lunedì 22 novembre 2010
Michel Comte mette a nudo le celebrities !
Carla Bruni nuda é costata ben 91 mila dollari a un ricco cinese..
Lo scatto del 1993 porta l’inconfondibile firma di Michel Comte, lo svizzero che sa come prendere le donne.
Per vedere la celebre fotografia della première dame senza veli (o quasi) c'è Not only women. Feminine Icons of our Times, che inaugura a Lucca il 20 novembre, in concomitanta con l’apertura del LUCCA Digital PHOTO Fest.
Carla Bruni è in buona compagnia, con lei ci sono modelle, star del cinema e cantanti, da Pamela Anderson a Eva Herzigova, da Sophia Loren a Claudia Schiffer. L’Olimpo rosa dei nostri giorni è tutto riunito nelle sale del Lucca Center of Contemporary Art per mostrare il suo lato migliore.
Gli oltre 60 scatti esposti – alcuni di piccolo formato (30x30), altri a grandezza naturale – celebrano la femmilità contemporanea: una sofisticata e selvaggia Naomi Campbell; un'esuberante Tina Turner e una sensualissima Penelope Cruz.
Si nasconde nella penombra Sophie Marceau, mentre Demi Moore, in bianco e nero, mostra fiera i suoi bicipiti.
Nessuno sa mettere a nudo le donne come fa Michel Comte, "il cavaliere errante della fotografia", come lo chiama Geraldine Chaplin che a lui si è concessa con la grazia che la contraddistingue.
Fotografo di moda ricercatissimo da riviste patinate (Vogue e Vanity Fair) e da griffe internazionali per campagne pubblicitarie (Armani, Versace, D&G, Ferrè), Comte usa la macchina fotografica come punto d'osservazione privilegiato per "spogliare" i suoi soggetti.
Il risultato sono scatti memorabili diventati icone dell'immaginario collettivo. Stranamente, non solo di quello maschile.
Info: Michel Comte. Not only women. Feminine Icons of our Times, Lucca Center of Contemporary Art, via della Fratta 36, Lucca, tel. 0583.57.17.12, www.luccamuseum.com.
Fino al 23 gennaio 2011. Orari: 10-19, chiuso lun.
Biglietti: 7 €, ridotto 5.
venerdì 19 novembre 2010
Otto artisti per otto vetrine della Rinascente
Colore di base per eccellenza, il bianco.
Bianco come la neve dell'inverno (e del Natale), bianco come colore puro e semplice, bianco come fondo per tocchi cromatici intensi.
Lo spirito del più tradizionale "White Christmas" viene interpretato con tecniche e materiali diversi nelle vetrine del Falgship Store La Rinascente di piazza Duomo a Milano.
Il bianco da sempre si associa alla semplicità e alla tradizione.
Come i fiocchi di neve che cadono a mezzanotte o la tovaglia che decora la tavola imbandita in occasione delle feste.
Dalla carta alla plastica di riciclo, dai collage agli origami, il "non colore" per eccellenza è la base di partenza per il Natale La Rinascente.
Gli otto artisti di provenienza internazionale che hanno allestito le vetrine del negozio di Milano con le loro creazioni e le loro sculture sono:
Kirsten Hassenfeld (New York), Gyonggy Laky (San Francisco), Lava/Chris Bosse (Sydney), Margherita Marchioni (Roma), Andrea Mastrovito (Milano), Satsuki Oishi (Osaka), Richard Sweeney (Amsterdam) e Tjep (Amsterdam).
Total white, dunque, per questo Natale in Piazza del Duomo.
Ma con divagazioni cromatiche, come ogni opera d'arte che si rispetti.
giovedì 18 novembre 2010
Tavi, 14 ans, est une blogguese pressée
Tavi a 14 ans et vaut déjà son pesant d’or.
Cette mini-blogueuse star, pas plus haute que trois pommes, vient de s’associer avec Jane Pratt, fondatrice et rédactrice en chef des magazines de mode américains Sassy et Jane, pour lancer un magazine pour ados.
D’abord, la nouvelle surprend.
Puis, on comprend qu’elle ne fait que confirmer le parcours atypique de cette jeune surdouée de la mode.
Il faut dire que Tavi ne laisse personne indifférent.
La gamine fascine, choque, voire même dérange ce monde frétillant qu’est la mode.
Et pour cause : ce n’est pas tous les jours qu’une enfant de son âge sèche les cours pour s’afficher aux premiers rangs des défilés (Dior, Chanel, Marc Jacobs…).
