martedì 16 dicembre 2008

Manifestation des nus à Paris


Statut précaire, salaire navrant, fin du cornet, il n'en fallait pas plus pour les modèles des Beaux-Arts de la Ville de Paris pour monter au créneau.

Et ils l'ont fait à leur manière puisqu'ils ont posé nus devant la direction des Affaires culturelles à Paris, formant un joli tableau sur des airs de Radeau de la Méduse avec, en guise de haubans, les drapeaux de la CGT et de FO.
Pour protester contre des salaires en baisse, les modèles des Beaux-Arts ont posé nus lundi devant la direction des Affaires culturelles à Paris, au 31 rue des Francs-Bourgeois.

En majorité employés par la ville de Paris, ils protestaient contre une décision de la capitale d'interdire « le cornet », cette feuille de dessin enroulée dans laquelle les étudiants déposent un peu d'argent s'ils sont satisfaits de la prestation du modèle.
Cette pratique était encore tolérée, malgré son interdiction, pour compenser de très minces fiches de paie. Le cornet représentait un quart de leurs revenus, selon certains modèles.

Payés 10 euros de l'heure, certains, installés dans la profession, avouent souffrir car pour gagner correctement sa vie un modèle doit poser neuf heures par jour, dimanche compris.
De l'autre côté, les étudiants se plaignent de devoir donner de l'argent à chaque séance, en plus de leurs frais d'inscription annuels.
Telle est la raison invoquée par la directrice pédagogique des Ateliers beaux-arts de la ville de Paris qui a conduit à la suppression du cornet.
Une exposition intitulée Figures du corps, une leçon d'anatomie à l'Ecole des Beaux-Arts prévue jusqu'au 4 janvier 2009, offre aux modèles un nouvel appui.
Ils réclament un tarif horaire de 27 euros brut pour y participer.

De son côté, la mairie de Paris accepte de revoir sa position sur le statut précaire de ces modèles, en posant une condition, « il faut que l'Etat et l'Ecole des beaux-arts suivent », selon Christophe Girard, adjoint à la culture.

Femmes américaines : Internet mieux que le sexe


Près d'une Américaine sur deux (46%) pourrait se passer de toutes relations sexuelles pendant deux semaines, mais pas d'internet, selon une étude publiée lundi par le fabricant de microprocesseurs Intel.

En revanche, 30% des hommes seulement feraient le même choix, selon cette enquête menée auprès de 2.119 adultes par l'institut Harris Interactive.

Reste que l'accès à la toile est tout de même jugé "très important", "important" ou "assez important" par 95% des Américains. 87% estiment que l'internet leur a déjà permis d'économiser de l'argent, 78% qu'il leur permet de mieux rester en contact avec leurs amis et leurs proches.

Cette étude révèle en outre que la liaison internet est en tête des dépenses jugées incontournables: elle est privilégiée par 65% des Américains, devant l'abonnement à la télévision par câble (39%), les repas au restaurant (20%), les achats de vêtements (18%) ou un abonnement à un club de sport (10%).

Une large majorité (58%) d'Américains préfèreraient renoncer à la télévision pendant deux semaines plutôt que de renoncer à l'internet pendant une semaine.
Pas étonnant, relève Intel, dans la mesure où beaucoup de films et émissions de télévision sont disponibles avec une connexion à large bande.

L'enquête a été menée du 18 au 20 novembre et ne précise pas la marge d'erreur.

La culture française peut-elle s'exporter?



Photos: Catherine Deneuve pendant le tournage de «Place Vendôme» en 1998


Voilà un an que la polémique enfle autour de «la mort de la culture française». C’était le titre d’un article paru en 2007 dans le magazine «Time» et signé Donald Morrison; c’est devenu en 2008 un livre du même journaliste américain («Que reste-t-il de la culture française?», aux éditions Denoël). Entre les deux, 2008 a été un bon cru culturel pour l’Hexagone.

En effet, Marion Cotillard a emporté l’Oscar et le Golden Globe de la meilleure actrice pour son rôle dans «Edith Piaf». Jean-Marie Gustave Le Clézio a reçu le prix Nobel de la littérature. Et Laurent Cantet la palme d’or au Festival de Cannes pour le film «Entre les murs».

Quant à Vincent Cassel et Catherine Deneuve, ils tournent outre-Atlantique.
Où est le problème alors?
Pourquoi la culture française s’exporte moins bien que la culture américaine?
Les critères d’une bonne exportation Selon Donald Morrison, interrogé par 20minutes.fr, un produit culturel s’exporte bien à l’étranger s’il répond à quatre critères.

