lunedì 17 agosto 2009
george clooney contro i paparazzi : la pazienza hai dei limiti!
giovedì 13 agosto 2009
Vingt quatre photographies, grand format, souvent inédites pour raconter les moments heureux vécus par Jacques Henri Lartigue à Deauville, entre 1916 et 1980. Une exposition gratuite, visible tout l’été, pour découvrir, en noir et blanc, sur les lieux même où elles ont été réalisées, les lumineuses photographies, facétieuses et élégantes du Deauville de Jacques Henri Lartigue. |
De 1906 à 1980 Jacques Henri Lartigue (1894 1986) séjourne régulièrement à Deauville et sur la Côte normande. Il a découvert Deauville, enfant, avant d’y revenir très fréquemment dès qu’il est en âge de conduire. Il rejoint alors, avec les automobiles qui le fascinent, à quelques heures de route de Paris, une destination fréquentée par ceux qu’il a plaisir à retrouver.
Dans les années 20 le peintre Jacques Lartigue, formé à l’Académie Jullian, gagne sa vie avec ses tableaux et conforte ses relations avec une clientèle de collectionneurs, qu’il rejoint sur leurs lieux de villégiature : Cannes, Megève, Aix les Bains, Royan, Biarritz, la côte normande, Le Touquet,…
Pour conserver la mémoire de ses moments heureux, il consigne cette chronique dans des albums-souvenirs qu’il illustre de ses photographies : En 1916, âgé de 22 ans, il retrouve à Deauville la cantatrice Marthe Chenal, avec qui il vit une folle passion.
En 1919, il photographie le tournage d’un film, et revient régulièrement à Deauville…, avant son ultime séjour, en 1980, comme spectateur fidèle du jeune Festival du cinéma américain.
Par la grâce de ses photographies, la mémoire de Jacques Henri Lartigue rejoint celle de Deauville : Au fil de ces années, Lartigue photographie ses amoureuses, ses proches, se déplace en voiture ou en aéroplane, il suit les événements des étés Deauvillais, des moments heureux partagés avec ses proches et ses amis artistes : Sem, Van Dongen, …
60 ans durant le regard de Jacques Henri Lartigue, immortalise, ses moments heureux, vécus sous les ciels et les lumières changeantes de Deauville.
martedì 21 luglio 2009
une nouvelle passion italienne : vivre à Barcelone
Depuis un an, six chefs de la Camorra, la mafia napolitaine, et plusieurs de leurs lieutenants, ont été arrêtés sur la côte méditerranéenne espagnole, de Barcelone à Marbella, surnommée "Costa Nostra" par les policiers en raison de la forte concentration de mafieux italiens.
Sur les 249 chefs classés "dangereux" par la justice italienne, 70 % auraient trouvé refuge en Catalogne et dans les riches stations balnéaires de la Costa del Sol, selon le procureur antimafia de Naples Luigi Cannavale, cité fin juin par le quotidien El Pais. Cette émigration aurait commencé dans les années 1980. Mais l'Espagne n'est pas seulement une retraite dorée pour les trois mafias italiennes. Selon le magistrat, les Napolitains, les Siciliens de Cosa Nostra et les Calabrais de la 'Ndrangheta géreraient ensemble, à partir du sol espagnol, le trafic de drogue à destination de l'Europe.
Quelles ont été les raisons des 22 685 autres Italiens établis à Barcelone et officiellement recensés par la mairie ? Ils forment, depuis cette année, la plus importante communauté étrangère de la ville, devant les Equatoriens, les Pakistanais et les Boliviens.
Comme Matteo, la plupart se sont installés récemment : leur nombre a plus que doublé depuis 2005. "Une véritable explosion", confirme M. De Martin, le consul général d'Italie à Barcelone. En Catalogne, les inscrits sont passés de 15 400 en l'an 2000 à plus de 52 000 aujourd'hui.
La moitié d'entre eux ne sont "que des passeports", ironise Maurizio Bandettini, vice-président de la Casa degli Italiani ("Maison des Italiens"), une institution créée en 1866 par les premiers immigrants venus de la Botte. Grâce à la loi Tremaglia, votée en 2005 pour permettre aux Italiens de l'étranger de voter nombreux aux législatives de 2006, les enfants et petits-enfants d'émigrés italiens de par le monde ont pu récupérer la nationalité italienne.
