sabato 25 dicembre 2010

Pupazzi per Natale..unconventional toys..



Unconventional toys, il must have di Natale per bambini adulti !!

A qualche bimbetto vivace si potranno anche regalare, se non altro come spunto per lezioni di anatomia umana, ma i pupazzi I Heart Gluts, non sono i soliti, innocenti, giochi di peluche, bensì interiora umane!

Dal cervello ai polmoni, passando per reni, pancreas, prostata, vescica, e tutte le ghiandole di cui siamo fatti, I Heart Gluts, coloratissimi e sorridenti, non ne vogliono proprio sapere delle magagne umane!

Qui, tutti gli organi interni rispondono all'appello persino alle fatidiche curiosità infantili sulla sessualità: perché non aiutare la spiegazione con Sexy Gland Set (set delle ghiandole sessuali)?

Le bambole sono brutte non solo quando vengono rifiutate dai bambini o entrano nel cast dei film dell'orrore, ma anche se si chiamano Uglydoll e hanno facce poco raccomandabili, emerse probabilmente nelle sedute psicanalitiche dei loro inventori, gli artisti David Horvath e Sun-Min Kim.

Viola livido e tre gambe, verde bile e un solo occhio, nero e corna eloquenti, oppure rosso sangue e canini per mostruosità in stoffa, deformità animalesche, divertentissime. Da non regalare a bambini che di notte vedono il Babau.

La storia di Treeson è quella del mostro brutto ma buono, che soffre del fatto di non possedere il cuore.
Eppure, un giorno, qualcuno o qualcosa (non si sa) gli ficca un ramo d'albero nel petto.
Senza sentire dolore, Treeson lo lascia lì, perché da allora egli è il figlio degli alberi e in molti si accorgono del suo “cuore”, diventandogli amico.

La brigata di Treeson, disegnata a più mani per Crazy Label è composta da personaggi brutti e irriverenti, tribolati e insoddisfatti, ma buoni.
Proprio come gli adulti.
Anche se sulla bontà c'è qualche dubbio, persino a Natale.

venerdì 24 dicembre 2010

giovedì 23 dicembre 2010

sabato 18 dicembre 2010

La Parisienne d'Ines De La Fressange, "le guide" par excellence




Inès de La Fressange est LA Parisienne par excellence.
Elle a cette élégance et ce côté piquant qu’ont les parisiennes, mais elle a surtout LE style !

Avec son livre « La Parisienne » elle nous conseille.
Dress code de la tenue typique de la parisienne...

La parisienne est un mythe aux quatre coins du monde, qu'on envie et qu'on imite.

Chic, bon goût, charisme, glamour, une pointe de piquant dans les yeux et un caractère exécrable, c’est ça le mythe de la parisienne.

Ne cherchez pas sa plus édifiante représentante ..il s’agit bien évidement d’Inès de La Fressange, l’ex-top modèle égérie de Chanel, le caractère exécrable en moins.


Inès de La Fressange vient de sortir un livre intitulé « La Parisienne » où elle nous donne une foule de conseils et de bons plans pour être à la hauteur de notre réputation de parisienne.

Et c’est bien la mieux placée pour le faire ! Sortez votre rouge à lèvres carmin et suivez meltyFashion dans un voyage au pays du bon goût, zoom sur le look de la parisienne, le look d’Inès bien évidement !

Des couleurs neutres : du blanc, du noir, du gris du nude voire du bleu sage que l’on réveil par un rouge sexy et plein de caractère : voilà la gamme chromatique du look de la parisienne.

La règle d’or c’est « jamais plus de trois couleurs » !
Pour les vêtements, on optera pour le pantalon 7/8 adulé par Audrey Hepburn dans les années 60 qui mettra nos chevilles en valeur.
Il est taille haute et à pinces bien évidement !

Un chemisier en dentelle délicate un brin transparent pour un côté fragile et féminin que l’on prendra couleur crème, c’est le must.

On n’oublie pas la fameuse veste smoking noire, coupée légèrement droite façon boyfriend.
Pour ce qui est des chaussures, ce sera bien entendu des stilettos à plateformes nude pour allonger encore d’avantage la silhouette.
Et oui, évidement, comme toute parisienne qui se respecte, on se perche sur 12 cm de talons !

La parisienne Ines de La Fressange en veste smoking, pantalon 7/8 et lunettes de soleilInès, toujours en couleurs sobres et souvent en noirLes gants en cuirLe sac de dame

La parisienne Ines de La Fressange toute de noir vêtue avec ses gants en cuir et son sac de dameLe bon look tient, en grande partie, aux accessoires. On prend donc grand soin de bien les choisir et de ne pas les accumuler à une quincaillerie de bijoux qui donnera un effet surchargé.

L’élément clef de la parisienne c’est sans conteste le foulard en soie.
Noué au bras, à notre sac à main ou à notre cou façon foulard Hermès , il nous tiendra chaud et nous donnera une classe indiscutable.
A la poubelle la grosse écharpe guenille !

Et pour faire une petite BA mode, on achète le foulard Maje signé par l’une des people qui le proposent comme Gilles Lellouche pour l’opération Mécénat Chirurgie Cardiaque.

Sachez que la parisienne ne sors jamais sans lunettes de soleil pour un côté inaccessible.
Nous vous proposons les Cats de Ray Ban très tendance et rétro à la fois qui vous feront un regard félin.
Pour avoir nos mains délicates au chaud on enfile des gants de conduite en cuir fin gris perforé.
Le sac est bien évidement un sac de dame rigide à boucle dorée pour une allure stricte mais tellement « smart ». Enfin, que serait une parisienne sans le fameux béret en laine noire enfoncé à mi-front ?

