martedì 6 ottobre 2009

La cantatrice chauve...



Il est neuf heures du soir‚ dans un intérieur bourgeois de Londres.

M. et Mme Smith ont fini de dîner. M. Smith parcourt son journal. Le couple se répand en propos saugrenus, voire incohérents.Ils évoquent notamment une famille dont tous les membres s’appelent Bobby Watson.
Mary, la bonne, annonce la visite d’un couple ami, les Martin. M et Mme Smith quittent la pièce pour aller s’habiller. Mary fait alors entrer les invités, non sans leur reprocher leur retard.
Les Martin attendent dans le salon des Smith. Ils ne se connaissent apparemment pas.

Le dialogue qui s’engage leur permet pourtant de constater une série de coïncidences curieuses. Ils sont tous deux originaires de Manchester.

Ils ont pris le même train, ont occupé le même wagon et le même compartiment. Ils constatent également qu’ils habitent à Londres, la même rue, le même numéro, le même appartement et qu’ils dorment dans la même chambre. Ils finissent par tomber dans les bras l’un de l’autre en découvrant qu’ils sont mari et femme.
Mary, la bonne, révèle au public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. Elle même confesse d’ailleurs sa véritable identité : "Mon vrai nom est Sherlock Holmes."

Les Martin préfèrent ignorer l’affreuse vérité.
Les Smith reviennent. Les Smith et les Martin parlent pour ne rien dire.

Puis par trois fois on sonne à la porte d’entrée. Mme Smith va ouvrir, mais il n’y a personne. Elle en arrive à cette conclusion paradoxale : "L’expérience nous apprend que lorsqu’on entend sonner à la porte, c’est qu’il n’y a jamais personne".

Un quatrième coup de sonnette retentit. M. Smith va ouvrir. Paraît cette fois le capitaine des pompiers.

Le capitaine des pompiers se plaint alors des incendies qui se font de plus en plus rares.

Puis il se met à raconter des anecdotes incohérentes que les deux couples accueillent avec des commentaires étranges.Réapparaît la bonne, qui souhaite, elle aussi raconter une anecdote. On apprend alors que la bonne et le pompier sont d’anciens amants.

Mary souhaite à tout prix réciter un poème en l’honneur du capitaine. Sur l’insistance des Martin on lui laisse la parole, puis on la pousse hors de la pièce. Le pompier prend alors congé en invoquant un incendie qui est prévu. Avant de sortir il demande des nouvelles de la cantatrice chauve.

Les invités ont un silence gêné puis Mme Smith répond : "Elle se coiffe toujours de la même façon".Les Smith et les Martin reprennent leur place et échangent une série de phrases dépourvues de toute logique.Ils finissent par tous répéter la même phrase : "C’est pas par là, c’est par ici !" Ils quittent alors la scène, en hurlant dans l’obscurité.La lumière revient. M. et Mme Martin sont assis à la place des Smith.

Ils reprennent les répliques de la première scène. La pièce semble recommencer. Puis le rideau se ferme lentement.

domenica 4 ottobre 2009

Manifestation pour la liberté de la presse en Italie







Des dizaines, voire des centaines de milliers de manifestants étaient attendus, samedi après-midi 3 octobre 2009, Piazza del Popolo, à Rome, à l'appel de la Fédération nationale de la presse, pour "défendre la liberté d'information".



Des mobilisations étaient prévues également dans une douzaine d'autres villes italiennes et européennes, notamment à Londres, Paris et Bruxelles.
Voici un article paru dans "le Monde"
Pour Roberto Natale, le président de la Fédération nationale de la presse, un syndicat de journalistes italiens, "l'air est devenu pesant pour le système de l'information".
La liberté serait menacée, comme le feraient craindre les limitations de la publication d'informations en matière d'affaires judiciaires que le Parlement s'apprête à voter, mais surtout les attaques répétées contre les journaux de la part de Silvio Berlusconi, le président du Conseil, toujours plus empêtré dans le scandale lié à ses fréquentations de mineures et de call-girls.
Tout a commencé par ses "invitations" aux investisseurs publicitaires à boycotter les journaux qui dérangent, pour passer ensuite aux injures à l'encontre de journalistes qualifiés "crapules" et à la décision de poursuivre en justice les quotidiens La Repubblica et l'Unità.
Le premier était jugé coupable de publier, chaque jour, dix questions suscitées par l'interprétation de l'affaire faite par M. Berlusconi et l'absence de réponses sur sa "maladie", dénoncée par sa propre épouse, Veronica Lario.
Mais, après le crescendo de mises en garde, cet été, contre la presse écrite, l'automne s'annonce comme un tourbillon de menaces de mises au pas contre des émissions télévisées qui, à la rentrée, ont plongé sur le scandale.
C'était le cas jeudi soir d'"Anno Zero", une émission de Rai 2. Le journaliste Michele Santoro, chassé déjà une fois par la volonté de M. Berlusconi puis réintégré par la justice, a tenu le cap malgré les avertissements de l'entourage du Cavaliere.