Pressée de grandir, la voilà qui brûle une nouvelle fois les étapes : elle lance un magazine bi-média.
Il y aura un site Web et trois numéros par an, détaille le Women's Wear Daily. Le lancement du site web est prévu le printemps prochain et la parution du premier numéro est attendu pour l’automne 2011.
En attendant, Tavi s’active.
En tant que rédac’ chef, elle s’est lancée à la recherche de sa nouvelle équipe de rédacteurs.
Critère de sélection ? Etre passionné de mode.
lunedì 15 novembre 2010
Un livre pour comprendre les Parisiens
A Paris on a besoin d'un manuel pour entrer dans le monde et dans les habitudes des indigènes..
Le livre publié début septembre aux éditions Parigramme, « Paris, Manuel de survie » vous donne toutes les armes pour comprendre (et mieux affronter) les Parisiens, observés dans leur milieu naturel.
Photos :
Terrasse de café de la rue Vieille-du-Temple.
Paris Plage 2009.
Rangée de vélibs au quartier Latin.
Narcissique, entièrement centré sur ses loisirs et sur son propre corps - dans des proportions pouvant devenir délirantes -, le Parisien ne se contente pas de faire la gueule, il en prend soin.
Se sustentant dans des « néo-snacks bio végétariens » et remplissant son panier de légumes improbables livrés par des Amap*, il espère sauver sa peau en même temps que celle de sa (très) chère planète polluée de « boutiques conceptuelles », de « bars thématisés » et d'épiceries fines hors de prix.
Tel est, dans ses grandes lignes, le portrait (cynique, mais drôle) que le journaliste Jean-Laurent Cassely dresse du Parisien dans Paris, Manuel de survie en se livrant selon ses termes à un « jeu de massacre » sur les us et coutumes des habitants de la capitale. Car, par Parisien, il faut entendre : personne résidant dans le 75.
Originaire de Marseille, l'auteur insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas d'un antiparisianisme primaire et qu'il n'y a pas de guerre OM-PSG sous-jacente.
« Il ne faut jamais oublier que les Parisiens ne sont qu'une minorité de provinciaux qui ont réussi, et qu'il n'y a pas plus PARISIEN qu'un néo-parisien converti », tient à souligner Jean-Laurent Cassely.
On est donc loin de la guerre entre la capitale et la province.
Bien loin aussi de l'image mythique de la ville lumière.
Mais finalement assez proche du Parisien tel qu'il aime se montrer en société. Toujours à la pointe de tout !
Jean-Laurent Cassely diagnostique ainsi « un recours quasi névrotique à la nouveauté, qui passe par l'invention de nouveaux concepts en "ing" - fooding, dating, cook dating, snacking - et par la recherche constante de nouveaux lieux alternatifs, de nouvelles références ultrapointues pour définir ses goûts artistiques etc. ».
Peuplée d'une forte densité de cadres célibataires en quête de fun, Paris serait ainsi devenu un vaste « parc d'attractions » où l'on cherche - sans forcément y parvenir - à s'amuser tout le temps. Mais, au final, la ville n'est pas toujours à la hauteur de la prétention de ses habitants.
« C'est une ville hyper conformiste, qui n'est jamais aussi conformiste que lorsqu'elle se veut alternative », conclut l'auteur.
« Devant le lieu réputé le plus inaccessible, il y a toujours un videur, toujours une horde de hypes et des milliards de gens qui font la queue. »
Heureusement, si vous respectez les règles les plus élémentaires rappelées dans le manuel - ne jamais sourire, ne jamais adresser la parole à un inconnu en pleine rue, etc. -, vous devriez être paré pour affronter un grand nombre de situations, parfois des plus cocasses. Mais, surtout, ne riez-pas !
(*) Associations pour le maintien d'une agriculture paysanne
Les cinq meilleurs « case studies » parisiens :
En guise de cours d'introduction accéléré au parisianisme, Jean-Laurent Cassely propose quelques ballades types dans la capitale :
1. Où observer la quintessence de la boboïtude en action ?
Evidemment, aux abords du canal St-Martin et en particulier entre République, métro Jacques-Bonsergent et le pont de la Grange-aux-Belles.
Les fringues « basiques » hyper conceptuelles, les épiceries et boutiques design éco-responsables ou mode éthique, les petites boutiques hyper pointues de DVD, de CD, de livres illustrés, etc. Tout y est.
C'est un case study à part entière !
Remonter jusqu'à Jaurès pour passer au Point Ephémère est le complément idéal de cette visite.