Dior ou Chanel : ce sont les marques qui finissent à la perfection le look de la parisienne, côté cosmétiquesOn ne néglige pas le maquillage mais on se la joue en légèreté car on misera tout sur des lèvres rouge carmin, assorties à nos ongles of course.
On choisit son make-up chez Chanel, maison de haute-couture française par excellence qui a longtemps choisi Inès de La Fressange comme égérie, ou chez Dior, mais si on souhaite opter pour un plus petit budget, on fonce sur le site de la marque Gemey Maybelline où l’on trouvera notre bonheur à petits prix.
Nous finirons avec le parfum, élément indissociable de la parisienne que nous achèterons aussi chez Chanel rue de Cambon (pas plus cher et tellement plus chic !). Pour être fraîche et frenchy c’est bien entendu Coco Mademoiselle de Chanel que l’on portera.
A vous de jouer à présent : être parisienne c’est un état d’esprit, donc pas besoin pour cela de vivre à la Capitale. Et on file acheter le livre « La Parisienne » d’Inès de La Fressange , notre nouvelle Bible !

Parigi, Londra, New York : tre stili e tre manuali preziosi





















Siete convinte che Parigi, Londra e New York abbiano lo stesso stile? Sbagliato, sbagliatissimo, la regola è: città che vai, stile che trovi.

Lo raccontano tre preziosi manualetti, scritti da tre donne davvero speciali.


Parigi è: l'arte del décalage, lo sport più praticato dalle "fashion victimes" della Rive Gauche.
E da Ines de la Fressange, celebre mannequin, creatrice di abiti, interior decorator, égérie negli anni ‘80 di Chanel (ora ambasciatrice di Roger Vivier).

L'affascinante Ines ha cercato di spiegare tutti i segreti della “pariginità” nel diario La Parisienne (edizioni Flammarion).

In estrema sintesi: puntare su capi basic di ottima qualità (ma non devono avere l’aria troppo costosa); aggiungere due o tre dettagli folli, imprevedibili; mescolare, assumendosene i rischi.
Vietato mostrare loghi e marchi: lo show off della firma non si fa. Mai.








Londra è: l'elogio dell'eccentricità, la riluttanza a ogni diktat, il genio mixato alla sregolatezza.
Da notare come si veste Luella Bartley, stilista di culto, ex giornalista per l’Evening Standard e per Vogue Uk, compagna alla Saint Martins di Phoebe Philo, designer di Stella McCartney e Giles Deacon.

O, meglio, leggete il suo nuovo libro, Luella's Guide to English Style (edizioni 4th Estate): a dispetto del titolo, non è una guida ma piuttosto un saggio di costume, una panoramica della britishness nella sua totalità, dalle gonne a pieghe al bondage.

Con un unico avvertimento: in guardia dalla moda di massa, rischia di appiattire l'individualità dello stile.




New York è: un dressing impeccabile e ordinato contenente tutti gli abiti e gli accessori fedeli in tutte le taglie, souvenir di momenti belli e tristi..
Chi lo dice? Nina Garcia, una donna di vasta esperienza fashion: già direttore moda delle edizioni Usa di Elle e Marie Claire, è giudice del reality Project Runway, nonché consulente di molti stilisti.
Ha appena dato alle stampe il volumetto The One Hundred, Cento capi e accessori che una donna di classe deve possedere (De Agostini).

C’è tutto, dalle All Star al giubbotto jeans, dal cappotto di cashmere al tubino nero.

Imperdibili le piccole astuzie: come si sceglie la borsa per la vita? Come si aggiorna un classico dell'eleganza (tipo il tailleur)? Niente paura, ve lo dice Nina.

mercoledì 15 dicembre 2010

La foire aux perles du langage professionnel



La langue professionnelle est source d'efficacité entre personnes exerçant le même métier.
Le jargon, qui exprime le savoir et le savoir-faire de l'entreprise, a donc une vraie utilité en termes de rapidité et d'efficacité dans les échanges quotidiens.
A condition toutefois qu'il n'échappe pas du strict cadre d'une spécialité...

La langue professionnelle est source d'efficacité entre personnes exerçant le même métier.

Le jargon, qui exprime le savoir et le savoir-faire de l'entreprise, a donc une vraie utilité en termes de rapidité et d'efficacité dans les échanges quotidiens.

A condition toutefois qu'il n'échappe pas du strict cadre d'une spécialité...

Voici quelques exemples d'expressions plus ou moins savoureuses.

-« Dans le media schedule, pourrais-tu rajouter le reach par target ? » (dans le plan media, pourrais-tu rajouter le taux d'impact par catégorie de cible ? )

-« Tu fit dans le moule » (tu colles à la culture d'entreprise)

-« Je checke si j'ai noté ça sur ma to-do list » (je vérifie si je l'ai noté dans ma liste de choses à faire).

-« Non, je n'ai pas uploadé l'artwork sur le réseau » (non, je n'ai pas téléchargé les graphiques et illustrations)

-« Je te call asap pour te donner un feedback » (je te rappelle dès que possible pour te donner mon avis)

-« Dans l'output de l'analyse, peut-on avoir le split par région et aussi les market shares ? » (dans le relevé d'analyse, peut-on avoir une idée du découpage par région et des données sur les parts de marché)

-« Y'a-t-il un risque client à mutualiser la ressource ? Non, pour lui c'est transparent ! » (Le client verrait-il un inconvénient à ce que nous utilisions la même ressource pour quelqu'un d'autre ? Non, il n'aura aucun moyen de le savoir ! »

-« On a brainstormé sur la propal » (On a réfléchi tous ensemble sur la base de la proposition commerciale)

-« Je reviens vers toi pour valider le MoM » (Je te recontacterai pour vérifier le contenu du compte rendu de réunion -Minute of Meeting)

-« C'est une win-win situation » (c'est une situation gagnant-gagnant)

-« Il y a un fort effet tunnel entre ces deux milestones » (On a peu d'informations sur l'avancement du projet entre ces deux étapes)

-« On a pris l'action, c'est dans le pipe » (On s'en occupe, on attend le résultat)

-« Si on continue à ne pas adresser les issues, on sera incapables de comiter » (A force de ne pas traiter les problèmes, on ne pourra plus prendre d'engagement)

-« Peux-tu me définir l'AS IS et le to be de la future orga ASAP, STP ? ! » (Pourrais-tu me réaliser l'analyse de l'existant puis définir les modalités de la future organisation aussi vite que possible s'il te plaît ?)

