domenica 28 agosto 2022

Les Hamptons, un paradis pour millionaires a deux pas de New York








 



Les Hamptons sont une région du Nord-Est de l’île Longs Island, une simple portion de l’île où la nature sauvage et les pêcheurs étaient, au depart, immortalisés sous le pinceau de quelques peintres. 



Dès le début des années 1970, les Hamptons deviennent le nouvel endroit à la mode, une destination huppée pour les célébrités en tout genre et le lieu de villégiature préféré des riches New-Yorkais. 

L’endroit est grandiose : dunes à perte de vue, villages de la fin du XIXe siècle, température idéale pour la baignade dans l’Atlantique. 

Le nom fait rêver. Là-bas, il ne faut surtout pas se fier aux apparences. L’habit ne fait pas le moine. On vit en short, avec des vieilles baskets ( mais des baskets Maison Margiela, svp) comme Ilan dans la serie "Les Hamptons"



Aux Hamptons, on vit entre soi. Les plages sont vides au mois d’août. Pour s’y rendre en voiture, il faut avoir un permis de résident, délivré aux seuls propriétaires ou locataires d’une villa dans le coin. «Les Hamptons se méritent», résume Lawrence Kaplan, président du cabinet de consultants Ellipse Media Advisory. New-yorkais, il passe ses étés ici depuis son enfance.

A l’origine, le secteur était un immense champ de patates. La famille de Ceci Babinski s’y est installée voilà trois cents ans, en débarquant de Pologne. Aujourd’hui, elle cultive toujours fruits et légumes. 

Mais dans son «farm stand» situé tout près de la vaste demeure à colonnades d’Aerin Lauder, l’héritière d’Estée Lauder, fondatrice de la marque de cosmétiques, Ceci Babinski ne ressemble pas vraiment à une fermière. Elle est maquillée comme si elle sortait d’un studio de télévision. Naturellement tout est bio dans son étalage. Derrière elle, on aperçoit une grandiose maison de famille recouverte de «shingles», des lattes de cèdre grisonnantes typiques de la région. «Quand nos enfants hériteront de nos terres, explique Ceci Babinski, les droits de succession s’élèveront à 7 millions de dollars. Les voisins et la municipalité se sont déjà cotisés pour nous aider à en payer une partie, afin de préserver l’aspect agricole et bucolique de l’endroit. Sans cela, nous devrions vendre.»

Depuis toujours, les Hamptons ont attiré les artistes, grâce à la lumière, magnifique. Au début des années 1970, le peintre Roy Lichtenstein s’est installé à Southampton avec sa femme, Dorothy, dans une maison qui servait autrefois de garage à une immense propriété en bord d’océan. Il l’a agrandie, transformée en résidence principale. Dans le jardin, il a construit son atelier. Dorothy l’a préservé intact depuis sa mort, en 1997. Les pots de peinture n’ont pas bougé. «Les canapés sont juste un peu fatigués à cause des chiens», sourit-elle.



Les Hamptons ont commencé à changer de nature dans les années 1980, avec l’arrivée des traders de Wall Street

De simple lieu de vacances, ils sont devenus une extension de Manhattan, avec son cortège de soirées privées et de fêtes en tout genre. Fin juillet, il ne fallait rater sous aucun prétexte le gala annuel du Musée Watermill Center, donné par Robert Wilson. Cet artiste avant-gardiste avait exposé ses oeuvres dans le bosquet attenant au musée : hommes et femmes nus, tatoués, prenant des postures langoureuses autour de troncs d’arbres. Entourée de trois bodyguards à oreillette et d’une nuée de photographes, Lady Gaga, en longue robe noire et sans maquillage, écoutait les explications du maître des lieux, qui a travaillé avec elle sur le clip de son nouveau tube «Applause». 


Le 3 août, c’est à la Southampton Hospital Summer Party qu’il fallait se montrer. Jean Shafiroff, présidente du gala, était drapée dans une incroyable robe bouffante en taffetas turquoise. «Cette tenue est une toquade, mais je suis une fashionista», s’excusait-elle. Mariée à un richissime banquier de Wall Street, Jean est une «socialite» en vue. «Une "social climbe
r" [arriviste] qui organise sa vie mondaine de manière très professionnelle», glisse perfidement une de ses invitées.


