venerdì 20 marzo 2009

Le design italien au Pavillon des arts et du design à Paris



Le design italien à l'honneur du Pavillon des arts et du design

Le Pavillon des arts et du design qui se tiendra du 1er au 5 avril 2009 dans le Jardin des Tuileries à Paris réunira 80 exposants sur 4 750 m² fera honneur au design italien pour cette édition 2009.

Le Pavillon accueillera les plus grands noms du marché de l’art italien : Massimo et Sonia Cirulli, Galerie Rossella Colombari, Galerie Pegaso, Galerie HP Le Studio, Galerie du Passage et Galerie Italienne.

Ainsi que ses dignes représentants sur le territoire national : Clara Scremini Gallery.

Les designers italiens seront également présents sur de nombreux stands : Franco Albini chez HP Le Studio, Mattia Bonetti et Pucci de Rossi chez Cat-Berro Galerie, à la Galerie du Passage et à la Galerie Italienne.

Cette année le Pavillon innove avec la création du Prix du Pavillon des Arts et du Design imaginée par Patrick Perrin et Stéphane Custot et mécené par Moët-Hennessy.

Ce prix permettra d’offrir aux Arts Décoratifs un objet sélectionné au Pavillon par un jury de personnalités qualifiées du monde l’art et de la culture.

Cet objet viendra enrichir les collections permanentes des Arts Décoratifs.

Ce même jury désignera également les prix habituels du Pavillon, à savoir « Le Stand du Pavillon » et « L’Objet du Pavillon ».

Ce "Pavillon des arts et du design" est une occasion unique pour découvrir le design et l'art dans des spécialités très variées : Mobilier, Dessin, Peinture et Sculpture de la Renaissance à nos jours, Antiquités, Modernisme, Photographie, Design, Arts Premiers, Arts d’Asie, Bijoux, Verrerie contemporaine, Argenterie, Orfèvrerie, Tapis, Tapisseries ...


INFOS PRATIQUES :Dates : du mercredi 1er au dimanche 5 avril 2009

Lieu : Jardin des Tuileries - Esplanade des Feuillants

Face au 234, rue de Rivoli, angle rue de Castiglione - 75001 PARIS

Horaires : tous les jours de 11h à 20h Nocturnes : jeudi 2 et vendredi 3 avril 2009

jusqu’à 22h

Entrée : 15 euros

Karl Lagerfel crée une Ile pour les accros à la mode


Karl Lagerfeld n'est pas avare de projets et d'idées.
Il a décider de créer une île à thème pour les accros à la mode, située au large des côtes de Dubaï, les fashions-addict vont enfin avoir leur lieu de pélerinage.
Ce projet luxueux s’intègre dans le complexe touristique The World.
Pour lancer la "Isla Moda", l’émirat arabe a su convaincre le célèbre designer de la maison Chanel qui va mettre son talent et son image au service de la future «île de la mode».
Il va également concevoir le design des 80 résidences prévues sur l’île, notamment des villas privées.
Un hôtel haut de gamme de 250 chambres, baptisé Hotel Moda, est prévu pour accueillir les visiteurs de l'île qui est présentée comme un futur temple de la mode.
On y annonce des boutiques de créations exclusives des plus grands couturiers, des studios de création, l’organisation d’événements tels que des défilés de renommée internationale.

Pedro Almodovar signe la collection Illy


Illy présente une collection
signée
Pedro
Almodovar


A l’occasion de son nouveau film Los Abrazos Rotos (les Etreintes Brisées) dont la sortie française est prévue en mai, Pedro Almodovar met en scène son actrice fétiche l'espagnole Pénélope Cruz, et signe une nouvelle illy art collection événement (depuis 1992, des collections de tasses signées par des artistes) puisqu’elle est composée d’une seule et unique tasse.

Une tasse collector à conserver comme objet déco contemporain !

A l’image des célèbres sérigraphies réalisées par Andy Warhol, une série de portraits très colorés à l’effigie de Pénélope Cruz, l’héroïne du film, habille cette tasse illy art collection comme un hommage discret au « pape » du pop art.

INFOS PRATIQUES :Prix : 49,50 €

N° Lecteurs : 01 45 22 00 10

domenica 15 marzo 2009

www.chiavidilettura.com


Il nome è avvincente e l’iniziativa ancora di più.

E' cominciata il 12 marzo una vera e propria caccia al tesoro on line, che dagli infiniti luoghi virtuali del web condurrà nelle le strade di Milano tra gli angoli più caratteristici della città alla ricerca delle parole perdute.

Ogni giorno un quesito nuovo da risolvere vi condurrà nel luogo in cui è stata nascosta la “chiave” che aprirà uno scrigno pieno di tesori. E, come in ogni gara che si rispetti, il premio è davvero prezioso: tanti, tanti libri della nuova narrativa contemporanea firmata ARPANet.

Su http://www.chiavidilettura.com/ è già on line il primo indizio.
Pronti? Partenza… via!

Taxi glamour au Liban


Talons aiguilles et cravates roses, des Libanaises ont inauguré, au volant de voitures dernier cri, "Banat Taxi", "Taxi pour femmes", première initiative du genre au Liban pour ces dames qui préfèrent ne pas faire appel à la gent masculine pour leurs déplacements.

Fleur rose dans les cheveux et maquillage aux teintes roses: "Cela fait partie intégrale du costume. C'est ainsi que nous allons nous habiller chaque jour", lance fièrement Souad Hamdar, mère de quatre enfants, au volant de sa Peugeot... rose.

Elle est, pour le moment, l'une des trois conductrices recrutées par "Taxi Banat".