La même visite est possible à Montmartre/Abbesses. Et Montreuil aussi, enfin certains coins.
2. Où observer le bobo en devenir ?
Par bobo en devenir, il faut comprendre jeune et/ou à la dèche : intermittent, artiste plasticien, graphiste, journaliste, webdesigner.
Un spécimen très repérable dans le nord-est (Jourdain, Belleville, Ménilmontant, Parmentier, Goncourt et Colonel Fabien) ; dans le XVIIIe (Lamarck ou Jules Joffrin), un quartier très fourni en néo-industrialo-bistros, bars thématisés « sans thème », néo-libraires d'ultragauche, salles de concerts pour néo-chansonniers ou minimale post-lo-fi, etc.
3. Où observer un écosystème d'actrices-mannequins ?
Pour trouver des actrices-mannequins parisiennes type petites robes de créateur sympa, des néo-brasseries chics, des ateliers-loft-show room de créateurs : se rendre dans le Haut-Marais (du boulevard Beaumarchais jusqu'au Carreau-du-Temple), un quartier qui est une sorte de réserve de beaux riches.
Tout plein de boutiques conceptuelles et d'épiceries fines hors de prix. Plus de Concept Stores que de PMU.
4. Où observer la vie urbaine du jeune CSP+ ?
Pour observer le jeune urbain CSP+ amateur d'afterwork , de brunchs, de coaching et autres mots en « ing » : de la place du marché St-Honoré jusqu'à Opéra (la Mecque du néo-snack californien healthy, un must), prolongement possible dans le XVIIe (le « bon" » XVIIe, pas le « mauvais ») et dans le XVIe (mais moins drôle).
5. Où observer le Parisien « hard core » ?
Le comble du parisianisme est de ne pas habiter à Paris, mais plutôt une autre capitale comme Berlin, Londres, New York, Shanghai.
Le parisien « hard core » peut aussi être déniché en province, à la campagne, avec un pied à terre à Paris, dans les cas les plus pathologiques...
mercoledì 10 novembre 2010
Pour craquer "bio"
Rendez-vous au coeur de Pigalle et plus exactement au 40 rue Jean-Baptiste Pigalle pour se réchauffer dans l'univers rose bonbon de chez Chloé.S.
Ultra glamour, ce salon de thé propose de très chic cupcakes à base d'ingrédients biologiques.
Fabriqués avec amour dans un esprit totalement contes de fée, ils s'associeront parfaitement à un chocolat chaud fumant.
Chloé Saada propose des recettes qui varient chaque jour selon les produits du marché. Mais également des cupcakes salés, ou encore sans sucre et d'autres sans gluten. Enfin, pour les plus téméraires, des cours sont également proposés !
Dans le XVIIIème arrondissement, les gourmands pourront se retrouver chez Autrement sucré.
Au 17 de la rue Custine, une patisserie-salon de thé qui propose des créations bio de grande qualité.
Pourquoi ne pas succomber à l'exquise tarte au citron meringuée accompagnée d'un jus de fruits frais ?
On peut également aller savourer les incroyables cookies bio de chez Laura Todd.
Son restaurant bio situé 81 rue de Breteuil dans le XVème vous offre la possibilité de déguster autour d'une boisson les célèbres cookies durant l'après-midi.
Mais les franciliens ont aussi leurs adresses !
Et notamment le salon de thé Graine de gourmandise au 68 rue de Paris à Maisons-Laffite dans les Yvelines.
Ce salon veille à respecter son engagement écologique depuis sa construction jusque dans ses ustensiles de cuisine ! Une fois installés, vous pourrez savourez divers thés, jus de fruits, café ou sodas biologiques.
Ainsi que des gourmandises élaborées à partir de produits de saison et majoritairement bio.
A Lille, L'Angelière offre une carte de produits bio mais aussi éthiques et artisanaux. Pou passer un moment réconfortant au 17 de la rue du Plat, in ne faut pas hesiter à à découvrir la multitude de cafés et de thés éthiques proposés.
Mais aussi les boissons aux plantes sans théine et les plaisirs lactés au lait de vache ou d'avoine. Du pur plaisir quand on sait que ce salon de thé-patisserie est également une chocolaterie !
A Bordeaux, le Samovar est connu pour être un lieu atypique qui mêle les rencontres, les causeries et la dégustation.
Devant votre chocolat chaud, libre à vous de vous plonger dans un des nombreux livres mis à votre disposition.
Cet endroit à l'ambiance familiale et aux produits gourmands, vous attend dans la charmante rue Camille Sauvageau...