1. «S’il utilise des techniques de production d’envergure (effets spéciaux, têtes d’affiche…), comme celles dont les studios hollywoodiens se servent pour rendre leurs films impressionnants»
2. «S’il évoque des thèmes universels comme la vie, la mort et l’amour»
3. «S’il se fait l’écho du monde réel, que cela soit socialement, politiquement ou écologiquement. Le but: que l’oeuvre soit connectée avec le quotidien du lecteur-spectateur»
4. Et «s’il est doté d’un plan marketing fort». Grâce à cela, «le plasticien Damien Hirst, l’écrivain Philip Roth ou le ténor Luciano Pavarotti sont connus à l’international, quasi indépendamment de leur talent.»

Cible marketing
«La culture n'est pas un concours de beauté, on ne juge pas du niveau culturel d'un pays au nombre d'écrivains que peuvent citer les quidams à l'autre bout de la planète ni au Top 50 des meilleures ventes mondiales», fustige Jérôme Clément, le patron d'Arte dans «Le Monde» ce lundi.
La stratégie décrite par Morrison consiste à «cibler d’abord un public puis à élaborer un produit culturel qui collera à ce public», explique à 20minutes.fr Dominique Viart, professeur de littérature française à Lille-III et organisateur d’un colloque sur «la littérature française du XXe siècle lue de l’étranger».
On peut faire monter le buzz sur les romans de Michel Houellebecq, Christine Angot et Frédéric Beigbeder, reprend l’universitaire, mais ce sont des bouquins dont, trois ans plus tard, «on ne se souvient plus».
Au contraire, les «ouvrages qui restent se sont installés de façon plus insidieuse», comme «L’Elégance du Hérisson», de Muriel Barbery, «pas calculé pour marcher» et pourtant arrivé parmi les meilleures ventes de romans français en 2007.
«La littérature française ne fonctionne pas sur des coups commerciaux, insiste Dominique Viart, elle donne la part belle à la créativité de son auteur et à la sensualité des mots.»
Pas au fait que les personnages des fictions, bien typés, seraient «susceptibles d’être adaptés au cinéma, comme le pratique la littérature américaine.»
Protectionnisme culturel?
Or cette recette franco-française ne convainc pas toujours.
Est-ce à cause d’un quasi-protectionnisme anglo-saxon?
La ministre de la Culture Christine Albanel le déplore depuis plusieurs mois: «Si la France accueille beaucoup de films étrangers, ce n’est pas vrai de tous les autres pays, dont certains ne sont pas si accueillants.
Quand les Etats-Unis ont interdit "Les Choristes" au moins de 12 ans, c’est une mesure d’entrave.»
Outre Proust, Beckett et Beauvoir, étudiés dans les milieux universitaires, «la culture américaine et hispanique d’importation s’auto-suffisent outre Atlantique, reprend Dominique Viart.
Du coup, ils traduisent très peu de littérature étrangère».
Au final, voir ou lire de la culture française, c'est «faire acte de résistance contre la la globalisation américaine».
Presque un acte politique.

mercoledì 10 dicembre 2008

Playboy déshabille Emma de Caunes


Décidément, le magazine français Playboy réussit à faire poser nues celles… qu'on n'attend pas ! Après Juliette Binoche et Lou Doillon, c'est au tour de l'actrice Emma de Caunes d'être la star du numéro de janvier 2009 !
La fille d'Antoine de Caunes a été shootée sous tous les angles par la talentueuse

Ellen Von Unwerth.
"L'idée me faisait marrer mais cela dépendait vraiment du photographe.

Je voulais le faire avec quelqu'un qui respecte ma personnalité et avec qui je m'amuse.

J'ai vraiment passé ma journée dans la peau d'une fausse Marie-Antoinette, trashy, punky. C'était hyper marrant.

Pour le coup, je l'ai vraiment pris comme un rôle."
Et qu'en a pensé son papa ?

domenica 7 dicembre 2008

Changement à La Scala


La direction de la Scala de Milan a annoncé sans explications que le ténor américain

Stuart Neil interprétera le rôle titre du Don Carlo de Verdi lors de la première dimanche soir à la place de Giuseppe Filianoti.

Le bref communiqué de la Scala a annoncé ce remplacement moins de 24 heures avant la prestigieuse représentation artistico-mondaine dont la diffusion en direct est programmée par de multiples chaînes de télévision étrangères.