"Au départ, j'ai cru qu'il allait être difficile de trouver des femmes chauffeurs vu qu'au Liban c'est un métier d'hommes: j'ai été surprise de recevoir des dizaines de demandes", assure Nawal Yaghi Fakhri, directrice de la nouvelle compagnie.

Inaugurée mardi soir à Mtayleb, au nord-est de Beyrouth, la compagnie a reçu le soutien du ministère du Tourisme, qui y voit une occasion d'attirer les touristes arabes, notamment les riches vacancières du Golfe préférant circuler à bord de taxis féminins.

"Il s'agit de la deuxième initiative de ce genre dans le monde arabe, après les Emirats arabes unis", a indiqué à l'AFP Lina Ghanem, porte-parole du ministère.

Onorificienza francese per la collezionista Patrizia Sandretto


In passato il prestigioso titolo è stato conferito fra gli altri al ballerino e coreografo Rudolf Nureyev, all'editore Inge Feltrinelli, allo scrittore Alberto Arbasino, al designer Philippe Starck, all'attrice Penolope Cruz.

Ora tocca alla collezionista e mecenate torinese Patrizia Sandretto Re Rebaudengo ricevere il titolo di Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres, onorificenza francese che le sarà conferita da Jack Lang, già Ministro della Cultura transalpino.

Saranno presenti alla cerimonia Frédéric Mitterrand, Direttore di Villa Medici a Roma, Bruno Aubert, consulente culturale dell'Ambasciata di Francia e Véronique Vouland-Aneini, Console Generale di Francia.

Domenica 15 marzo 2009 (su invito)

Fondazione Sandretto Re RebaudengoVia Modane 16 -

TorinoInfo: 0113797600

Art Woman 2009 a Lecce




Aspetti del design contemporaneo femminile.

Decima edizione della rassegna annuale che sottolinea il contributo femminile nel campo della creatività artistica
orario:
Tutti i giorni 10.00-13.00; 17.00-21.30
biglietti: ingresso libero
catalogo: in mostra, Edizioni Movimedia
curatori:

CASTELLO CARLO V
Viale Xxv Luglio
LECCE (73100)
genere: arte contemporanea, collettiva

Italiani oggi, a Torino


In vista del 150° anniversario dell'unità d'Italia, un punto della situazione sull'Italia con ospiti eccezionali, da Mario Monicelli a Ettore Scola, Mario Martone, Giacomo Poretti, Fausto Bertinotti, Ezio Mauro, Gianni Berengo Gardin.

È quello offerto a Torino da Italiani.
Immagini e identità, ciclo di incontri, appuntamenti, proiezioni e concerti che si propone di rispondere alle domande: chi sono gli italiani oggi?

In quale direzione guardano? Che cosa li rende uniti?

Promossa dal Comitato Italia 150 la rassegna segna il cammino di avvicinamento a due anni dal 17 marzo 2011, data in cui ricorre il centenario, lasciando alle parole e alle immagini di alcuni illustri connazionali il compito di ripercorrere le nostre storie e di discutere della nostra identità. Fra gli appuntamenti da non perdere Racconti tra cinema e storia, quattro giornate, otto appuntamenti, dodici capolavori di registi italiani che mettono in scena il nostro Paese e i suoi abitanti, e La musica come identità nazionale, un evento dedicato alla musica dei grandi compositori italiani dell'800, suonata dall'Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai nello splendido teatro Carignano appena restaurato.
Dal 16 al 22 marzo 2009Sedi varie - TorinoInfo: 0115539600 - info@italia150.itWeb: http://www.italia150.it/

sabato 14 marzo 2009

Coco au cinéma


Le 22 avril, le film sur la vie de la cultissime Coco Chanel sort enfin au cinéma !

C'est Audrey Tautou qui incarnera la grande Coco Chanel, cette femme de personnalité à la répartie explosive.
Elle ne ressemblait à personne et son caractère rebelle a fait d'elle une des femmes incontournables du XXème siècle.
Le film traite avant tout de la vie de Coco Chanel avant sa grande ascension.
On y retrouve les premiers pas de cette merveilleuse styliste, qui voulait redonner de la simplicité et de l'allure aux tenues des femmes.

Coco avant Chanel, d'Anne Fontaine
Avec Audrey Tautou, Benoît Poolevorde, Alessandro Nivola
Sortie le 22 avril 2009

Made in Milan

Prodotti di consumo, buoni e belli, come antidoto alla crisi.
In quel mobilificio che è la Brianza, ci s’interroga sulla purezza delle idee e sul rapporto tra genio e industria.

Con illustri maestri, nuove promesse già mantenute e qualche stoccata al made in Milan...

La mostra giusta, nel posto giusto, in un momento che - a essere ottimisti - può anch’esso considerarsi giusto.

Il buono, il brutto e il cattivo. Il Good Design tra storia e futuro è l’esempio di un piccolo grande evento culturale.
Piccolo nelle dimensioni, nel voluto e giusto low profile; ma grande nella vitalità, negli spunti, nella capacità di fondere globale e locale in un racconto omogeneo.

Dici Giussano e pensi, con le vicine Meda e Lissone, all’industria del mobile.
Un’industria che, storicamente, significa qualità e ricerca.

E non è un caso se tra gli sponsor - e tra i curatori - si leggono nomi che, proprio da queste parti, evocano e ispirano suggestioni di design. L’idea è forte e chiara: leggere e interpretare la più alta espressione di un territorio e interrogarsi su quali visioni possa suggerire per il futuro; indurre ad affrontare il clima di recessione e depressione imprenditoriale rischiando nella fantasia, nell’innovazione, nel “bello”. Un progetto interessante e che non può dirsi casuale: è il quarto anno consecutivo che a Giussano si dà spazio ai protagonisti del design, con ospiti che vanno da Vico Magistretti a Ettore Sottsass, passando per Castiglioni e Bellini; per mano di una curatela che ha individuato nel format della “testimonianza” (oggetti in mostra, certo, ma soprattutto i report d’incontri e interviste a tecnici e opinion leader) un modello riuscito e avvincente.
Tre piccole sale nella rinnovata Villa Sartirana per tre esempi differenti di interpretare funzionalità, estetica e armonia dell’oggetto: un incontro con i prodotti simbolo di Brionvega, Braun ed Apple.