Du coup, plus de sept millions de téléspectateurs ont suivi devant leur récepteur le récit de filles évoquant les cachets reçus pour passer leurs soirées avec le président du Conseil.
Et, pour la première fois, figurait en direct sur un plateau télévisé italien Patrizia D'Addario, la call-girl qui a passé une nuit avec le Cavaliere avant d'être candidate sur une liste berlusconienne au conseil municipal de Bari.
Le clou de l'émission a été lorsqu'elle a affirmé que Silvio Berlusconi "connaissait son métier", ce que le Cavaliere a toujours nié.
Dans un pays où l'institut de recherche Censis explique que 70 % des personnes se forment une opinion par la télévision, une telle émission peut avoir une influence.

Alors que l'affaire des call-girls et des mineures a fait le tour du monde, les téléspectateurs italiens n'ont pu s'en faire jusqu'ici qu'une vague idée.
En ligne de mire de l'opposition, le directeur du journal télévisé de Rai 1, Augusto Minzolini, voulu à ce poste par le Cavaliere, qui a réussi l'exploit de ne le citer qu'à demi-mot.
Ce silence est désormais remis en cause.
Une émission satirique de Rai 3 met en scène, depuis mardi, une mini-fiction de deux minutes, "Lost in WC", où deux filles se trouvent enfermées dans ce qui est présenté comme la salle de bains du Palazzo Graziosi, la demeure romaine du Cavaliere.

Des photos, cet été, montraient deux filles justement dans la vraie salle de bains, en attente de rencontrer leur hôte. Pour la joie des téléspectateurs de plus en plus nombreux, et la rage du Cavaliere qui se dit "indigné" mais semble surtout incapable de colmater la brèche récemment ouverte.
Cela va dans le sens de ce que Silvio Berlusconi et les siens dénoncent depuis toujours.
La manifestation de samedi n'est qu'"une farce", soutiennent-ils.

La vraie menace viendrait de la gauche qui contrôle 85 % des journaux et les principales émissions d'information télévisée.
Pour Paolo Gentiloni, responsable de l'information pour le Parti démocrate (centre gauche), "la crise économique a fragilisé les journaux et les rend aujourd'hui plus sensibles aux pressions. D'où le risque pour la liberté d'expression, compte tenu de l'anomalie que constitue un président du Conseil qui contrôle, directement ou via sa famille, un empire médiatique fait de maisons d'édition, de quotidiens, de périodiques et de trois des chaînes nationales et qui, en tant que chef du gouvernement, devient automatiquement aussi le référent du service public télévisé".
La Rai s'est toujours distinguée pour ses liens profonds avec le pouvoir, qu'il soit de gauche ou de droite.

Le Cavaliere ne s'est pas privé de le confirmer dans les faits.
Reste la question du conflit d'intérêts : pourquoi la gauche n'a-t-elle rien fait pour le corriger ?
Paolo Gentiloni ne cache pas qu'il s'agit de la plus grave erreur de son camp: "Nous avons eu, entre 1997 et 1999, avec des majorités solides, la force et la capacité de faire approuver une loi pour réglementer (le sort de l'audiovisuel public), mais à l'époque tout a été subordonné au dialogue avec Berlusconi pour une réécriture du système institutionnel."
Plus de dix ans ont passé. La question du conflit d'intérêts n'a pas été ouverte, et la presse est désormais menacée."

venerdì 2 ottobre 2009

Vestirsi per andare in ufficio


In ufficio non ci si può vestire anonime..

e in tempi di "non regole", la decisione é più difficile.


Vestirsi per andare a lavorare è spesso un gesto meccanico.

O almeno così sembra alle donne che lo fanno e rifanno ogni mattina, ma l’irriflesso quotidiano rivela di più del complesso rapporto tra una donna e la sua immagine vestita.

Si diceva del vestirsi per lavorare.

Gli ambienti di lavoro non permettono di essere creative, semmai di far come si vuole, che è tutta un’altra cosa.

La moda aiuta e non aiuta.

Un tailleur anonimo non mette una signora al riparo dal cattivo gusto più di un completo vistoso, o di un abito aderente.


Oggi la questione è complessa. Non sono scomparse solo le mezze stagioni, ma anche la mezza eleganza; alle donne è richiesta molta più eleganza propria.


Per scegliere un abito che non sia anonimo ma nemmeno eccessivo, bisogna prima decidere che cosa si vuol comunicare indossandolo.I residui delle vecchie regole però possono aiutare: senza maniche è più difficile essere eleganti che con; la minigonna obbliga a grandi esercizi di portamento e di postura.


L’uso di un unico colore deve essere motivato da una scelta estetica forte, riconoscibile; le scollature e le sbottonature donano solo se moderate e allusive.


Si tratta di mostrare il carattere, lo stesso che si sfodera quando si acquista un abito molto originale e subito si pensa di usarlo tutti i giorni, opportunamente accessoriato, smorzato o esaltato. Lo stesso scegliendo sempre il classico con la capacità di farne qualcosa di speciale, o scegliendo un tailleur appena eccentrico, uguale a nessuno ma canonico, e couture. Unica via sbagliata: puntare sull’anonimato, nessuno vi prenderà sul serio.