Les Marseillais ne sont pas en reste grâce au Green Bear Coffee.
Au 17 rue de Glandevès, l'engagement est grand et sincère, c'est pourquoi ils ont choisi de vous offrir le meilleur service tout en réduisant leur empreinte carbone. Une bonne raison pour transformer votre après-midi pluvieux en gouter écolo.
Un smoothie ou un jus de fleurs sans sucre ajouté ça vous dit ?
Côté dessert, la maison met à votre disposition, entre autres, cheesecakes, brownies, muffins ou salades de fruits.
A Lyon, le restaurant bio Soline est aussi un salon de thé. Dans une ambiance aux couleurs fruitées, Soline propose une cuisine variée et équilibrée, bio à 91%.
Des thés de qualité et des gourmandises originales à déguster dans le coin détente, idéal pour méditer, lire ou se ressourcer.
Enfin les Nicois pourront décourvir un gouter 100% bio et certifié Ecocert depuis 2005 chez Bio et Cie.
Un restaurant-salon de thé à retrouver 12 rue Alberti.
domenica 7 novembre 2010
Angel, un profumo dolcissimo
La storia
Il flacone sarà una stella, il colore sarà il blu e il profumo evocherà l'infanzia e la femminilità".
Come anello, nella moda o negli accessori la stella ispira tutte le creazioni di Thierry Mugler.
L’origine di questo fascino? Le notti trascorse a guardare le stelle, quando era bambino.
La fragranza
La fragranza immaginata da Thierry Mugler era così audace ed originale che sono stati necessari più di 608 tentativi per arrivare al profumo che conosciamo oggi.
Thierry Mugler fu uno dei primi ad integrare nella profumeria gli odori di cioccolato o di caramello.
Angel è la prima fragranza gourmande che evoca l'infanzia e che non contiene nessun fiore!
Il flacone
Nel 1990 tutti i maestri vetrai consultati per realizzare questo flacone dissero che il progetto era utopistico.
Solo gli artigiani vetrai Brosse accettarono la sfida.
Furono necessari ben due anni per mettere a punto un macchinario speciale. Ma sei settimane prima del lancio ci si rese conto che i primi flaconi prodotti non corrispondevano al progetto.
Dopo aver effettuato numerosi controlli tecnici si scoprì che la caua era una semplicissima corrente d'aria...
Il macchinario fu rimesso in moto ed flacone di Angel poté essere prodotto.
Ho trovato un commento, che condivido al cento per cento, sul profumo Angel nel blog che parla di profumi, prodotti di bellezza e di lusso
http://www.graine2beaute.com , redatto da Alexandra.
J'ai eu mon premier coup de foudre parfumé lorsque j'avais 17 ans, je voulais m'offrir mon premier parfum et me suis rendue seule à la Parfumerie. L'étoile bleue capta immédiatement mon regard; je me suis dirigée vers elle, l'ai portée directement à mon nez et là... tous mes sens se sont affolés, une explosion d'émotion traversa mon corps de la tête au pied ... Cette sensation de pure extase me mena tout droit en caisse! Que j'étais fière... Angel c'était moi et personne d'autre!
Hélas, je ne fus pas la seule à ressentir cette alchimie du bonheur puisque qu'à l'heure actuelle, Angel est l'un des parfums les plus vendus au monde :'(
Bref, Thierry Mugler a récemment lancé "Les Parfums Corps". Doté du - Attention, Hum Hum - Système moléculaire IDS Intense Diffusion System®, Angel devient un parfum intelligent, parce que Oui, les molécules d'Angel ont un cerveau!
Plus sérieusement, cette technologie permet de retarder l'évaporation du parfum en le réactivant tout au long de la journée grâce aux variations de chaleur du corps et par le doux frottement d'un vêtement sur la peau.
Le simple fait de porter la crème pour le corps me dispense de la gestuelle-parfum. La fragrance est vraiment longue tenue!
Mais alors pourquoi payer 55€ un flacon de parfum alors que les prix des "Parfums Corps" débutent à 21€?
lunedì 1 novembre 2010
Amanda Knox ispira un film di Hollywodd
Il dramma di Perugia e i suoi inquietanti protagonisti ispirano il cinema.
La studentessa Amanda Knox, condannata a 26 anni di carcere insieme al fidanzato Raffaele Sollecito, è diventata dunque un personaggio cinematografico.
L’uccisione della studentessa Meredith Kercher, ha reso inevitabilmente popolare Amanda Knox.
