martedì 31 marzo 2009

Marilyn Monroe a Lodi






























Dal 4 aprile al 14 giugno a Lodi, gli scatti di Sam Shaw rivelano un'inedita Marilyn Monroe.

L'hanno amata tutti, fotografi inclusi. Norma Jeane Mortenson, in arte Marilyn Monroe, una delle dive più naturalmente belle davanti all'obiettivo, affidava ciecamente le mille incustodite lei a chiunque dimostrasse di voler prendersi cura della sua esuberanza, della sua malinconia, della sua dolcezza, della sua sensualità palpabile.

La mostra, aperta a Lodi, la ritrae attraverso 40 scatti dell'Archivio Alinari di Firenze, firmati dal fotografo americano Sam Shaw (1912 - 1999).
Shaw conosce Marilyn tra il 1950 e il 1951, quando la fama non l'ha ancora raggiunta (tanto che si dice che lei gli abbia fatto da autista per pagarsi l'affitto!).

Dal 1950 al 1960 realizza le cover di Life e Look.È proprio lui a suggerire nel 1954 la sequenza storica della gonna sollevata dall'aria calda della subway sulla Lexington Avenue a New York per il film Quando la moglie è in vacanza.Per lungo tempo inediti, gli scatti di Shaw riescono, a quasi cinquant'anni dalla sua scomparsa, a far resuscitare la diva di Hollywood e a mostrarla sotto una luce che non è quella accecante dei pettegolezzi e delle dicerie tra cui è vissuta.
Tutt'altro: ci svela il privato di una donna vitale e sorridente, sicura di sé.
Il percorso espositivo pone l'accento sul contrasto fra vita pubblica e privata della star anche attraverso i décollages di Mimmo Rotella, artista che ha dichiarato Marilyn musa ispiratrice per la sua produzione.Il libro d'arte Bellezza eterna (2005), composto di dieci décollages e dieci poesie di Alda Merini, ne sottolinea infatti la fragile complessità.
Il messaggio della mostra, invece, è semplice ed universale: bye-bye, baby.


Marilyn Monroe.
Diva del Novecento
Fotografie di Sam Shaw
4 aprile - 14 giugno 2009 Spazio espositivo Bipielle arte, c/o Banca Popolare di Lodi
Via Polenghi Lombardo 13, Lodi

Des peintures d'Hitler aux enchères


Des peintures d'Hitler bientôt aux enchères au Royaume-Uni

Des toiles d'Adolf Hitler, retrouvées par leur propriétaire dans son garage par hasard il y a environ un mois, seront mises en vente en avril par une maison d'enchères de l'ouest de l'Angleterre.

Une maison d'enchères de l'ouest de l'Angleterre a annoncé mercredi qu'elle allait proposer à la vente des toiles d'Adolf Hitler en avril.Les 13 toiles sont pour la plupart des aquarelles et incluent un auto-portrait pour lequel Adolf Hitler s'est représenté assis sur un pont.

Plusieurs des toiles peintes par Hitler dans sa jeunesse, quand il s'efforçait sans beaucoup de succès de faire carrière comme peintre, sont signées de ses initiales.

Elles ont été retrouvées dans un garage il y a environ un mois, a indiqué Richard Westwood-Brookes de la maison d'enchères Mullock's, dans le Shropshire (ouest de l'Angleterre).

"Le vendeur est un important collectionneur d'objets de la Seconde guerre mondiale; il les a achetées à celui qui les a saisies en 1945", un soldat britannique qui se trouvait alors à Essen (est de l'Allemagne), a-t-il déclaré."Il en a vendu certaines il y a des années et elles avaient alors été évaluées par un expert" (...) mais "incroyable mais vrai, il a laissé le reste dans un garage.

Il a oublié qu'elles existaient et il les a retrouvé dans son garage il y a un mois ou six semaines", a expliqué M. Westwood-Brookes.

La vente doit se tenir le 23 avril à Ludlow, dans l'ouest de l'Angleterre. Des toiles de Hitler ont précédemment atteint de fortes sommes.

En 2006, 21 toiles du leader nazi avaient été vendues en Grande-Bretagne pour 118.000 livres (126.000 euros).

La tour Eiffel a 120 ans!




Pour ses 120 ans, la tour Eiffel se refait une beauté
Inaugurée le 31 mars 1889, la tour Eiffel fête, mardi 31 mars 2009, ses 120 ans.


Pour l’occasion, la "vénérable dame" se refait une beauté.
À grands coups de pinceau.

Quelque 25 peintres, plus de 60 tonnes de peinture, 50 km de cordes de sécurité, 2 hectares de filet de sécurité, 1 500 brosses, 5 000 disques abrasifs, 1 500 tenues de travail.
C’est avec cet arsenal que la tour Eiffel sera repeinte pour la 18e fois depuis son inauguration, il y a 120 ans.