Giuseppe Filianoti, prévu pour ce rôle, avait assuré vendredi l'avant-première devant 1.700 jeunes enthousiastes invités au prix attractif de 10 euros. Cependant, malgré la règle de l'embargo imposée aux médias avant la première, des informations avaient fait état d'un Don Carlo en petite forme vocale.

Le ténor italien a laissé éclater son amertume dimanche dans le Corriere della Sera, affirmant ne pas comprendre la décision de la direction du théâtre.

"Ils m'ont dit qu'ils font cela pour me protéger, qu'ils diront que je suis souffrant et que je ne peux pas chanter ni à la première, ni à la seconde" représentation, a-t-il raconté au journal milanais.

Selon lui, le remplacement ne lui a été notifié que pour les deux premières représentations.

Têtes couronnées, membres de la jet-set, politiques, patrons de l'industrie et de la finance et artistes de renom se pressent chaque année à la Scala de Milan pour les premières programmées le 7 décembre, jour de la Saint Ambroise, patron de la ville.

Le début de la saison à la Scala avait été marqué par l'annulation de plusieurs représentations en raison de grèves du personnel mais un accord signé lundi entre la direction et les syndicats a levé toute menace de ce type pour dimanche soir.

sabato 6 dicembre 2008

El Che ha detto..



Siate sempre capaci di sentire nel più profondo

qualunque ingiustizia commessa contro chiunque,

in qualunque parte del mondo.

Ernesto Che Guevara

L'Italia é un paese di veline, le donne sono solo oggetti


L'accusa del Financial Times:
"Dimenticato il femminismo"

Per il giornale sono trattate peggio solo a Cipro, Egitto e Corea

Fin dal titolo, è un'accusa senza mezzi termini: "La terra che ha dimenticato il femminismo", sovraimpresso sul noto cartellone pubblicitario di Telecom Italia in cui Elisabetta Canalis, seduta a gambe incrociate con un telefonino in mano, piega il busto in avanti, in una posizione non proprio comodissima, rivelando una generosa scollatura.

E' la copertina dell'inserto patinato del Financial Times , che in un articolo di quattro pagine denuncia severamente il trattamento riservato alle donne nel nostro paese: l'uso di vallette seminude in ogni genere di programma televisivo, gli spot pubblicitari dominati da allusioni sessuali, il prevalere della donna come oggetto, destinata a stuzzicare "i genitali dell'uomo, anziché il cervello".

Non solo: secondo l'autore del servizio, Adrian Michaels, corrispondente da Milano dell'autorevole quotidiano finanziario, potrebbe esserci un legame fra l'onnipresenza di maggiorate in abiti discinti sui nostri mezzi di comunicazione e la scarsità di donne ai vertici della politica, del business, delle professioni in Italia.
Arrivato a Milano tre anni fa da New York insieme alla moglie, Michaels ammette di essere rimasto stupefatto dal modo in cui televisione e pubblicità dipingono le donne; e ancora più sorpreso dal fatto che apparentemente nessuno protesta o ci trova qualcosa di male. Come esempi del fenomeno, oltre al cartellone della Canalis per la Telecom, cita le vallette del gioco a quiz di Rai Uno L'eredità, la pubblicità dei videofonini della 3, le vallette di Striscia la notizia, l'abbigliamento della presentatrice sportiva Ilaria D'Amico di Sky Italia.

L'articolo considera quindi una serie di dati da cui risulta che le donne italiane sono fra le più sottorappresentate d'Europa nelle stanze dei bottoni: il numero delle parlamentari, 11 per cento, è lo stesso di trent'anni fa; nelle maggiori aziende italiane le donne rappresentano solo il 2 per cento dei consigli d'amministrazione (rispetto al 23 per cento nei paesi scandinavi e al 15 negli Stati Uniti); e un sondaggio internazionale rivela che la presenza di donne in politica, nella pubbica amministrazione e ai vertici del business è più bassa che in Italia soltanto a Cipro, in Egitto e in Corea del Sud.

"La mia sensazione è che il femminismo, dopo importanti battaglie per il divorzio e l'aborto, da noi non esista più", gli dice il ministro Emma Bonino, interpellata sul tema.

Altri fattori aumentano le difficoltà delle donne ad avere una diversa posizione sociale, osserva il quotidiano londinese: il lavoro part-time è raro in Italia (15 per cento della forza lavoro rispetto al 21 in Germania e al 36 in Olanda), cosicché le donne che cercano di giostrarsi tra famiglia e carriera sono spesso costrette a scegliere l'una o l'altra.