Gli errori da evitare assolutamente:

- sottovalutare il potere eversivo dell’eccentricità !

- sottovalutare l’abito che si indossa la mattina !

La modella Coca Cola si offre 8 stiliste!


Otto stiliste e una modella d’eccezione per celebrare la moda italiana durante la Fashion Week con un evento organizzato da Coca-Cola light in collaborazione con il Comune di Milano.


Il 24 settembre la settimana della moda ha avuto inizio con un avvenimento unico: protagonista di una sfilata esclusiva, lei, la bottiglia Contour di Coca-Cola light, un’icona pop diventata già negli scorsi anni "musa" di stilisti e designer internazionali.

Otto stiliste, otto donne del fashion system Made in Italy, hanno interpretato le sue “forme”: Alberta Ferretti, Anna Molinari per Blumarine, Veronica Etro, Silvia Venturini per Fendi, Consuelo Castiglioni per Marni, Angela Missoni, Rossella Jardini per Moschino e Donatella Versace hanno disegnato e “vestito” 32 macro-bottiglie (alte 1 metro e 70), quattro per ogni brand, per una specialissima sfilata nella scenografica cornice di Palazzo Reale.

I 32 esemplari, successivamente, sono stati battuti all’asta per sostenere l’iniziativa charity “Comune di Milano per l’Abruzzo”, promossa in collaborazione con Camera di Commercio di Milano per promuovere progetti a sostegno dell’economia delle zone colpite dal sisma e della formazione dei giovani abruzzesi, con una particolare attenzione alle donne.Subito dopo, a chiudere la serata “griffata” Coca-Cola light, un party esclusivo, con celebrities, balli e un djset “a tema”, quello di Matteo Ceccarini, sound designer delle sfilate più cool.


Ma il Coca-Cola light – Tribute to Fashion non finisce quì: le macro bottiglie si potranno ammirare con la mostra Fashion & the City, fino al 4 ottobre, in 6 punti della città (Corso Garibaldi, Corso Como, piazza Duca d’Aosta, Corso Buenos Aires, Corso Venezia, Piazza San Babila, Corso Vittorio Emanuele II e Via Beltrami).


In più 400 mila esemplari delle fashion bottles saranno vendute durante al settimana della Moda nei migliori bar d’Italia, per spegnere la sete di modaioli e non...

Milano, Monza, Sesto..occhio ai Mind Cube


«accadimenti artistici» !!

A Milano, Monza e Sesto San Giovanni

Quaranta creativi al cubo

Progetto Box Shock: occhio ai «MindCube», le scatole artistiche che invaderanno la città
I «Mindcube»Dai container ai box, le strutture modulari della società post-industriale e globalizzata si prestano all'arte.

Spazi mobili, predefiniti e dalle dimensioni standard, dove allestire installazioni come quella di Brittany Mitchell (già presentata nel museo temporaneo ContainerArt di Vancouver), collocata all'esterno della Triennale Bovisa.

Per tutto il mese di ottobre il progetto Box Shock prevede il susseguirsi di «accadimenti artistici» a Milano, Monza e Sesto San Giovanni, ideati da una quarantina di giovani autori, coordinati da Ronald Lewis Facchinetti.


Scatole artistiche sparse per le città nelle quali infilare la testa per ammirare da vicino le opere proposte. Settanta installazioni, interventi musicali e di design, situazioni ed happening, che da Fluxus in poi ricercano il coinvolgimento attivo del pubblico.
Così i «MindCube», cubi sospesi, isolati o fittamente raggruppati, attendono di essere calati sulla testa dei visitatori, quali occasioni per una diversa fruizione estetica.

Mentre venti box e magazzini in affitto, interpretati dagli allestimenti di artisti e designer si trasformano temporaneamente in un Museo-Labirinto, dove smarrirsi per ritrovarsi sotto il segno dell'arte, tra improbabili fili di Arianna e simbolici Minotauri.

Inoltre, sperimentazioni sonore diverse, da vivere con il corpo, tramite le figure archetipe tracciate dal collettivo Kilohertz e anche nella video-installazione «KforK» di Kusterle, alla MC2 Gallery, che promette un'esperienza «profondamente viscerale».Box shock.


Dall'1° al 30 ottobre.

Ingresso libero. Varie sedi. Info: http://www.boxshock.org/.

giovedì 1 ottobre 2009

La jolie miss Dior




La nouvelle campagne Miss Dior Chérie :


la photo d'une jeune fille au regard clair, assise sur un vélo, vêtue d'un manteau rose fuchsia, coiffée d'un béret violet, couleur phare de cet hiver, ballerines aux pieds, gants roses, incarnant une jeune parisienne fantasmée, espiègle, particulièrement chic.


On devine dans son sillage les effluves de patchouli et de jasmin du parfum Miss Dior Chérie.

mercoledì 30 settembre 2009

La festa ebraica Yom Kippur


Quest'anno 2009, Yom Kippur cade il 28 settembre 2009 (la festività comincia la vigilia: il 27 settembre).


Yom Kippur è la ricorrenza religiosa ebraica che celebra il giorno dell' espiazione.

