qui e là cerco news nei campi che mi piacciono e che spero vi interessino..
un blog ou il est question de mode, de théâtre, d'actualité en France et en Italie
Charlotte D'Ornellas tranche dans le paysage médiatique contemporain par son ton direct, de même que par ses positions à contre-courant sur l’actualité géopolitique, notamment au sujet du conflit syrien.
D'origine noble, Charlotte D'Ornellas est née en 1986 dans une famille catholique pratiquante originaire d'Orléans (où elle fréquente Adélaïde Pouchol, la future porte-parole de la Marche pour la vie). Charlotte d'Ornellas est la niècede l' Archevêque de Rennes, Monseigneur Pierre d'Ornellas.
Diplômée de l’institut de philosophie comparée (licence en philosophie et en psychologie) et de l’Institut Français de journalisme (filière au sein de la FACO Paris) elle est journaliste à Valeurs Actuelles, FamilleChrétienne, pour le site Boulevard Voltaire,(fondé par Robert Ménard) et pour les revues catholiques Aleteia et Présent.
Elle a également été chroniqueuse sur Radio Courtoisie et TV Libertés, et intervient régulièrement dans l’émission Les informés sur France Info.
Ses publications concernent en particulier les questions d’identité, la bioéthique et les populismes.
Charlotte d’Ornellas s’annonce elle-même catholique et de droite.
Elle revendique un journalisme d’opinion et critique la neutralité annoncée par la majorité des journalistes actuels, qu’elle considère impossible dans la mesure où écrire suppose de mettre en jeu sa subjectivité, quelle que soit la qualité des informations exposées.
Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles, la décrit comme « brillantissime », convaincante et très pédagogue.
En 2016, elle publie "Ne nous laissez pas disparaître, un cri au service de la paix" un livre d’entretien avec le patriarche de l'Église catholique melkite de 2000 à 2017 Grégoire III Laham. Dans ce livre il relate son parcours ; sa mission en Terre Sainte ; la guerre en Syrie, son pays natal ; la question des réfugiés ; la coexistence entre chrétiens et musulmans.
Charlotte d’Ornellasest membre de l’association SOS Chrétiens d’Orient, organisation visant à aider et soutenir les chrétiens persécutés au Moyen-Orient (missions permanentes en Syrie, au Liban, en Irak et en Jordanie).
Elle intervient en tant qu'éditorialiste dans L'heure des Pros aux côtés de Pascal Praud. Elle est également intervenue sur Radio Courtoisie, TV Libertés et sur BFM TV.
Brune, jeune, très jolie, brillante, très active dans les médias et sur les reseaux sociaux, elle est très mysterieuse sur sa vie privée.
J'aime bien la journaliste Gabrielle Cluzel, son style, son intelligence et ses valeurs.
Née le 9 mars ( sous le signe du poisson comme moi) 1971, Gabrielle Cluzelest une journaliste qui occupe
actuellement le poste de rédactrice en chef du site d’actualité Boulevard
Voltaire.
Son exposition médiatique s’est
vue accroître ces dernières années à travers ses interventions comme
chroniqueuse radio et éditorialiste à la télévision, notamment à
CNews.
Française, son père est médecin militaire et sa mère artiste passée par l’école des Beaux-arts, Gabrielle Cluzel grandit dans un cadre familial dicté par les valeurs catholiques.
Elle se passionne pour la littérature dès l’adolescence et passe de nombreuses heures plongée dans les livres de la bibliothèque familiale.
Ses études vont l’éloigner des lettres, entre l’obtention d’un Bac scientifique et la réalisation d’une formation en finances à l’université Paris Dauphine.
Une voie qui ne va pas lui correspondre et dont elle va se détacher dans ses futurs choix professionnels.
Gabrielle Cluzel connaît sa première expérience professionnelle au sein d’un cabinet de recrutement.
Signe de son tâtonnement pour trouver son orientation de carrière, elle se reconvertit par la suite dans l’enseignement.
Mais l’appel de l’écriture est trop fort, c’est donc tout naturellement qu’elle va se tourner vers le roman et le journalisme.
Sa nouvelle vie d’auteur démarre dès 2003 avec le recueil de nouvelles Rien de grave.
Elle enchaîne très rapidement avec un deuxième recueil baptisé Un soupçon d’imprévu, publié en 2005.