Les perles relevées par « Les Echos »

− «Je te forwarde le feedback du client pour updater le pitch avant le call.» (Je te fais suivre la réaction du client afin de mettre à jour la présentation avant la conférence téléphonique)

− «Tu me draftes une réponse ?» (Tu me réponds même sous forme de brouillon ?)

− «La deadline est demain ? OK je te le drafte ASAP, mais ce sera quick and dirty.» (Ah, c'est demain la date limite ? D'accord, je t'envoie quelque chose dès que possible mais je te préviens ce sera brut de fonderie)

− «Pas le temps, j'ai un kick off meeting.» (J'ai une réunion afin de fixer le programme)

− «Les juniors se limitent à faire du box ticking, mais ça coûte tout de même cher au client.» (Les débutants se contentent de cocher des cases...)

− «Cruncher» (Compiler et analyser des tableaux de données)

− « Google-le pour en savoir un peu plus... » (Va chercher des information sur lui sur Google)

− «C'est quick win !» (C'est facile avec des résultats rapides !)

− «Le wording» (La formulation d'une idée)

− «Avec ce niveau de spread, c'est vraiment mal pricé pour ce rating, mais on va tout de même closer le deal.» (Avec ce niveau de volatilité, c'est mal évalué mais on fera quand même l'opération)

− «Lui, c'est un fax partner !» (Un associé d'un cabinet international d'avocats ou d'audit qui, au lieu de «chasser» le client, se contente de traiter les dossiers que lui transmet son réseau international)

− «Tu «m'set» un meeting pour la semaine pro ?» (Tu me planifies une réunion pour la semaine prochaine ?)

− «T'as le numéro des facilities ?» (services généraux)

− «Je te le forwarde, mais... delete !» (Je te le fais suivre mais…détruis tout ensuite !)

− «Ils ont lu la propale, on devrait bientôt implémenter.» (Ils ont lu la proposition commerciale, on va passer à la mise en oeuvre.)

− «Ok, c'est dans le pipe» (c'est en cours)

− A la lecture de la messagerie : «Son «OOF » («out of the office») dit qu'il est «out» (absent) cette semaine.»

Pour les promotions et les rémunérations

− «T'as fait ton annual review ?» (entretien annuel avec un supérieur hiérarchique)

− «Mon n+ 1 me reproche de ne pas assez délivrer.» (Mon supérieur hiérarchique direct me trouve insuffisamment productif.)

− «Cette année, quel que soit le «ratin», y'a pas d'augmentation !» (Le rating est une note attribuée en fin d'année.)

− «Dans mon équipe, je n'ai que des «FA», mais je ne peux pas les récompenser... » (La note FA «fully achiever» correspond à un salarié très performant.)

Pour ajouter vos perles à cette liste, envoyez vos propositions par mail : lesechosweb@lesechos.fr

source : Les Echos

martedì 14 dicembre 2010

A Natale... Panettone di Milano o Pandoro di Verona ?









Sono i due famosi protagonisti della tavola natalizia; forse non tutti ne conoscono però la storia e l’origine del nome.

Parliamo un po' dei due dolci tradizionali che saranno sicuramente presenti durante le feste natalizie.
Per me il dolce di Natle é il Panettone, conosciuto in tutto il mondo.
Meno famoso ma popolare é il Pandoro, originario di Verona, che é presente sopratutto per accompagnare una coppa di spumante durante i pomeriggi in famiglia..


Il panettone è un dolce milanese intorno alla cui origine sono fiorite varie leggende.

Una di queste collega il dolce alla storia del contrastato amore tra Ughetto, falconiere del Duca, e Adalgisa, umile figlia di un fornaio costretta a svolgere vari lavori per aiutare la famiglia in difficoltà in seguito alla perdita di clienti del padre.
Ughetto decide di lavorare come garzone del forno dell’amata; in quell’occasione modificò in parte la ricetta del pane, aggiungendovi il burro, lo zucchero, pezzetti di cedro candito e delle uova.
In seguito il ragazzo decise di preparare un “panettone” speciale per la festa di Natale, integrando la ricetta con dell’uva passita.

Secondo altre fonti, Toni,un panettiere milanese, nel corso di un banchetto bruciò il pane, e per salvarlo lo impastò con uova, zucchero e spezie.
Ecco quindi che venne per caso creata la ricetta del panettone, il “pan del Toni“.




Le origini del Pandoro di Verona sarebbero invece da far risalire al “Pane di Vienna“, un compagno della brioche francese, che veniva preparato in Austria.

Altre fonti citano invece il “pan de oro” , gustato in passato dai ricchi veneziani. Si dice infatti che in Veneto, durante l’epoca rinascimentale, si preparassero dolci ricoperti di foglie in oro zecchino, tra cui appunto il pan de oro.

Secondo un’altra tradizione, infine, Domenico Melegatti depositò il 14 ottobre 1894 il brevetto di un dolce con la sembianza di una stella a otto punte, raffigurata in un quadro del pittore impressionista Angelo Dall’Oca Bianca, pittore .

Due dolci dalla storia affascinante, quindi, che anche quest’anno non mancheranno sulle tavole imbandite per le feste.

Importanti alcune “regole” per riconoscere i Panettoni e i Pandori più saporiti.

Per quanto riguarda il Panettone, la cupola deve essere sia incisa a croce e deve essere priva di tagli.
La crosta deve essere dorata, mentre la pasta deve avere un deciso colore giallo e presentare dei buchi.


Le regole d’oro per riconoscere un buon Pandoro sono invece la pasta di colore giallo deciso ma con alveolature meno evidenti rispetto al panettone.

Importanti anche le indicazioni che la Confartigianato raccomanda di seguire con attenzione al momento dell’acquisto: gli ingredienti riportati nella confezione devono essere esclusivamente farina, uova, zucchero, burro, uva sultanina, frutta candita, lievito naturale, aromi naturali e eventualmente miele, vaniglia e cioccolato




Il panettone è la sfida più difficile e affascinante per un pasticcere”: così dice Stanislao Porzio.
E dobbiamo credergli in considerazione della sua specifica competenza, tradotta in un libro (Il Panettone, Guido Tommasi Editore) e in una manifestazione (Re Panettone), che ha chiuso la sua terza edizione da qualche giorno con trionfo di folla.

