lunedì 5 agosto 2013

I foulard per quest'estate : Pucci, Fendi, Gucci e compagnia !





Ecco i foulard per l'estate !
Chic, colorati o funny l'estate  è la stagione giusta per indossarli e divertirsi. 



Il meteo annuncia un clima tra sole e pioggia ed è quindi il momento perfetto per sfoggiare il foulard come indumento o  accessorio  rifacendosi all’eleganza delle icone del passato. Tantissimi i modi per indossarlo, altrettante le combinazioni per sottolineare il proprio look con un tocco di colore e di fantasia. 
 Legato al collo, o tra i capelli, o come Grace Kelly semplicemente annodato al manico della borsa. 
Scegliere il foulard perfetto per quest'estate é l'interessante missione della stagione !
Dalle stampe floreali di Gucci, al maxi monogram di Fendi, all’intramontabili fantasie di Emilio Pucci la scelta é larga e il risultato glamour al massimo !

 

domenica 4 agosto 2013

New York, Londra, Tokyo : le città preferite dei miliardari !

La società di consulenza americana WealthInsight ha compilato una classifica per illustrare dove vivono i piu' ricchi  della Terra. 
Top della lista, la città di New York con 70 miliardari.


Big Apple ospita dunque il maggior numero di persone con un conto in banca che supera i nove zeri e può far invidia ad intere nazioni mentre é Londra a dominare la classifica dei multi-milionari.




 



E' infine Tokyo a vincere il titolo di città con il più alto numero di milionari: oltre 460.000 tra gli abitanti di Tokyo vanta un patrimonio che va da 1 a 30 milioni di dollari. 







Per quanto riguarda l'Italia, non é dimora di nessuno dei 495 miliardari presi in considerazione nello studio ma Roma si difende bene con il tredicesimo posto nella classifica dei milionari.

La classifica mostra che i miliardari preferiscono ancora stabilirsi nelle metropoli del Nord America e Europa ma WealthInsight prevede che entro il 2020 saranno le grandi città di Cina e India, come Pechino e Mumbai, ad ospitare i super-ricchi della terra.

venerdì 2 agosto 2013

Les chefs d'oeuvres de Murano arrivent au Musée Maillol


  • Les fleurons de l'art des verriers de Murano dans une exposition qui traverse l'histoire de l'art, du Moyen Âge à nos jours.

    Six siècles de création. Ou l'aventure extraordinaire d'un îlot de la lagune vénitienne qui se prit de passion pour un matériau aux lointaines origines alchimiques: le verre. 
    Dur et fragile ; transparent, opaque ou multicolore. 
    Se prêtant par l'action de la chaleur à toutes les formes jusqu'aux plus folles, lorsqu'on le découvre il vaut plus que l'or. 
    Il conserve parfaitement les matières périssables et les liquides. 
    Il remplace même avantageusement le cristal de roche. Devenu miroir par l'adjonction d'une fine couche métallique, l'homme peut connaître son image plus précisément que par le reflet mouvant de l'onde ou celui, noir ténébreux, de l'obsidienne.

    Nulle part au monde le verre n'aura ainsi été autant travaillé - pour ne pas dire choyé - qu'à Murano. Aujourd'hui encore ses ateliers excellent. 

    Le Musée Maillol commence d'ailleurs son exposition toute en lumière et en créativité par quelques chefs-d'œuvre contemporains. 
    Puis il remonte le temps. 
    Quand, dès la fin du Moyen Âge, sort des fours brûlant nuit et jour cette lave de silice en fusion qui, aussitôt modelée par des équipes virtuoses, devient vase, coupe, bijou, lustre, richesses de la Sérénissime. 
    Les maîtres verriers avaient copié les recettes de l'Orient puis ils ont développé les leurs, toujours en grand secret, alimentant un marché d'ampleur européenne, puis mondiale. 

    Premiers clients: les familles Este, Gonzague ou Médicis qui président à l'avènement de la Renaissance. 
    Suivent les empereurs de l'âge classique et, ensuite, les palais bourgeois, les opéras, les vitrines des plus grandes marques nées avec l'Art déco des années 1920 ou celui du modernisme des années 1950…

    La sélection est forte de deux cents pièces, dont de nombreuses inédites ou exceptionnellement exposées. 