Nella Torah viene chiamato Yom haKippurim (Ebraico, "Giorno degli espìanti").

È uno dei cosiddetti Yamim Noraim (Ebraico, letteralmente "Giorni terribili", più propriamente "Giorni di timore reverenziale").


Gli Yamim Noraim vanno da Rosh haShana a Yom Kippur, che sono rispettivamente i primi due giorni e l'ultimo giorno dei Dieci Giorni del Pentimento

.Nel calendario ebraico Yom Kippur incomincia al crepuscolo del decimo giorno del mese ebraico di Tishri (che cade tra Settembre e Ottobre del calendario gregoriano), e continua fino alle prime stelle della notte successiva.

Può quindi durare 25-26 ore.
Origine biblica

Il rito dello Yom Kippur viene descritto quattro volte nel sedicesimo capitolo del Levitico (vedi Esodo 30;10, Levitico 23;27-31 e 25;9, Numeri 29:7-11).

All'epoca del primo e del secondo Tempio di Gerusalemme venivano offerti i sacrifici descritti nella Torah e nella Mishnah.


Nel pensiero ebraicoYom Kippur è il giorno ebraico della penitenza, viene considerato come il giorno ebraico più santo e solenne dell'anno.

Il tema centrale è l'espiazione dei peccati e la riconciliazione.

È proibito mangiare, bere, lavarsi, truccarsi, indossare scarpe di pelle ed avere rapporti sessuali. Il digiuno - astinenza totale da cibo e bevande - inizia qualche attimo prima del tramonto (chiamata tosefet Yom Kippur - aggiunta a Yom Kippur - l'aggiunta di una piccola parte del giorno precedente al digiuno è prescritta dalla Halakha), e termina dopo il tramonto successivo, all'apparire delle prime stelle.

Le persone malate consultano in anticipo un'autorità rabbinica competente per verificare se il loro stato le esenti dal digiuno.

Il servizio ha inizio con la preghiera di Kol Nidre (testo, preghiera cantata) che deve essere recitata prima del tramonto.

Kol Nidre (parola aramaica che significa "tutte le promesse") rappresenta l'annullamento di tutti i voti pronunciati nel corso dell'anno.

Secondo The Jewish Encyclopedia, il testo della preghiera recita:

"Tutti i voti, gli impegni, i giuramenti e gli anatemi che siano chiamati 'konam', 'konas', o con qualsiasi altro nome, che potremmo aver pronunziato o per i quali potremmo esserci impegnati siano cancellati, da questo giorno di pentimento sino al prossimo (la cui venuta è attesa con gioia), noi ci pentiremo".

Yom Kippur completa il periodo di penitenza di dieci giorni iniziato con il capodanno di Rosh haShana. Sebbene le preghiere con le quali si chiede perdono siano consigliate durante l'intero anno, diventano particolarmente sentite in questo giorno.

La preghiera mattutina viene preceduta da alcune litanie e richieste di perdono chiamate selihot; nel giorno di Kippur queste vengono aggiunte in abbondanza nella liturgia.
In accordo con Mosè Maimonide "Tutto dipende da quanto un uomo meriti che vengano cancellati i demeriti che pesano su suo conto", quindi è auspicabile di moltiplicare le nostre buone azioni prima del conteggio finale fatto il Giorno del Pentimento (ib. iii. 4).

Coloro che Dio considera meritevoli entreranno nel Libro della Vita, la preghiera recita: "Entriamo nel Libro della Vita".

Recita anche l'auspicio "Possa tu essere iscritto (nel Libro della Vita) per un gioioso anno".

Nella corrispondenza scritta tra capodanno e il Giorno del Pentimento, colui che scrive conclude, abitualmente, augurando al mittente che Dio approvi il suo desiderio di felicità.

Nel tardo ebraismo alcune peculiarità proprie del giorno di capodanno furono trasferite al Giorno del Pentimento.
Il Giorno del Pentimento sopravisse all'abbandono delle pratiche sacrificali dell'anno 70 CE. "Nonostante nessun sacrificio verrà offerto, il giorno manterrà il suo proprio effetto di espiazione" (Midrash Sifra, Emor, xiv.).

I testi ebraici insegnano che in questo giorno non è permesso che venga compiuta altra attività che non sia il pentimento. Il pentimento è l'indispensabile condizione per tutti i vari significati dell'espiazione. La confessione del penitente è una condizione richiesta per l'espiazione.

"Il Giorno del Pentimento assolve dalle colpe di fronte a Dio, ma non di fronte alla persona offesa fin quando non si ottiene il perdono esplicito dalla stessa" (Talmud Yoma viii. 9).

È usanza di terminare ogni disputa o litigio alla veglia del giorno di digiuno.

Anche le anime dei morti sono incluse nella comunità dei perdonabili del Giorno del Pentimento. È un costume per i bambini che abbiano perso i genitori di ricevere una menzione pubblica in sinagoga, e di offrire doni caritatevoli alle loro anime.
Contrariamente al credo popolare, Yom Kippur non è un giorno triste.