Il caso di cronaca appassionò milioni di italiani, ma non solo.
La notizia arrivò anche in America, viste le origini di Amanda e anche lì si parlò tantissimo di questo caso.
Hollywood non si è fatta scappare l’occasione di creare un bel film sull’intera vicenda dal titolo “Trues stories: The trials of Amanda Knox”.
Le riprese sono già iniziate nella zona di Rieti e nelle vesti dell’assassina Amanda è stata scelta l’attrice americana Hayden Panettiere.
Sono apparse le prime foto dell’attrice nei panni di Amanda ed incredibilmente somiglia davvero tantissimo al personaggio della realtà.
Con i capelli più corti e più scuri, la Panettiere è diventata Amanda.
Nel ruolo di Raffaele Sollecito è stato invece scelto l’attore Paolo Romio.
Quello che impressiona di più è proprio notare una grande somiglianza degli attori con i personaggi reali della vicenda, il film in questo modo assume una credibilità ancora maggiore.
Sul caso della Knox c’è anche un altro regista che ha voluto dedicarsi a questa vicenda. Michael Winterbottom si è ispirato al libro “Angel Face: The True Story of Student Killer Amanda Knox” e, con l’attore Colin Firth, sta lavorando a questo nuovo progetto.
giovedì 28 ottobre 2010
Jennifer Lopez e bambini per Gucci
La nuova campagna pubblicitaria per il lancio dell’ultima novità di casa Gucci – la sua patinatissima collezione bambino – vede in campo una testimonial d’eccezione: Jennifer Lopez.
Immortalata con i figli Emme e Max sulle spiagge di Malibu dall’inossidabile duo di fotografi Mert & Marcus, la bella cantante e attrice è ora icona della nuova linea Gucci Kids, suddivisa nelle fasce di età 0-2 e 2-8 anni, che proporrà alle madri più cool una selezione di abbigliamento, calzature, piccola pelletteria e una selezione di accessori quali gioielleria, occhiali da sole, sciarpette e coperte.
Ma non solo: Gucci ha scelto di lanciare la sua linea baby proprio il 20 novembre, in concomitanza con lo Universal Children’s Day (La Giornata Mondiale del Bambino), e di impegnarsi così a versare 1 milione di dollari al programma UNICEF Schools for Africa, con particolare attenzione al Malawi e al Mozambico; paesi che il Direttore Creativo Frida Giannini ha visitato nel novembre 2009, per osservare personalmente lo sviluppo dell’utilizzo dei fondi della maison fiorentina.
Red carpet del Festival ..per cominciare
Il red carpet del Festival Internazionale del Film di Roma è stato finalmente srotolato, e a calcarlo per prime c'erano due vere e proprie stelle di Hollywood: Eva Mendes e Keira Knightley. E non saranno le uniche...
Il cast di Last Night, film di apertura del Festival di Roma.
Da sinistra: Guillaume Canet, Eva Mendes, la regista Massy Tadjedin e Keira Knightley.
mercoledì 20 ottobre 2010
Alla ricerca del panino milanese
Milano , un tempo, era la capitale dei panini.
Sicuramente legato a ragioni sociologiche il panino risponde all'esigenza di nutrirsi in maniera gradevole e rapida.
Poi, qualcosa è cambiato, senza che ce ne accorgessimo.
Le paninoteche sono gradualmente scomparse soppiantate dai baretti armati di microonde.
Di sera, hanno subito l’invasione barbarica dei buffet da happy hour.
Vero é che, nelle teche vetrate dei bar, i panini sonnecchiano in pile da cento.
I panini sono prefabbricati, già pronti da ore, ossidati e imbolsiti.
Mentre un panino degno di questo nome dev’essere “espresso” come un piatto di spaghetti e tagliato su misura come l’abito di una sartoria.
Che peccato ! Andiamo allora a fare un giro per Milano alla ricerca del panino perduto.
Indirizzi fidati sopravvissuti al basso impero del cibo precotto.
1 Bar della Crocetta
Corso Di Porta Romana, 67 - Milano (MI)
Lo gestiscono Giuseppe e Mario dal 1982 Ed è il contraltare del Bar Quadronno che gli sta quasi di fronte. I panini (francesini) traboccano di salse, formaggi e salumi. La lista prevede circa duecento titoli. Salette su due piani per un totale di 60 posti ...
Via Quadronno, 34 - Milano (MI)
Francesini croccantissimi e materia prima di qualità. Questo il manifesto programmatico dello storico Quadronno, faro gastronomico dal 1964. Il panino più famoso è il “Praga completo”: prosciutto di Praga, brie e paté. Ma non c’è il rischio di sbagliare ...