Come dire: uno sguardo al più puro e razionalista made in Italy; e il confronto deciso tra due scuole lontane nel tempo, nello spazio e nella filosofia, eppure entrambe vincenti.
Da una parte il più limpido e ferreo rigore, la standardizzazione delle linee e delle forme quasi a prescindere dalla funzione; dall’altra invece il dinamismo emergente e futuribile della fantasia al potere.

Tre storie raccontate attraverso gli oggetti: dalla radio Brionvega TS522 (il mitico “cubotto” giallo) fino a i-Pod e i-Mac.
Tre storie raccontate attraverso le testimonianze scritte o audio-video di architetti, designer, imprenditori, curatori, artisti, chiamati a definire cosa sia il buono, il brutto o il cattivo design.

In mezzo l’omaggio a Marco Zanuso, una rapida puntata nell’universo immaginifico di Bruno Munari, il decalogo di Dieter Rams con le regole d’oro per arrivare all’oggetto perfetto: molteplici gustosi assaggi di un discorso complesso e affascinante. Discorso affrontato nel brillante vernissage dagli architetti Vanni Pasca e Cini Boeri, dall’imprenditore Ennio Brion e da Mario Bellini, che di design se ne intende, se è vero che al Moma conservano un numero di suoi pezzi superiore a quello dei lavori di Sapper o Munari.

Ne è emerso un quadro vivace, tra speranze e nostalgie, “ho fatto” e “farei”, con tanto di (chissà quanto) bonaria tirata d’orecchi a Milano e al suo, tanto atteso e poi discusso, Museo del Design.

Il Good Design tra storia e futuro a cura di Didi Gnocchi e Francesca Molteni

Villa Sartirana
Via Carroccio, 2 - 20034 Giussano (MI)
Orario: da martedì a venerdì ore 15-18; sabato e domenica ore 10-12 e 15-18.30Ingresso libero
Info: tel. +39 0362358250; cultura@comune.giussano.mi.it

giovedì 12 marzo 2009

Le salon du livre sous le signe du Mexique

Rendez-vous au 29e Salon du Livre!
Acteur majeur du rayonnement de la lecture en France, le Salon du livre fête son 29e anniversaire cette année.
Du 13 au 18 mars 2009, ce sont 3000 auteurs qui sont attendus Porte de Versailles pour rencontrer le public, participer à des ateliers ou séances de dédicaces.

Dates : du 13 au 18 mars 2009
Lieu : Porte de Versailles / Pavillon 1
Tarifs : 7€,
Gratuit pour les - de 18, étudiants de - 26 ans, demandeurs d'emploi et les bénéficiaires du RMI
Sur le web : http://www.salondulivreparis.com/

Toujours ouvert sur le monde, le Salon invite cette année un hôte de marque, le Mexique.
Ce sont 36 auteurs de la littérature contemporaine mexicaine, traduits et publiés par des éditeurs français, que les lecteurs rencontreront.

Une immersion totale dans la littérature mexicaine avec une sélection de 15 livres soumis à l'appréciation des lecteurs. L'ouvrage ayant recueilli le plus grand nombre de voix se verra décerné le "Prix grand public Salon du Livre ".

Egalement au programme, une exposition de 20 illustrateurs mexicains qui habilleront les murs du Club jeunesse, un espace dédié à la BD et aux Mangas et un bar à sciences pour dialoguer avec des chercheurs à l'occasion de l'année mondiale de l'astronomie.

La déco caliente di Penelope Cruz














































Le sang chaud, le visage radieux, Penélope Cruz est une actrice comblée qui porte en elle le soleil d'Espagne.


Son intérieur est coloré et convivial,



Sur la photo : lit d'extérieur de la marque Lambert
Photo © Lambert

Lampe de jardin Paysage intérieur extérieur Waterproof Metalarte

Biographie:
Penélope Cruz Sánchez est une actrice espagnole née le 28 avril 1974 à Alcobendas, Communauté de Madrid.