Plus intimiste, mais non moins prisé, le «fashion show» pour fillettes, organisé par Ralph Lauren dans une étable de Sagaponack, était tout aussi spectaculaire. Il fallait voir les gamines de 10 ans défiler sous les yeux humides de leurs mères, puis se faire vernir les ongles par des manucures de la maison Essie en écoutant une chanteuse ado interpréter «I Want To Be a Millionaire» 

Pareil étalage d’argent fait le bonheur des commerçants locaux. 

Pierre Weber, propriétaire du restaurant Pierre’s à Bridgehampton, reconnaît qu’il a «une superbe clientèle». Il a vu passer chez lui Alec Baldwin, Liza Minnelli et le financier Olivier Sarkozy (demi-frère de Nicolas Sarkozy), entre autres personnalités. 

Les Hamptons sont un des derniers endroits aux Etats-Unis où être français est un atout. Pierre joue la carte à fond: il se balade en ville dans sa 2 CV camionnette et tout le monde trouve ça «so cute»...

Mais cet afflux de dollars ne plaît pas à tout le monde, notamment à Montauk, le lieu à la mode. Dominé par un phare semblant tout droit sorti d’une côte bretonne, ce bourg se trouve tout au bout de la péninsule, à une heure de Southampton. Là, pas de belles demeures en bois du XIXe siècle. Montauk est «un village d’ivrognes qui a des problèmes avec la pêche», rigole-t-on dans les environs: victimes de la raréfaction des poissons, ses habitants n’ont plus rien à faire, alors ils boivent... 

Pendant longtemps, Montauk était prisé par les surfeurs, comme Tony Caramanico, moustachu buriné, qui s’y est installé au début des années 1970 avant de devenir l’homme à tout faire du photographe Peter Beard. Celui-ci vivait alors dans une villa de rêve où il invitait Mick Jagger, Truman Capote, Andy Warhol, Jackie Onassis et des dizaines d’autres amis célèbres. Devenu artiste, Tony a exposé ses oeuvres à la galerie Outeast, début août. «Tout a changé ici», constate-t-il, résigné.

En 2007, Nil Erbil, une designer turque, a jeté son dévolu sur un restaurant ringard de la ville, mais qui, au bord de l’eau, jouit d’une vue imprenable sur les couchers de soleil. 




Elle l’a relooké, et le Surf Lodge est désormais une adresse en vogue où Naomi Watts et Bill Murray ont leurs habitudes. «Au début, tout le monde nous détestait», sourit Nil. Deux ans plus tard, Sean MacPherson, hôtelier de New York (Maritime, Bowery, Jane) spécialisé dans la clientèle hype, ouvrait son propre hôtel-restaurant, le Crow’s Nest. 

Nichés à l’extrémité d’une péninsule au nord-est de New York, les Hamptons ont été découverts au début du siècle dernier par les grandes familles Wasp (Blancs anglo-saxons protestants) de Manhattan, qui ont construit d’imposantes demeures patriciennes au bord de l’océan, près de Southampton, la «township» (capitale) du coin. 

Sur Gin Lane, le Wooldon Manor (manoir de Wooldon) fut acheté et rénové en 1928 par James Donahue et son épouse, Jessie Woolworth (héritière des grands magasins du même nom) avant d’être cédé à Edmund Lynch, un des fondateurs de la banque Merrill Lynch. 

De style Tudor, doté d’un salon mansardé avec 8 mètres de hauteur sous plafond, il est entouré d’un parc boisé, d’une serre et d’une piscine avec «pool house». 

Ses propriétaires actuels, Louise et Vince Camuto, viennent de le mettre en vente. Prix demandé: 48 millions de dollars. 