    Elles viennent des collections publiques italiennes ou de prestigieux fonds privés. 
    Les créations récentes ont participé au succès des dernières Biennales.

     Elles sont signées Othoniel, Jan Fabre, ORLAN ou encore Mona Hatoum
    Elles témoignent d'une tradition d'accueil de plasticiens, ravivée après-guerrepar Peggy Guggenheim. 
    Sous son règne s'étaient en effet succédé à Murano Arp, César, Fontana… 
    Faut-il citer d'autres noms? Les plus grands artistes et designers semblent unanimement fascinés par ce médium, tellement propice à l'expression.


  •  

A Parigi l'hotel di tutti i vizi






Si chiama Viceversa Hotel, é un hotel  parigino dal design particolare le cui stanze sono arredate
secondo temi davvero piccanti: i sette vizi capitali !


L’ingresso è il Paradiso, ma salendo le scale ci si addentra nel peccato fino ad arrivare all'Inferno: è una Divina Commedia al contrario, il frutto del design più peccaminoso.
Situato nel cuore di Parigi, città che di vizi e peccato ne sa qualcosa, questo hotel è interamente arredato a tema ‘cardinal sins’, i 7 peccati capitali.
Chantal Thomas è la designer che ha ideato uno stile e un arredamento consono ad ogni vizio per dar vita a questo hotel fuori dal comune. 
Ogni stanza, dalla carta da parati agli oggetti di decorazione è stata concepita come la culla di un vizio, in cui lasciarsi andare senza rimorso. 
La hall dell’albergo è in Paradiso: un grande salotto completamente candido, dove sprofondare su morbide poltrone sovrastate da candide ali d’angelo. 
Salendo i 6 piani dell’hotel e ci si avventura in una delle 37 camere disponibili, e il peccato comincia a manifestarsi.
Ogni piano è a tema, immerso in un’atmosfera che evoca  il peccato.
Siamo nel paradiso dei peccatori, lontano da sensi di colpa ma pieni di curiosità e di desiderio.

 

Per evocare il peccato di gola ci si puo' immergere in una atmosfera da tea house: teiere al posto dei lampadari, cuscini come macarons, cupcakes come complementi d’arredo. 
 
Il peccato d’avarizia é rappresentato da una stanza disseminata di banconote, di lingotti, di cassaforti. 
La stanza dedicata all’ira ha un’atmosfera carica di energia passionale: tutto ruota attorno al rosso e nero e l’arredamento è disseminato di pistole. 
Il peccato di superbia? In una stanza tutta marmi e colonne, statue e oro. 
L'Invidia? Una stanza piena zeppa di gioielli, profumi, scarpe… il lusso parigino si concentra tutto tra quattro sublimi mura. 
Il tempo si ferma nella stanza dell’accidia: un cielo blu per soffitto, farfalline svolazzanti, fiorellini… nessun motivo è valido per alzarsi dal letto in questo ambiente quieto e pacifico. 
Infine, il piacere della lussuria é evocato nel design rosa e nero, con silhouette suggestive disegnate sulle pareti, pizzo sulla testiera del letto, lo specchio sopra il letto, un lavandino a forma di cuore. Tutto suggerisce la sensualità. 
Ogni stanza del peccato si può scegliere in versione deluxe o classica.  
Il piacere supremo si conclude con l’hammam, dove tra vapori e fumi si scende in una sorta di gradevolissimo Inferno
La sala della colazione non poteva che essere una lussuriosa sorta di "candy shop", che da' l'acqualina in bocca !
 
L’Hotel Vice Versa si trova a Parigi accanto al Parco delle Esposizioni Porte de Versailles, 
rue de la Croix Nivert 75015


sabato 27 luglio 2013

Le 25 juillet 2013 Bernadette Lafont ...









A' 08h26 , le 25 juillet 2013, la comédienne  Bernadette Lafont a succombé après avoir été placée mercredi soir en réanimation, a précisé à l'AFP une source hospitalière. 