L'articolo ricorda un discorso del governatore della Banca d'Italia Draghi secondo cui il nostro è uno dei paesi europei in cui meno donne tornano all'occupazione dopo la maternità. Un altro motivo è che gli orari dei negozi ("impossibile fare la spesa il lunedì mattina, il giovedì pomeriggio, la sera e la domenica") complicano la vita della donna che lavora, su cui continua comunque a pesare la responsabilità di casa.

La lettera di Veronica Berlusconi pubblicata da Repubblica, in cui chiedeva le pubbliche scuse di Silvio per il suo comportamento con le donne, potrebbe segnalare l'inizio di un cambiamento, ipotizza Michaels.

Ma uno dei pubblicitari da lui intervistati avverte: "L'Italia è indietro nel modo in cui sono trattate le donne rispetto ad altri paesi, ma abbiamo un metro per giudicare cos'è accettabile diverso dal vostro. Gli uomini e le donne italiani non saranno mai come gli uomini e le donne britannici".

Donne italiane all'estero :premio "Femmes d'Europe 2008"

Nei giorni scorsi a Maria Rita Saulle è stato consegnato per l'Italia il premio ’’Femmes d’Europe 2008", per la sua lunga e prestigiosa attività internazionale in favore dei diritti umani e per la sua militanza in favore dell’uguaglianza uomo-donna.
Mentre il presidente Pöttering, in presenza delle dodici vincitrici nazionali, ha premiato l’ex ministro rumeno Monica Macovei.
Alla vincitrice italiana, la Professoressa Saulle, prima e unica donna giudice della Corte Costituzionale, è stata offerta anche la presidenza onoraria dell’associazione europea. Nel presentare le dodici candidate al premio europeo, vincitrici a livello nazionale, Rodi KRATSA, Vicepresidente del Parlamento europeo e Presidente dell’Associazione Internazionale per la promozione delle donne europee (AIPFE), ha ricordato che il riconoscimento è stato creato nel 1987 per rendere omaggio alle europee che contribuiscono, tramite la loro azione, alla realizzazione dell’Europa unita.
«Più che una competizione tra candidate - ha spiegato - il Premio permette una migliore visibilità dell’opera delle vincitrici a livello nazionale e può servire da modello d’impegno per l’impresa europea».
Ha poi spiegato che la procedura d’elezione ha posto in evidenza «donne esemplari» provenienti da orizzonti molto diversi, con esperienze professionali e sociali multiple, che condividono l’ideale di un’Europa «umana, democratica, efficace per i cittadini e solidale con tutti i popoli del mondo». Delle donne straordinarie, ha sottolineato, «che hanno reso il compito della giuria estremamente difficile».
Maria Rita Saulle, Professore ordinario di diritto internazionale nella Facoltà di Scienze Politiche dell’Università di Roma "La Sapienza" (la prima in Italia), dal 2005 è l'unica donna giudice della Corte Costituzionale.
In precedenza, oltre ad aver insegnato in diverse Università, istituendo anche nuovi corsi e dottorati di ricerca, è stata docente stabile di "Diritto delle Comunità europee" presso la Scuola Superiore della Pubblica Amministrazione. Ha svolto e svolge attività di conferenziere e relatore in congressi e convegni scientifici presso Università italiane e straniere e presso enti internazionali, ed è componente di diverse commissioni e comitati governativi, compresa la commissione nazionale per la Parità uomo-donna presso la Presidenza del Consiglio dei Ministri dal 1984 al 1992.
Esperta del Ministro per le Politiche Comunitarie dal 1991 al 1993, ha ricoperto vari incarichi internazionali, come ad esempio negoziatore per l’Italia della Convenzione delle Nazioni Unite per i diritti del bambino (1986-1989), membro della delegazione italiana alla Conferenza mondiale delle Nazioni Unite sulle donne (Nairobi 1985), delegata dell’Italia alla Convenzione mondiale sulle pari opportunità dei disabili, membro della delegazione italiana all’Assemblea Generale delle Nazioni Unite negli anni 1987, 1989, 1990,1991, 1999, capo delegazione al Colloquio del Consiglio d’Europa sulla violenza in famiglia del 1987, nonché vicepresidente della Conferenza mondiale dell’UNESCO su “Le donne dall’istruzione al lavoro" del 1987. Componente della delegazione italiana alle Conferenze dell’UNESCO dal 1981 al 2005, ha negoziato per l’Italia le “norme standard" approvate dall’Assemblea Generale dell’ONU nel 1992.
Nel 1996 il Presidente della Corte europea dei diritti umani l’ha nominata Presidente della Commissione per la restituzione dei beni immobili ai profughi ed ai rifugiati prevista dagli accordi di Dayton.
Nel 2004 ha formulato una definizione di “terrorismo internazionale”, proposta alle Nazioni Unite.
Ha pubblicato, in Italia e all’estero, 35 volumi, inclusi testi universitari adottati per l’insegnamento in varie Università italiane vertenti su temi di diritto internazionale, diritto internazionale privato, diritto dell’Unione europea, organizzazione internazionale e diritti umani. Dirige la collana "Scienze del Diritto e dell’Economia" edita dalle Edizioni Scientifiche Italiane.
Sul piano della divulgazione collabora a varie testate, per le quali ha scritto più di 800 articoli raccolti nel libro “Relazioni internazionali e diritti fondamentali, 1981-2005 - Cronache e opinioni”.