Dans les Hamptons, la récession est presque un lointain souvenir. «On est toujours le dernier marché à subir la crise et le premier à bénéficier de la reprise», se réjouit Tim Davis, l’agent immobilier chargé de l’opération. Il y a quelques semaines, Richard Gere a décidé de vendre sa villa de North Haven pour 65 millions de dollars. Il venait d’en achever les travaux mais, confie un proche, s’est subitement rendu compte qu’il n’aurait «pas le temps d’y mettre les pieds».


Les Hamptons c'est SouthamptonEast Hampton, (Etablies en 1640, sont les deux villes les plus anciennes colonies anglaises de l’Etat de New York.)mais aussi Westhampton Beach, Water Mill, Sagaponack, Sag Harbor, East Quogue, Wainscott, Amagansett…et des magnifiques plages de sable blanc et pur, face à l’Atlantique.

Quelques activités pour s’occuper

Une après-midi plage

Les Hamptons s’étalent sur des dizaines de kilomètres de bord de mer extraordinaires, avec de petites plages individuelles qui promettent des instants de solitude sablée.

On peut notamment retenir la plage de Coopers Beach, connue et reconnue pour le surf et le bodyboard, celle de Foster Memorial Beach, ou aussi appelée Long Beach, aux alentours charmants, celle de Maidstone Park, pour faire de la plongée sous l’œil vigilant et le sifflet précis des lifeguards, ou encore Main Beach, considérée comme l’une des plus belles plages mais souvent envahie par l’élite new yorkaise, et son contraire, Pikes Beach, rarement encombrée et plutôt au calme.



Une balade assez tranquille part de East Hampton pour arriver à Montauk, et voici quelques indications pour éviter de trop fouler l’asphalte de la Route 27. Vous pouvez commencer sur Bluff Road, puis continuer sur Cranberry Hole Road, avant de traverser le Napeague State Park sur une route du même nom. Après un rapide passage sur la Route 27, vous vous en séparez pour continuer sur le Old Montauk Hgwy avec des vues magnifiques sur l’océan, avant d’arriver à votre destination.

Profiter de ce que la nature a de meilleur à offrir

  • Le vin
    Les Hamptons ne font rien comme les autres, ni même faire déguster leur vin. Les différentes exploitations viticoles offrent une tout autre sorte d’expérience, avec des croisières organisées, des DJs à tout bout de champ et des restaurants qui ne vous lâchent pas la grappe en vous présentant les bons vins du terroir.

Vous pouvez notamment visiter Duck Walk Vineyards, Palmer Vineyards, Roanoke Vineyards, Martha Clara Vineyards ou encore Channing Daughters Winery.

  • Les supermarchés
    La région possède également de jolis petits marchés, souvent tenus par les mêmes familles de génération en génération. Beaucoup d’entre elles ont opté pour une agriculture bio, et étalent leurs fierté sur leurs stands.

Les Hamptons sont environ a 180 kilomètres de Manhattan, et le trajet en voiture peut durer entre 2h30 et… 5h.  

En bus

En train Le Long Island Railroad (Montauk ligne) est souvent plus rapide et moins cher.  


domenica 21 agosto 2022

Tra Imola e Monza, Ferrari, Lamborghini e F1, l'incredibile percorso del manager gentiluomo Stefano Domenicali




Ho conosciuto Stefano Domenicali guardando un programma su di lui intitolato "Pensa in grande" su Mediaset.

Mi hanno soprattutto colpito il suo sorriso, i suoi modi semplici e la sua allure elegante.

L'amore per la bellissima moglie Silvia e i due figli, il suo stretto legame  con i genitori (li chiama ogni mattina alle 7 e mezzo) la lunga e fedele amicizia con la cantante Laura Pausini, romagnola come lui, rivelano i suoi valori.




E' un top manager determinato, leale, solare, ottimista, positivo, con una grande capacità di ascolto, un enorme rispetto delle persone.

Il suo metodo è "fare squadra" per creare le competenze e pensare in grande.



Nasce a Imola, in Romagna, nel 1965, figlio di Francesca e Domenico Domenicali. 