Un sésame pour l'Europe dont ont profité nombre d'Argentins, d'Uruguayens ou de Brésiliens. "Ils se sont arrêtés en Espagne par commodité linguistique, et aussi parce qu'il était plus facile d'y trouver du travail qu'en Italie", explique Pietro De Martin.
Les Italiens d'Amérique latine sont arrivés en famille, avec une expérience et un projet professionnels : "Il s'agit de représentants de la classe moyenne, entre 35 et 45 ans, bien décidés à rester, précise Ignasi Cardelus, responsable des relations internationales à la mairie de Barcelone. Ils n'ont généralement pas de relations avec la communauté des Italiens nés en Italie." Ces derniers forment le second flux d'immigration italienne.
Alors que leurs cousins d'outre-Atlantique se sont répartis dans toute l'Espagne, ils choisissent prioritairement la Catalogne, et plus spécialement Barcelone où ils représentent près de 60 % de la présence italienne.
"Le dynamisme économique et social de la dernière décennie a attiré beaucoup de jeunes Italiens, confie M. De Martin. La majorité a la volonté de retourner en Italie. C'est la génération Europe."
Ces Barcelonais d'adoption récente viennent de toute l'Italie. Du Mezzogiorno, gangréné par un chômage chronique, comme des riches régions du nord du pays. "Beaucoup sont des étudiants qui ont trouvé sur place leur premier emploi ou de jeunes diplômés revenus après quelques années d'expérience ou de galère en Italie", souligne M. Cardelus.
Au département marketing chargé de travailler en permanence la "marque Barcelone", on estime que le fait d'avoir été désignée comme siège de l'Union pour la Méditerranée (UPM) confortera son image de capitale de la Méditerranée : "C'est la ville méditerranéenne par excellence, où il fait bon vivre", ajoute Ignasi Cardelus. Le consul général s'enorgueillit d'une "intégration réussie" où dominent les professions libérales (architectes, photographes, médecins, etc.).
Quand il est arrivé à Barcelone, en 1966, pour implanter la petite entreprise familiale de céramique, Maurizio Bandettini avait intégré une communauté italienne "moins nombreuse, mais beaucoup plus influente". A l'époque, se souvient-il, "la grande industrie en Catalogne était italienne, avec Fiat, Olivetti, Pirelli...". Les dirigeants de ces grands groupes ont donné toute son ampleur à la Casa degli Italiani, ses oeuvres sociales, son école. Cette dernière accueille aujourd'hui un demi-millier d'élèves, majoritairement... espagnols.
Les jeunes Italiens qui poussent la porte du beau bâtiment de l'association "sont généralement à la recherche d'un job", assure-t-on au secrétariat. Pour M. Bandettini, "la presse italienne trompe la jeunesse en continuant à présenter Barcelone comme un Eldorado. Comment leur faire comprendre que la vie n'est pas moins chère qu'en Italie et qu'il n'y a plus de travail" ?
Au consulat, on admet que la crise pourra "ralentir le rythme" de l'immigration.
Pourtant, malgré les mauvaises nouvelles économiques, 1 841 nouveaux arrivants ont été enregistrés en 2008, soit une augmentation de 8,8 %. Et les déçus du voyage sont rares : quitte à empiler les petits boulots, autant le faire ici, pensent-ils, comme Catia, la serveuse du Cuore di Mamma. Architecte de formation, la jeune Turinoise n'a pas trouvé d'emploi après l'éclatement de la bulle immobilière espagnole, mais elle "profite de Barcelone" et fait la promotion du tiramisu maison.
lunedì 20 luglio 2009
Bruce Springsteen in libreria
In un’estate musicale che lo vede conquistare i maggiori palchi d’Europa e degli States – dove ha aggiunto 25 nuove date al suo calendario già fittissimo – con il Working on a Dream Tour, The Boss sarà protagonista indiscusso anche nelle librerie.
La casa editrice Baldini Castoldi Dalai, infatti, pubblica un volume tutto dedicato a Bruce Springsteen.
E non stiamo parlando di un libro qualsiasi, ma di una vera e propria biografia del cantante del New Jersey, scritta rivisitando le parole delle sue canzoni.
Dai primi passi nel mondo della musica con Greetings From Asbury Park, N.J (1973), alla consacrazione con Born In The U.S.A. (1984) fino agli ultimi successi, la vita del cantautore newyorkese attraversa la storia degli Stati Uniti. Il sogno americano si incarna nei testi di Bruce, e lui stesso ne diventa il simbolo facendo della propria musica la colonna sonora di una società in continua trasformazione, come dimostra il suo impegno pro Obama.