Elle avait été hospitalisée au CHU de Nîmes lundi, après avoir été victime d'un malaise alors qu'elle se trouvait au centre hélio-marin du Grau-du-Roi (Gard). Elle avait été secourue en début d'après-midi par les pompiers, puis par le Samu et transférée par hélicoptère à l'hôpital nîmois. 

Bernadette Lafont, qui enchaînait tournages et projets, avait connu cette année un beau succès dans le film "Paulette", où elle campait une retraitée qui se met à vendre du cannabis pour joindre les deux bouts. Résultat: plus d'un million d'entrée au box-office. 

Mais, à la mi-juillet, elle avait dû annuler, pour raison de santé, sa participation au festival de théâtre de Figeac (Lot). 

L'actrice, qui devait aussi tourner dans "Les vacances du petit Nicolas", avait été remplacée récemment pour les mêmes raisons par la comédienne Dominique Lavanant, a précisé à l'AFP le producteur du film, Marc Missonnier. 

Née le 26 octobre 1938 à Nîmes (Gard), cette fille de pharmacien se destinait d'abord à la danse tout en rêvant de cinéma.
Grâce à son premier mari, le comédien Gérard Blain, elle rencontre les jeunes réalisateurs de la Nouvelle vague, dont François Truffaut qui lui offre en 1957 son premier rôle dans le court métrage "Les mistons", puis Claude Chabrol pour "Le beau Serge", un succès. 







Brune sensuelle dotée d'un incroyable bagout et d'une voix très particulière, personnage haut en couleur au jeu spontané, Bernadette Lafont est devenue à la fin des années 50 l'égérie de la Nouvelle vague, tournant encore "La fiancée du pirate" de Nelly Kaplan, ou "Une belle fille comme moi" de François Truffaut. 

"Eprise d'amour et de liberté

"Ce qui m'avait séduite chez elle, c'est sa beauté, son talent, un regard extraordinaire et un sourire charmant", a déclaré jeudi à l'AFP Nelly Kaplan, se disant "effondrée" par la mort de celle qui était restée son "amie". 

"Le cinéma français perd avec Bernadette Laffont une artiste qui avait su par sa liberté épouser tous les genres, de la Nouvelle vague, aux comédies populaires", a déclaré dans un communiqué le Palais de l'Elysée, saluant celle qui "mettait dans ses rôles de la fantaisie, de l'audace et de l'humanité". 

Evoquant "La maman et la putain" de Jean Eustache, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a noté qu'"à travers ses rôles de femmes élégantes et modernes, dont l'inoubliable Marie (dans le film d'Eustache), elle incarnait avec une grâce toute particulière, la Parisienne éprise d'amour et de liberté". 
Le président du Festival de Cannes, Gilles Jacob, a fait part de "sa grande tristesse", parlant d'une "une énorme perte pour notre cinéma". 
"Elle était une actrice incontournable et unique du paysage cinématographique (...) Son authenticité et son originalité vont faire défaut", a souligné la présidente du Centre national du cinéma, Frédérique Bredin. 

Alternant films pointus et comédies plus ou moins anticonformistes, Bernadette Lafont était devenue une actrice incontournable du cinéma français, de "La Gueule de l'autre" de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Jean Poiret en 1979 à "L'Effrontée", de Claude Miller, avec Charlotte Gainsbourg en 1985, rôle pour lequel elle a obtenu le César du meilleur second rôle féminin.
Elle tournera aussi pour Louis Malle, Costa-Gavras, Jean-Pierre Mocky, etc. 
Couronnée par un César d'honneur en 2003 pour l'ensemble de sa carrière, qui compte plus d'une centaine de films, elle avait rejoint plus récemment Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg pour "Prête-moi ta main" en 2006 ou "La première étoile" en 2009 de Lucien Jean-Baptiste. Ce dernier a confié sur RTL être "vraiment très triste" parce que ce "monstre du cinéma" était "comme une petite mère" pour lui. 