Corso Magenta, 9 - Milano (MI)
Un’altra creatura del signor Galiano, che ha lavorato qui per quasi trent’anni, prima di aprire un locale col prorpio cognome sull’insegna a pochi metri di distanza. Lo stile gastronomico è rimasto inalterato: i panini sono stracarichi di imbottitura. ...
Via Maroncelli, 2 - Milano (MI)
Non è esattamente un ristorante, ma un suo parente prossimo che qui chiamano "hosteria de l’hamburger". Sta tutto in una stanzetta colorata, in allegro disordine, con un bancone dietro il quale si intravvede la cucina e qualche impervio sgabello, attorno ...
Via Meravigli, 16 - Milano (MI)
Malgrado non abbia ancora toccato i cinquanta, Roberto Galiano si è ritirato a vita privata da un annetto (beato lui). Ma il negozio non tradisce il suo buon nome, anche perché a fare i panini è rimasto un suo storico braccio destro, Mauro. Sono panini ...
Piazzale Di Porta Lodovica, 2 - Milano (MI)
I Gattullo non sono noti soltanto per pasticcini, torte e panettoni. Sono famosi anche per i panini imbottiti (una quindicina di varianti), con i quali si sono nutrite generazioni di bocconiani e di un popolo che sta a metà strada tra il mondo dello spettacolo ...
Piazza Santo Stefano, 4 - Milano (MI)
Quando scoccava l'ora del formidabiole Sessantotto nella vicinissima università Statale, quando McDonald alle nostre latitudini era soltanto un cognome scozzese, Mario e Luigi (dai quali deriva il nome del locale) preparavano hamburger all’americana. ...
Via Paolo Sarpi, 62 - Milano (MI)
Un ristorantino conteso da vocazioni diverse, armonizzate con felice calcolo. Eloquente la sintesi del suo papà, Raffaele Barchi, sosia perfetto del regista Coppola: “Il modello ispiratore era la latteria della sciura Gina, ma poi gli ho messo un abito ...
Via Cherubini, 8 - Milano (MI)
L'anello numero quattro (in termnini cronologici) della catena Panino Giusto, nata sul finire degli anni Settanta in corso Garibaldi. Gli affettati sono di ottima qualità. Il pane è prodotto in casa (si fa per dire).
Galleria Buenos Aires, 16 - Milano (MI)
Un locale talmente fermo nel riconoscere la propria vocazione da chiamarsi semplicemente Paninoteca. È una vera macchina da guerra per panini.
Ne sfornano una quantità spaventosa a tempo di record. Si mangia in piedi o appena
fuori dal locale.
venerdì 15 ottobre 2010
Le projet caritatif de la Maison Montblanc
Montblanc et Yoko Ono ont collaboré ensemble pour créer une ligne d’instrument d’écriture à l’effigie du célèbre chanteur des Beatles et d’Imagine.
Une partie des bénéfices iront soutenir la fondation créée par Yoko Ono, « The John Lennon Educational Tour »
Cette édition est limitée à 70 pièces pour commémorer le 70e anniversaire du musicien de légende, le 9 octobre 2010.
sabato 9 ottobre 2010
piccola bio del gianduiotto
Il celeberrimo cioccolatino deve il suo nome a Gianduja, Gian d’la duja o Giovanni del Boccale, la caratteristica maschera piemontese, simbolo della lotta per l’indipendenza che si combattè in Piemonte nel 1799.
L’invenzione del cioccolato gianduia è merito dei mastri cioccolatieri piemontesi, i quali hanno messo a punto un nuovo tipo di cioccolato ottenuto impastando il cacao e lo zucchero con le nocciole “tonde e gentili” delle Langhe, rinomate per la loro qualità particolarmente fine e gustosa.
L’idea di questo mix sembra dover essere imputata alla casualità.
Nel 1806, a causa del blocco napoleonico infatti, i cioccolatieri piemontesi non riuscendo a rifornirsi del cacao necessario, ebbero l’idea di mescolare il cacao con le nocciole locali, finemente polverizzate, e soprattutto molto economiche poiché permettevano di abbattere gli ingenti costi di trasporto.
Fu nel 1865 che il cioccolatiere Caffarel creò e lanciò sul mercato un prodotto nuovo e rivoluzionario, sia per la composizione che per l’originale forma a spicchio, nonché per il rivestimento: era il primo cioccolatino incartato.