Gli ebrei Sefarditi, ovvero gli ebrei di origine spagnola, portoghese o nordafricana chiamano questa festività il "Digiuno Bianco".

Di conseguenza, molti ebrei hanno l'usanza di indossare solo vestiti bianchi, per simbolizzare il candore delle loro anime.

La liturgia

Per le preghiere della sera viene indossato un Talled (uno scialle di preghiera rettangolare), e questo è l'unico servizio serale dell'anno in cui questo succede.

Ne'ilah è un servizio speciale che si tiene solo a Yom Kippur, e lo chiude. Yom Kippur termina con il suono dello shofar, che conclude la celebrazione. Viene sempre osservato un giorno di vacanza, sia dentro che fuori i confini della terra di Israele.
Il servizio nella sinagoga comincia alla sera della vigilia con il Kol Nidre. Le devozioni durante il giorno sono continue dalla mattina alla sera. Molta importanza è data al brano liturgico in cui si narra il cerimoniale del tempio.

Secondo il Talmud, Dio apre tre libri il primo giorno dell'anno, Rosh Hashana; uno per i cattivi assoluti, un altro per i buoni assoluti, e il terzo per la grande classe intermedia.

Il fato dei buoni e cattivi assoluti viene determinato in quel momento; il destino della classe intermedia resta sospeso fino al giorno di Yom Kippur, quando il fato di ognuno si decide. Il brano liturgico Unetanneh Tokef afferma:

"D-o Re, che siedi su un trono di misericordia per giudicare il mondo, allo stesso momento Giudice, Difensore, Esperto e Testimone, apri il Libro delle Firme. Si legge che dovrebbero esserci le firme di ogni uomo.

La grande tromba viene suonata; si sente una voce piccola e decisa; gli angeli fremono, dicendo "Questo è il giorno del Giudizio": perché gli stessi ministri di Dio non sono puri dinnanzi a Lui. Come un pastore dirige il suo gregge, facendolo passare sotto il proprio bastone, così Dio fa passare ogni vivente di fronte a Lui, per stabilire i limiti della vita di ogni creatura e per definirne il destino. Nel giorno di capodanno il decreto è stilato; nel giorno del pentimento è sigillato; chi vivrà e chi morirà... Ma il pentimento, la preghiera e la carità possono evitare il crudele decreto."

La "Corona di Maestà" di Ibn Gvirol è aggiunta alla liturgia Sefardita nel servizio serale, ed è anche letta in alcune sinagoghe Askenazite ed Italiane. Al centro della liturgia antica è la confessione dei peccati. "Perché non siamo tanto presuntuosi da dirTi che siamo giusti e non abbiamo peccato; ma, nella realtà, abbiamo peccato... sia la Tua volontà che io non pecchi ulteriormente; Ti piaccia lavare i miei peccati trascorsi, secondo la Tua bontà, ma non con punizioni severe".

Le melodie tradizionali con i loro toni di lamento (della tradizione Askenazita) danno espressione sia all'angoscia individuale a fronte dell'incertezza del destino e al lamento di un popolo per le glorie perdute. Nel giorno di espiazione l'ebreo osservante dimentica la mondanità e le sue necessità e, escludendo l'odio, l'antipatia e tutti i pensieri ignobili, cerca di occuparsi unicamente di cose spirituali. I libri ebraici di preghiera fanno notare che, se gli atti di pubblica contrizione sono obbligatori, il correttivo più efficace è quello stabilito dai Profeti biblici, che insegnano che il vero digiuno di cui D-o gioisce è lo spirito di devozione, gentilezza e penitenza.
Il carattere austero impresso alla cerimonia dal tempo della sua istituzione è stato conservato fino ad oggi.

Anche se altre cose sono divenute desuete, la presa sulla coscienza di ogni ebreo è così forte che pochi, a meno che non abbiano reciso ogni legame con l'ebraismo, evitano di osservare il giorno di espiazione.

Une librairie très parisienne dédiée à la mode



Librairie de la mode !


Il n'y avait qu'une Parisienne pour inventer une idée pareille...

Une librairie qui réconcilie talons aiguilles et littérature, désir et spiritualité.

Filez donc faire le plein de cadeaux dans cette merveilleuse "Librairie de la mode", entièrement dédiée à l'univers de la couture et du design.

D'un côté, on retrouve tous les ouvrages de références : des livres d'art aux dessins de mode en passant par une sélection très exhaustive des fashion magazines internationaux (pour homme et femme ) ainsi que les beaux livres sur le luxe.


Moins érudits, mais tout aussi séduisant, les plus modeuses devraient céder à la tentation des ravissants cahiers de tendances de toutes les formes, couleurs et matières que les journalistes de mode parisiennes arborent comme « the » accessoire pendant les défilés...
Histoire de noter critiques et impressions sur les prochaines collections.
Librairie de la mode
52, rue Croix-des-Petits-Champs 75001 Paris
01 40 13 81 50

lunedì 28 settembre 2009

Brigitte Bardot, l'expo !