Parallèlement au cinéma, elle a mené une véritable carrière au théâtre avec "La Tour de la Défense" du dramaturge argentin Copi en 1981 ou en 2006 "Si c'était à refaire" de Laurent Ruquier.
Elle était aussi une familière du petit écran, jouant dans de très nombreux téléfilms. 

Officier de la Légion d'honneur, Bernadette Lafont avait eu trois enfants. Sa fille cadette Pauline, actrice qui avait marqué les esprits dans "L'Eté en pente douce" de Gérard Krawczyk en 1987, était morte accidentellement en 1988 à l'âge de 25 ans. 

Bernadette Lafont, son entretien pour le magazine Femina

Egérie de la Nouvelle vague et comédienne populaire, l'actrice Bernadette Lafont s'est éteinte jeudi 25 juillet, au matin, à l'âge de 74 ans au CHU de Nîmes, un décès qui a déclenché une vague d'hommages.
Au debut de l'année elle a été interviewée par le journal FEMINA.




Interview du 16 janvier 2013 d'Edmée Cuttat pour le magazine Femina

 






A presque 75 ans, Bernadette Lafont dégage une énergie communicative. Le temps qui passe, elle s’en fiche. Ses projets la passionnent.

Fille d’un pharmacien nîmois qu’elle adorait et pour qui elle a voulu devenir célèbre, égérie de la Nouvelle Vague,
Bernadette Lafont illumine les écrans de son insolence, de son naturel, de sa voix inimitable, depuis plus d’un demi-siècle.
Le 26 octobre prochain, la populaire et charismatique actrice, à l’affiche de tant de films qu’elle en a perdu le compte, va fêter ses 75 ans. Difficile à croire quand on la rencontre dans les locaux de la Gaumont à Neuilly.


Ligne de jeune fille, impeccablement maquillée et coiffée, la comédienne est pimpante, dynamique, chaleureuse.
Depuis toujours, le théâtre et le cinéma dominent son quotidien, la motivent et la font avancer. Mais au-delà de Paulette, où elle incarne une mamie dealeuse de shit méchante et raciste, cette native du Scorpion se plie avec grâce et humour au jeu de l’interview pour dévoiler une part plus intime.

FEMINA  Hors des plateaux ou de la scène, qui êtes-vous et comment vivez-vous?

Une personne ordinaire qui a vécu une enfance heureuse, s’est le plus souvent bien amusée, et une têtue qui a l’habitude de réaliser ses rêves. Je mène une existence simple, saine, très réglée. Je suis assez monacale, je sors peu, je dors beaucoup. Je suis du matin, dont l’énergie me dope. Fervente adepte de l’effort physique, je pratique assidûment le Pilates pour me tenir en forme et me donner à fond dans mon métier.

Des moments de détente quand même, au milieu de cette activité forcenée?

Je n’ai pas la télévision, mais j’écoute beaucoup la radio. Je fais du feu dans ma cheminée, je lis, surtout des biographies. Je suis curieuse de tout ce que je ne connais pas et je n’ai jamais fini d’apprendre.

L’automne prochain, vous fêterez vos 75 ans. Est-ce que cela vous angoisse?

Non. Tant que je travaille et que j’aides projets, la vieillesse ne me fait pas peur. Et j’en ai des tas, de projets! A part mon métier, j’ai une passion, les travaux dans les maisons.
J’en ai deux. Une dans les Cévennes et l’autre dans les Deux-Sèvres, vers Saumur.
J’adore les arranger. Sinon, j’aime aller au marché et dénicher de quoi préparer des repas pour mes amis. Je me prends deux jours. Un pour les courses l’autre pour cuisiner. Souvent des plats à base de champignons... Je ne suis pas très dessert, mais je réussis des mélanges de fruits crus et cuits.

Votre anticonformisme est légendaire. On a même dit que vous incarniez l’indépendance sexuelle et intellectuelle. Dans «La fiancée du pirate», les hommes tombent comme des mouches face à vous.