Dal contrasto tra la complessità intrinseca del noto dolce natalizio e la sua apparente sobrietà si puo'trarre, nel recente passato, simboliche assonanze col carattere della città.
Ma ormai Milano ha mutato il proprio stile di vita.
E, del resto, lo stesso panettone ha cambiato indirizzo.
O, per meglio dire, lo ha moltiplicato.
Non è più soltanto un prodotto da esportazione che viaggia sui binari privilegiati dei marchi industriali.
Ma un’abitudine radicata nelle pasticcerie artigianali di tutta Italia, da nord a sud, senza preclusioni di campanile.

Facile prevedere che, prima o dopo, lo sconfinamento si estenderà al calendario.
“La mia opinione è che il panettone lo si dovrebbe trovare tutto l’anno, come la pastiera, che era nata anch’essa per una festività, quella pasquale”, dice ancora Porzio il quale, avendo Napoli sul certificato anagrafico, di pastiera se ne intende.

domenica 12 dicembre 2010

Parfums : les familles olfactives












J'ai trouvé un site très sympathique ( www.iloveparfums.com ) qui non seulement vend des parfums à des prix intéressants mais qui en plus est plein de renseignements sur les parfums.
J'ai bien aimé le petit guide sur les famille olfactives..
Voici un extrait :


Sans entrer dans trop de détails, voici quelques notions et quelques termes qui vous permettront de vous y retrouver mieux… ou vous donneront un sujet de conversation dans ce dîner très ennuyeux qui se profile à l’horizon.


Un parfum, ou jus, se distingue avant tout par sa concentration.
Le parfum ou extrait est la variante la plus concentrée en extrait pur : de 15 à 40% du volume total, le reste étant de l’alcool éthylique spécial.

L’eau de parfum, moins concentrée, contient entre 10 et 20% d’extrait, et l’eau de toilette entre 5 et 15%.

Il existe aussi des eaux de cologne (3-8%) et, inaugurées récemment, les eaux légères, avec à peine 3% d’extrait.
Le diapason va ainsi du sillage puissant et envoûtant à un arôme léger et joueur, à peine perceptible.
Selon que vous vous préparez pour la plage ou pour un dîner en tête à tête, vous choisirez différemment.

Les ingrédients d’un parfum varient à l’infini, mais les principales sources restent encore les fleurs, les fruits, l’écorce de bois précieux et d’autres matières végétales comme les racines, les graines, les mousses ou les feuilles.
Des ingrédients d’origine animale comme le musc ou l’ambre gris étaient jadis utilisés, mais ont depuis longtemps été remplacés par des matériaux de synthèse.

Puis, enfin, il y a l’essence du parfum – l’odeur même.
Tout comme la femme, le parfum n’est pas simple et ne dévoile jamais tout dès l’abord.
Il est multiple et changeant. Tout comme la femme, il est différent avec chacun.
Il a ses coups de tête et ses coups de cœur – pardon, ses notes de tête, ses notes de cœur, et ses notes de fond, qui se succèdent harmonieusement.

Chaque parfum a pourtant un caractère dominant et appartient à une famille – à l’exception de quelques célibataires endurcis.

On distingue ainsi les floraux, les boisés, les orientaux, les hespéridés, les fougères, les chyprés et les cuirs.


Les floraux sont élaborés autour d’une ou plusieurs senteurs florales, comme le muguet, l’iris, la rose ou le jasmin…
Lorsqu’une seule fleur domine – comme le muguet dans Diorissimo – on parle d’un soliflore.
Lorsque plusieurs senteurs florales se combinent, on parle d’un bouquet.
Le parfum floral est plein de lumière et de grâce.
L’incontournable Flower de Kenzo, Arpège de Lanvin, J’Adore de Dior

Les boisés, comme leur nom l’indique, sont dominés par des senteurs boisées comme le vétiver (lavande tropicale), le cèdre ou le santal.
Plus secs et plus profonds que les floraux, chauds et puissants, ce sont le plus souvent des parfums d’homme.
Un parfum emblématique : Vétiver de Guerlain.


L’oriental est le parfum de la volupté par excellence.
Lascif et opulent, il évoque le mythe de l’Orient bienheureux avec ses soieries, ses épices, ses joyaux et ses nuits étoilées.
Aussi bien masculin que féminin, il distille des effluves d’encens, de baumes et de résines diverses, auxquelles peuvent s’ajouter des parfums de fleurs, d’épices et de bois.
Le légendaire Shalimar de Guerlain est considéré comme un sommet absolu du genre.
Cette famille très large se sub-divise en plusieurs branches, comme les orientaux boisés (Allure de Chanel), les orientaux épicés (Opium de Saint-Laurent), les orientaux gourmands (Angel de Thierry Mugler)…


Les hespéridés sont frais et légers, aux senteurs d’agrumes et d’herbes fraîches.
Un classique que portent tant femmes qu’hommes, est le Limes Extract de Penhaligon’s, ou encore L’Eau d’Orange Verte d’Hermès.
Savez-vous d’où vient le nom ?
C’était celui des déesses grecques, les Hespérides, qui gardaient le jardin aux pommes d’or de Junon…


La famille des fougères se rapproche des boisés, mais avec davantage de moiteur et de délicatesse, construite sur une base de lavande, de géranium, de coumarine et de mousse de chêne.
Une famille de parfums sobres mais sensuels, à laquelle appartiennent les plus grands parfums pour homme, comme Azzaro pour Homme ou Kouros, mais aussi le légendaire Jicky de Guerlain.
Le nom vient de Fougère Royale – un parfum d’Houbigant créé à la fin du 19ème siècle.