Un vaste chantier de 250 000 mètres carrés attend les peintres de la société grecque Stelma, qui a remporté l’appel d’offres international.
Les travaux, effectués en moyenne tous les sept ans, devraient durer plus d’un an et coûteront la bagatelle de 170 millions d’euros.

Cité par le quotidien "Le Figaro", le conducteur de travaux Aderito Dos Santos Baptista décrit l'exercice de haut vol qui attend son équipe : "Une fois là-haut, on oublie le sol, les soucis, le danger. Tout reste derrière."Les peintres commencent par le sommet et redescendent au fur et à mesure vers la base du monument. Malgré quelques accidents, les travaux n’ont jamais fait de morts.

Photo Gustave Eiffel, industriel et ingénieur français qui a imaginé et réalisé la tour Eiffel.
Haute de 324 mètres (avec l’antenne), la tour Eiffel, en fer puddlé, pèse environ 7 000 tonnes.
Construite par Gustave Eiffel à l’occasion de l’exposition universelle de Paris en 1900, la "vénérable dame", telle qu’on la surnomme, était l’édifice le plus haut du monde jusqu’en 1930.

La tour Eiffel a battu son record de fréquentation en 2008 en accueillant près de 7 millions de visiteurs.

La mort de Maurice Jarre


Le musicien français Maurice Jarre s’est éteint dans la nuit du samedi à dimanche, à Los Angeles, à l’âge de 84 ans, des suites d’un cancer.

Le compositeur laisse derrière lui un héritage artistique riche de 150 musiques de film. Et de trois Oscars (pour "Lawrence d'Arabie" en 1962, "Docteur Jivago" en 1965 et "La Route des Indes" en 1984).
La vocation du musicien était née, de son propre aveu, quand il était enfant. Fasciné par la "Rhapsodie hongroise n°2" de Liszt, le jeune homme, né en 1924 à Lyon, décide d’embrasser la carrière de compositeur. Maurice Jarre écrit ses premières partitions dans les années 1950. A la demande du cinéaste Georges Franju, il compose la musique du court-métrage "Hôtel des Invalides" (1952).
Hitchcock, Huston, Visconti...
Mais c’est le succès de la bande originale de "Lawrence d'Arabie", en 1962, qui le hisse sur les podiums hollywoodiens. Et scelle sa collaboration avec le réalisateur britannique David Lean, avec qui il travaillera à plusieurs reprises, notamment sur "Docteur Jivago" (1965) et "La Route des Indes" (1984). Le Français collabore également avec les plus grands cinéastes de l’époque : John Frankenheimer, Alfred Hitchcock, John Huston et Luchino Visconti.
En 2006, le compositeur avait fêté ses cinquante ans de carrière en donnant à l'Auditorium de Lyon, sa ville natale, un concert retraçant ses plus grandes œuvres.

Parmi le public se trouvait son fils, le musicien Jean-Michel Jarre, l'un des précurseurs de la musique électronique, dont les titres ont également connu un succès international ("Oxigène", 1976).
Le compositeur avait trois enfants
Jean-Michel Jarre,
la décoratrice Stéphanie Jarre (née de son union avec Dany Saval)
et le scénariste Kevin Jarre (adopté).
En février dernier, lors de sa dernière apparition publique en Europe, il avait reçu un Ours d'or au Festival de Berlin pour l'ensemble de sa carrière.

lunedì 30 marzo 2009

I segni dello Zodiaco






Se il vostro capo è ARIETE, non aspettatevi un grande supporto, perché come leader è molto focalizzato sull’autorealizzazione. Appartenete a questo segno? I vostri punti di forza sono dinamismo, velocità d’azione, tenacia, ottima gestione del tempo. L’incrollabile determinazione vi porta ad affrontare con ottimi risultati anche le sfide stile mission impossible. Tallone d’Achille: una scarsa propensione a condividere con gli altri successi e meriti. Testimonial di riferimento: Will Kellogg, il re dei corn flakes.


Il TORO si distingue per la stabilità degli obiettivi e l’autocontrollo. Ma anche per lealtà, discrezione e buone maniere. I suoi atout? Un talento molto “focalizzato”, sorretto dalla capacità di lavorare senza sosta. Oltre a risultare autorevole, è di solito molto amato dai colleghi. Per contro, può rivelarsi ostinato e lento nel reagire ai mutamenti del mercato. Testimonial: William Randolph Hearst.