Dopo gli studi in Economia e Commercio all’Università di Bologna, Stefano Domenicali inizia la sua carriera professionale nel 1991 in Ferrari lavorando nel comparto amministrativo dell'azienda dove si occupa dei rapporti interni con Fiat e in seguito alla Squadra Corse dove segue lo sviluppo del circuito del Mugello.

Nel 1995 diventa capo del personale della Gestione Sportiva, gestendo anche le sponsorizzazioni e alla fine del 1996 è Team Manager.

Dal 2002 fino al 2007 è Direttore Sportivo, dal 1º gennaio 2008 ricopre il ruolo di Team Principal della Scuderia Ferrari, andando a sostituire Jean Todt, nel frattempo promosso alla carica di amministratore delegato di Ferrari.

Nel 2011 sposa a Monza il suo grande amore Silvia Colombo, nata a Monza (lui di Imola, lei di Monza :coincidenza straordinaria!) conosciuta nella squadra Ferrari e figlia del celebre fotografo sportivo Ercole Colombo.






Il 14 aprile 2014 rassegna le dimissioni in quello che è stato definito l'annus horribilis della Scuderia Ferrari; a prendere il suo posto è Marco Mattiacci. 

Nel novembre dello stesso anno entra in Audi AG come Vicepresidente New Business Initiatives.
Nel febbraio 2016 viene nominato presidente e amministratore delegato di Lamborghini.



Con la gestione di Stefano Domenicali la Lamborghini raggiunge e supera una serie di traguardi significativi nel 2017 supera il miliardo di fatturato nel 2018 lancia il Super SUV Urus e il fatturato cresce del 40% raggiungendo 1,42 miliardi. Le vendite crescono del 51% rispetto all'anno precedente. Infine nel 2019 le vendite incrementano del 43%, raggiungendo le 8.205 vetture consegnate.



Il 25 settembre 2020 viene nominato presidente e amministratore delegato della Formula 1.

Dal gennaio 2021 è Presidente e Amministratore Delegato di F1.





venerdì 19 agosto 2022

J'adore la lampe Pipistrello de la designer italienne Gae Aulenti!



Conçue par l'architecte italienne Gae Aulenti, cet objet culte inspiré de l'Art Nouveau trouve plus que jamais sa place au sein d'un habitat design et moderne.

La chauve-souris du design
Objet culte du design, la Pipistrello doit son succès tant à sa forme inédite, qu'à sa créatrice, 
Gae Aulenti
Pionnière géniale et touche à tout, Gae Aulenti est une des premières femmes italiennes architecte (diplômée en 1954 au Politecnico de Milan.) 
Ensuite, elle est tour à tour, rédactrice et graphiste pour le magazine 
Casabella-Continuità. 
Puis elle enseigne en tant qu'assistante en composition architecturale à l'
Université de Venise
Elle se spécialise en aménagement et décoration d'intérieur (habitations privées et magasins) et participe dans les années soixante au mouvement Néoliberty, dans la foulée duquel elle réalise le fauteuil à bascule Sgarsul (1962) et le fauteuil de jardin Locus Solus (1964) produits tous deux par Poltrona. Lors de la 13ème biennale d'architecture de Milan en 1964, c'est à elle qu'est confiée la responsabilité du pavillon italien.
Pendant sa formation, elle travaille avec Gio Ponti, lui-même disciple de Le Corbusier. Elle influence les designers qui commence a exercé dans les années soixante. 
Elle travaille en tant que designer, créant des lampes, du mobilier…dont la celèbre Pipistrello
En 1970, elle collabore à la chaîne de magasins "Prisunic", tout comme D. Fayolle et A. Putman. 
Elle intervient aussi auprès de la Maison Hermès et des espaces d'exposition de Knoll (New-York et Boston.) 
Du particulier vers les musées, Gae Aulenti s'illustre en 1986 en restructurant le Musée d'Orsay. 
On lui doit également l'aménagement du Musée National d'Art Moderne au centre Pompidou. 
Plus récemment, elle collabore avec Piero Castiglioni et I Guzzini sur le projet de restructuration des Ecuries du Quirinal à Rome.