Si vous voulez la liberté, prenez-la, n’attendez pas qu’on vous la donne. C’est ce que j’ai fait. Il y a tant de pièges dans la société. Quant à l’indépendance sexuelle, chaque chose en son temps. Aujourd’hui… Mais il est vrai que je n’ai pas boudé mon plaisir, particulièrement dans les années avant le sida. J’ai eu plein d’amants. Je ne suis d’ailleurs pas la seule. A cette époque on faisait l’amour comme on prenait le thé.

Vous sentez-vous plus femme, mère, ou comédienne?

Difficile de répondre. J’ai eu deux maris, trois enfants, un garçon et deux filles, dont Pauline, qui est morte dans un accident de forêt en 1988. Il y a un avant et un après Pauline… On ne se remet jamais d’une telle tragédie… Mais mon métier m’a sauvée. Je suis donc davantage une comédienne dans la mesure où j’ai choisi le métier d’abord.

En dépit de votre côté décomplexé, y a-t-il des choses qui vous font rougir?

Je suis souvent choquée. Par la vulgarité, l’incivilité, le spectacle parfois navrant qu’offrent nos politiciens. Mais cela ne me fait pas rougir, cela me met en colère. Comme l’abandon des vieux qui a inspiré Paulette, mon dernier film. Il est parti de l’histoire vraie d’une vieille dame, qui décide de trafiquer du haschisch dans sa cuisine pour ne pas se retrouver à la rue. Aujourd’hui, on veut nier la vieillesse. Tout le monde doit être jeune et beau. C’est fatigant.

Quel est le plus beau compliment qu’on vous ait fait. Et de qui venait-il?

De Robert Hirsch, un acteur pour qui j’ai une dévotion absolue. Il dit toujours en m’accueillant: «Voila le plus beau sourire du cinéma français.»

Y a-t-il une chose que vous ne savez pas faire et qui vous handicape?

Je suis nulle en pâtisserie, c’est dommage pour mes petits-enfants. J’en ai cinq. Trois filles et deux garçons. Et puis il y a une chose que je regrette bien qu’elle ne soit pas un handicap, c’est de ne pas avoir appris à monter à cheval. J’avais en fait une véritable peur de cet animal.

Revenons au cinéma, vous avez tourné quelque 150 films, des courts-métrages, des téléfilms... N’avez-vous jamais eu envie de passer derrière la caméra?

N’importe qui aujourd’hui se pique de réalisation. Mais je respecte trop le cinéma pour cela. Il faut avoir quelque chose à dire. Je suis à ma place dans mon histoire d’interprète et ça me va très bien.

Comme vous ne vous arrêtez jamais, où et quand vous retrouvera-t-on prochainement?

En février, je serai sur scène à l’Opéra Comique dans Ciboulette, mis en scène par Michel Fau. Et au cinéma, on me verra dans Attila Marcel, une comédie de Sylvain Chaumet.

Une dernière question, Bernadette Lafont. Si vous pouviez recommencer votre vie?

Je crois bien que je referais la même chose. Ou peut-être serais-je chorégraphe. Je viens de la danse, même si je ne l’ai pratiquée qu’en amateur.







venerdì 21 giugno 2013

Carla Bruni : dolce Francia ! j'aime !





Little French Songs ,in italiano: Piccole Canzoni Francesi è il quarto album della cantautrice Carla Bruni.
Il disco, in Francia, è stato pubblicato in 3 edizioni musicali.
Il suo primo singolo intitolato Chez Keith et Anita anticipa l'uscita del suo quarto album in studio intitolato Little French Songs.



Per presentare questo lavoro, il 13 febbraio Carla Bruni  ha partecipato come ospite alla seconda serata del Festival di Sanremo, condotto da Fabio Fazio
Tra i brani, oltre a Chez Keith et Anita che cita Keith Richards e Anita Pallenberg, Mon Raymond é dedicata al marito Nicolas Sarkozy e Dolce Francia é l'adattamento in italiano della canzone di Charles Trenet " Douce France".

ecco il testo :