Son père, Eduardo Cruz, tient une quincaillerie, et sa mère, Encarnacion Sanchez, est coiffeuse.
Penélope Cruz est la sœur de la ballerine et actrice Mónica Cruz et du chanteur Eduardo Cruz. Ses parents sont aujourd'hui séparés.
Elle commence les cours de danse à 5 ans et elle reste neuf ans au Conservatoire National.
Elle fait ensuite trois ans de ballets espagnols avec Angela Garrido, quatre ans à la Cristina Rota School de New York, et prend des cours de Jazz Dance avec Raúl Caballero. Elle se produit en Espagne et à New York.
Elle démarre une carrière de mannequin et fait la couverture de nombreux magazines. Elle apparaît dans des clips du groupe Mecano.
À l'âge de 14 ans, elle présente La Quinta Marcha, une émission télévisée pour enfants.
Carrière d'actrice
Elle débute comme actrice dans une série produite par Pierre Grimblat pour FR3, "la série Rose", (épisode "Elle et lui" de Jaime Chavarri). Elle joua notamment des rôles à caractère érotique (interdit au moins de 16 ans).
Après un second rôle dans Laberinto Griego de Rafael Alcaza, elle est révélée en 1992 par Jambon, jambon de Bigas Luna.
Mais sa carrière internationale commence vraiment en 1999 avec Tout sur ma mère de Pedro Almodóvar.
Elle tournera pour des réalisateurs de différents pays : Angleterre, États-Unis, Norvège.
En 2001, elle joue dans Vanilla Sky, remake du film Ouvre les yeux où elle interprétait le même rôle.
Elle est l'égérie de la marque Mango.
Le 22 février 2009, lors de la 81e cérémonie des Oscars, elle reçoit l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour sa brillante interprétation de Maria Eléna dans Vicky Cristina Barcelona aux côtés de Rebecca Hall et de Scarlett Johansson.
Filmographie
au cinéma [1992 : Mecano - Los vídeos, de Joan-Lluís Arruga (vidéo) (segment La fuerza del destino) (non créditée)
1992 : Jambon, jambon (Jamón, jamón), de Juan José Bigas Luna
1992 : Belle époque (Belle epoque), de Fernando Trueba
1993 : Per amore, solo per amore, de Giovanni Veronesi
1993 : El Laberinto griego, de Rafael Alcázar
1993 : La Ribelle, d'Aurelio Grimaldi
1994 : Mi-figue, mi-raisin (Alegre ma non troppo), de Fernando Colomo
1994 : Todo es mentira, d'Álvaro Fernández Armero
1995 : Entre rojas, d'Azucena Rodríguez
1995 : L'Effet papillon (El Efecto mariposa), de Fernando Colomo (non créditée)
1996 : Brujas, d'Álvaro Fernández Armero
1996 : La Celestina, de Gerardo Vera
1996 : Más que amor, frenesí, d'Alfonso Albacete, Miguel Bardem et David Menkes
1996 : L'Amour nuit gravement à la santé (El Amor perjudica seriamente la salud), de Manuel Gómez Pereira
1997 : Et Hjørne af paradis, de Peter Ringgaard
1997 : En chair et en os (Carne trémula), de Pedro Almodóvar
1997 : Ouvre les yeux (Abre los ojos), d'Alejandro Amenábar
1998 : Don Juan, de Jacques Weber
1998 : If Only... (The Man with Rain in His Shoes), de María Ripoll
1998 : Talk of Angels, de Nick Hamm
1998 : La Fille de tes rêves (La Niña de tus ojos), de Fernando Trueba
1998 : The Hi-Lo Country, de Stephen Frears
1999 : Tout sur ma mère (Todo sobre mi madre), de Pedro Almodóvar
1999 : Volavérunt, de Juan José Bigas Luna
2000 : Amour, piments et bossa nova (Woman on Top), de Fina Torres
2000 : De si jolis chevaux (All the Pretty Horses), de Billy Bob Thornton
2001 : Blow, de Ted Demme
2001 : Capitaine Corelli (Captain Corelli's Mandolin), de John Madden
2001 : Sans nouvelles de Dieu (Sin noticias de Dios), d'Agustín Díaz Yanes
2001 : Vanilla Sky, de Cameron Crowe
2002 : Waking Up in Reno, de Jordan Brady
2003 : Masked and Anonymous, de Larry Charles
2003 : Fanfan la Tulipe, de Gérard Krawczyk
2003 : Gothika, de Mathieu Kassovitz et Thom Oliphant
2004 : À corps perdus (Non ti muovere), de Sergio Castellitto
2004 : Noel, de Chazz Palminteri
2004 : Nous étions libres (Head in the Clouds), de John Duigan
2005 : Sahara, de Breck Eisner
2005 : Chromophobia, de Martha Fiennes
2006 : Bandidas, de Joachim Roenning et Espen Sandberg
2006 : Volver, de Pedro Almodóvar
2006 : The Good Night, de Jake Paltrow
2008 : Elegy, de Isabel Coixet
2008 : Vicky Cristina Barcelona, de Woody Allen
2009 : Les Étreintes brisées (Los Abrazos rotos) de Pedro Almodóvar

à la télévision
1991 : Série rose, de Walerian Borowczyk (série TV)
1991 : Elle et lui, de Jaime Chávarri
1992 : Framed, de Geoffrey Sax (TV)
(octobre 2006)

Honneurs et récompenses
1999 Prix Goya de la meilleure actrice en 1999 pour La Fille de tes rêves.
2006 La France lui a remis le mercredi 11 janvier 2006 les insignes de Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres.
Au festival de Cannes 2006 , elle a reçu, avec l'ensemble de la distribution féminine, le prix d'interprétation pour Volver de Pedro Almodóvar.
European Film Awards 2006 : Meilleure actrice pour Volver.
Hollywood Film Festival - Actrice de l'année 2006 .
2007 Golden Globe 2007 : Meilleure actrice dans un drame Volver.
Oscar 2007 : Nomination Meilleure actrice dans un drame Volver.
BAFTA 2007 Meilleure actrice dans un drame Volver.
Prix Goya de la meilleure actrice en 2007 pour Volver.
2009 Prix Goya du meilleur second rôle féminin en 2009 pour Vicky Cristina Barcelona.
Oscar du cinéma 2009 : Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour Vicky Cristina Barcelona.
BAFTA 2009 : Meilleur second rôle féminin pour Vicky Cristina Barcelona.
Critics Choice Award 2009 : Meilleur second rôle féminin pour Vicky Cristina BarcelonaVie privée
De 2001 à 2004, elle a eu une liaison avec Tom Cruise qu'elle a rencontré sur le tournage de Vanilla Sky.
Elle vit aujourd'hui avec l'acteur espagnol Javier Bardem qu'elle avait rencontré en 1992 sur le tournage de Jambon, Jambon et avec qui elle a retravaillé en 2008 sur le tournage de Vicky Cristina Barcelona.




