Pipistrello
Cette lampe avec son abat-jour aux formes onduleuses ressemble à une chauve-souris, en italien "Pipistrello". 
Lampe de table ou de sol, elle s'intègre avec élégance dans les univers décoratifs. Un système télescopique en acier inoxydable permet de régler sa hauteur (66 à 86 cm.) Le diffuseur est en méthacrylate blanc opale et la base en métal laqué blanc ou marron foncé. 

Cet objet mythique est exposé notamment au musée du Métropolitan de New-York. 

Alain Delon et Romy Schneider dans le film "La Piscine". Saint Tropez, une villa et le mobilier de Gae Aulenti.

Dans le film La Piscine il n'y a pas que la beauté et la sensualité du couple Alain Delon et Romy Schneider.


Ce film de 1969 est apprecié par les passionnés de design.

En effet on y aperçoit le splendide mobilier de jardin Locus Solus de la designer italienne Gae Aulenti.


Ce film  de Jacques Deray a une distribution prestigeuse qui réunit 
Alain Delon, Romy Schneider et Jane Birkin


Il met en scène Jean-Paul (
Alain Delon), un publicitaire, et son épouse Marianne (Romy Schneider) qui profitent de la vie dans une superbe villa avec piscine. 

L’arrivée d’Harry, (Maurice Ronet) un vieil ami du couple, accompagné par sa fille de 18 ans (Jane Birkin) va entraîner le quatuor dans une spirale de séduction, de jalousie et de non-dits qui les portera inexorablement vers une fin tragique.

Ce film a inspiré à Luca Guadagnino son Bigger Splash. 


Qui n'a pas rêvé du corps musclé d'Alain Delon ou des yeux de Romy Schneider dans le film culte La Piscine 
Qui sait, en revanche, que le mobilier qui entoure la piscine a été dessiné par la non moins célèbre Gae Aulenti

Si elle est plus connue en France pour avoir réhabilité le Musée d'Orsay et le Centre Pompidou dans les années 80, Gaetana Aulenti a également été à l'origine d'un grand nombre de pièces, aujourd'hui considérées comme des objets cultes du XXème siècle, à l'image de la lampe Pipistrello, aux accents "art nouveau".
C'est en 1964 que l'architecte et scénographe italienne Gae Aulenti crée "Locus Solus", la série de meubles de jardin immortalisée par Jacques Deray cinq ans après. 
Editée par Poltrona en 1965, elle vaut à Gae Aulenti un prix à la Triennale du design de Milan. 
Les meubles qui entourent la Piscine du film sont ornés de motifs ronds orange et bleus, mais la collection toute en courbes a été produite en plusieurs coloris.



Les meubles qui entourent la piscine du film sont ornés de motifs ronds orange et bleus, mais la collection toute en courbes a été produite en plusieurs coloris.

giovedì 18 agosto 2022

Le vrai luxe ! Le mythique palace du cap D'Antibes, l' Hotel du Cap Eden Roc.

 

Niché dans un parc de pins centenaires, cet élégant bâtiment de style Napoléon III domine le littoral et jouit de vues imprenables sur la Méditerranée et les îles de Lérins.
 


Ouvert en 1889, il accueille depuis plus d’un siècle les grands de ce monde. 

Il est constitué de l’Hôtel du Cap installé dans la bâtisse napoléonienne, du Pavillon Eden-Roc et du bâtiment « Les deux Fontaines » et possède 118 chambres et suites luxueuses et élégantes, toutes différentes.





De style classique, les chambres présentent toutes les technologies modernes et des salles de bains en marbre beige. 


Dans ce lieu d'exception, 2 restaurants offrent de savoureuses découvertes gastronomiques que l’on déguste, suspendu entre ciel et mer avec une vue époustouflante sur les îles de Lérins et les reliefs de l’Esterel. 



L’Eden-Roc accueille également une piscine d’eau de mer, creusée dans le rocher, 5 courts de tennis, des terrains de pétanque, un spa et son espace fitness et met un luxueux hors bord Riva et deux autres bateaux à disposition.