Ce dernier reçoit un très bon accueil critique de la profession, ce qui vaut à Gabrielle Cluzel d’être lauréate du Prix Renaissance en 2006.
Ce succès l’encourage à poursuivre sa carrière en ce sens, même si son prochain ouvrage va se faire attendre pendant plusieurs années avant de voir le jour en 2013.
Le roman Méfiez-vous de la France bien élevée ! traduit les valeurs ancrées en elle, celles d’un catholicisme puritain en réponse à la loi sur le mariage homosexuel et la “Manif pour tous” qui animent les débats publics en cette année 2013.
La plume est raffinée, le ton est humoristique, mais le propos fait polémique.
Gabrielle Cluzel assume pleinement ses positions conservatrices avec une opinion à contre-courant de l’idéologie sociétale du moment, ce qui lui vaut une reconnaissance médiatique.
Son quatrième roman, Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme, publié en 2016, s’attaque quant à lui au féminisme contemporain.
Encore une fois la plume est saluée à travers un style soigné et décalé mais le contenu prête à débat dans un espace médiatique occupé par les actions et déclarations, parfois extrêmes, des féministes radicales.
Le cinquième livre,Enracinés ! Nous sommes tous des héritiers, datant de 2020, fait écho à ses racines.
Elle y défend ainsi la bourgeoisie catholique de province, un combat très personnel propre à ses origines.
Cet ouvrage lui vaut le premier prix des lecteurs de la presse française libre décerné par le quotidien catholique Présent.
En parallèle de sa passion pour le roman, Gabrielle Cluzel va s’épanouir professionnellement en tant que journaliste.
Cette deuxième carrière débute par des articles dans la rubrique “Femmes et famille” de la revue Monde & Vie et se poursuit par la chronique “Sur le vif” dans le magazine Famille chrétienne, un espace d’expression créé spécifiquement pour elle.
Elle ne va cependant pas limiter ses tribunes d’expression aux médias dit catholiques.
Pour aborder ses thématiques de cœur, les femmes et la famille, elle va profiter d’un créneau sur Radio Courtoisie : le Libre journal de la famille et de l’éducation.
Elle anime de 2010 à 2017 l’émission avec pour thèmes l’actualité relative à ses sujets de prédilection mais aussi des analyses politiques de manière plus globale.
Gabrielle Cluzel complète son travail journalistique via des éditos et articles d’actualités rédigés pour Valeurs Actuelles, mais aussi pour le site Boulevard Voltaire où elle va s’imposer comme un membre prépondérant.
Le site d’actualité Boulevard Voltaire est fondé parRobert Ménard, son épouse Emmanuelle Duverger-Ménard et Dominique Jamet.
Lancé en 2012, le site apparaît comme un blog d’information sans pour autant répondre au cadre professionnel d’un service de presse en ligne.
Cependant, le site attire de nombreux utilisateurs dès son lancement.
Gabrielle Cluzel, quant à elle, participe dès les prémices du projet en tant que contributrice.
Les fondateurs vont quitter l’aventure un à un, pour se diriger vers d’autres projets, mais Gabrielle Cluzel va poursuivre son investissement au sein du média.
Robert Ménard se détache du projet en 2014 pour remplir son rôle de maire de Béziers, Dominique Jamet démissionne en 2016 à la suite de désaccords au niveau de la ligne éditoriale et Emmanuelle Ménard quitte ses fonctions de directrice de la rédaction en 2017 pour honorer son mandat de députée.
Gabrielle Cluzel prend la succession de Emmanuelle Menard dès 2017 avec pour objectif de professionnaliser le média afin de répondre aux standards de la Commission paritaire des publications et des agences de presse.
Cette nouvelle fonction lui apporte une médiatisation nouvelle avec des invitations télé en tant qu’éditorialiste et une présence radio comme chroniqueuse.
Sa nouvelle notoriété se traduit par des invitations dans des émissions télévisées sur CNews et LCI.
Son regard sur la société, son humour et sa répartie font mouche pour faire vivre des débats animés contre ses détracteurs ou des intervenants avec des opinions aux antipodes de ses croyances.
Depuis 2021, elle revient dans le paysage de la radio française en intégrant l’équipe de chroniqueurs d’Europe 1.
Cette exposition accrue s’accompagne des mauvais côtés des jeux médiatiques.