Parole della canzone  Dolce Francia tratta dall’album di Carla Bruni





Mi ritornano di notte dei pensieri tutti miei
Dei ricordi dell’infanzia profumati come mai
Mi ricordo la mia scuola la mia strada la città
E le canzoni che cantavo di Trenet o di Ferrat
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel moi cuor’
La mia casa che tranquilla ci aspettava
Ogni sera si sognava senza l’ombra di un timor’
Io ti amo e ti dedico ‘sto brano
Io ti amo nella gioia e nel dolor’
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor
Oggi vado per il mondo sotto mille celi blu
È incantevole e rotondo da Venezia a Tombouctou
Ma i miei più cari ricordi vengono tutti da te
Dai tuoi verdi paesaggi i tuoi villaggi i tuoi caffè
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor’
La mia casa che tranquilla ci aspettava
E mia madre sorrideva senza l’ombra di un timor’
Io ti amo e ti dedico ‘sto brano
Io ti amo nella gioia e nel dolor’
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor’
Si ti ho presa nel mio cuor’

Un consiglio : ascoltare questa canzone.
A me piace molto ,  ma siccome "de gustibus non est disputandum" ...ciascuno sifarà la propria idea !

domenica 16 giugno 2013

Adriano Celentano, la sua piccola biografia.






Ecco qui una piccola biografia di Adriano Celentano, un personaggio carismatico del mondo della musica italiana, e non solo.
Attore, cantante, presentatore, personaggio implicato pubblicamente nella vita sociale dell'Italia di ieri e di oggi;
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Milanese di origine pugliese, Adriano Celentano, "il molleggiato", nasce a Milano nel 1938, il 6 gennaio.
Comincia ad esibirsi come comico e imitatore nei cabaret milanesi, poi debutta ufficialmente come cantante al palazzo del Ghiaccio di Milano nel corso del Primo Festival del Rock And Roll.
E' il 1957. 
Gli bastano tre o quattro 45 giri per trasformarsi nel protagonista più idolatrato (e spesso più criticato) della canzone italiana. 

Popolarissimo già come "rocker", diventa in seguito interprete di singolari ballate ispirate ai generi più vari (musica soul, tango, valzer, shimmy) e, a partire dal 1965 si dedica con lo stesso successo anche al cinema, tanto come regista (Super rapina a Milano), quanto come interprete (Serafino, 1968, di P. Germi), rivelando davanti alla macchina da presa una singolare vena comica, favorita dall'aria sorniona e dalle sue doti di "molleggiato".





Colleziona in circa 40 anni una serie impressionante di successi discografici, ma anche come attore non scherza. 
Lo ricordiamo in "Bianco, rosso e..." (1972), di A. Lattuada, in "Rugantino" (1973), in "Qua la mano" (1979), in "Il bisbetico domato" (1980), in "Segni particolari: bellissimo" (1988), e come regista in "Yuppi Du" (1975), "L'altra metà del cielo" (1976), "Geppo il folle".

Nell'inverno 1987-1988 ha voluto scommettere anche sulla propria popolarità televisiva, accettando di condurre il varietà del sabato sera, "Fantastico 8". 
Ne sono sortite pagine intere sui quotidiani, una valanga di polemiche, ma soprattutto "picchi" di audience da record e un ennesimo successo discografico. 





Sono molte le canzoni che lo consegnano alla storia della canzone italiana. Alcune poi sono piccoli gioielli, come "Azzurro", "Una carezza in un pugno" e "Il ragazzo della via Gluck". Tra le incisioni più recenti ricordiamo album come "La pubblica ottusità" (1989), "Il re degli ignoranti" (1991) e "Quel punto" (1994), ma sul mercato discografico continuano ad occupare uno spazio rilevante tutti i dischi del suo lungo catalogo e diverse antologie di largo successo come il recente "Le origini di Adriano Celentano".





Nel 1999 pubblica il cd "Io non so parlar d'amore" nato dalla  collaborazione con Mogol, per i testi, e Gianni Bella per le musiche. 
Nel 2000 realizza per la Rai un programma dal titolo "Francamente me ne infischio", in cui accosta musica, con la partecipazione di moltissimi artisti italiani ed internazionali, e temi sociali, scatenando polemiche per la durezza di alcuni immagini trasmesse. 
A novembre dello stesso anno pubblica il nuovo album nato dalla fortunata collaborazione con Mogol e Gianni Bella, "Esco di rado (e parlo ancora meno)". 