La flessibilità è una dote tipicamente GEMELLI, assieme all’agilità mentale, a un fiuto fulmineo e a un’ottima adattabilità. La sua scarsa presenza nei ruoli tradizionali della leadership aziendale si deve al fatto che al sacrificio costante preferisce di norma la gratificazione immediata. Pregi: curiosità intelligente, energia, dialettica, fascino. Difetti: ambiguità, difficoltà nel gestire la routine, bisogno costante di divertimento e stimoli (caratteristica che ne fa il Peter Pan dello zodiaco). Testimonial: Donald Trump.


L’obiettivo di un CANCRO è sicuramente la sicurezza, sia economica sia a livello di rapporti interpersonali (il che si riconduce a un legame solitamente molto forte con le radici e la famiglia). Il suo pilastro è la lealtà. Le fragilità sono racchiuse negli sbalzi d’umore (dovuti al fatto che il segno è dominato dalla Luna), nell’ostinazione, nella frequente paura di attacchi esterni e nella propensione a serbare rancore. Testimonial: Estée Lauder. Il mantra di un vero LEONE coincide con il pronome personale “io”. Grande lavoratore, si aspetta un "ritorno edonistico" a fronte del suo impegno. Si distingue per l’imprenditorialità creativa, che a volte degenera in un vero e proprio culto della personalità. I suoi assi nella manica sono entusiasmo, tenacia, focalizzazione sul presente e una predisposizione naturale alla solarità. Può risultare presuntuoso ed egocentrico. Di sicuro fa fatica a condividere il successo con gli eventuali colleghi. Testimonial: Malcolm Forbes.


La VERGINE tende a preoccuparsi all’infinito dei minimi dettagli (perché teme l’errore come la peste!) ed è imbattibile quando si parla di esecuzione meticolosa e coscienziosa. Ultraefficiente e disponibile, di solito è un ottimo “assistente esecutivo” più che un leader assoluto. Adora i sistemi efficienti e ben funzionanti, controllabili, replicabili e profittevoli. Non a caso, il testimonial doc del segno è l’inventore della catena d’alberghi J. Willard Marriott.


La BILANCIA ha un grande fiuto per i trend, supportato da un notevole fascino personale, intelligenza brillante e inconfutabile senso estetico. Perfettamente sintonizzata su ciò che vogliono le masse, ama costruire il suo business intorno alla soddisfazione dei desideri collettivi. Un esempio concreto del suo approccio alla leadership è dato da Jean Nidetch, fondatrice dell'impero Weight Watchers: incapace di perdere peso da sola, questa ex massaia di Brooklyn ha puntato su una soluzione di tipo sociale. A livello personale la Bilancia cerca sempre l’equilibrio ed è una fan della diplomazia e del compromesso. A volte trova faticoso “passare all’azione”.


Lo SCORPIONE affronta la vita professionale sicuramente in termini più competitivi e aggressivi. Intrepido, concentrato e deciso, non cerca tanto la pace o la gratificazione personale quanto un successo sapientemente gestito. Basta citare il bestseller del guru della leadership Jack Welch – Vincere! (Etas, Milano 2006) – e abbiamo detto tutto... Sospettoso per natura, lo Scorpione ama la comunicazione mirata e la sua tattica è la segretezza. Molto sensibile ai tradimenti, non ha nessun problema a vendicarsi!


Grande apertura mentale e atteggiamento filosofico nei confronti della vita sono i segni particolari del SAGITTARIO, che si lascia guidare dal brillante intuito per centrare con la sua freccia il bersaglio. Coraggioso e ottimista, coltiva i grandi sogni e concepisce la vita (anche professionale) in modo molto dinamico: ecco perché è molto più portato per le trasferte che per la routine in ufficio. A volte questo essere molto centrato su se stesso lo rende indifferente (o addirittura spietato) nei rapporti interpersonali. Testimonial: Walt Disney.


Conservatore per definizione, il CAPRICORNO ha come obiettivo lo status, perseguito con stoica perseveranza. Cauto e solitamente pessimista, dimostra una dedizione al dovere che lo rende vittima ideale dello stress. Portare a termine un’impresa è il suo imperativo assoluto, al punto che è quasi impossibile vincere in resistenza un Capricorno motivato. La condizione fondamentale è che azione & risultati siano tangibili. Testimonial: Elizabeth Arden.


Grazie a un mix unico di apertura mentale, inclinazione umanistica e approccio flessibile, i grandi leader dell’ACQUARIO si distinguono soprattutto nell’interpretazione dei bisogni collettivi. Incredibilmente creativi, danno il meglio di sé nelle situazioni che premiano l’istinto e sono capaci di mescolare abilmente idealismo e pragmatismo. A volte in azienda può infastidire il loro scarso rispetto per il modus operandi tradizionale. Testimonial: Christian Dior.