Gabrielle Cluzel est victime d’insultes et de menaces de mort par un inconnu, le 10 juillet 2022 à Versailles, alors qu’elle faisait ses courses en présence de ses enfants. Le responsable de l’agression l’a reconnu avant de l’injurier en raison de ses prétendues orientations de pensée.
Mère de famille nombreuse, catholique, Gabrielle Cluzel revendique ses prises de position très conservatrices sur les questions de société autour de la famille.
Présente dans des médias dits catholique, comme Monde & Vie et Famille chrétienne, Gabrielle Cluzel partage les positions de l’église sur des sujets comme le mariage homosexuel ou l’IVG.
Si elle n’apporte pas son soutien public à un parti politique, Gabrielle Cluzel est catégorisée comme une personnalité proche des mouvances de droite en raison des différents médias pour lesquels elle prête sa plume.
Sans se déclarer comme un soutien à la candidature de Laurence Trochu aux élections législatives pour la circonscription de Versailles sous la bannière Reconquête !, elle ne tarit cependant pas d’éloges pour dresser le portrait de cette dernière qui partage sa philosophie autour du conservatisme.
La journaliste est très discrète sur sa vie privée. Il est de notoriété publique qu’elle est mère de sept enfants.
En tant que catholique convaincue, la famille est sacrée pour elle.
On ne connait pas le nom de son mari, qu'elle a rencontré à l'âge de 19 ans. qui est le père de ses sept enfants et qui joue un rôle prépondérant dans l’équilibre familial.
Lo diceva agli amici ascoltando Mozart, lo scriveva nelle lettere alla figlia: gli bastava solo immaginare il cielo sopra Firenze per sentirsi “mezzo ubriaco”.
Siamo nel 1921.
Albert Einstein ha quarantadue anni, le sue teorie hanno spinto la fisica verso nuove dimensioni, garantendogli una fama che probabilmente nemmeno si aspettava.
C’è il premio Nobel nel destino - la consegna avverrà l’anno successivo - e, nel frattempo, piovono inviti a tenere lezioni in tutta Europa.
Una delle conferenze è prevista a Bologna e se in altri casi Einstein valuta l’opportunità con scrupolo, stavolta non ci pensa un istante.
«Ho trascorso molti anni della mia adolescenza in Italia e ho sempre ricordato il vostro paese con nostalgia, pertanto accetto volentieri», è la risposta.
Partirà per l’Italia e ne approfitterà per incontrare la sorella minore, Maja, da poco trasferita a Firenze, prima a Fiesole e poi a Sesto. Einstein arriva in città in treno, il 18 ottobre, un martedì, insieme al figlio diciassettenne, Hans Albert.
Resterà quattro giorni, il tempo di lunghe passeggiate nelle strade del centro, poche serate a suonare il violino dopo cena, una cartolina di Palazzo Vecchio spedita all’estero, l’acquisto della riproduzione di un ritratto di Michelangelo da esporre accanto a quelli di Newton e Schopenhauer, su una parete dello studiolo nella casa di campagna di Caputh, vicino a Potsdam. Ecco: così inizia il legame tra Albert Einstein e Firenze.
Albert Einstein
Un intreccio di passioni e sentimenti, fatalità e leggende che ancora oggi, esattamente cento anni dopo, resiste nella memoria dei racconti tramandati e nelle carte degli archivi.
Emblema della storia, un Blüthner a coda, costruito a Lipsia alla fine dell’Ottocento, regalo di Albert alla sorella Maja, dal 2016 custodito nella biblioteca dell’Osservatorio astrofisico di Arcetri. In quel pianoforte, lungo e nero, risiede l’ombra di intere generazioni segnate dalle ferite del Novecento.
Marco Ciardi, professore ordinario di storia della scienza al dipartimento di Lettere e filosofia, da luglio direttore del Museo Galileo di Firenze, e Antonella Gasperini, responsabile del Servizio biblioteche e musei dell’Istituto nazionale di Astrofisica, da lì sono partiti per il loro libro: “Il pianoforte di Einstein” (Hoepli), appunto.
Vite e storie in bilico tra Firenze, Europa e America, recita il sottotitolo del saggio, cristallizzando in poche parole una ricerca minuziosa condotta con lo scrupolo degli scienziati e il gusto del racconto degli storici.
«C’è chi dice che Einstein abbia passato più tempo a suonare il violino che a studiare fisica», sorride Ciardi, svelando il primo tassello del mosaico ricomposto intorno alla figura del premio Nobel.