Les chyprés sont un hommage à Chypre, créé en 1917 par Coty.
Les chyprés sont construits autour d’un accord de bérgamote et de fleurs, et qui évoluent vers un fond boisé de mousse de chêne et de patchouli.
C’est Mitsouko de Guerlain, et Polo de Ralph Lauren, c’est aussi, plus récemment, Chance de Chanel ou Diamonds d’Armani.


Les parfums cuir évoquent, comme vous l’aurez deviné, l’odeur du cuir tanné à laquelle se mêlent les parfums de tabac, de miel et de bois.
C’est une famille petite et très typée, portée indifféremment par les femmes et les hommes.
Des parfums qui véhiculent une certaine animalité, plus torrides que sensuels, qui s’imposent violemment.
Cuir de Russie de Chanel, Bandit de Piguet, et récemment – tout en subtilité – Daim Blond de Serge Lutens.>

domenica 5 dicembre 2010

Tout (ou presque) sur le pain Poilâne










Fiche technique de la classique miche Poilâne :
La miche Poilâne est composée de 4 ingrédients : farine de blé broyée à la meule de pierre, du sel de Guérande, du levain et de l’eau.
C’est un pain rond à la croûte épaisse (car il est cuit au feu de bois) signée du P de Poilâne. Sa mie, dense, est de couleur bise ; sa saveur acidulée.
Elle pèse environ 1,9kg




Un peu d'histoire:

En 1932, un jeune boulanger normand monte à Paris ouvrir sa première boutique.
En suivant son intuition, Pierre Poilâne s’implante au 8 de la rue du Cherche-Midi. C’est un ancien faubourg de monastères adopté par les écrivains, les éditeurs et les artistes.
“Un quartier sans avenir”, lui prédit-on. De plus, la concurrence est rude, et c’est la plus petite des cinq boulangeries du coin. Aujourd’hui, c’est la seule.
Grâce à un pain au levain : la miche…

Un pain de tradition paysanne

La miche est un pain de tradition ancestrale en France.
Pierre Poilâne va donc à contre-courant : il mise sur le pain de ses aïeux.
Il s’y tiendra, malgré le goût des Parisiens pour le pain blanc dans les années 50, par opposition au pain noir mangé pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Pour lui, la taille de la miche présente un double avantage : elle se garde longtemps, et on peut y couper de larges tartines.
Pierre Poilâne va s’attacher à choisir des farines de blés broyés exclusivement à la meule de pierre, à utiliser du sel de Guérande, et à cuire son pain au levain dans un four chauffé au bois.

Du bougnat au restaurateur, le premier réseau de revendeurs

Peu à peu, la boulangerie fournit les bougnats qui ouvrent des bistrots à vin pour compléter leur activité de vente de charbon.
Les premières “tartines Poilâne” sont servies par un voisin, Au Sauvignon, rue des Saints-Pères.
Les fromagers suivent. Une affiche fleurit alors dans les bistrots : “Ici, Pain Poilâne, fait au levain, cuit au bois, à la farine moulue aux meules”.
Enfin, les restaurateurs commandent ses miches.
Pierre Poilâne tisse son réseau de revendeurs.

Dans les bagages de Lionel, le pain Poilâne gagne l’étranger

Dans les années 70, Lionel Poilâne reprend l’entreprise familiale.
Il a appris le métier dès ses 14 ans dans le fournil de la rue du Cherche-Midi.
Fort de cette expérience et de ses voyages, il se lance dans l’exportation de son pain à l’étranger.
Il commence par les Etats-Unis.
La réponse est positive. Il organise la livraison.
Au fil de ses pérégrinations, les livraisons s’étendent en Amérique, mais aussi en Asie, au Proche-Orient et en Afrique.
Malgré cette expansion de la production, chaque compagnon boulanger continue de façonner à la main et de cuire ses fournées dans un four à bois.
Lionel Poilâne préfère “l’intention à l’extension”.

Les recherches de Lionel Poilâne autour de la “Rétro-Innovation

En parallèle du développement de sa boulangerie, Lionel Poilâne mène des expériences agronomiques, biologiques, techniques – du blé au moulin, de la farine au pétrin, du levain au four.
Il se tient au courant des recherches technologiques, pour que la Maison Poilâne soit à la pointe de l’innovation.
Il est convaincu que le futur se construit en alliant le meilleur des techniques passées et le meilleur des techniques actuelles. C’est ce qu’il appelle la “Rétro-Innovation”.

Le pain, l’homme, et les choses de la vie

Lionel Poilâne voit en le pain un aliment noble, intimement lié à l’histoire de l’homme.
Sa curiosité le conduit vers tout ce qui indique la place du pain au cœur de la vie, de l’histoire, des civilisations – du passé comme du futur. Il recense les pains régionaux encore fabriqués en France, les sortant de l’oubli. Il rapporte les pains découverts au cours de ses voyages – comme des pains chinois en 1979, qu’il va conserver en inclusions.
Il commence une collection d’outils, de livres et d’œuvres d’art autour du pain. Son métier est sa passion, il souhaite la partager.

Les rencontres

En 1968, Lionel Poilâne rencontre Salvador Dali.
Très vite, l’artiste lui passe commande d’objets réalisés en pain.
Puis, en 1971, il demande une chambre à coucher en pain.
Le propos ? “Savoir s’il y a des souris chez moi” dira Dali, pince-sans-rire.
Lionel Poilâne ouvre ainsi la porte aux demandes d’artistes fascinés par ce matériau : César, les Lalanne, Man Ray, Pat Badani…
Il crée lui-même une cage en pain, cuite brin par brin, dont l’oiseau se nourrit pour s’envoler vers la liberté.

La manufacture aux 24 fours à bois

Les fournils de la rue du Cherche-Midi et du boulevard de Grenelle à Paris ne suffisent plus à répondre à la demande.
Lionel Poilâne dessine avec sa femme – architecte – une manufacture.
Leur défi ? Conserver une fabrication artisanale tout en produisant en quantité importante.
C’est ainsi que naît, au bord d’un champ de blé, une vaste structure ronde qui abrite 24 fours à bois identiques à ceux de ses boutiques.
Chaque boulanger y fabrique ses propres fournées, du pétrissage à la cuisson. De là, part le pain livré à nos revendeurs en France et à l’étranger.