Innovativi, brillanti, empatici ai massimi livelli, i PESCI amano "colorare fuori dalle righe", ovvero rompere le convenzioni per esprimere liberamente la loro creatività. Sono ispirati più dal cuore che dalla mente e tendono ad avere un approccio universale al business. Il loro punto di forza è la visione; la debolezza coincide invece con la vulnerabilità emotiva. Testimonial: David Geffen.

Dalla Spagna, due autori..


Appuntamenti da non perdere quelli che vedranno protagonisti, dal 28 marzo al 3 aprile tra Torino e Milano, due scrittori spagnoli già osannati in patria e pronti a conquistare con le loro parole il pubblico italiano.

Cristina Grande, autrice del romanzo rivelazione Natura Infedele (2008), e di Ricardo Menédez Salmón, in uscita con Gridare questo 26 marzo e già pronto a bissare l’unanime consenso de L’offesa, caso letterario del 2007.
A fare gli onori di casa saranno gli editori milanesi della Marcos y Marcos, sempre attenti ai venti letterari che spirano dall’estero.

I due autori, rispettivamente di Saragozza e delle Asturie, sono considerati i nuovi rappresentanti della narrativa iberica e si inseriscono perfettamente all’interno della tradizione che, attraverso un linguaggio scarno ma efficace, colpisce il lettore con un notevole impatto emozionale.


Per tutti coloro che desiderano tuffarsi in questa settimana spagnola l’invito è online sul sito http://www.marcosymarcos.com/.

Tom Cruise e Cameron Diaz presto insieme











Ritorno di fiamma – cinematografico s’intende! – per Tom Cruise e Cameron Diaz a otto anni di distanza da Vanilla Sky (2001).

A rimettere insieme il tenebroso Maveric di Top Gun (1986) e la Mary di cui tutti andavano pazzi (Tutti pazzi per Mery, 1998) ci ha pensato il regista James Mangold, che li ha scelti come protagonisti del suo nuovissimo film intitolato Wichita and Trouble Man.

In questa commedia romantica le due star di Hollywood, si incontrano in un appuntamento al buio: lei, sfortunata in amore, lui bellissimo e misterioso quanto basta per stravolgerle la vita.

Già impegnata in altre pellicole – Cruise ha ben 10 progetti in ballo, mentre Cameron si “accontenta” del ruolo di Norma Lewis nel thriller The Box (2009) – la movie-coppia non ha però ancora firmato nessun contratto per il lungometraggio di Mangold.




Macchine e glamour, Valeria Marini vs Paris Hilton!


























Donne e motori: solo dolori?
Ma no!
Queste sono tutto glamour..
Paris Hilton ha rubato l'auto di Barbie solo dopo aver saccheggiato anche il suo guardaroba. Rigorosamente rosa.
Valeria Marini ama le esagerazioni, anche nella stazza delle automobili. Qui è ritratta con una lussuosa Limousine.

La figlia de Duce e il partigiano




La passione travolgente tra Edda e il comunista Leonida Bongiorno

Marcello Sorgi ha trovato a Lipari, dove la donna fu al confino, le lettere della relazione inconfessabile


Photo : Il telegramma di Edda, in francese, a Leonida nel 1946




«Conobbi Ellenica una sera. Al termine di una violenta dimostrazione per le vie del paese, in cui avevo potuto calmare gli animi con poche e semplici parole. Mi apparve come una rondine ferita dalle ali infrante».


Lei, invece, rimase affascinata da tanta forza e bellezza, in cuor suo lo chiamò subito Baiardo, il focoso cavallo dell’Orlando furioso e dopo qualche giorno gli scrisse: «Caro amico, se i vostri impegni politici e i vostri svaghi della domenica ve ne danno la possibilità, vorrete essere così cortese di venirmi a fare una visitina?».


Non è un romanzo, ma una storia d’amore vera, una passione struggente tra due persone che non ti saresti mai aspettato di vedere insieme: Edda Ciano (Ellenica), figlia del Duce al confino nell’isola di Lipari dal settembre 1945 al giugno dell’anno successivo, e Leonida Bongiorno (nel lessico della corrispondenza amorosa, Baiardo, o Lecret dal nome del generale che combatté per la liberazione di Cuba nel 1898), capo dei comunisti liparoti, figlio dell’antifascista Eduardu, che ricalcando le carte nautiche ottenute da un amico aveva reso possibile nel 1929 la fuga degli antifascisti Carlo Rosselli, Emilio Lussu e Fausto Nitti.
Il padre di Leonida-Baiardo era uno di quegli uomini tutto d’un pezzo, primo trombone nella banda del paese che riponeva lo strumento quando bisognava intonare «Giovinezza».