Il libro si intitola Magic in the night ed è scritto da Rob Kirkpatrick, giornalista e saggista, tradotto in Italia da Ermanno Labianca, il maggior esperto di Springsteen di casa nostra.
mercoledì 8 luglio 2009
Magic Igor Tchetuev!
martedì 7 luglio 2009
In Toscana una villa di stile californiano
Estremamente semplice la pianta: tre volumi di forma cubica e di altezza differente, posizionati in modo da ricavare un patio centrale per la vita all’aperto, secondo una disposizione che, oltre a costituire un’estensione degli spazi abitativi, permette di allargare apparentemente le dimensioni della costruzione che, per via delle normative locali, non poteva superare i 300 mq.
“Alzarsi la mattina, fare un tuffo in piscina e vedere il mare”: questo il desiderio espresso dal committente, a cui Raboni ha risposto con la scelta di posizionare la piscina sulla terrazza, ottenendo così un punto di vista privilegiato sul mare. Per accedervi, è stata costruita una rampa in legno e acciaio che sale verso l’alto abbracciando parte dell’abitazione: dal sapore navale come le passerelle che corrono tra un blocco e l’altro e ispirata alle architetture di Miralles.
Molto forte è il legame con il paesaggio, incorniciato dalle finestre profilate in marmo grigio. Da un lato le grosse vetrate si aprono verso il mare, dall’altro guardano allo stagno o ancora al patio, dove la continuità tra interno ed esterno è accentuata dalla scelta di utilizzare lo stesso materiale per il pavimento, il legno. Un certo gusto californiano si ritrova anche nell’arredo: tende leggere, cuscini bianchi e camino in pietra chiara per il soggiorno, mentre il letto di forma rotonda di Ivano Redaelli domina nella stanza da letto, anch’essa rivolta verso il mare.Link correlati:
http://www.giusepperaboni.it/
lunedì 6 luglio 2009
Funerali Jackson: i biglietti fino a 8000 dollari
domani il funerale a Los Angeles
I vincitori devono presentarsi al botteghino: lì ricevono i bracciali che non possono essere sfilati e ceduti ad altri
Verso le 21 in California (le 6 di lunedì in Italia) gli organizzatori del Memorial che martedì a Los Angeles renderà omaggio a Michael Jackson hanno cominciato a spedire via e-mail ai vincitori della lotteria le istruzioni su come ritirare i loro biglietti (due a testa). E subito dopo, decine di quei biglietti sono finiti all’asta su eBay - i prezzi per chiudere con "acquista subito" vanno dai 5 agli 8mila dollari, da 3.500 a 5.600 euro. Ottomilacinquecento fortunati tra il milione e seicentomila che si erano iscritti all’estrazione nei giorni scorsi possono così vedere dal vivo lo show che avrà luogo allo Staples Center, lo stadio di basket a Downtown Los Angeles, martedì alle 10 ora della costa occidentale degli Usa, le 19 in Italia (andrà in diretta tv in mondovisione e via Internet).
PENA L'ESCLUSIONE - Ma se gli organizzatori - il promoter di Jackson, la multinazionale AEG Live - avevano promesso di rendere la vita difficile ai bagarini, il loro metodo, forse per la fretta, forse per distrazione, o per semplice indifferenza, è fatto invece su misura per chi, in barba al buon gusto, ha deciso di guadagnare sulla cerimonia funebre del Re del Pop. Perché i vincitori devono presentarsi lunedì a un botteghino di Los Angeles dove riceveranno due lasciapassare e due braccialetti di identificazione che, una volta allacciati, possono soltanto essere rotti, non sfilati e indossati da qualcun altro. Ma anche se ogni vincitore si è aggiudicato due ingressi, soltanto una persona deve obbligatoriamente presentarsi a ritirare i due ticket, e a quella persona verrà allacciato al polso il braccialetto con sigillo che non potrà togliere fino a martedì, pena l’esclusione dall’ingresso.