Chez Angelina à Paris






Dégustation de macarons d'exception, pour les fêtes, signés Swarovki chez ANGELINA, le salon de thé de la Rue de Rivoli à Paris.

En ce mois de décembre plutôt frileux on apprécie le mythique salon de thé Angelina pour son chocolat chaud et ses douceurs.
On l'aime d'autant plus cette année puisque l'on peut y déguster un macaron unique signé Swarovski.
Avec une coque argentée parsemée de violette cristallisée, ce macaron illumine nos papilles et nous donne une parfaite excuse pour faire une pause chez Angelina au milieu de notre journée parcours du combattant cadeaux de Noël.

Angelina 226 rue de Rivoli 75001 Paris ou 2 place Maillot 75017 Paris
La fiche du salon de thé : Voir







venerdì 5 dicembre 2008

Best of blogs


BEST OF BLOGS CONTRO LA CENSURA

Sono i blog di denuncia, soprattutto quelli postati dai paesi in cui non c'e' liberta' di espressione, i siti che piu' di tutti continuano a dimostrare quotidianamente la potenza dirompente del web.

E' quanto si riscontra analizzando la lista dei premiati dal Best of the Blogs, l'iniziativa promossa annulamente dalla tv tedesca Deutsche Welle.

Il vincitore di quest'anno è Generaciòn Y, realizzato dalla cubana Yoani Sánchez, la quale per il suo weblog, che racconta la vita quotidiana vissuta sotto il regime di Castro, ha già ricevuto riconoscimenti internazionali (che però non ha potuto ritirare) e ha suscitato l'ira del dittatore comunista.

Il titolo di ''Miglior Videoblog'' è stato assegnato, invece, a Voices of Africa.

Si tratta di un sito redatto in inglese da giornalisti muniti di smartphones che postano da diverse parti dell'Africa notizie sulla cronaca locale.

Il sito russo Radio Grinch ha vinto come ''Miglior Podcast'', mentre i premiati nella categoria ''Reporter senza frontiere'' sono 4equality (redatto da dissidenti iraniani)

e il blog di Zeng Jinyan, moglie del celebre difensore dei diritti umani in Cina Hu Jia, che descrive la sua vita sotto il costante controllo del regime.

I weblog valutati sono scritti in undici lingue: arabo, cinese, francese, indonesiano, inglese, olandese, persiano, portoghese, russo, spagnolo e tedesco.

I blogger di lingua italiana, dunque, non avevano alcuna speranza di essere menzionati.

sabato 29 novembre 2008

sexe et art à NY




Si un modèle, pointant ses longues jambes vers le ciel, commence à susciter des commentaires qui sortent du domaine artistique et bifurquent vers la concupiscence, s'agit-il encore d'un cours de dessin ordinaire?

Pour une trentaine de New-yorkais réunis pour une séance de Dr Sketchy (Dr Crobard), une "anti-école d'art" autoproclamée, qui a propagé à travers la planète son désir de retourner aux origines bohèmes de l'art, la réponse est clairement oui.
"Parfois, cela fait du bien d'être attiré par ce que l'on dessine, et ici c'est clairement le cas", clame ainsi Maria Hooper, 28 ans, en croquant son modèle, une fétichiste connue sous le nom de Mosh.

Les cours de dessin classiques font appel à des modèles nus, mais dans une atmosphère généralement neutre et silencieuse. Chez Dr Sketchy, c'est tout le contraire: lors d'une séance organisée le week-end dernier à New York, les artistes buvaient des cocktails et laissaient glisser leur plume au son du rock 'n' roll. La scène se déroulait dans un bar néo-burlesque, mouvement artistique inspiré des cabarets, baptisé Slipper Room.