Un socialista da sempre che teneva a un suo orgoglio anticonformista: quando gli americani gli chiesero di fare i nomi dei fascisti locali per vendicarsi, lui declinò l’invito. La soddisfazione se l’era presa da solo, tenendo la schiena dritta.


Così il figlio, laureato in economia a Bologna, arruolato come tenente degli alpini, una rarità per un isolano, partigiano in Francia con il nome falso di Paul Zanetti dopo essere fuggito dalla prigionia dei nazisti. Un uomo intelligente ed energico che non aveva esitato a prendersi cura della «rondine dalle ali infrante», anche se era la figlia del Duce. A raccontarci questa storia, dopo una tenace ricerca dei documenti — le lettere di Edda, il memoriale e i commenti di Leonida — è Marcello Sorgi, ex direttore della Stampa, nel libro Edda Ciano e il comunista.




L’inconfessabile passione della figlia del Duce (in uscita da Rizzoli il 1˚aprile, pagine 150, e 18). Sorgi aveva anticipato la notizia sulle pagine culturali del quotidiano torinese il 1˚ottobre dell’anno scorso.
Il racconto si basava sulla lettura delle trascrizioni delle lettere, a volte in francese o in inglese, che, come in un romanzo di Alexandre Dumas, erano sepolte in un vecchio armadio nella casa di Edoardo, il figlio di Leonida, assieme a ciocche di capelli, biglietti, fotografie, annotazioni. Un materiale che Sorgi ha potuto esaminare per primo e ha elaborato in un racconto romantico e avvincente pur rispettando la verità fattuale.


L’autore si è avvalso a tal fine della consulenza storica di Giovanni Sabbatucci.




I primi contatti fra Edda e Leonida sono interessati ma cauti.


Lei, dopo essere stata scaricata in una stamberga nel centro dell’isola dal commissario Polito, lo stesso che aveva preso in consegna Benito Mussolini dopo il 25 luglio 1943, chiede al nuovo amico se può andare ad abitare nella casa di famiglia del Timparozzo, ribattezzata da Edda la «Petite Malmaison», secondo il nome che Josephine de Beauharnais aveva dato alla sua dimora dopo essere stata abbandonata da Napoleone.


Leonida, con l’approvazione del padre, acconsente, e una notte di primavera, sulla terrazza di quella casa incantevole, avviene l’incontro d’amore. Lui la prende appoggiato al muro accarezzandole le gambe, secondo Edda la parte più bella del suo corpo di trentacinquenne.
Il coetaneo Leonida-Baiardo si innamora, Edda-Ellenica sulle prime non si lascia andare: Ellenica partecipa al gioco erotico, scandalizza tutti esibendo sulle spiagge di Lipari e Vulcano un audace due pezzi, ma Edda è guardinga, ancora ferita dalla tragedia famigliare.


Quando lui si dichiara, «voi per me potreste essere la donna ideale», quasi lo irride: «È possibile che io lo sia per tutti gli uomini?».


Lui la ama e la teme, si sente un Ulisse con la sua Circe e le recita a memoria il passo dell’Odissea in cui la maga indica all’eroe omerico due rotte impossibili per far ritorno a Itaca. Lei gli risponde con i versi di Byron: «When we two parted...», «quando noi ci dividemmo, in silenzio e lacrime, i nostri cuori si spaccarono a metà».


La passione cresce e con l’amore la confidenza. Edda, al confino con l’accusa di aver spinto il padre a entrare in guerra, scrive un memoriale, probabilmente aiutata da Leonida, negando ogni responsabilità pubblica: «Nel partito non ebbi mai nessun incarico... Come moglie del ministro degli Esteri non potevo che seguire le direttive che mi venivano date». Più che per questo memoriale, ma grazie all’amnistia Togliatti, a fine giugno 1946, arriva la comunicazione della libertà anticipata.


In una cronaca maliziosa, un corrispondente del Corriere della Sera scrive che «l’elegante signora» pare poco interessata a lasciare l’isola, anche perché «non ha disdegnato l’assidua compagnia di un aitante giovane del luogo, il sig. Leonida Bongiorno».


Edda, in realtà, ha interesse a ritornare a Roma, per riabbracciare i figli.




Con sé porterà un ricordo: il suo ritratto nudo eseguito a matita dal bel Leonida.


Comincia così la seconda parte della corrispondenza: lei lo vezzeggia, «caro amico e fidanzato », «Baiardo mi manca molto», abbandona i toni ironici degli inizi quando lo chiamava «adorabile allievo di sieur Palmiro».


Ma aumentano i silenzi di Leonida, che intanto ha incontrato Angela, la futura moglie, detta la «Chevelue» per via della folta chioma.