Brigitte Bardot : 75 ans et une expo




À la fois sex-symbol intemporel et icône d'une époque, BB souffle sa soixante-quinzième bougie et inaugure "sa" toute première exposition. C'est à Boulogne-Billancourt, du 29 septembre au 31 janvier 2010.

Le mythe BB est exposé à Boulogne-Billancourt ©Douglas Kirkland
"Ce qui comptait pour elle, ce n'était pas d'avoir du succès ou de devenir une grande actrice, mais que tout le monde soit toujours follement amoureux d'elle.

" Ainsi fut-il pour toute une génération. Et pour Roger Vadim, à qui l'on doit cette analyse.

Il la découvre à 16 ans, l'épouse à 18, lui fait jouer Et Dieu créa la femme à 22. Bardot devenait BB.
La suite ?
Chacun la connaît, plus ou moins, mais forcément un peu.

L'exposition organisée par la ville de Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine, est l'occasion de (re-)découvrir la naissance de ce mythe.
BB, c'est une carrière riche de 48 films et de plus de 80 chansons qui riment avec Nouvelle Vague et yéyés, pour devenir le fantasme des années 1950 et 1960.
On pense à Godard, Louis Malle, Delville, on entend Delon, Jean-Louis Trintignant, on revoit à ses côtés Jeanne Moreau et Gérard Philipe.
BB, c'est encore la Gainsbourg-mania avec Je t'aime moi non plus , Harley Davidson ou Bonnie and Clyde. C'est aussi le souvenir d'un Saint-Tropez qui n'existe plus, ce petit village de Provence aux plages abandonnées qui fleuraient bon les coquillages et crustacés...
D'aucuns y mouillaient l'ancre de leurs yachts plaqué or, BB y nichait sa Fondation .

Après s'être détournée des hommes et du septième art, Bardot s'en est allée à son unique amour : les animaux. Lutte pour la sauvegarde des bébés phoques, anti-chasse, anti-abattoirs, on ne compte plus les coups de gueule de l'ex-égérie devenue femme du troisième âge, sans fards ni botox mais à béquilles et pestant, hélas, contre les homos, les musulmans et tout ce qui dépasse d'un plafond décidément bien bas.

Il n'empêche. Bardot appartient désormais au rêve. Sérigraphiée par Andy Warhol, sculptée en Marianne pour orner le bureau de monsieur le maire, des documentaires, photos, publicités, s'organisent le long d'un parcours chronologique où des "alcôves thématiques" reconstituent les atmosphères des épisodes les plus fameux de son existence.

L'espace Landowski se pare de BB, tous azimuts et jusqu'à fin janvier. Exposition Brigitte Bardot, les années "insouciance" , du 29 septembre 2009 au 31 janvier 2010, au MA30-Espace Landowski à Boulogne-Billancourt. Horaires : Du mardi au dimanche de 11 h 00 à 18 h 00. Tarifs : de 8 à 11 euros.

artiste al femminile..




Tutti conoscono Caravaggio, Van Dyck, Manet, ma quanti saprebbero dire chi furono Sofonisba Auguissola, Elisabetta Sirani, Frida Khalo ?
Pochi.

Peccato : queste donne straordinarie, che hanno lottato per l'affermazione del loro status di artiste, rappresentano un'enorme risorsa fin ora celata al grande pubblico.

Comincerei con "Autoritratto al cavalletto" (1556) di Sofonisba Anguissola.

E' un'opera che mi ha colpito moltissimo: Sofonisba Anguissola non si ritrae con i vestiti pomposi e ricchissimi delle nobildonne dell'epoca, non si ritrae intenta in graziose attività femminili, ma tra colori e spatole vestita da artigiana dell'arte in un'epoca in cui questo era totalmente inaccettabile.

Concludo questo fulmineo excursus con l'opera simbolo, l'"Autoritratto"(1926) di Frida Kahlo: l'artista messicana, con il suo stile naïf, bidimensionale ed empirico, si presenta a noi così com'è, non ricorrendo ad una sorta di "chirugia estetica pittorica", ma quasi esaltando le sue folte sopracciglia e difetti del suo volto comunque bellissimo.

domenica 27 settembre 2009

Expo "Bijoux d'artistes" à Besançon







A voir absolument!!
Exposition "Bijoux d'Artistes"
du 11 juin au 8 novembre 2009
Musée du Temps
Palais Granvelle
Besançon
L'exposition du Musée du Temps réunit durant tout l'été une collection exceptionnelle qui constitue une sorte de musée idéal et intime de l'art du XXème siècle.

Ces 150 bijoux issus d'une collection privée sont signés des plus grands noms de l'art moderne et contemporain : des origines avec
Gonzalez, Gargallo ou Picasso à Anish Kapoor, de dada au surréalisme avec Man Ray, Wifredo Lam, Victor Brauner, Max Ernst à Miquel Barcelo, de Giacometti à Louise Bourgeois, de Calder à l'art cinétique de Pol Bury et François Morellet, de Dubuffet aux nouveaux réalistes et pop'artistes Arman, César et Lichtenstein.

