accueillir la première rétrospective consacrée, à Paris, au grand sculpteur du textile Azzedine Alaïa


Une mise en valeur unique des créations de cet amoureux des courbes féminines, qui est rentré dans la cours des « Créateurs » en 1979, mais qui reste l’un des derniers grands couturiers.

Rare designer à concevoir tout depuis le patronage jusqu’aux coutures ciselées dont il enlace les silhouettes, Azzedine Alaïa a réinventé la féminité.

Olivier Saillard, le directeur du musée et commissaire de l’exposition, a soigné, comme à son habitude, la mise en scène en la confiant aux designers Marc Newson et Martin Szekely.

Près de soixante modèles iconiques racontent comment Alaïa a sublimé  la morphologie féminine,

L’exposition Alaïa, du 28 septembre au 26 janvier 2014 au Palais Galliera
Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h.



Nocturne le jeudi jusqu’à 21h pour
Téléphone: +33 (0)1 56 52 86 00