TRATTATIVA SU INTERNET - Ma il secondo braccialetto (insieme con il secondo biglietto) possono essere venduti. E così è successo. Dando vita a una clamorosa trattativa monitorata su Twitter e Facebook dal popolo di Michael. Per l’irritazione del distretto di polizia di Los Angeles e dell’aministrazione cittadina: Los Angeles è sull’orlo della bancarotta e le misure di sicurezza straordinarie (la zona dello Staples Center è quasi militarizzata) per contenere l’atteso milione di fans in lutto saranno costosissime. E né la famiglia Jackson né la AEG contribuiranno un solo dollaro.
venerdì 3 luglio 2009
Exposition : Madeleine Vionnet
Exposition : « Madeleine Vionnet, puriste de la mode »
Exposition Madeleine Vionnet, à partir du 24 juin
2009
Elle a été la première à faire défiler les mannequins pieds nus et à délivrer les femmes des corsets. Elle était la reine du drapé et de la coupe en biais. Madeleine Vionnet, star de la haute couture de l'Entre-deux-guerres, est toujours aussi bluffante. Les 130 modèles présentés au musée des Arts décoratifs confirment qu'avant Dior et Yves Saint Laurent, la « boss », c'était elle...
« Madeleine Vionnet, puriste de la mode », www.lesartsdecoratifs.fr.
giovedì 2 luglio 2009
Naomi Watts è il nuovo viso del profumo Angel di Thierry Mugler
Nel 1992 nasce Angel, il primo profumo di Thierry Mugler, pioniere di una nuova corrente olfattiva, quella degli orientali-gourmand.
Da ottobre 2008 il volto della mitica fragranza è una star del cinema, Naomi Watts, che secondo lo stilista e creatore Thierry Mugler è la personificazione del sogno hollywoodiano.
Idée novatrice made in Jura: un livre étiquette collé sur une bouteille de vin
Un livre-étiquette informatif collé sur une bouteille de vin grâce à un système magnétique, voici l'idée novatrice d'un couple 100 % vigneron.
lettre de motivation : un exemple sympa et des conseils
Je tends toujours vers le meilleur résultat.
La lettre de motivation est un élément obligatoire pour toute candidature à un stage, emploi ou formation, elle accompagne votre CV et explique votre demande d'emploi.
La lettre de motivation doit susciter l'intérêt du recruteur en répondant à trois questions :
- Première partie de la lettre de motivation : Quel est l'objet de votre candidature ? Dès les premières lignes de votre lettre de motivation vous devez indiquer l'objet de votre candidature dans des termes très précis et si possible en montrant que vous connaissez l'entreprise ou l'institut visé. "...je suis à la recherche un stage/emploi dans le secteur de la bio informatique... dans une entreprise leader sur son marché comme XX technology " S'il s'agit d'une recherche de stage mentionnez vos disponibilités (temps plein, alternance, dates de disponibilités, durée). S'il s'agit d'une demande d'admission pour une formation, précisez bien les options choisies.
- Deuxième partie de la lettre de motivation : Qui êtes vous ? Attention à ne pas répéter votre CV dans votre lettre de motivation. Vous devez ici justifier votre demande en l'inscrivant dans votre cursus : "après une BTS action commerciale... deux stages de vendeur... je souhaite obtenir un poste de vendeur confirmé..." Votre lettre de motivation peut compléter votre CV en détaillant une expérience particulièrement intéressante que vous n'avez pas pu développer dans votre CV : mission, responsabilité, résultats... choisissez de développer cette expérience si elle est en relation directe avec le poste de l'annonce. "lors de mon stage chez XYZ j'ai pu démontrer mes compétences de gestion de projet en réalisant..." Cette partie crédibilise aux yeux du recruteur votre demande en l'inscrivant dans une logique de cursus et renforce la valeur de votre expérience présenté dans votre cv.
- Troisième partie de la lettre de motivation : Pourquoi voulez-vous ce stage/emploi/formation ? Expliquez ici dans votre lettre de motivation pourquoi l'entreprise ou l'institut vous attire, en quoi la mission/formation vous semble intéressante et en quoi vous motive-t-elle. Aussi la lettre de motivation doit permettre à votre lecteur de voir si vous savez ce qui vous attend (si vous avez bien compris les enjeux du poste convoité) : vous pouvez intégrer ici les éléments de l'offre de stage/emploi en spécifiant ce qui vous motive dans ces missions et quels sont vos points forts associés à ces missions.
Politesse. Soyez courtois et poli : terminez toujours votre lettre de motivation en précisant que vous restez à disposition du lecteur pour plus d'informations et en concluant par la formule de politesse standard : "Je reste à votre entière disposition pour plus d'informations, je vous prie d'agréer, Madame Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées"
Aussi pour vous aider dans votre lettre de motivation : 6 Exemples de lettre de motivation : visualiser la mise en page et le contenu modèle d'une lettre de motivation Les règles d'or de la lettre de motivation : des conseils à respecter pour parfaire votre lettre :) Les formules de politesse de la lettre de motivation : des conseils à respecter pour parfaire votre lettre :)
Votre lettre de motivation doit être parfaite sur le fond et sur la forme !
una canzone per 135mila animali abbandonati
CON GLI OCCHI DI UN CANE - Torna l'estate e torna dunque la preoccupazione che altri cani e altri gatti vadano ad aggiungersi alla lunga schiera dei trovatelli e dei senza fissa dimora.