super tendenza :orologi da muro design

1

2
Fissano al muro le ore, son sempre sotto gli occhi.
Meglio sceglierli di design






1 Bodoni prende il nome dal carattere tipografico dei numeri disposti in ordine sparso.
Ha movimento al quarzo, diametro di 45 centimetri, corpo di alluminio e schermo di plexiglas. Due i colori.
Fa parte della collezione Time, 12 modelli di orologi da parete disegnati da Dario Serio per il marchio di graphic design nato nel ’60 dalla creatività di Max Huber, Bob Noorda, Pino Tovaglia, Massimo Vignelli, Giulio Confalonieri, Ettore Sottsass

Sunflower Clock è un orologio scultura, progetto di George Nelson datato 1958.
I listelli di betulla curvata disegnano i petali di un girasole dal diametro oversize di 75 centimetri.
Fa parte della collezione Wall Clocks del brand svizzero: serie di 20 orologi firmati dai grandi nomi del design del Novecento tra il 1946 e il 1960

domenica 8 marzo 2009

Raffaello a Urbino, una mostra da non mancare


Mostra Raffaello e Urbino

Palazzo Ducale

4 aprile 2009 - 12 luglio 2009



Urbino non fu solo la città natale di Raffaello, ma determinò in modo significativo la sua formazione, restando per tutta la sua vita un punto di riferimento essenziale. Partendo da questo presupposto, la grande mostra che si apre nel Palazzo Ducale di Urbino nella prossima primavera intende recuperare e valorizzare proprio questa stretta connessione tra Raffaello e la sua città natale. Esaminando il contesto urbinate, dalla fine degli anni Settanta a tutti gli anni Ottanta del Quattrocento, viene ricostruito l'ambito artistico-culturale in cui si formerà il giovane Raffaello e nel quale opera il padre, Giovanni Santi, pittore dei duchi e letterato, che è a capo di una ricca e fiorente bottega, oltre che autore della famosa Cronaca nella quale esprime importanti giudizi sui pittori a lui contemporanei.
La mostra, allestita nel Salone del Trono e nelle sale dell'appartamento della Duchessa del Palazzo Ducale, sede della Galleria Nazionale delle Marche, si pone l'obiettivo di ricondurre la prima formazione di Raffaello alla grande cultura espressa dalla corte urbinate e soprattutto all'influenza del padre, Giovanni Santi e presenta i capolavori giovanili di Raffaello, 20 dipinti e 19 disegni originali, messi in rapporto alla pittura del padre e di altri pittori vicini alla fase giovanile della sua formazione ad Urbino, 32 dipinti e 10 disegni.
Una sezione della mostra è inoltre dedicata al rapporto dell'opera di Raffaello con la più importante produzione del ducato di Urbino, la maiolica, basata sulle immagini raffaellesche, di cui sono esposti esemplari antichi. Sarà visibile, per la prima volta, un pezzo mai esposto, derivato direttamente da un disegno originale e non da un'incisione di Raffaello, assieme a numerosi esempi fra i più preziosi di questa produzione.
Raffaello nacque nel 1483 e fu di certo, come ricordano le fonti, un fanciullo prodigio.Ciononostante la storiografia ha troppo spesso trascurato la conoscenza dei suoi anni giovanili, la cui ricostruzione ci appare oggi come fondamentale. A cominciare dalla mostra di Londra del 2004, la critica sta portando la sua attenzione proprio sugli anni giovanili, prendendo in esame l'assunto di questa rassegna, cioè la prevalenza, nella formazione di Raffaello, del rapporto con il padre, con la sua bottega e soprattutto con la grande cultura che ha come epicentro il Palazzo Ducale con le sue collezioni d'arte. Raffaello, che è citato nel 1511 a Roma come allievo del padre Giovanni Santi, non si distaccò mai dalla sua città natale che rimase, anche nel periodo maturo della sua carriera, il centro dei suoi interessi, anche economici. Baldassar Castiglione, legato strettamente ai Montefeltro, e Bramante, protettore di Raffaello a Roma, sono state figure di riferimento per tutta la sua vita.
La mostra esamina quindi le vicende della bottega di Giovanni Santi dopo la sua morte avvenuta nel 1494. Il giovane Raffaello nel 1500 eredita la bottega paterna fino a firmarsi "Magister", con Evangelista da Piandimeleto, per la commissione della pala di S. Agostino a Città di Castello.
Le ricerche archivistiche in corso hanno peraltro portato alla luce un numero incredibile di nuovi documenti, non pubblicati da Pungileoni, che mostrano il tessuto artistico in cui si forma il giovane Raffaello e gli stretti legami, mai recisi, con la sua città natale, sia artistici che economici. La presenza di Bramante a Urbino, che sarà poi il più valido supporto alla sua carriera romana, la possibile influenza di altre personalità presenti nella città ducale come Girolamo Genga e Timoteo Viti, rendono molto interessante esplorare questo terreno. Senza trascurare il rapporto con Perugino che la tradizione storiografica, da Vasari in poi, ha messo al centro della sua formazione e che sarà naturalmente indagato nel percorso espositivo.
La mostra è curata da Lorenza Mochi Onori, Soprintendente per i Beni Storici Artistici e Etnoantropologici delle Marche e si avvale di un prestigioso comitato scientifico, che vede la partecipazione dei maggiori specialisti nella materia, impegnati in alcune delle più importanti collezioni museali del mondo:

Linda Wolk Simon, del Metropolitan di New York, che ha curato recentemente una mostra sul tema,

Carol Plazzotta e Tom Henry della National Gallery di Londra, curatori della mostra su Raffaello tenutasi a Londra nel 2004,

Silvia Ferino Pagden, del Kunsthistorisches Museum di Vienna, specialista della grafica raffaellesca,