Le fait que Mosh ne soit pas nue, mais plutôt vêtue d'une robe ultra moulante et très courte, d'une petite culotte noire minuscule et de talons vertigineux, ne semblait qu'ajouter à l'excitation.

"Je suis impatiente de voir les autres tenues qu'elle va porter", glissait Maria Hooper, costumière de théâtre.
L'idée de ces ateliers du Dr Sketchy est née dans le cerveau de Molly Crabapple, illustratrice à succès de 25 ans, qui voulait insuffler de la vie dans ce que les artistes décrivent souvent comme des scènes statiques.

Il existe désormais une douzaine de Dr Sketchy au-delà des Etats-Unis, de Glasgow à Singapour, en passant par Tokyo.
Tous utilisent la même formule: boissons corsées, atmosphère branchée, et modèles de style néo-burlesque; un cocktail détonant qui semble faire mouche à tous les coups.
"C'est très dynamique parce que les costumes et les modèles sont souvent des danseurs ou des artistes qui font des performances et donc ils ont des corps très dynamiques", a-t-elle ajouté.

La jeune femme, vêtue d'une robe courte qui révèle le haut de ses bas colorés, n'a rien contre les cours de dessin classiques, mais elle juge cette "anti-école d'art" plus pimentée.
"Il y a un contexte en plus. Cela stimule l'imagination", dit-elle.

Molly Crabapple affirme que son idéal artistique est le romantisme et le côté bohème incarné par le peintre français du XIXe Toulouse-Lautrec.
Avec cela en tête, elle encourage le "dessin-enivré", les blagues graveleuses et les comportements excentriques. Et elle veut des modèles qui soient des "bêtes de foire, des rockeuses, des amazones, ou des fétichistes".

"Chez Dr Sketchy, tout le monde est un artiste sérieux, mais c'est une façon d'entrer dans un monde fantastique, une version passée de ce qu'être artiste pouvait vouloir dire", explique Molly Crabapple.

Au Slipper Room, les croqueurs amateurs devaient débourser 10 à 12 dollars pour pouvoir dessiner Mosh, sur une estrade minuscule entourée d'un cadre dorée et de lourds rideaux.

Après plus de trois heures de pose, le modèle prenait des poses de plus en plus extravagantes, faisant la moue au public ou accentuant son regard mélancolique à travers sa longue frange blond platine.
"Dr Sketchy a un côté théâtral. C'est toute une histoire", explique Monica Hunken, 27 ans, une actrice qui utilise de l'aquarelle pour peindre une délicate version de la poseuse fétichiste.

Giorgio De Chirico in mostra


De Chirico in mostra a Roma con il ‘suo’ museo"
L’arte enigmatica di Giorgio De Chirico ospitata, dal
20 novembre 2008 al 25 gennaio 2009, alla Galleria Nazionale D'Arte Moderna a Roma.
A trent’anni dalla scomparsa del pittore la Galleria Nazionale d’arte Moderna e Contemporanea e la Fondazione Giorgio e
Isa De Chirico hanno riunito 100 opere dell’Artista per vagliare
il suo rapporto con l’arte del passato. In una sorta di museo immaginario, l’esposizione, che ha come titolo “De Chirico e il museo” presenta dipinti ispirati al passato che il pittore realizzò e tenne nel suo studio romano.
Con una sola grande scultura l’itinerario si articola in sei sezioni tematiche.
Mitologia e Archeologia mostra il rapporto dell’artista con il mondo classico, soprattutto la Grecia, sua terra natale, fatto di imitazione nel senso di comprensione dell’intima essenza del “mito” per crearne nuovi.
Con la Neometafisica assistiamo ad una ricapitolazione dei temi passati che tornano originali grazie per gli accostamenti inediti dei soggetti.

La sezione Copie da Antichi Maestri vuole essere un’ulteriore prova che il nuovo può essere espresso con un’icona antica; mentre La Grande Pittura mostra l’evoluzione della tecnica pittorica del Maestro verso la pittura ad olio, “la maniera di Renoir’, nell’esaltazione dei rossi e dei gialli.

Notevole la sezione Rubens: dopo gli anni trenta, infatti, la produzione di de Chirico è mutuata da quella di Rubens, il maestro prediletto.

L’ultima sezione, Opere su carta, infine, raccoglie i disegni in tema con la mostra, un’occasione per comprendre meglio il procedimento di lavoro attuato dall’Artista.