Le campagne forse non risolvono il problema ma se non altro fanno pensare. E quest'anno, a dare man forte a gruppi, associazioni ed enti che con messaggi sui manifesti o in campagne radio e tv invitano gli italiani a non sbarazzarsi nel modo più facile del loro amico di casa, c'è anche una canzone.
Che parla di randagismo, del mondo visto dagli occhi di un cane: la vita in gabbia, la fuga verso la libertà, le carezze degli umani e i pericoli sulle strade.
Si intitola «Una piccola bestia di razza di cane». E a proporla al grande pubblico è la calda voce di Paolo Belli, l'ex front man dei Ladri di Biciclette, protagonista in tv di Ballando con le stelle, che proprio con questo brano, scritto dalla Marcosbanda, ha voluto aprire il «concertone» del Primo Maggio da piazza San Giovanni (guarda il video).
NOTE CONTRO GLI ABBANDONI - «Una sera ero in una birreria e ho sentito la Marcosbanda che suonava il brano – racconta Belli, ricordando come è nato il progetto -. Mi sono subito ritrovato in questa grande e bella poesia che parla di un cane di quartiere e di quanto alle volte sia stupido l’uomo. Ho chiesto alla band se potevo cantarla per diffondere il più possibile il messaggio che condivido nel profondo».
Con questa canzone, Belli (“papà” di due cani adottati da un canile e di quattro gatti) ha deciso di sostenere i progetti della Lega antivivisezione (Lav). In particolare tre campagne informative: «Abbandonate solo la città» e «Se lo ami lo sterilizzi» contro l’abbandono di animali e «La gratitudine di un cane adottato è smisurata» per favorire le adozioni dai canili.
Progetti che vogliono soprattutto responsabilizzare i padroni dei quattro zampe e garantire il rispetto dei loro diritti.
Benché sia un reato, punito con l’arresto fino ad un anno, si stima che ogni anno vengano abbandonati, come detto, 135 mila animali sulle strade italiane e che oltre l'80 per cento di questi trovi la morte prima di essere accolto in una struttura adeguata.
I VIP NEL VIDEOCLIP - Il brano – inserito nel cd «20 anni» e nella scaletta del suo tour estivo di Paolo Belli - è accompagnato da un videoclip che racconta, attraverso gli occhi del protagonista a quattro zampe, una fuga che diventa anche viaggio e scoperta.
«Al videoclip hanno partecipato tanti amici, grandi artisti che condividono con me l’amore per gli animali» ricorda Belli mentre sullo schermo scorrono i volti in bianco e nero di Tosca D’Aquino, Neri Marcorè, Pierfrancesco Favino, Daniela Poggi, Licia Colò, Fabrizio Frizzi, Giulio Golia, il Trio Medusa, Irene Fornaciari, Arianna Ciampoli e Raffaele Vannoli. «Non è stato difficile coinvolgerli nelle riprese – aggiunge Belli –. È bastata una telefonata e mi hanno subito detto di sì. Appena si è sparsa la voce poi, mi hanno chiamato altri artisti per partecipare, ma orami eravamo già in montaggio e quindi era troppo tardi. Speriamo di riuscire a coinvolgerli il prossimo anno».
«L’educazione al rispetto degli animali può passare anche attraverso una canzone – spiega Ilaria Innocenti, responsabile del settore Cani e gatti della Lav – che può far comprendere come la qualità della vita di cani, gatti o altri animali, sia una responsabilità umana. Ringraziamo Paolo Belli, la Marcosbanda e tutti gli artisti che hanno collaborato e invitiamo il pubblico a sostenerlo prima di tutto con l’impegno a rispettare gli animali, ad esempio scegliendo di adottare un animale da un canile».
mercoledì 1 luglio 2009
viva il cinema italiano!