92 artistes provenant des quatre coins du monde ont créé par amusement ou prouesse technique des bijoux en or, argent, acier, plastique ou même avec de simples pierres de rivières. Conçus pour une personne proche ou pour le plaisir, ces bijoux sont souvent uniques ou édités en séries très limitées.

Ils sont souvent méconnus du public, et même des admirateurs de ces artistes.
Informations pratiques
Musée du Temps(Grand Comble, 3ème étage)Palais Granvelle96 Grande Rue 25000 BesançonTél : 03 81 87 81 50Fax : 03 81 87 81 60
Horaires d'ouverture
Du mardi au samedi de 9 h 15 à 12 h et de 14 h à 18 h ;dimanche 10 h à 18 h
Photographies E. Chatelain, Ville de Besançon

Affiche de l'exposition Bijoux d'Artistes 2009 Meret Oppenheim, Bracelet, 1935 ©

Besançon en Sonorama







Sonorama est une manifestation proposée par la Ville de Besançon, le Grand Besançon et le Casino Barrière Besançon.
"Comment faire résonner la ville, comment l’arraisonner, comment la sonner et lui rendre ses vibrations contemporaines...?
Sonorama est cette tentative de déstabilisation sonore des espaces communs, une sorte de palette chromatique du sensible.
Quatre directeurs artistiques et une ville, quatre univers singuliers qui se frottent, s’entrechoquent et se croisent : arts de la rue, arts sonores et numériques, musiques électroniques et arts contemporains se mixent dans la cité pour proposer une autre cartographie.
Compagnies de rue, artistes sonores et numériques, DJs/VJs, artistes et musiciens des scènes électroniques, rock ou hip-hop et autres créateurs « indisciplinaires » investiront nuit et jour l’espace de la cité.
Ils nous convient à explorer d’autres dimensions, celles de leurs imaginaires libérés et stimulés par les architectures, les rues, les passages, les jardins et les habitants qui les accueillent l’espace de quatre jours d’assauts poétiques, de flux énergétiques, d’expériences « sonsorielles ».
Comme ces artistes d’horizons multiples qui se sont impliqués dans cette nouvelle aventure, nous avons rencontré et questionné Besançon.Territoire d’opérations inventives, Sonorama 09 tente de redessiner la ville en un grand « paysage sonore » polyphonique et polymorphe, ample et subtil, généreux et intime, populaire et prospectif, actuel et intemporel…
L’espace et le temps de Besançon sont ainsi réinventés selon des rythmes et des modes divers à découvrir à travers ces contrastes, ces étincelles, ces contrepoints, ces partis pris et ces rencontres improbables.
Vincent Carry, Jérôme Delormas, Philippe Franck ,Jean-Marie Songy
Directeurs artistiques
• la direction artistique du festival
• l'équipe du festival
Contacts : contact@sonorama-besancon.com / © Troisième Pôle"
communiqué presse ... en style ampoulé

Le festival de Besançon 2009, aurevoir l'Italie..


"Le Festival de musique de Besançon rêve d'Italie"

La 62e édition (11-26 septembre 2009) a pour thématique "le voyage en Italie" et accueille un concours de chefs d'orchestre.
Le festival patronne en outre le 51e Concours international de jeunes chefs d'orchestre.

Vingt participants, de 14 pays différents, ont été sélectionnés parmi 247 candidats.S'il restait mercredi six demi-finalistes, seuls trois doivent participer à la finale samedi 19 septembre, à l'issue d'une nouvelle sélection.
Le prestigieux BBC Symphony Orchestra de Londres a assuré, dès les quarts de finale, les épreuves du concours organisé tous les deux ans depuis 1951. La venue d'un orchestre étranger pour cette compétition s'avère exceptionnelle. Cette année, selon les organisateurs, "le niveau est globalement plutôt élevé par rapport aux années précédentes, notamment en Chine" dont sont originaires trois candidats.Pour la finale le 19 septembre, une oeuvre pour grand orchestre, "Times", clin d'oeil à Besançon, la "ville du temps", a été programmée en création mondiale.

Elle a été composée par Edith Canat de Chizy lors d'une résidence d'un an dans la ville.

Parmi les anciens lauréats du Concours de chefs d'orchestre, figurent Seiji Ozawa, Michel Plasson, Alexander Gibson ou Zdenék Macal.

Quant au festival de Besançon à proprement parler, il programme jusqu'au 26 septembre quelque 60 concerts incluant des oeuvres de référence ou des pièces plus rares jouées par l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, Elisabeth Chojnacka, Lorin Maazel, Jiri Belholavek ou l'Orchestre national de Lyon.

En ouverture le 11 septembre, l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo devait jouer l'"Italienne" de Felix Mendelssohn sous la direction de Luke Dollman (qui remplaçait Zdenék Macal, souffrant).

En association avec le label Zig-Zag Territoires, en collaboration avec l'Ensemble 415 et la compagnie Nine Spirit, 17 musiciens devaient se réunir et confronter leurs univers respectifs: baroque, contemporain et jazz.Toujours dans une perspective d'ouverture, sous le "Magic Mirror", un chapiteau de bois érigé pour l'occasion à Besançon, divers genres musicaux -swing manouche, folk, blues, jazz, chanson française et musique arabo-andalouse- doivent se croiser et se côtoyer...>>


Lorin Maazel, eccezionale "chef d'orchestre" !