Ellenica e Baiardo si rivedono, il primo incontro in un hotel di Messina dove lei si presenta con una carta d’identità falsa.


Poi il nuovo distacco.


E la sempre più appassionata e dolorosa corrispondenza.


Edda si lascia andare a confidenze: «Perché è toccato a me scegliere tra le due persone più care?», alludendo al marito giustiziato e al padre cui non aveva perdonato di non essere intervenuto.


Alla fine il grido: «Venite dunque con me. Non abbandonate questa felicità che gli Dei vi offrono». Siamo alla fine.


Le risposte di Leonida si faranno sempre più rare, sposerà Angela. «Ellenica» e «Baiardo» si ritroveranno sessantenni nel 1971, ancora a Lipari, davanti a una parete su cui lui aveva fatto incidere i versi omerici con le parole di Circe: «Tu da solo col tuo cuore consigliati: io ti dirò le due rotte».


La passione non si era mai spenta.

Sondaggio a Milano : un milanese su due tradisce




Amore, baci e appuntamenti al buio:così tradisce un milanese su due!

Indagine di psichiatri e ginecologi sulle abitudini sentimentali. Numeri inattesi: infedele il 55%
Richard Gere e Diane Lane in «L'amore infedele»
Un sondaggio choc manda all'aria le statistiche rodate.

Un milanese su due (donne e uomini finalmente in parità) ammette che sta tradendo il partner.

Numeri inattesi persino dai promotori del test, lo psichiatra Alberto Caputo e il ginecologo-sessuologo Roberto Bernorio, dell'Associazione italiana di sessuologia applicata alla coppia, che di esperienza sul campo ne hanno maturata.
E non poca.

Perché le statistiche, appunto, dicono che il tradimento (senza includere nella casistica quello che rimane confinato ai sogni e ai pensieri) riguarda sette coppie su dieci, una volta nella vita.
Ed è motivo di crisi coniugali e separazioni. Sia esso «leggero», dettato dal bisogno di evadere dal quotidiano, sia «pesante», termometro del desiderio di cambiamento.

La fotografia del tradimento quotidiano va in onda in diretta, il venerdì mattina (alle 6!) su Radio Deejay, con Andrea e Michele (i due inviati di «Quelli che il calcio») che per sei settimane e sei puntate (la seconda avrà per tema: i luoghi del tradimento) tenterà di fotografare le abitudini degli italiani. «I dati fanno riflettere - dice lo psichiatra Alberto Caputo - .
Perché il campione (3 mila risposte) è molto selezionato.
E allora ci si domanda perché si tradisce?
E per ognuno c'è una risposta diversa».
Il bacio rubato nell'ascensore, l'incontro con l'amico conosciuto su Internet, la fuga nella pausa pranzo.
Bisogno di evadere dallo stress della metropoli?
C'è chi si rilassa passeggiando nel parco, chi stacca dai ritmi concitati tuffandosi in libreria, chi macinando chilometri sul tapis roulant.
E chi, invece, si rifugia in hotel con l'amica/o.
Ci provano gli esperti a trovare motivazioni biologiche (testosterone per lui, picchi di estradiolo per lei), spiegano che l'uomo è un «traditore seriale » mentre la donna «opportunistica ». Aggiungono che le «donne belle sono più propense ad essere infedeli» e che quella che sembrerebbe una affermazione maschilista, in realtà, è confermata da uno studio degli psicologi del Texas.




E avvertono che «tra i tradimenti c'è anche quello che porta in psicoterapia», o allo stalking, la persecuzione dell'altro, a storia finita.

Tendenza deco made in Italy






La mattonella parla italiano!





Terra Grigia di Silvia Giacobazzi per Mutina. Mattonelle di argilla trafilata, nel decoro Brocado elegante e materico. http://www.mutina.it/



Tema e Variazioni” e “Soli e Lune” di Piero Fornasetti per Bardelli.
Mattonelle d’autore a sinistra decoro nero con sfondo platino, a destra il set da 24 pezzi di volti solari e lunari.

Google : se clicchi una volta.. ti cattura per sempre!


Google : l'azienda californiana sforna servizi a getto continuo

Search, ads, apps.

Sta tutta qui la formula magica che ha permesso a Google di assicurarsi in un solo decennio il dominio di internet.
E dell'economia che, bit dopo bit, gravita sul web.

Il che, tradotto, suona più o meno così:
un motore di ricerca (search) capace di far arrivare sul computer di ogni utente i siti richiesti con le parole chiave che ha digitato, e di affiancare ai risultati le inserzioni pubblicitarie (advertising, abbreviato in ads) più affini ai suoi interessi.
Il terzo pilastro sono poi tutte quelle applicazioni (apps, cioè applications), quei programmi, quei servizi che la società di Mountain View, California, sta sfornando a getto continuo per ampliare l'esperienza sul web dei suoi utenti, mantenerli all'intero del suo network pubblicitario e penetrare aree controllate da concorrenti.