Une boulangerie à Londres

En juin 2000, la Maison Poilâne ouvre sa première boutique à l’étranger, à Londres. Le côté cosmopolite, carrefour de cultures et de gastronomies a séduit Lionel Poilâne. Mais il a fallu deux ans d’efforts pour obtenir l’autorisation d’utiliser un four à bois : l’incendie de la ville, en 1666, était parti d’une boulangerie.

La reprise

Apollonia
a repris la Maison Poilâne en 2002. Elle entend poursuivre et développer le travail de son grand-père et de son père.


Boulangeries Poilâne
8 rue du Cherche-Midi,
Paris 6ème T. +33 (0) 1 45 48 42 59
49 bld de Grenelle,
Paris 15ème
T.+33 (0) 1 45 79 11 49
Ouvert le dimanche
46 Elizabeth Street,
Londres SW1W


CITATIONS sur le pain Poilane
Aimer les gens, c'est comme aimer des clients, il faut simplement leur faire du bon pain. Comme Poilâne, qui est mon héros : ce gars a même réussi récemment à installer un four à bois à Londres où c'est rigoureusement interdit : là je dis chapeau.
Professeur Choron, juin 2000

Poilâne, c'est le Français vivant que je préfère !
Salvador Dali, 1977

Inévitable que l'âne
S'en retourne à son chardon !
Pour moi le pain de Poilâne
De Dieu me paraît un don.
Maurice Fombeure, poête amateur, 1960

The fires of heaven
Are stoked with wood
In an oven below the ground
Where bread is rising,
Certain as the sun and rain,
Bread, my life, born early this morning
At Poilâne.
Pepersmith, a Poilâne bread lover, August 2000

Crois-tu qu'on puisse être bien tendre quand on manque de pain ?
Abbé Prévost (1697-1763), Histoire du Chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut

Le pain est le tuteur de la vie.
J. Smith, (1667-1745)

Conseils ptatiques
Côté conservation
Comment bien conserver nos pains ?
A l’abri de l’humidité, dans un endroit sec, avec assez d’air pour respirer. Vous pouvez laisser nos pains dans nos sacs en papier étudiés pour optimiser la conservation, ou entourer le pain dans un linge, en lin de préférence. Lionel Poilâne a également mis au point une boîte à pain disponible dans nos boutiques et en ligne.

Temps de conservation
Notez que le pain tranché se conserve moins longtemps que le pain non tranché.
La miche Environ 5 jours à compter de la date de fabrication. Au-delà, il est conseillé de la consommer grillée.
Le pain de seigle rond Environ 5 jours à compter de la date de fabrication.
Le pain aux noix Environ 2 jours à compter de la date de fabrication.
Le pavé de seigle aux raisins Environ 2 à 3 jours à compter de la date de fabrication.
Les Punitions® Environ 15 jours à compter de la date de fabrication.
Le pain décoré Environ 5 jours à compter de la date de fabrication. Au delà, il est conseillé de le consommer grillé. Le décor, lui, se conservera bien plus longtemps, surtout si il est verni.


Peut-on mettre la miche Poilâne au congélateur ?
Oui, si on l’enveloppe hermétiquement dans un sac de congélation. Pour congeler une miche entière, la couper en quarts ou en demies. Laisser décongeler à température ambiante.


Conseils d'utilisation
La miche :Fraîche ou toastée,avec les viandes, le saumon fumé, le foie gras, la charcuterie, le fromage ou tartinée de beurre et de miel.
En sandwich ou sous forme de tartine : avec tous types d’aliments.
Le pain de seigle rond :Pain recommandé pour les poissons, fumés ou non, les fruits de mer et la charcuterie fumée.

Le pain aux noix: A marier avec des fromages, type brie, camembert, ainsi qu’avec la salade.
Le pavé de seigle aux raisins Particulièrement recommandé pour les fromages bleus, la confiture, ou avec du beurre au petit déjeuner ou au goûter.

Les Punitions® :Ces sablés se dégustent comme mignardises, avec le thé ou le café. Ils peuvent accompagner un dessert, une glace ou une salade de fruits.
Le pain décoré Le pain décoré peut, au choix, être consommé comme une miche traditionnelle – prendre soin d’enlever le décor avant de couper ou devenir objet décoratif.
A conserver dans un endroit sec.

Je suis allergique. Y a-t il des allergènes dans les produits Poilâne ?
Tous les produits de la gamme Poilâne contiennent du gluten et d'éventuelles traces de fruits à coque (noix).
Le pain aux noix contient du gluten et des morceaux de noix.

Quand couper le pain ?

Au fur et à mesure de vos besoins.
Le pain se conserve en effet moins longtemps une fois tranché

Quel couteau utiliser pour couper le pain?
Un couteau à dents arrondies, pour mieux accrocher la croûte du pain. Nous vous en proposons dans nos boutiques et en ligne.

Quelle est la bonne épaisseur des tranches ?
A chacun son goût, mais l’épaisseur d’un doigt (1 cm) est un juste milieu pour la miche.

Pour les pains aux noix et de seigle, comptez un demi doigt (5mm).
Comment griller la miche Poilâne ?
Utiliser des tranches de pain qui ont quelques jours car le pain frais et/ou chaud supporte mal d’être grillé. Griller les tranches au dernier moment, à l’unilatéral pour conserver le moelleux de la tartine. Enfin, glisser vos tartines dans une serviette en coton ou en lin pour les garder au chaud plus longtemps.

Comment griller des tartines à l’unilatéral dans un toaster traditionnel ?
Insérer deux tranches dos à dos dans le grille-pain.

Voilà, c'est tout ou presque tout..
pour les fans rendez vous sur la page Facebook des "fans du pain Max Poilâne"

sabato 4 dicembre 2010

Flowerbomb c'est une bombe!