Einstein amava la musica, così come l’intera famiglia della borghesia benestante ebraica tedesca, a cominciare dalla madre, una discreta pianista.
Anche Albert, pur preferendo il violino, di tanto in tanto si sedeva al piano.
Lo aiutava a riflettere, diceva. Come se una Sonata in Si bemolle fosse il miglior espediente possibile per risolvere passaggi delle sue teorie che parevano sfuggire via.
Del resto, «penso spesso in musica, vivo le mie fantasie in musica» è scritto in una sua intervista al Saturday Evening Post.
Mozart era il suo musicista prediletto, la tradizione e la precisione dell’universo anteposte alle avanguardie che in quegli anni tracciavano audaci orizzonti.
Una regolarità che, però, finisce per incrinarsi sullo stesso pianoforte, feticcio di un passato mai passato veramente e attraversato da tragedie sfiorate, vissute.
Perché se è vero che la musica tiene insieme la comunità di artisti della casa di Maja alla quale Einstein resterà fedele per sempre, sarà la grande Storia a scompaginare l’Arcadia tra gli ulivi della campagna fiorentina, lasciando una scia di dolore e rimpianto.
Non sono miti, ma incubi, quelli che invece avvolgono la seconda parte della storia del pianoforte e di tutto ciò che orbitava attorno.
Scriveva Maja pensando al Blüthner in una delle tante lettere ritrovate da Ciardi e Gasperini: «Se tu sentissi come suona…non me lo sarei mai sognato…».
Un entusiasmo che ad Albert Einstein non può temperare l’angoscia crescente. L’avvento di Hitler al potere, l’ostilità che diventa persecuzione, il piano inclinato sul quale stava scivolando l’Europa, rendono Einstein sempre più preoccupato.
Non gli piace quello a cui sta assistendo in Germania e nell’amata Italia, dove Mussolini obbliga i professori dell’università a giurare fedeltà al regime fascista.
Ma niente può, se non temere per sé e il suo mondo. Non gli resta che trasferirsi in America, a Princeton, dove sarà raggiunto dalla sorella Maja, costretta a lasciare l’Italia a causa delle leggi razziali.
Siamo agli inizi del febbraio 1939, un venerdì sera.
Maja scrive per l’ultima volta a un’amica annunciando per la domenica successiva una festa di addio.
Una cena che cancella ogni illusione del cenacolo di Samos travolto da prospettive incerte, cupe.
Gli artisti lasciano l’Italia per gli Stati Uniti e il pianoforte passa di mano, affidato da Maja a un artista tedesco che aveva scelto Firenze come rifugio: Hans Joachim Staude, musicista ma soprattutto pittore.
Ricorda nel libro, Angela Terzani Staude, la figlia di Hans Joachim: «Quel Blüthner è stato l’anima di casa nostra.
Al tramonto, nel grande salone che in suo onore chiamavamo la “sala della musica”, lo si vedeva controluce, davanti ai poderi di Marignolle».
Lì è rimasto fino a quando Francesco Palla, il direttore dell’Osservatorio dal 2005 al 2011, si adoperò per favorirne l’arrivo ad Arcetri.
Un cerchio finalmente chiuso. L’epilogo che, in un certo senso, contiene il viaggio di ogni protagonista dell’epoca.
Altre storie, altre coincidenze, altre relazioni tra Albert Einstein e la “sua” Firenze. Maja riuscirà a salvarsi, la famiglia del cugino Robert, no.
Negli anni della guerra si era ritirato nella campagna di Rignano sull’Arno, sperando di garantirsi una protezione altrove impossibile.
Il 3 agosto 1944 i tedeschi lo rintracciarono e uccisero la moglie e le due figlie di Robert, sopravvissuto ma suicida pochi mesi dopo, il giorno dell’anniversario delle nozze....
Au 5 rue Saint-Merri 75004 Paris, dans le pittoresque quartier du Marais (que j'adore) il y a un lieux magique, original, a decouvrir absolument !
Une patisserie riche de gateaux originaux, macarons, chocolats, sucreries sophistiquées, dans un décor aux tons pastel.
Anaïs Olmer, sa fondatrice, était graphiste avant de se lancer dans la pâtisserie et naturellement son coté artistique se revèle dans ses créations.