De Chirico e il museo Galleria Nazionale d'Arte Moderna

Viale delle Belle Arti 131, RomaFino al 25/01/2009

Le italiane padrone del proprio stile

Moda: secondo il sondaggio della rivista “Grazia”, le donne italiane scelgono il proprio look, senza farsi trascinare dal “fashion system”
Le donne italiane non si lasciano influenzare dalla moda del momento, ma decidono il proprio stile: lo rivela un sondaggio del settimanale “Grazia”, che mostra come le donne non sono vittime del “fashion system”, ma vere e proprie stiliste di se stesse.

La rivista, infatti, ha indagato sul rapporto delle italiane con la moda ed ha scoperto che le donne prediligono lo shopping, non possono fare a meno dei tacchi ed adorano le borse, ma non si fanno condizionare dalle tendenze.

Grazia, dunque, sottoponendo a 13277 lettrici un questionario (realizzato in collaborazione con la Facoltà di Design della Moda, Politecnico di Milano), ha dimostrato che ben un 65% delle donne italiane decide il proprio look, abbinando a scelta i capi, secondo il gusto personale.

Marcello!




Marcello de Cartier :una nuova borsa per una storia d’amore lunga una vita..
Marcello: l’ultima borsa nata dal savoir faire artigiano della maison francese, spontanea e sofisticata, declinata in varie versioni, è adatta a tutti i momenti della giornata e in qualsiasi situazione, ma sempre con l’inconfondibile eleganza firmata Cartier.
Per l’autunno-inverno 2008/2009 tre nuovi versioni che si aggiungono ai modelli classici.
Per la donna sofisticata Marcello si veste di coccodrillo in un chiaro-scuro sfumato nei toni del beige e del rosso; nubuck rosso, beige e bruno con bordi di karung per le giornate in...libertà; e infine la versione king size, per vivere un’intera giornata con Marcello, che impone le sue nuove misure concepite per un travelling cui non manchi nulla.
Per chi in questa molteplicità non fosse riuscito a trovare la borsa ad hoc, Cartier dà l’opportunità di personalizzare ogni dettaglio, e offre alle proprie clienti il servizio su misura, con la possibilità di realizzare una borsa che sia specchio di chi la indossa, unica e insostituibile come ogni donna sa essere.
Così Marcello si moltiplica e si adatta alla personalità di chi la sceglie: argento per l’elegante Chiara Muti o semplicemente nera, come l’ha voluta Monica Bellucci.

E per l’inverno Cartier ha in serbo una borsa da sera di coccodrillo nero, impreziosita da uno scintillante logo Maison di diamanti, espressione del talento orafo Cartier applicato alla pelle più pregiata. Un pezzo unico, solo su ordinazione, per un sogno che la maison parigina trasforma in realtà.
Il sogno di un compagno ideale, che finalmente ha un nome: Marcello!

Temoignage d'une française à Milan


Céline vit depuis 3 ans et demi à Milan.

Partie en Erasmus, elle travaille aujourd'hui dans la branche marketing d'un grand laboratoire. Elle nous livre son point de vue et ses adresses sur une capitale de la mode.
Céline est assistante marketing à Milan

Comment décririez-vous le style des femmes en Italie et à Milan : classique où à la pointe des tendances ?

Il faut distinguer les Milanaises des Italiennes.

Ces dernières s'habillent souvent comme bon leur semble, sans se soucier de la mode qui les entoure. Ce qui est presque impossible à Milan, tant la ville bat au rythme de la mode.!

A l'image de certaines Françaises, beaucoup d'Italiennes adoptent un style pratique, sobre, classique et recherchent avant tout simplicité, confort et qualité.

Rien d'extravagant donc. Mais une part non négligente d'entre elles, principalement les adolescentes, affichent un style "osé" voire "vulgaire" allant du look sportif (jean taille basse, converses, baskets, tee-shirts imprimés, vestes en cuir...) aux dimensions réduites des mini-jupes, t-shirts moulants, chaussures à hauts talons...

Les Milanaises suivent de près les évolutions de la mode, du moins autant qu'elles peuvent se le permettre. Elles sont donc souvent fières de briller avec des vêtements de marques célèbres et identifiables.

C'est par exemple le cas avec des accessoires comme des sacs à main Prada, Gucci, Dolce & Gabbana... Et que dire des lunettes de soleil qui doivent impérativement être de marque si l'on ne veut pas détonner !

A votre avis comment se démarque la mode à Milan par rapport à la mode française ?
"Chaque collection témoigne d'une recherche et d'un goût toujours renaissants"
Difficile d'imaginer ces deux capitales de la mode aux antipodes l'une de l'autre, tant elles se suivent dans les grandes lignes.