Hier dans ma boîte aux lettres j'ai trouvé un paquet avec un echantillon de parfum de Viktor et Rolf," Flowerbomb"..
Aussitot essayé, je suis tombé sous le charme. Il ressemble, en mieux, à Angel !!
J'ai cherché sur la toile et sje suis tombée sur un avis très sympathique et très pertinent, le voilà..


La mode comme le parfum sont une antidote à la réalité, contre laquelle nous n'avons qu'une seule arme : le rêve"

"Un parfum est l'expression la plus sublimée de la personnalité (...), chacun y projette ses folies, son imaginaire. On peut TOUT dire dans un flacon, il permet de capturer l'invisible." VIKTOR & ROLF ( couturiers, créateurs hollandais)
Ces quelques 'citations' en préambule pour vous brancher sur le plus... branché des duos de la mode du moment: les (faux) jumeaux, presque clones: Viktor & Rolf.
V&R sont encore peu connus dans l'hexagone, mais pourtant L'Oréal vient de leur déplier son somptueux tapis rouge pour produire leur parfum perso: "FLOWERBOMB".
Celui-ci a éclos au printemps. tout d'abord dans certains endroits confidentiels mais très chics: Saks à New-York, Colette à Paris. Cet élitiste élixir est arrivé finalement cette semaine dans nos parfumeries.

Bel objet que cette boîte cubique de carton rose très pâle, sanglée d'un ruban noir satiné, bouclée par un énorme sceau de "cire" noire comportant leurs initiales mêlées.
Le flacon, de cristal lourd, luxueusement taillé en diamant figure lui ... une grenade!
(l'arme)

Tiens..cela me rappelle ce livre de Maximilien Laroche:"Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ", connaissez-vous? *fin de la digression*
Je disais donc, le flacon est une grenade prête à être dégoupillée.
Oh ne reculez pas, mais plutôt ........come and see !!!
Regardez....le " jus"est aussi d'un tendre rose. C'est une guerre des fleurs, une guerre pour "de rire" plutôt que pour mourir..!

Créé par trois nez: Carlos Benaïm, Domitille Bertin et le grand Olivier Polge, FLOWERBOMB est un "méchant" floral!
Pas le genre petit-tout timide, un peu bcbg et passe-partout bien frais ...à offrir à belle-maman.
Ce n'est pas un parfum politiquement correct, c'est une BOMBE!
Oh il est doux pourtant, mais doux avec insolence et provocation comme son illustre aîné "Angel". Amusant qu'ils se ressemblent tant d'ailleurs alors qu'Angel avait fait sensation par son parti-pris de composition non-florale (vanille, chocolat, etc) et qu'à l'inverse FLOWERBOMB fait de ses mille fleurs sa profession de foi!

Il est donc doux... mais doux avec puissance!
Il est un peu fruité aussi et surtout mmmh.... infiniment fleuri...
L'effet n'est pas celui d'une chambre de palace où une starlette aurait reçu profusion de bouquets disparates. Non, ici, tout s'enchaîne, se répond, se complète. L'ensemble est structuré, cohérent. La composition d'un parfum relève à la fois de l'art et des mathématiques, évidemment conjugués à une alchimie bien secrète qui fait la patte des plus grands!


A défaut de sa formule , je vous en confie la composition. Il s'échafaude ainsi:
La note de tête part insolemment sur du thé et de la bergamote .
Puis son coeur chavire le nôtre avec sa senteur enivrante de jasmin Sambac, d'orchidée Catleya (....mmmh un parfum proustien... m'étonne que j'adore!) de freesia tout frais cueilli , et surtout de somptueuse rose Centifolia ...
Le fond , quant à lui est extraordinairement lumineux : tout en contraste et clair-obscur mystérieux Il est construit sur un échafaudage fascinant de bois précieux, d' écorce d'oranger, d' osmanthus rêveurs , et surtout de muscs et patchoulis un peu désuets ...

Vous l'aurez compris. J'ai eu un coup de foudre pour cette improbable utopie olfactive, délicieusement délirante et provoc'...
EXPLOSIVE!! , subversive juste ce qu'il faut ..mais finalement bien formatée pour un segment de marché un peu "borderline"par l'Oréal et ses stratèges en marketing .

Tsss voilà que je m'enlève mes illusions moi-même...Un comble ;-]) !!!!!!!!
Le message .......
Au premier degré cela pourrait être que la beauté est une arme.
Au second , il est plus philosophique(?) ...: style un peu message d'amour, de paix ("faites l'amour pas la guerre")comme celui de Benetton à la belle époque. A-t-on envie d'être assez innocent pour y croire?

Pour en revenir au parfum lui-même, car n'est-ce pas : "qu'importe le flacon ..." etc , je vous confie mon feeling perso dans le creux de l'oreille.
Au bout de quelques heures sur la peau, la fragrance atteint bizarrement une note intense, pure et ...métallique comme un acier qu'on aurait poli, frotté jusqu'à l'échauffer.
L'effet, loin d'être froid , est étrangement assez...hot!
Assez fascinante, cette persistance dans la tenue qui finit dans le métal.Rappel du thème de l'arme.
Odeur du fût d'une arme à feu ?

giovedì 2 dicembre 2010

Juliette Buré signe les très parisiens poudriers Bourjois.


La designer Juliette Buré signe la nouvelle collection de mini poudriers Bourjois. Baptisée "Bourjois fête Paris" elle est déclinée autour des monuments parisiens.

Juliette Buré, créatrice de luminaires fantaisistes, prête aujourd'hui ses talents à la marque de cosmétiques Bourjois (groupe Chanel) et relooke les boîtes des fameux blush multicolores de la marque, nés en 1863.

Sur le couvercle des petites boîtes rondes, la designer a ainsi apposé la Tour Eiffel, l’Arc de triomphe, la Bastille, l’Opéra Garnier, et le Sacré Cœur dans des couleurs pétillantes.

A chaque monument, un quartier, et à chaque quartier, une manière différente et légère de vivre la mode et la beauté. Cette série limitée comprend six nuances aux noms évocateurs : Rose coup de foudre, Ambre d'or, Lilas d'or, Rose d'or, Rose ambrée et Rose de jasp.