Si va dalle email alle mappe, dalla condivisione di video ai programmi di scrittura. In questo senso depone anche Chrome, il nuovo browser internet lanciato lo scorso settembre e destinato a sfidare direttamente il (quasi) onnipresente Explorer di Microsoft.
CELLULARI E TV -

Ma la triade al vertice della compagnia (i fondatori Sergey Brin e Larry Page, con l'amministratore delegato Eric Schmidt) sta già da tempo trasferendo la formula search, ads, apps a tutte le piattaforme disponibili, a cominciare da tv e telecomunicazioni mobili.

Sul primo fronte, Google sta testando il nuovo servizio Tv Ads Online: un «pacchetto» tecnologico collegato a YouTube (la società di video social networking acquisita nel 2006 per 1,65 miliardi di dollari) da distribuire ai broadcaster televisivi per consentire loro la raccolta di pubblicità mirata. Il secondo fronte passa invece attraverso Android, il sistema operativo «aperto» messo a punto per gli smart phone. Il primo terminale, il G1 della taiwanese Htc, arriverà anche sul mercato italiano questa settimana. Ma altri produttori, da Samsung a Lg a Motorola, hanno annunciato anch'essi il lancio di nuovi cellulari basati sul sistema Google. E sul display dei cellulari Android gli utenti si troveranno tutte quelle applicazioni che, come sui computer, oltre che a utilizzare il web per lavoro o intrattenimento servono a convogliare investimenti pubblicitari.

L'obiettivo di Google, ovviamente, è quello di offrire agli inserzionisti la più ampia gamma possibile di piattaforme tecnologiche attraverso cui articolare le loro campagne.

PUBBLICITA' -

Che si tratti di un modello estremamente efficace, ci sono pochi dubbi.
Google ricava dalla pubblicità il 99% di un fatturato che, nell'esercizio 2008, ha raggiunto 21,8 miliardi di dollari, il 31% in più dell'anno prima.

Non a caso due big del settore come Microsoft e Yahoo stanno cercando da anni di emularlo.

Anzi, per stringere i tempi, nel febbraio 2008 Microsoft è arrivata a mettere (inutilmente) sul piatto quasi 45 miliardi di dollari per comprarsi Yahoo, e da allora non ha smesso di premere per arrivare a un'alleanza.

Più difficile è invece capire quale sia il potenziale d crescita del sistema Google basato sulla pubblicità. Un inatteso segnale d'allarme è infatti risuonato l'anno scorso, quando la società di ricerche ComScore ha segnalato un calo del 7% dei «pay clicks», lo schema attraverso il quale Google incassa da un determinato inserzionista una determinata cifra ogni volta che un utente «clicca» sul suo banner pubblicitario. Secondo alcuni analisti, quello era il segno che il modello Google ha toccato l'apice e rischia di cominciare la fase discendente.

SELEZIONE -

In realtà, la flessione è semmai legata a una scelta operata dalla stessa società di Mountain View. La quale, anche per non «affollare» di pubblicità i servizi che offre agli utenti, sta via via selezionando gli inserzionisti, privilegiando quelli che pagano di più.

E non solo. Brin, Page e Schmidt hanno anche cominciato a esplorare il capitolo successivo: non più pagamenti legati al semplice click sul computer, ma all'effettiva vendita dei prodotti e servizi che in quel determinato banner vengono pubblicizzati.

Per verificarne i risultati, però, servirà del tempo.

Dopo l'allarme lanciato da ComScore ci ha infatti pensato la crisi finanziaria mondiale a stravolgere ogni termine di paragone.

La casa ecologica in Catalogna



Nel cuore della Catalogna, il progetto degli H Arquitectes si confonde con la natura


All’inizio sembrava impossibile riuscire a costruire una casa in un appezzamento di terreno ripido, con dei terrazzamenti naturali dall’aspetto precario popolati dalla classica natura aspra e selvatica della Catalogna.

Ci sono riusciti gli H Arquitectes, di stanza a Barcellona, aiutati da un colpo di fortuna: una piattaforma rocciosa naturale cui ancorare l’edificio.

A Vacarisses, un piccolo paese della Spagna del Nord, la House 205 è un volume semplice e elegante, completamente realizzato con il legno.

Le pareti, il soffitto e i pavimenti, ma anche la libreria, la scala e le finiture. Perfettamente integrati alla natura circostante, che non è stata modificata dalla costruzione.