Nel 2003, esce il cd Per sempre approdato nei negozi sulla scia dello straordinario successo ottenuto dai due precedenti album. 
Ultima fatica è l'album "C'è sempre un motivo" (2004) che contiene anche un brano indedito di Fabrizio De André intitolato "Lunfardia", cantata nel dialetto di Buenos Aires.

E' sposato dal 1964 con la bellissima attrice e cantante Claudia Mori, con la quale ha avuto 3 figli : 
Rosalinda, Giacomo e la mediatica Rosita.




Venerdi' prossimo festeggiamo la Musica !


 
 
 
Come é nata la festa della Musica. 
Il progetto "Festa della Musica" nasce in Francia nel 1981, grazie sopratutto all'intiuzione di tre figure carismatiche del partito socialista: Christian Dupavillon, architetto e amico del Ministro della Cultura; Maurice Fleuret, critico musicale e neo Direttore della Musica; e Jack Lang, nuovo capo della Rue de Valois.
Tutto comincia nell'inverno 1981-1982, quando Maurice Fleuret presenta a Christian Dupavillon una nota dove sostiene che la nuova politica musicale del paese dovrebbe tenere conto di un dato rilevante: i francesi posseggono più di quattro milioni di strumenti musicali.
Dopo un anno di riflessione ed esitazioni, il governo prende dunque la decisione di dare vita ad un fenomeno culturale senza precedenti nelle nazioni moderne: una "festa della musica", nazionale, popolare e gratuita.
La "Fête de la Musique" viene lanciata il 21 giugno 1982, giorno del solstizio d'estate, in una notte pagana che richiama l'antica tradizione delle feste di San Giovanni.
Essa non ha niente in comune con un Festival di musica - generalmente basato su un determinato compositore o genere musicale, secondo una programmazione selezionata da un direttore artistico - al contrario, questa è prima di tutto una festa popolare gratuita, aperta a tutti coloro che desiderano produrvisi, ed a tutti i generi musicali.
Il successo dell'evento è immediato e spontaneo.
In meno di 20 anni la Festa diventa un avvenimento mondiale e uno dei simboli dell'unione culturale tra i Paesi ed i popoli.

La filosofia di questa festa diventata internazionale.

Diversa da un festival, senza vincoli di genere musicale, la manifestazione è "la festa di tutte le musiche" e di tutti i musicisti. Siano essi professionisti o semplici appassionati, a tutti la Festa garantisce un palcoscenico.
E' L'incontro tra generi, culture e professionalità diverse, tra musica classica e rock, colta e popolare, tra passione e mestiere.
Al pubblico, la Festa regala centinaia di concerti gratuiti di tutti i generi musicali, in centro e in periferia, per rispondere a un ideale democratico di manifestazione popolare aperta a tutti e per valorizzare, qualificare ed animare anche gli spazi poco conosciuti della città.
Il progetto è un bell'esempio di come la Festa Europea della Musica diventi uno spazio di sperimentazione e stimolo alla creatività, e faciliti i giovani musicisti nella realizzazione dei loro progetti, offrendo loro la possibilità di realizzare le loro idee e di diventare protagonisti di spazi importanti della città.
Dalla sua nascita, trenta anni fa, la Festa della Musica si propone di offrire un palcoscenico ai giovani musicisti, di stimolare l'ascolto, la pratica e lo studio della musica, di favorire l'incontro tra culture e generi.
Partendo dal principio ispiratore "FATE LA MUSICA", la Festa intende promuovere i patrimoni culturali europei, far conoscere, condividere ed apprezzare la straordinaria vitalità e la diversità del mondo musicale in Europa e allo stesso tempo promuovere la pratica musicale e la musica viva.
 
La Francia sceglie "la voce" come tema per l'edizione 2013 della Festa europea della musica.
A Roma la Festa europea della musica quest'anno è dedicata a Giuseppe Verdi, nel bicentenario della nascita.