Alla sua nascita a questo nuovo cioccolatino venne attribuito il nome “givù”, termine tratto dal dialetto piemontese, che in italiano significa “bocconcino”.
altra versione :
Riguardo l’origine dell’attuale nome la versione più accreditata narra che nel 1866, durante una parata in onore del Carnevale, un attore vestito da Gianduia ebbe l’idea di regalare alla folla i nuovi cioccolatini, gesto che venne interpretato come una sorta di battesimo da parte della tipica maschera piemontese, che attraverso questo gesto plateale, autorizzava il produttore a chiamare i nuovi cioccolatini con il proprio nome.
I Giandujotti furono immessi per la prima volta sul mercato, dalla Caffarel-Prochet-Gay nel 1865 in occasione del Carnevale.
Per questo l’ormai celebre cioccolatino, uno dei simboli torinesi, porta il nome della mitica maschera torinese.
Da quel tempo l’arte dei più noti mastri cioccolatai cittadini è restata a testimonianza del gradimento di un prodotto oggi esportato anche all’estero.
Grandi aziende hanno segnato il loro successo grazie alla lavorazione del Giandujotto: Peyrano, Baratti & Milano, Streglio, Feletti, Caffarel, Stratta e Giordano che oggi è restata la sola a produrre ancora il famoso cioccolatino “tagliato a mano” con le famose “coltelle”.
Peyrano è oggi conosciuto per la produzione assolutamente artigianale del prodotto tramandata dagli avi, autentici cioccolatieri d’élite di Torino.
L’antica azienda, che sorge in corso Moncalieri, produce oggi, con i celebri Giandujotti, anche una sessantina di prelibatissimi cioccolatini.
Accanto a questi tradizionali produttori esistono in città altri estimatori del cioccolatino torinese: Stroppiana, che incarta ancora il Giandujotto a mano; la G. Pfatisch, fondata nel 1929 ed altre minori ma non certo inferiori come qualità.
domenica 3 ottobre 2010
Fauchon et les 4 saisons..
Vive la gourmandise à chaque saison !
Le traiteur parisien célèbre les fruits de saison avec de nouvelles créations éphémères.
Fruits rouges en été ou agrumes en automne : Fauchon fait la part belle aux fruits et les décline durant toute l’année avec six pâtisseries à déguster au fil des mois. De l’éclair fraises des bois à la tarte aux figues rôties, en passant par le baba crémeux au melon … on succombe au fil des mois devant ces créations signées Christophe Adam.
Manger cinq fruits par jour n’aura jamais été aussi facile !
A partir de 5,50€
Fauchon
Place de la Madeleine, Paris
martedì 28 settembre 2010
Heike Panella, un bell'esempio di riuscita
L'Oreal é l'azienda che ha messo in valore i suoi prodotti tramite le donne piu' belle del mondo e al suo capo con Heike Panella ci sarà per la prima volta una donna !
Ormai da 15 anni, la bionda quarantenne Heike Panella lavora presso la L'Oréal e ha introdotto nell'ultimo periodo in Germania la marca della Vichy.
Nella sua nuova veste dirigenziale, sarà responsabile dell'intera gamma di "prodotti farmaceutici": oltre a Vichy, anche La Roche-Posay, innéov, Sanoflore, Skinceuticals e Roger&Gallet.
Durante la sua prima apparizione in pubblico, Heike Panella ha annunciato di voler promuovere queste marche, in modo particolare “la sua creatura“, la Vichy.
Con maestria, è stata in grado di rendere accessibili le farmacie come luoghi di vendita per prodotti di grande qualità da piazzare sul mercato. E' una stratega in tutto e per tutto.
Panella: "Fare carriera anche quando si crescono dei bambini"
Sebbene il numero delle donne presso la L'Oréal con il 64 % sia sì inusuale, ma per una ditta di cosmetici non del tutto sorprendente, la nomina di Heike Panella rappresenta una sorta di “anteprima “.
Tra i quadri dirigenti si riscontra ancora oggi una penuria di donne – proprio come in altri grandi imprese.
Su 13 membri del consiglio di amministrazione a livello internazionale ci sono solo due donne.
Comunque sia, nella commissione di vigilanza della L'Oréal, il 16% è rappresentato in tutto il mondo da donne, cioè più della media (10 %).
Che ciò possa essere di importanza capitale per una ditta, soprattutto quando il target di riferimento è costituito per il 95% da donne, è ormai stato riconosciuto come dato di fatto.