Una filosofia che ha guidato il progetto dalla fase teorica fino alla concreta realizzazione, nel nome dell’impatto zero e con costi relativamente bassi: 200.000 euro il preventivo.
Una costruzione che sembrava impossibile. E diventa modello di eco-sostenibilità
I materiali utilizzati, i metodi e le soluzioni adottate avevano come obiettivo quello di approfittare al massimo dell’unicità del paesaggio, minimizzando le variazioni del terreno e della boscaglia circostante.

Anche la via d’accesso, che è stata l’unica variante inevitabile e attraversa in obliquo il terreno, ha superato brillantemente i test di verifica della sostenibilità ambientale.

Gli alberi e i cespugli che circondano la casa sono il panorama unico su cui si affacciano le grandi finestre.


Gli spazi sono ampi, lineari e funzionali, per permettere il massimo comfort a una coppia con bambini. Sui due piani, collegati da una semplice scala in legno, le stanze si susseguono linearmente, e le zone vengono modificate con pannelli scorrevoli. Ambienti armoniosi e versatili, in perfetto equilibrio con la natura circostante.

Un risultato finale funzionale, concreto: un volume di legno appoggiato su una solida roccia e circondato dal paesaggio originale, senza alcun impatto visivo o disordine ecologico.

Senza contare la caratteristica bio per eccellenza del legno, che è un materiale rinnovabile e può essere smantellato e riciclato senza nessuno sforzo.

domenica 29 marzo 2009

Scarlett Johnasson testimonial di Moët & Chandon

























Scarlett Johansson, negli inediti scatti della campagna pubblicitaria pubblicitaria Moët & Chandon scattata dalla coppia di fotografi Mert Alas e Marcus Piggott.
Non poteva che chiamarsi Tribute to Cinema il grande evento che ha svelato alla stampa la nuova musa di Moët & Chandon: Scarlett Johansson, prima star di Hollywood a essere scelta come testimonial di una maison di champagne.
Dal red carpet agli ospiti internazionali, tutto nella serata era rigorosamente ispirato al grande schermo, proprio come gli autografi fatti da ogni personaggio a una bottiglia di pregiatissimo Nabuchandnezzar, che sarà messa all’asta per supportare la charity scelta da Scarlett: l’organizzazione Oxfam, impegnata nella lotta contro i cambiamenti climatici.
Da aprile, inoltre, Moët & Chandon lancerà una campagna pubblicitaria scattata dalla celebre coppia di fotografi Mert Alas e Marcus Piggott con protagonista, ça va sans dire, una Scarlett splendente e ultrachic. Ecco un’anteprima di questi scatti d’autore, per un fascino davvero… frizzante!

La biografia ufficiale di Michelle Obama


Michelle Obama. First Lady della speranza
Elizabeth Lightfoot
Casa editrice: Ed. Nutrimenti
Anno 2009 -
300 pp. - 18,00 euro
Genere: Biografia

Dopo aver conosciuto Mr Obama attraverso le innumerevoli biografie – autorizzate e non – pubblicate dal giorno della sua candidatura a Presidente degli Stati Uniti a oggi, è finalmente arrivato nelle librerie italiane l’ufficialissimo ritratto dell’altra prestigiosa inquilina della Casa Bianca: Michelle Obama.
Salita alla ribalta con il marito in poco più di due anni, la prima first lady afroamericana sembra confermare l’abusato detto “dietro un grande uomo c’è sempre una grande donna”.
Una donna che, in questo caso, si è raccontata in tutte le sue sfaccettature e senza filtri alla giornalista americana Elisabeth Lightfoot, cronista dell’autorevole Associated Press.
Un’opera documentata e completa, questa, che racconta la vita di Mrs Obama in un viaggio attraverso i ricordi: dall’infanzia proletaria nella famigerata South Side di Chicago agli studi di legge a Princeton e Harvard, passando per l’incontro con Barack e la costruzione di un amore e una famiglia insieme, fino al successo ottenuto alle recenti elezioni. Michelle si confronta con il suo personale American Dream con serietà e ironia, alternando affermazioni maliziosamente irriverenti – alla domanda «Qual è l’accessorio moda che più le dona?» lei ha risposto (in pendant con una nota canzone di Bryan Adams): «L’unica cosa che mi sta bene addosso è Obama » – a ragionamenti sulle questioni che più le stanno a cuore, come la volontà di conciliare il ruolo di madre e moglie con quello di “asso nella manica” di Barack.
Ne emerge una figura forte e determinata, che non è disposta a rinunciare alla propria femminilità: dietro le mise eleganti che l’hanno già trasformata in icona di stile, Michelle porta ben stretti alla vita i pantaloni, tanto che perfino il presidenziale consorte l’ha soprannominata The Boss. E se lo dice lui...