Cristina Acidini, Antonio Natali e Marzia Faietti, rispettivamente Soprintendente del Polo Museale fiorentino, Direttore degli Uffizi e Direttore del Gabinetto Disegni e Stampe degli Uffizi,

Giovanna Perini, ordinario di Storia dell'Arte dell'Università degli Studi di Urbino "Carlo Bo",

Antonio Paolucci, e Arnold Nesselrath rispettivamente Direttore e curatore del Dipartimento di pittura dei Musei Vaticani, oltre ai direttori storici dell'arte della Soprintendenza di Urbino.
La mostra è promossa dal Ministero per i Beni e le Attività Culturali, Direzione regionale per i Beni Culturali e Paesaggistici delle Marche, Soprintendenza per i Beni Storici Artistici e Etnoantropologici delle Marche, dalla Regione Marche, dalla Provincia di Pesaro-Urbino, dal Comune di Urbino e dalla Fondazione Cassa di Risparmio di Pesaro.

L'organizzazione è affidata a Gebart in collaborazione con Civita.

Il catalogo è edito da Electa.

Urbino e i Montefeltro

La grande rassegna dedicata agli anni giovanili di Raffaello costituisce una straordinaria opportunità per conoscere o riscoprire le testimonianze storiche e artistiche dell’antica capitale del Ducato, che ci restituiscono ancora oggi gli spazi e i contesti in cui si è formato il Maestro.
Innanzitutto il Palazzo Ducale, opera di Luciano Laurana e Francesco di Giorgio voluta dal Duca Federico da Montefeltro: uno dei capolavori assoluti dell’architettura rinascimentale, cuore e simbolo visivo della città di Urbino, oltre splendido contenitore della Galleria Nazionale delle Marche, che conserva alcuni dei più grandi capolavori di tutti i tempi. Definito il palazzo in forma di città da Baldassarre Castiglione nel Cortegiano, il Palazzo si sviluppa intorno al cortile d’onore con oltre 250 stanze.


Nel piano nobile, tra gli ambienti più suggestivi del cosiddetto Appartamento del Duca, vi è lo Studiolo del Duca Federico con le meravigliose tarsie lignee e i ritratti degli uomini illustri.

Oltre la Sala del Trono si sviluppa invece l’Appartamento della Duchessa, dove è allestito il percorso di mostra. I

l piano superiore è risultato da un ampliamento successivo, realizzato da Gerolamo Genga su incarico dei Della Rovere che sostituirono i Montefeltro dopo la morte senza eredi di Guidubaldo, figlio del Duca Federico.
Dal cortile si accede agli ambienti che ospitavano la grande Biblioteca e, attraverso la Sala dei Banchetti, alla Cappella del Perdono e al Tempietto delle Muse che accoglieva le otto tavole di Giovanni Santi e Timoteo Viti oggi alla Galleria Corsini di Firenze, restaurate per l’occasione ed esposte in mostra.
Infine si possono visitare gli immensi sotterranei del Palazzo, che raccontano gli aspetti più quotidiani della vita di corte.

I due famosi Torricini guardano verso le terre del Duca, mentre la sua facciata ad ali disegna la piazza insieme alla Chiesa di San Domenico che nel portale esibisce l’elegante lunetta di Luca della Robbia e al Duomo che dissimula la massiccia mole dietro la nobile facciata neoclassica, di Giuseppe Valadier.
Grazie all’attività dell’Accademia Raffaello, fondata nel 1869 e sostenuta da numerosi privati italiani e stranieri, inglesi in particolare, Urbino conserva ancora il nucleo primitivo della casa natale di Raffaello.

Trasformata in museo, custodisce tra le altre tre opere importantissime, che saranno esposte in mostra: una predella di Berto di Giovanni, l’“Annunciazione” di Giovanni Santi e l’affresco raffigurante la “Madonna con Bambino” che la critica assegna alla giovane attività di Raffaello.
Ma è tutto il centro storico di Urbino, raccolto fra le mura rinascimentali, a testimoniare l’ambiente in cui Raffaello ha trascorso i suoi anni giovanili fino a diventare “magister”.

Molti dei suoi palazzi signorili, delle sue chiese e dei suoi oratori racchiudono capolavori assoluti. Eppure Urbino non è una “città – museo”, è un luogo dove la vivacità si incontra con la storia, creando delle atmosfere difficilmente ripetibili.
Il visitatore si trova a percorrere i caratteristici saliscendi delle strade accolto da architetture ben equilibrate, dove la luce delle stagioni esalta i colori caldi delle facciate.

“Gli edifici suoi sono di perfetta materia, mattoni e calce, ornati di varie sorti di pietra gentilmente lavorate…”, così Bernardino Baldi esalta il decoro edilizio di Urbino. La testimonianza più significativa della pittura tardo- gotica è il ciclo affrescato dai fratelli Salimbeni di San Severino nell’Oratorio di San Giovanni Battista.
Accanto, l’Oratorio di San Giuseppe ospita la Cappella del Presepe, nata dalla maestria scultorea di Federico Brandani.

Ricchi di testimonianze sono numerosi altri oratori, come quello di Santa Croce e quello dell’Umiltà, che custodiscono opere di Federico Barocci e della sua scuola.

L’imponente Monastero di Santa Chiara comprende uno straordinario giardino pensile che si affaccia sulle colline delle Cesane.
Appena fuori le mura si erge il mausoleo di San Bernardino, prestigioso monumento assegnato al genio dell'architetto senese Francesco di Giorgio.