Da molteplici anni sono stati avviati una serie di programmi di sostegno speciali per le donne in posizioni dirigenziali, e qui si può essere manager di spicco anche lavorando part-time.
La L'Oréal ha provveduto ad incentivare i servizi di assistenza per i bambini soprattutto in Germania, dove l'assistenza pubblica non è così particolarmente buona.
E i padri vengono incoraggiati ad usufruire di un congedo parentale. Di conseguenza, si profila un cambio di tendenza che nel frattempo vede affermarsi ai piani medi ed alti del management il 57% delle donne.
Heike Panella è ora la prima ad essere giunta in alto in Germania. “Sono segnali positivi per le altre colleghe“ afferma con convinzione. “Anche con dei bambini è possibile fare carriera.“ Lei stessa ha una figlia di quattro anni e un figlio di sette.
Scoperta dai talent scout: Heike Panella
La politica della L'Oréal, volta a promuovere nuovi talenti, ha colto nel segno con Heike Panella: come "piccola stella emergente", proprio agli esordi della sua carriera, è riuscita a sviluppare una strategia di mercato efficace per una nuova linea di colorazione per capelli e a relegare la concorrenza, Testanera, al secondo posto.
Ecco come si è guadagnata questa promozione: un master a Losanna, carriera in Danimarca e Portogallo e poi la prima poltrona di dirigente in Svizzera.
Partendo da lì ha reso "Fructis" di Garnier uno degli shampoo più venduti in assoluto.
“E' con profondo piacere che ho l'onore di accogliere nell'amministrazione Heike Panella, una collega di grande competenza“, dichiara Udo Springer, direttore della L’Oréal in Germania riguardo alla nomina di Panella al suo fianco. Suona quasi come un sollievo.
E puntuale, proprio in vista dei suoi 101 anni, la multinazionale è riuscita ad affermarsi non solo come azienda leader per le donne ma anche come azienda guidata ai vertici da donne.
Tallin in mostra
La capitale estone è pronta a mettersi in mostra.
Pronta a sfoderare il meglio di sé per l’anno prossimo che la vede Capitale della Cultura.
L’autunno è ricco di eventi nella capitale estone, distribuiti in alcune delle più importanti istituzioni cittadine votate alla cultura, a cominciare dal Museo di Arte Contemporanea KUMU.
In tempi – sempre più fecondi – di Contemporary art, il museo di Tallin si difende bene: è stato infatti premiato nel 2008 come migliore architettura museale europea.
Per l’autunno accoglie una patriottica esposizione dal titolo “Arte Estone in Esilio” che per la prima volta unisce 250 opere d’arte create tra il 1944 e il 1991 da oltre 70 artisti estoni in esilio.
Appena inaugurata, sempre al KUMU, e pronta ad una lunga permanenza (fino al 23 gennaio 2011) è la mostra Constable, dalle collezioni del Victoria and Albert Museum.
Anche in questo caso si tratta di una prima volta dal momento che una mostra di questo calibro del pittore inglese non aveva sino ad ora mai varcato i confini del Regno Unito.
Largo, dunque, agli schizzi ad olio dell’artista, considerati da molti critici dell’arte più significativi dei grandi dipinti ad olio di villaggi e paesaggi.
Dall’arte al cinema, lo sguardo di Tallin occhieggia anche ai cinefili che vogliano approfittare di un city-break invernale per godersi qualche film dell’European Film Awards, in calendario per il 4 dicembre.
Tra i 46 film europei in corsa per le nomination, spiccano anche quattro film italiani: "Mine Vaganti" di Ferzan Ozpetek, "La Nostra Vita" di Daniele Luchetti, "La Prima Cosa Bella" di Paolo Virzì e "L'Uomo che Verrà" di Giorgio Diritti.
Tra un museo e una sala cinematografica, non sfuggirà l’appeal di una città il cui nucleo storico, medievale, compare nei Patrimoni dell’Umanità Unesco.
Mentre, dall’altra parte, una città moderna, tecnologica e internettizzatta (qui è nato Skype!) asseconda le voglie di una gioventù sempre più attratta da questo Est d’Europa che costa poco e incanta molto.
Tra i quartieri più trendy c’è l’ex zona industriale Rotermanni, tra quelli più hard : discoteca Angel (Sauna 1), grandissima e spregiudicata.
E’ solo uno dei tanti party alla moda che tengono impegnati gay, giovani e ragazze di ogni età nelle lunghe notti bianche di Tallin.
Informazioni utili
Estonian Tourist Board
www.visitestonia.com
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