Depuis plus de 10 ans Anaïs a mis au point des techniques de pâtisserie uniques pour réaliser les gâteaux les plus fous tout droit sortis de notre imagination.
Chez Bogato, on trouve des gâteaux magnifiques pour accompagner des moments d’exception… ou tout simplement pour terminer un repas en beauté :
« Fini les gâteaux pas rigolos ! Fini les gâteaux trop petits ou trop gros ! Fini les gâteaux moches ! Des gâteaux pour les princesses, pour les pirates, pour les amis des bêtes… Un gâteau « Spiderman » ? Un gâteau « Petshop » ? Pas de panique, la fête restera chic » (source : site web de Bogato).
Des gâteaux magiques aux formes inattendues : un lapin, une lune avec son petit cosmonaute, un livre de contes, le château de la reine Guenièvre, un circuit de voitures, la malle au Trésor… pour une imagination pâtissière sans limite, avec des saveurs classiques ou plus originales, comme ce gâteau d’anniversaire composé de biscuit madeleine, de litchis et de crème jasmin, ou ce magnifique framboisier à la crème Barbapapa !
Les petits gâteaux et sablés ne sont pas en reste, avec les « mini-miam », « petites bouchées délicieusement régressives à picorer ou à dévorer par poignées »… ou les sablés, « pour tous les goûts et toutes les couleurs : des dinosaures pour les hommes de Cromagnon, des escarpins pour Cendrillon, des mini-pièces-montées pour les mini-trucs-à-fêter, des sablés comme vous voulez avec le nom de vos invités, des petits cadeaux à emporter ».
Les services de Bogato sont multiples.
Outre des créations sur-mesure, réalisées à l’occasion de mariage, baptêmes, anniversaires et autres cocktails, Chez Bogato met les petits plats dans les grands pour faire découvrir l’art de la pâtisserie.
Ainsi la boutique propose-t-elle une série d’ateliers, à destination des enfants ou des adultes, sur différentes thèmes :
« Petits gâteaux sous la neige », « Macarons », « Gingerman », « Galette des rois »… Il est possible de réserver un atelier à plusieurs, pour un moment plein de poésie culinaire à vivre entre amis. Une idée originale, aussi, pour un anniversaire d’enfants : « Ils mettront leur tablier pour élaborer d’amusantes petites bouchées, de rutilants cucakes ou encore de très créatifs sablés décorés. Ils repartiront avec leurs petits gâteaux et la recette pour recommencer à la maison ».
Enfin, chez Bogato, c’est aussi une e-boutique présentant une excellente sélection de produits, pour que la fête reste chic jusque dans le choix des confiseries, des moules, des bougies et autres accessoires, et bien sûr de l’art de la table.
L'autre boutique:
Chez Bogato
7 rue Liancourt 75014 Paris 01 40 47 03 51 Tél : 01 40 47 03 51
Nel centro di Milano, nella zona più lussuosa della città, c'è la Via Montenapoleone, che i milanesi chiamano Montenapo.
Lunga 350 metri, tra corso Matteotti e Via Manzoni, fermata metro San Babila, al centro del Quadrilatero della Moda, è stata eletta da stilisti, boutique di lusso, brand internazionali per fare shopping a 5 stelle.
La via e le sue sorelle, via Sant’Andrea, via della Spiga, via Pietro Verri, Via del Gesù, via Santo Spirito, via Borgospesso e via Manzoni, formano sicuramente uno dei luoghi più esclusivi della città e anche uno dei siti più eleganti al mondo.
Purtroppo la situazione delle pavimentazioni stradali e dell’arredo urbano in generale è squallida: carrabile asfaltata male, marciapiedi minuscoli, cartelli stradali messi qua e là, sosta di auto e moto mal studiata.
Via Montenapoleone è considerata un vero e proprio distretto di moda molto importante.
E soprattutto è uno dei luoghi dove si può trovare il meglio del made in Italy, ma è anche stata teatro di importanti avvenimenti storici di Milano.
Infatti, fu protagonista delle gloriose Cinque Giornate di Milano, che vide i patrioti italiani insorgere contro la dominazione austriaca.
Infatti, come è storicamente documentato, era proprio in Via Montenapoleone ad avere la sua sede il coordinamento dal quale partivano gli ordini verso le varie e numerose forze cittadine che fieramente si contrapponevano alle forze austriache. Ma oltre che essere stata al centro dei moti rivoluzionari, Via Montenapoleone ha ospitato, nel tempo, numerosi e illustri personaggi.