Al suo interno era conservata la pala con la “Sacra Conversazione” di Piero della Francesca, oggi nella Pinacoteca di Brera.
Un ideale itinerario alla riscoperta della formazione di Raffaello può proseguire oltre la sua città natale, nel territorio dell’antico Ducato di Montefeltro, che proprio nel XV secolo ha conosciuto il suo massimo splendore, che possiamo ritrovare nelle pievi e nelle abbazie come quelle di Lamoli e di Fonte Avellana, nei borghi fortificati e nei castelli di Frontone, Piobbico, Piandimeleto, Sant’Agata Feltria, Frontino, nella rocca di San Leo, con la sua storia antica e piena di misteri, e in quella di Sassocorvaro, progettata come altre innumerevoli architetture militari e civili di queste terre dallo stesso Francesco di Giorgio e utilizzata durante l’ultima guerra mondiale come rifugio di migliaia di opere d’arte e straordinari capolavori.

Non solo quelli della Galleria Nazionale di Urbino, ma anche di altri musei di Venezia e di altre città.
Tra questi la straordinaria Incoronazione della Vergine di Giovanni Bellini, oggi conservata nei Musei Civici di Pesaro.

Una tappa fondamentale è Cagli, sulla via Flaminia verso Roma, dove l’affresco della Cappella Tiranni nella Chiesa di San Domenico ci riconduce al fondamentale rapporto tra Raffaello e il padre. Recentemente restaurato, grazie al Comitato Cultura di Confindustria Pesaro Urbino, l’affresco è considerato il capolavoro di Giovanni Santi e rappresenta proprio il punto di tangenza con la pittura del figlio, che ne erediterà la bottega. Nelle sembianze di San Giovanni Battista e di un angelo sembra perfino di poter riconoscere l’autoritratto del pittore e il ritratto di Raffaello fanciullo.
Importante centro già in epoca romana, Cagli offre numerose altre architetture, come il Torrione di Francesco di Giorgio, il Palazzo Pubblico, la chiesa gotica di San Francesco, la chiesa di Sant’Angelo minore con la Loggetta e il Noli me tangere di Timoteo Viti. Urbania, l’antica Casteldurante, è il centro di una delle più importanti aree di produzione ceramica, a cui dobbiamo alcune tra le più belle maioliche del Rinascimento.
La grande fioritura del XVI secolo si nutrì infatti di riferimenti raffaelleschi e di motivi ispirati dagli artisti della corte urbinate, distinguendosi per la raffinatezza del genere istoriato. Totalmente legato alle vicende dei Montefeltro e dei Della Rovere è il palazzo Ducale di Urbania e appena fuori delle mura il Barco Ducale, nato come residenza di caccia.

Ma anche altre cittadine come Fossombrone, Fermignano, Sant’Angelo in Vado, Macerata Feltria, Mercatello sul Metauro, Apecchio, Novafeltria o Pennabilli custodiscono chiese, palazzi e piccoli musei, vantano spesso deliziosi teatri storici e sono inseriti in una magnifica cornice naturale.
Il Montefeltro è infatti ricchissimo di risorse ambientali (la foresta delle Cesane, l’Alpe della Luna, i monti Catria, Nerone e Carpegna) e di eccellenze gastronomiche come la caciotta di Urbino e il formaggio di fossa, il prosciutto di Carpegna e il salame del Montefeltro, il grande tartufo di Acqualagna.


Raffaello e Urbino: la formazione giovanile e i rapporti con la città natale

Urbino non fu solo la città natale di Raffaello, ma determinò in modo significativo la sua formazione, restando per tutta la sua vita un punto di riferimento essenziale. Partendo da questo presupposto, la grande mostra che si apre nel Palazzo Ducale di Urbino intende recuperare e valorizzare questa stretta connessione tra Raffaello e la sua città natale.
Esaminando il contesto urbinate dalla fine degli anni Settanta del Quattrocento, viene ricostruito l’ambito artistico-culturale in cui si formerà il giovane Raffaello e nel quale opera il padre, Giovanni Santi, pittore dei duchi e letterato, che è a capo di una ricca e fiorente bottega, oltre che autore della famosa “Cronaca” nella quale esprime importanti giudizi sui pittori a lui contemporanei.

La mostra, allestita nel Salone del Trono e nell’Appartamento della Duchessa del Palazzo Ducale, sede della Galleria Nazionale delle Marche, presenta i capolavori giovanili di Raffaello, 20 dipinti e 19 disegni originali, messi in rapporto alla pittura del padre e di altri artisti vicini alla fase giovanile della sua formazione.
La mostra rappresenta quindi un’occasione irripetibile che è resa possibile grazie a prestiti eccezionali concessi da alcune delle più prestigiose collezioni al mondo come il Prado, il Louvre, le National Gallery di Londra e Washington, il Getty Museum di Los Angeles, i musei di Lisbona, Berlino, Monaco, Francoforte, Vienna, Budapest, gli Uffizi, le Gallerie dell’Accademia di Venezia, la Pinacoteca di Brera, il Poldi Pezzoli, il Museo di Capodimonte ed altri ancora. Raffaello nasce in Urbino nel 1483.
Il padre, Giovanni Santi, muore nel 1494, quando il giovane Raffaello ha solo 11 anni, un’età in cui normalmente, in quell’epoca, i ragazzi avevano già mosso i primi passi del loro apprendistato nell’arte. Per descrivere la formazione di Raffaello, fino ad ora la storiografia si è basata sul racconto di Vasari, secondo cui il giovane pittore fu molto presto inviato dal padre nella bottega di Perugino.
Un racconto che sembra poco realistico, in particolare in rapporto con le date reali della vita del futuro maestro.

In realtà, già giovanissimo, egli aveva un solido patrimonio alle spalle e protettori importanti, mentre non esistono documenti che attestino un apprendistato diretto presso la bottega di Perugino.