La collection Bourjois fête Paris sera mise en vente (11,95 €) en avant-première dans les parfumeries Douglas, à partir de novembre 2010, et dans les autres parfumeries, grands magasins, Citymarchés et sur leurs sites internet à partir de janvier 2011.

Led Light Exhibition a Milano. Viva il Led !









Un'onda di luci che parte dal Duomo .. Cinquecento lanterne luminose nei quartieri del Centro e un po' più in là..

Una luna d'argento e un bosco incantato in piazza Fontana, le nuvole su San Babila, nebbia in piazza Cavour, pesci fluo nel Naviglio, una distesa di panni tirati su via Della Spiga...

C'è il sogno di una Milano leggera, fiabesca, nei 60 progetti di light design che dal 4 dicembre al 10 gennaio abbaglieranno strade, piazze, scorci, sculture e porte monumentali della città.

Il Festival della Luce ha un prologo oggi, alle 19, nel Quadrilatero della Moda: l'inaugurazione delle «sfere» di Matteo Thun, in una via Montenapoleone aperta per shopping fino alle 21, apre il lungo Natale di Led.
«È il momento di consegnare queste opere di luce ai milanesi», sorride l'assessore al Decoro urbano, Maurizio Cadeo: «Sarà un successo».

Due progetti, per altro, resteranno nel tempo: i sistemi di illuminazione del Duomo e della Stazione Centrale.

Suggestioni, proiezioni, bagliori, rivisitazioni di monumenti e palazzi.
Contributi di artisti affermati e prove d'esame per gli studenti (Naba e Scuola Politecnica di design).

Questo, anzitutto, è Led: «Una rassegna della creatività migliore», sintetizza Cadeo. La si ritrova nelle silhouette delle guglie del Duomo «ricalcate» sulla Triennale, nella Torre led alzata in via Beltrami (spostata dopo la polemica sul «suk» in piazza Duomo), nell'ironia degli abiti firmati da Fabio Novembre e appesi in via Della Spiga.

E, ancora: scintille sui grattacieli di ieri, su quelli in costruzione.
E segni di nostalgia su Palazzo Carminati: la facciata ritrova per una notte l'omino Brill e la donnina Kores, le insegne al neon di un secolo fa, grazie alle proiezioni di Piero Castiglioni.

L'illuminazione scenografica del Duomo (firmata Castagna & Ravelli e finanziata dalla Fondazione Aem) sarà salutata, l'8 dicembre, da 500 lanterne fluttuanti sulla piazza e un concerto d'organo.
«L'impegno non è nell'effimero.

Ma vuole permettere che questa meraviglia, il Duomo, anche quando è chiuso continui a parlare alla città con le sue vetrate», dice Benigno Visconti Mörling Castiglione, direttore della Veneranda Fabbrica.

L'altra installazione permanente sarà accesa il 13 dicembre, è quella «tra memoria e modernità» progettata da Alain Guilhot per la Stazione Centrale: «Ridiamo visibilità e significato alla porta di Milano».

Infine, le polemica: lasciare o togliere il vestito di led dall'Ago e Filo in Cadorna?
Gae Aulenti ha chiesto al sindaco Moratti di rispettare il monumento: «Un'opera di pregio avvolta come un salsicciotto? È una vergogna».

Durissima la risposta di Cadeo: «Ci sono architetti che sono stati lautamente pagati per il loro lavoro. Ma la città non è loro, è dei milanesi. Provo disgusto e fastidio: ad Aulenti proporrei di darmi la sua parcella, e in cambio le consegno l'Ago e Filo. L'architetto abbia almeno il pudore di tacere».
E lei: «Di fronte a questa volgarità non ho nient'altro da dire, il livello dell'assessore si commenta da sé».

Arriva a Milano da Parigi la "Donna allo specchio "di Tiziano Vecellio





Dal Louvre di Parigi è arrivata «Donna allo specchio», splendida tela di Tiziano Vecellio in prestito temporaneo a Palazzo Marino, che, con Caravaggio nel 2008 e Leonardo nel 2009, consolida l'ormai tradizionale iniziativa che ospita capolavori provenienti da istituzioni straniere, offrendone al pubblico la visione gratuita.

Realizzato dal pittore veneziano tra il 1514 e il 1515, il dipinto entrò a far parte della Galleria dei Gonzaga a Mantova per passare alle collezioni di Carlo I d'Inghilterra ed approdare definitivamente nella raccolta posseduta da Luigi XIV, nucleo del futuro Museo del Louvre.

Giochi di specchi, riflessi e anamorfosi rendono intrigante questa versione di un soggetto molto frequente nella pittura rinascimentale, e realizzato più volte dallo stesso Tiziano, tra virtù e vanitas, bellezza ideale ed allusioni simboliche.

Una dama alla toeletta si acconcia i capelli, con una mano regge una ciocca mentre intinge le dita dell'altra in un vasetto di unguento; accanto a lei una figura maschile le porge due specchi.

Giochi di specchi per la "Donna allo specchio" : il primo davanti alla donna non rivela nulla, restituisce la versione frontale che il pittore già descrive; mentre il secondo, di forma convessa, posto dietro la nuca mostra il retro della figura, aprendo lo spazio alla scenografia della stanza riflessa e dilatata, con una anamorfosi dell'uomo.

Sapienti virtuosismi ottici, dunque, che rendono «a tutto tondo» la visione bidimensionale del dipinto, allargando la conoscenza a dettagli che, senza riflessi, sfuggirebbero allo spettatore, o allora una rappresentazione allegorica della Pittura, in grado di rivelare ciò che all'occhio è invisibile, secondo alcune interpretazioni che tralasciano così di identificare la dama con l'amante di Alfonso d'Este o di Federico Gonzaga o dello stesso artista.

Tiziano. Palazzo Marino, Sala Alessi. Piazza della Scala 2.
Tel. 800.14.96.17.
Orari: 9.30-19.30; gio e sab 11-22.30.
Ingresso libero.
Dal 3 dicembre al 6 gennaio.