Al numero civico 2, ovvero Palazzo Taverna, morì Carlo Porta, uno dei più importanti e famosi poeti milanesi, mentre, al numero 1 visse e morì Tommaso Grossi scrittore e amico sia di Carlo Porta sia di Alessandro Manzoni.
Si tramanda, poi, che proprio in Via Montenapoleone, il grande compositore Giuseppe Verdi avrebbe, nel 1840, composto una delle sue più famose opere, ossia il “Nabucco”.
Oltre che poter annotare un glorioso passato di grande rilevanza storica, questa via milanese vide anche la nascita di cio' che divenne il suo fulgido futuro.
Infatti, tra i primi nomi famosi ad avviare la loro attività troviamo personaggi del calibro di Annibale Cusi, la cui gioielleria divenne la ufficiale fornitrice di Casa Savoia, come pure le gioiellerie Pederzani, Faraone e Buccellati, senza dimenticare che proprio in Via Montenapoleone nel 1929 aprì la coltelleria dei Lorenzi.
Una identità, quindi che affonda le sue origini nel passato. D’altra parte, questa elegante e celebre via di Milano, ancora oggi ospita i più importanti brand al mondo quali, ad esempio, Hermès, Alberta Ferretti, Versace, Prada, Dolce & Gabbana, Armani, Bottega Veneta, Fendi, Louis Vuitton, Dior, Gucci e non solo.
Blitz Ultima Generazione a Palazzo Vecchio: sindaco Nardella blocca attivista!
Il sindaco di Firenze Dario Nardella è intervenuto mentre l’azione degli attivisti di Ultima Generazione era ancora in corso. Il primo cittadino fiorentino si è scaraventato di persona contro uno dei manifestanti e lo ha fermato: “Che caz*o fai, che caz*o fai?”, ha gridato il sindaco, immortalato in un video pubblicato sul web.
Ultima Generazione ha pubblicato una nota su quanto accaduto a Palazzo Vecchio a Firenze:
“Questa mattina verso le 10.30, due cittadini parte della campagna ‘Non paghiamo il fossile’, promossa da Ultima Generazione, Scientist Rebellion e Veglie contro le morti in mare, hanno imbrattato con vernice arancione lavabile l’ingresso di Palazzo della Signoria di Firenze, utilizzando due estintori”. “L’azione di oggi segue la bocciatura in commissione di bilancio del Senato della Repubblica di alcuni emendamenti a un disegno di legge riguardante il taglio di diversi sussidi ambientalmente dannosi (SAD) avvenuta ieri, 16 marzo. Tagli che avrebbero permesso di rendere utilizzabili in tempi brevi circa 500 milioni di euro di fondi, soldi pubblici dei cittadini, impiegabili per mettere in sicurezza il Paese dalla severità delle condizioni siccitose attuali e prossime e per altri investimenti nella conversione ecologica. Allo stesso tempo vediamo la concomitante approvazione del discutibile e datato progetto del ponte sullo stretto di Messina”. “Il Comune di Firenze continua a portare avanti scelte incompatibili con la necessità di ridurre le emissioni inquinanti, dovute all’impiego di fonti di energia fossili, e con quella di sviluppare fonti di energia rinnovabili; perseverando invece a intraprendere scelte assurde, che favoriscono l’aumento di emissioni di CO2, responsabili dell’aumento della temperatura e dell’inasprimento della catastrofe climatica”.
Dal 3 giugno 2014 Dario Nardella è sindaco di Firenze e dal 1º gennaio 2015 è il primo sindaco della sua città metropolitana.
È stato anche deputato alla Camera per il Partito Democratico nella XVII legislatura fino all'elezione a sindaco.
Trascorre gli anni dell'infanzia nella città campana e all'età di 14 anni si trasferisce a Firenze dove nel 1994 ottiene la maturità scientifica presso il "Liceo Scientifico Leonardo Da Vinci",e successivamente nel 1998 si diploma in violino presso il Conservatorio Luigi Cherubini di Firenze, svolgendo fino al 2004 l'attività professionale musicale.
Nel 2005 fonda con il prof. Enzo Cheli, il prof. Leonardo Morlino ed altri amici e colleghi universitari la Fondazione "Eunomia", che attualmente dirige.