Dopo la morte del padre, Raffaello ne eredita infatti la bottega, che gestisce con l’aiuto di Evangelista da Piandimeleto.
Forte di questa posizione e ricchezza, egli non aveva necessità di andare come garzone o allievo presso altri, se non in occasioni specifiche per conoscere il modo di operare degli artisti più noti. L’ubicazione e la consistenza della bottega che Giovanni Santi lascia in eredità al figlio, suo erede principale, è ora attestata da nuovi documenti.
La bottega, che era molto grande, attiva e fiorente, dopo la morte del Santi è la testimonianza che meglio chiarisce la qualifica di “Magister” riferita a Raffaello nel 1500 in occasione della commissione della pala di san Nicola per Città di Castello.

Come dimostrano i nuovi documenti emersi dalla ricerca approfondita negli archivi urbinati eseguita da Anna Falcioni e da Vincenzo Mosconi, è chiaro che Raffaello era radicato ad Urbino, - certa è la sua presenza nel 1497 e nel 1500, finora contestata dalla storiografia - da cui certamente si muoveva per altri luoghi, ma che rimane la sua base stabile, fonte di sussistenza e stabile punto di riferimento.
Giovanni Santi è la figura fondamentale nella formazione del giovane Raffaello, ma bisogna considerare l’influenza culturale non tanto e non solo di un pittore, quanto di un personaggio importantissimo nella cultura urbinate, cortigiano e uomo di lettere.

Così legato alla cultura dei Montefeltro egli era il tramite perfetto affinché il giovanissimo Raffaello traesse indelebili impressioni dalla immensa raccolta di capolavori presente nel palazzo ducale di Urbino.
E’ necessario ricordare che mentre la Perugia di fine Quattrocento era una città relativamente provinciale dal punto di vista culturale (Perugino, il pittore più ricercato e pagato del momento, lavorava per lo più a Firenze), Urbino era invece un fondamentale centro della cultura rinascimentale, che già all’epoca di Federico da Montefeltro rivaleggiava con Firenze con la sua originale accezione “matematica” del Rinascimento.
Una ampia rassegna della pittura fiorentina era raccolta nelle splendide miniature della biblioteca ducale, a cui aveva certamente accesso Giovanni Santi, che mostra di conoscere bene i codici conservati nella straordinaria biblioteca di Federico.

Fra gli elementi che avvalorano l’ipotesi di un rapporto diretto di Raffaello con la pittura del padre sono fondamentali i riscontri con l’ultima opera di Giovanni Santi, forse il suo capolavoro, la cappella Tiranni in San Domenico a Cagli.
I riscontri puntuali che emergono fra la pittura del giovane Raffaello e quella del padre sono stati tutti analizzati dalla critica, ma in questa mostra per la prima volta le sue opere giovanili sono messe in rapporto direttamente con quelle del padre.

Gli stretti rapporti della pittura di Raffaello con le opere del Perugino (non bisogna dimenticare anche il rapporto diretto fra Perugino e Giovanni Santi) vanno di pari passo con l’influenza della pittura paterna e di altri artisti, quali Signorelli e Pinturicchio, senza contare i rapporti con Timoteo Viti che è presente a Urbino dal 1495, dopo aver frequentato a Bologna la scuola del Francia e che Raffaello chiamerà poi a Roma.
Una sezione finale della mostra è dedicata al rapporto dell’opera di Raffaello con la più importante produzione del ducato di Urbino, la maiolica, basata sulle immagini raffaellesche, di cui sono esposti esemplari antichi.

Sarà visibile, per la prima volta, un pezzo mai esposto, derivato direttamente da un disegno originale e non da un’incisione di Raffaello, assieme a numerosi esempi fra i più preziosi di questa produzione.
In occasione della mostra la casa editrice Electa pubblicherà un prestigioso catalogo corredato da saggi dei maggiori studiosi, da ampi apparati documentari e da un regesto illustrato delle opere. Con la mostra saranno promossi itinerari nella città di Urbino, nel Montefeltro e nella regione Marche, alla scoperta degli ambienti e dei contesti in cui si è formata la personalità artistica di Raffaello.
Scarica elenco delle opere (pdf - 440Kb)



Palazzo DucalePiazza Duca Federico, 10761029 - Urbino

La mostra è aperta:Dal martedì alla domenica dalle 8.30 alle 19.15 (la biglietteria chiude alle 18.00)Lunedì dalle 8.30 alle 14.00 (la biglietteria chiude alle 12.30)Lunedì 13 aprile e 1° giugno dalle 8.30 alle 19.15 (la biglietteria chiude alle 18.00)

La donna nell'arte l' 8 marzo


Per il terzo anno consecutivo, il Ministero per i Beni Culturali celebra la Festa della Donna con l'evento La donna nell'arte, che prevede eventi speciali in tutta Italia, con l'ingresso gratuito per le donne in tutti i luoghi dell'arte statali.
Lo slogan scelto dal MiBAC, La donna nell'arte,
“ha l'obiettivo di valorizzare - specificano dal ministero - , attraverso una serie di manifestazioni organizzate a livello nazionale, la figura femminile sia nelle sue diverse rappresentazioni nel tempo e nelle diverse forme di arte che nella sua partecipazione alla produzione artistica attuale”.
Le manifestazioni comprenderanno concerti, mostre, laboratori, dibattiti e quanto altro dia risalto all'attività artistica svolta dalle donne.
Difficile dare conto degli eventi previsti in tutto il paese, dalla singolare ricostruzione della giornata tipo di Callicratea, una donna vissuta a Taranto alla fine del IV sec. a.C., al Museo archeologico di Como, al recital Donne, donne, donne di Gabriele D'Annunzio, presso il museo casa natale di D'Annunzio a Pescara.