Portés par d'immenses acteurs (Marcello Mastroianni, Jean-Louis Trintignant, Nino Manfredi, Sophia Loren, Claudia Cardinale, Virna Lisi...), ces films populaires, dans lesquels un burlesque teinté de commedia dell'arte se conjugue avec une critique sociale férocement réaliste, se sont d'abord vu coller l'étiquette péjorative de "néoréalisme rose", avant d'être reconnus comme un genre à part entière (la "comédie à l'italienne") par la critique française. Presque oubliés en Italie, ils retrouvent chaque été les faveurs des Français.
"Il y a quelque chose qui semble être de l'ordre du métabolisme, une alchimie qui fonctionne entre l'été et ces films légers, solaires, même s'ils ont tous un fond très social", suggère Ronald Chammah. Grand cinéphile d'origine italienne, ce réalisateur, producteur et restaurateur de films, qui partage sa vie avec Isabelle Huppert, a oeuvré sans le chercher à cette mode. Après avoir ressuscité avec succès Wanda de Barbara Loden en 2003, il réitéra l'expérience avec une des chefs-d'oeuvre italiens oubliés.
"L'AIR DU TEMPS"
Fouillant dans sa mémoire, il en identifie quelques-uns, puis entreprend d'en acquérir les droits, de les restaurer, et de les sortir en salle et en DVD en partenariat avec d'autres distributeurs et éditeurs. Il y eut d'abord La Fille à la valise, de Valerio Zurlini, sorti en 2005 avec Gemini Films, puis, en collaboration avec Ad Vitam, Eté violent, du même Zurlini, Le Jardin des Finzi-Contini, de Vittorio de Sica, et aujourd'hui Divorce à l'italienne, de Pietro Germi. La priorité est donnée à des films "peut-être connus, mais qui n'ont pas été vus depuis très longtemps, ni au cinéma ni à la télévision et de les sortir comme des exclusivités, avec une nouvelle affiche, un nouveau dossier de presse, et, quand c'est possible, une personne encore vivante ayant collaboré au film associée à la promotion".
Alors que les films de patrimoine américain fédèrent de moins en moins de spectateurs en salle, ces productions italiennes ravissent le public. 30 000 entrées pour La Fille à la valise en 2005, 60 000 pour Le Jardin des Finzi-Contini en 2007... "Il y a là quelque chose qui a peut-être à voir avec l'air du temps, avance Vincent-Paul Boncourt, fondateur de Carlotta films, très actif dans la réédition de films italiens. Ils associent le glamour des stars de l'époque, des thématiques sociales très noires, le tout couvert de comédie et répondant donc au besoin qu'ont les gens de rire."
Historien du cinéma, auteur notamment de La Comédie italienne (Veyrier, 1983), Jean Gili analyse ce succès comme lié "au fait que le cinéma italien a conservé une image forte liée à sa riche histoire, et au fait qu'il fut très présent sur les écrans français jusqu'aux années 1970 incluses. Et ces films qui ressortent sont à peu près tous des chefs-d'oeuvre : ils ont une telle réputation que des jeunes qui ne les connaissent pas vont les voir".
Ce phénomène est par ailleurs concomitant d'une récente renaissance du cinéma italien, note-t-il. Mais il se construit d'une certaine façon contre lui.
Si l'on a vu en France des films comme Gomorra, de Matteo Garrone, Il Divo, de Paolo Sorrentino, tous deux sélectionnés à Cannes, ou encore Le Déjeuner du 15 août, de Gianni Di Gregorio et produit par Matteo Garrone, l'historien déplore que le bouillonnement qu'il constate ne soit pas mieux perçu en France. "Alors que le succès de ces films prouve qu'il y a une vraie demande, les distributeurs ne veulent pas se risquer sur ce terrain. Cette frilosité contribue à perpétuer le préjugé selon lequel le cinéma italien ne pourrait se conjuguer qu'au passé."
Mais les choses pourraient changer. Tandis que les puissances publiques des deux pays réfléchissent à réviser leurs accords de coproduction, qu'un nouvel atelier de scénaristes franco-italiens (la villa Farnese) a été lancé cette année à Cannes, on se prend à rêver d'un modèle de collaboration qui favoriserait la diffusion des films et la notoriété des acteurs des deux côtés des Alpes. Comme à la grande époque des coproductions franco-italiennes. 'été 2009 sera italien. Dans les salles de cinéma d'art et d'essai, du moins, qui s'apprêtent à voir déferler une volée de films des années 1950 à 1970. On peut déjà se replonger dans les oeuvres d'épouvante de Mario Bava (Le Monde du 22 juin), ou dans Une journée particulière, mélodrame sur fond de fascisme d'Ettore Scola. Mais le gros de l'arrivage concerne la comédie.