Chaque année, elles s'alignent au niveau des tendances et portent un même regard sur la mode, globalisation oblige...

Les différences se rencontrent davantage dans le style, l'originalité et la personnalité de chaque grand créateur.

Les Italiens, vrais maîtres en la matière, ne manquent pas d'inspiration et chaque collection propose des défilés hauts en couleurs, témoignant d'une recherche et d'un goût toujours renaissants. Mais si je devais parler de la couche moyenne des Italiennes, je dirais qu'on ressent moins cette recherche du style, d'une certaine féminité et du raffinement qu'à Paris.

Quels sont les grands créateurs présents ?
Est-ce vraiment nécessaire de mentionner les noms des plus grands créateurs comme Versace, Gucci, Dolce & Gabbana, Prada, Armani, Ferré, Loro piana, Max Mara, Valentino...?

Il semble donc difficile d'évoluer dans une telle ville sans être rapidement touchée par le souffle créatif qui sort des grandes maisons de couture italiennes.

Quels sont les vêtements tendance du moment ?
Le trench a le vent en poupe et le jean détient toujours le monopole.

Il séduit toutes les couches de la société qui adoptent en chœur la coupe slim, très en vogue à Milan.

Les Milanaises le portent en optant pour un style "casual" de jour, qui peut devenir très classique et élégant le soir.

Pour les chaussures, on retrouve les fameuses bottines, les bottes en tous genres, les escarpins...

Les bouts pointus ont presque complètement cédé la place aux bouts ronds ! Une nouveauté : voici venu le temps des richelieus.

Quelle "shoppeuse" êtes-vous ?
Bien que je puisse y prendre plaisir, le shopping n'est pas spécialement un loisir mais plus un besoin. J

e fais rarement les boutiques sans but précis. J'ai tendance à fuir les grands centres commerciaux.

Je préfère errer dans les rues de Milan à la rencontre de petites boutiques typiques. Là, j'espère à chaque fois trouver quelque chose d'original, qui puisse me correspondre, mais aussi d'abordable, ce qui n'est pas toujours facile. Pour le coup, rien en cela ne diffère de mes habitudes en France.

J'ai toujours privilégié la qualité et l'originalité à la banalité.

La solution à Milan se trouve dans les magasins de dégriffe, les Outlets, ou bien il y a le vintage... Je dirais donc que je fais partie de la catégorie des "shoppeuses" plutôt discrètes.

Quel a été votre dernier achat mode et pourquoi avez-vous craqué ?
Je me suis offert un trench noir chez Penny Black, ce beau magasin Corso Vittorio Emanuele !

J'ai craqué pour sa coupe super originale et le rapport qualité-prix relativement honnête.


Le carnet d'adresse de Céline à Milan ?
Si vous allez à la Rinascente place du Dôme, vous trouverez toutes les grandes marques réunies dans un seul et même magasin à plusieurs étages, équivalent aux Galeries Lafayette ou au Printemps en France : un incontournable pour qui veut se faire une culture mode.
Notez au passage que le Zara près du Dôme a une entrée magnifique unique en son genre, type Arts déco : à voir absolument.
Les rues Montenapoleone, della Spiga ou Sant Andrea rassemblent toutes les plus grandes marques. Nous sommes ici au cœur de la haute couture et de la mode milanaise. On ne peut pas venir dans cette ville sans se promener au moins une fois par là.

Le Corso Vercelli a aussi sa raison d'être.

Moins typiques mais stratégiques, le corso Buenos Aires ou bien la rue Torino sont deux grandes avenues bordées de magasins étrangement familiers (Zara, H&M, Camaïeu, Pimky, Promod, Benetton, Sisley, Mango...).
J'avoue avoir eu récemment un coup de cœur pour le magasin Blunauta (l'ex-Balloon) de la rue Dante, près du Castello Sforzesco, autre rue de prédilection pour toute shoppeuse confirmée. Là, vous ne trouverez que des tissus naturels, coton, lin, laine, cachemire et soie, pour des prix vraiment honnêtes.
Pour les chaussures, j'aime beaucoup le magasin Spelta de la rue Solferino à Brera, vraie référence en matière de ballerines (mais aussi escarpins, bottes,...), réalisées ici artisanalement.
Il y a aussi Mauro Leone, qui se trouve Corso di Porta ticinese, Penny Black, Liu Jo, Max Mara... Ils ont souvent de beaux articles mais ça c'est pour le régal des yeux, lorsque je décide de faire un peu de lèche-vitrine !