Si Cannes est aujourd’hui symbole de strass, de tapis rouge et de paillettes, il n’en a pas toujours été ainsi. 

Protégé par les collines et le massif de l’Estérel, Cannes a longtemps été qu’un petit port de pêche.

Charmant village au XIXe siècle, il connaît la notoriété grâce àLord Brougham, Grand Chancelier d'Angleterre, tombé amoureux du lieu. 

Très influent à la cour, sa présence attire à Cannes toute l’aristocratie européenne qui y fait bâtir palaces et résidences bourgeoises. 

C’est à cette époque que naît l’un des hôtels les plus prestigieux de la côte d’Azur, l'Hôtel du Cap-Eden-Roc.

Inauguré en 1870, sous le nom de Villa Soleil, en tant que refuge pour écrivains, il devint hôtel en 1889 sous l’impulsion d’Antoine Sella. 


Artistes et écrivains en font leur lieu de prédilection sur la côte d’Azur, bientôt rejoints par l’aristocratie, puis les stars de cinéma.

Acheté par la famille Oetker en 1970, il devient un palace avec tout le confort et le luxe digne de son rang. 

En 2007, engageant un budget de plus de 45 millions, il est à nouveau entièrement rénové. Aujourd’hui, le palace est constitué de l’Hôtel du Cap, installé dans la bâtisse napoléonienne qui n’a jamais changé d’aspect, du Pavillon Eden-Roc qui surplombe la mer, et du bâtiment " Les deux Fontaines"

Les 118 chambres et suites sont toutes différentes mais dans toute règne la même atmosphère chaleureuse et cosy. 



Maja Oetker, en charge de la décoration, a tenu à ce que chacune soit personnalisée. De style classique, elles présentent toutes les technologies modernes comme ce service d’appel « femme de chambre-valet-room service » qui permet de faire intervenir le service concerné dans la minute, et des salles de bains en marbre beige.

Summum du luxe, la Suite Eden Roc, somptueuse, possède un jardin paysager ainsi qu’un jacuzzi sur sa terrasse de 250 m2.

Et pour s'isoler encore plus, ou même recevoir des amis, l’Eden Roc possède, dans son immense parc, 3 somptueuses villas avec piscine où un majordome se tient à disposition 24 heures sur 24.


Creusée dans le rocher en 1914, la piscine d’eau de mer surplombe la Méditerranée, comme les 33 cabanes aménagées non loin. 

Somptueux refuges offrant intimité et sérénité, ces constructions de bois sont à réserver pour la journée. L’été, un service de restauration est mis en place assurant ainsi de véritables instants de détente.

Dans l’une d’elle se cache « la Spa Suite » où l’on prodigue des soins du corps dans une tranquillité absolue.

Dans ce lieu d'exception, 2 restaurants offrent de savoureuses découvertes gastronomiques.Pour ceux qui sont toute la journée à la piscine, le Grill & Lounge, orchestré par le talentueux duo Hervé Buisson et Nicolas Marcon, propose tapas, sushis et de délicieuses grillades. 



Quant au restaurant l’Eden Roc, dirigé par Arnaud Poëtte depuis plus de 30 ans, il propose des plats devenus célèbres comme le « loup de mer rôti façon Eden Roc au basilic » ou le « steak Diane, flambé devant vous ». 


On y déjeune suspendu entre ciel et mer au-dessus de la côte rocheuse avec une vue époustouflante sur les îles de Lérins et les reliefs de l’Esterel.



Pour parfaire ce portrait idyllique, l’Eden Roc accueille également 5 courts de tennis en terre battue, des terrains de pétanque, un spa et son espace fitness et, si l’on préfère les balades en mer, le palace met un luxueux  Riva et deux autres bateaux à disposition.



Dernier passage obligatoire dans cette résidence somptueuse : la chocolaterie qui crée chaque année de nouvelles saveurs.

Caché des regards à l’intérieur de ce parc de 9 hectars, l'Hôtel du Cap-Eden-Roc est un véritable jardin d'Eden où confidentialité, luxe et charme se conjuguent à la perfection.



















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