Nasce una nuova orchestra.

La Symphonica d’Italia, o meglio rinasce l’ex Symphonica Toscanini costituitasi dalla scissione della Filarmonica Toscanini nel maggio 2006. La compagine orchestrale sarà presentata a Roma il 9 settembre, presente la nipote d’Arturo Toscanini a spazzar via tutte le questioni che avevano funestato la precedente formazione.

Finalmente si chiarirà il lascito artistico del Maestro.
La collaborazione con il Maestro Maazel – direttore a vita dell’orchestra dal 2006 -, all’indomani della conclusione della sua esperienza alla New York Philharmonc Orchestra ed al Palau de las Arts di Valenzia, recentemente riconfermata però, continua.

Il Maestro ha accettato volentieri l’offerta di guidare la giovane orchestra formata da musicisti costituitisi in associazione autonoma e da strumentisti ospiti che vengono dalle più prestigiose orchestre europee ed americane, anche perché conosceva molti dei giovani professori. Intesa artistica, piacere di far musica, passione, sono la cifra dell’orchestra: fanno sì che la presa sul pubblico sia immediata.
S’inaugura l’attività della Symphonica d’Italia a Roma all’Auditorium del Parco della Musica l’11 settembre, nella giornata musicale internazionale “September Concert” in memoria della strage delle Twin Towers di New York.

Subito dopo, si esibirà al Festival International de Musique de Besançon (13 settembre).

L’agenzia musicale cinese Amethyst Performing Arts Management ha invitato nel 2010 l’orchestra ed il Maestro Maazel a Pechino per eseguire Turandot e Die Fledermaus e sei concerti beethoveniani (tre a Pechino e tre a Guangzhou). Già si profilano impegni più lontani all’orizzonte (per le celebrazioni del 150° anniversario dell’Unità d’Italia, per esempio: collaborazione con la Società Italiana di Musicologia – partner culturale – che ha in grembo altre sorprese).

Main sponsor dell’orchestra è Confcommercio.

mercoledì 23 settembre 2009

Buon compleanno Twiggy !



Due occhi perennemente sbarrati, affogati nel mascara.

Taglio corto/leccatissimo, da bambino in assetto da primo giorno di scuola.

E un fisico androgino – ovvero la risposta pelle & ossa alla pin-up in voga fino a qualche minuto prima –, perfetto per intepretare gli orli arrampicati della Swinging London.

Come i Beatles, la Mini Cooper e Mary Quant, Twiggy era l’(anti)icona dei favolosi Sixties: “anti” perché era piatta come una tavola da surf, si rosicchiava famelicamente le unghie e aveva sacrificato la criniera d’ordinanza (vedi alla voce Jean Shrimpton) sotto le forbici del parrucchiere delle star, Leonard Lewis of Mayfair.

Nella sua acerba magrezza, Miss Ramoscello è stata la Kate Moss del periodo Mod, la ragazzina che ingigantiva le sopracciglia inferiori a colpi di make up (megatrend del prossimo inverno) con un fotogenico e copiatissimo effetto Bambi.

Il che spiega come mai Londra si prepari a festeggiare con rispetto reverenziale il suo 60° compleanno (19 settembre) attraverso un’importante mostra fotografica alla National Portrait Gallery e un libro già must-have. Un successo intenso ma volutamente breve, il suo. Dopo aver inaugurato – a 16 anni e 41 chilogrammi – l’Era delle top model (ma solo sui set fotografici: , ha spiegato in seguito), essere stata eletta dal Daily Express “il viso del 1966” e aver ispirato una Barbie a sua immagine e somiglianza, la modella “grissino” Leslie Hornby si ritirò con stoica lungimiranza dopo quattro anni di trionfi, . Certo, avrebbe potuto permettersi di dormire sugli allori del suo robusto (quello sì!) conto in banca, autopensionandosi su un atollo della Polinesia. Ma – buon Segno non mente –, da instancabile Vergine si è reinventata non una bensì cinque carriere.

Come attrice, innanzitutto (dal suo debutto, avvenuto nel 1971 e consacrato da due Golden Globes, ha intepretato una ventina di film). E poi nelle vesti di cantante (nell’ultimo cd, uscito proprio oggi, si misura impavidamente con i grandi della musica, da Richard Rodgers a Cole Porter), autrice di libri in cui ci svela i segreti della sua straordinaria manutenzione personale, convincente testimonial, nonché stilista di abiti e lenzuola. Eppure, a differenza di Kate Moss, Twiggy ha avuto una vita tutt’altro che spericolata. Zero droghe () e molta fedeltà (dal 1988 è sposata felicemente con l’attore Leigh Lawson, conosciuto sul set del film Madame Sousatzka). Di fronte a certe attualissime carriere, messe letteralmente a nudo dal documentario di Lorella Zanardo Il corpo delle donne, non viene forse da rimpiangere la limpida ingenuità di quello sguardo sbalordito?

Buon compleanno, Twiggy!