sabato 6 marzo 2010

La lussuria come motore della conoscenza



"Le donne troppo virtuose hanno in sè qualcosa che non è mai casto" diceva Denis Diderot.


Oggi la lussuria torna sulla cresta dell'onda come la passione in grado di salvare la società dall'appiattimento socio-culturale a cui va incontro.

Alcuni scienziati russi stanno esplorando la lussuria per cercare di capire quale sia la natura del “vizio” : c'è chi ha una visione alternativa e spiega il peccato capitale come passione e motore della conoscenza.

Giulio Giorello, professore di Filosofia della Scienza all'Università statale di Milano ha appena scritto un libro sul tema per Il Mulino ("La lussuria: la passione della conoscenza") e giovedì 4 marzo ne ha parlato all'interno del progetto culturale in sette serate ideato dalla filosofa Nicla Vassallo "I Vizi capitali delle donne" promosso da O.N.Da (Osservatorio Nazionale sulla salute della Donna: http://www.ondaosservatorio.it/) in partnership col Museo Nazionale della Scienza e della Tecnologia (http://www.museoscienza.org/).
Freud sosteneva che l’istinto sessuale è una forza irresistibile, impossibile da controllare.

La Chiesa crede che si possa e debba resistere alla tentazione della carne, la scienza ritiene invece che l’istinto di riproduzione sia naturale e necessario per l’esistenza di qualsiasi tipo, compresi gli esseri umani, ma chi ha realmente ragione?
Questa è la domanda da cui partire per arrivare a spiegare come la spinta della tentazione e della naturale tendenza a lasciarsi trasportare da voglie e desiderio siano l'elemento chiave per la scoperta di nuovi mondi e nuovi linguaggi.

In molte confessioni religiose la lussuria è considerata un peccato, in quanto menomazione della volontà individuale e discernimento del bene e del male più che, come si ritiene comunemente, un "male in sé", inteso come atto in sé riprovevole.
Per altre religioni, invece, la lussuria non rappresenta un male.

La definizione di lussuria, anche alla luce delle mutazioni culturali intervenute nel corso dei secoli, è stata ovviamente oggetto di variazioni interpretative.
Alla visione rigoristica tradizionale si sono nel tempo contrapposte teorie più o meno attenuate, ad esempio in Pietro Abelardo (che ne discettava con buona esperienza e per il quale sussisterebbe una inclinazione alla lussuria "per complessione fisica", cfr. peccato originale), o in visioni genuinamente gioiose del Cantico dei Cantici.

Nella religione pagana classica poteva essere al contrario considerata un mezzo di contatto con il divino, come per esempio in ambito dionisiaco: fu per queste ragioni che i Baccanali furono proibiti nell'antica Roma nel 186 a.C.
Esisteva inoltre la prostituzione sacra, praticata dalle sacerdotesse di alcuni templi orientali. Al tempo stesso però esisteva il culto di Estia per i greci e Vesta per i romani, che tutelavano il focolare familiare e preservavano la castità.

Nell'induismo esiste una via morale iniziatica che si basa sulla lussuria, il Kama Sutra.

giovedì 11 febbraio 2010

Un bar restaurant éphèmère au Crillon


Le Vogue Bar , un lieu éphémère pendant la Fashion Week de mars.

A l'occasion de la semaine du prêt-à-porter qui se tiendra à Paris du 3 au 10 mars 2010, Vogue investi l'Hôtel de Crillon avec une grande première : Le Vogue Bar.

Nouvelle « place to be » de la capitale, il sera ouvert du 4 au 13 mars, de 10h à 2h du matin et proposera une carte « sur le pouce » pour des envies variées et de nombreux cocktails avec ou sans alcool.

Le Vogue Bar accueillera également une « make-up station » animée par les make-up artistes de Lancôme, pour une retouche ou un consulting maquillage personnalisé.

Et pour ceux qui n'ont pas la chance d'assister aux défilés, des écrans géants retransmettront en direct l'actualité de la Fashion Week via le Twitter VogueParisLive.

Rédactrices, mannequins, photographes, designers, lectrices de Vogue et autres personnalités de la mode, pourront s'y retrouver pour faire une pause entre deux défilés et débriefer sur les nouvelles collections de prêt-à-porter automne-hiver 2010-2011.

martedì 9 febbraio 2010

La nostalgia degli anni della Dolce Vita







Ah, gli anni della Dolce Vita, che nostalgia !




A cinquant'anni dalla realizzazione del capolavoro di Federico Fellini, il Museo Nazionale del Cinema presenta alla Mole Antonelliana, dal 19 gennaio al 21 marzo 2010, le fotografie di Marcello Geppetti e Arturo Zavattini.








domenica 7 febbraio 2010

Un DVD sur le personnage Anna Wintour

Icône du monde de la mode, Anna Wintour est une institution dans l’univers de la mode, tout comme son magazine.

Jusqu’à présent, elle n’avait jamais autorisé quiconque à s’immiscer dans les arcanes de la création de son magazine.
Le DVD contient le film en VOSTF 2.0, les chapitres et un entretien avec R.J Cutler de 14 minutes dans lequel le réalisateur revient en détail sur la genèse du film, sa rencontre avec Anna Wintour, ses relations avec l'équipe de Vogue, ses méthodes de tournage.
Sans oublier 64 minutes de séquences inédites dont:

- Anna Wintour et son assistante se rendent dans l'atelier parisien de Chanel, où elles rencontrent Karl Lagerfeld, qui leur soumet sa nouvelle collection ainsi que sa vision toute personnelle du système des soldes,
- Anna et l'équipe de Vogue préparent de façon fébrile et tendue une séance photo avec Michelle Obama,
- Entretien intime avec Grace Coddington, qui parle de ses inspirations et de sa passion pour les chats,- Plusieurs séquences enlevées autour de André Léon Talley, en visite professionnelle (mais pas seulement) à Paris,
- Anna fait un discours lors de la cérémonie en l'honneur de Isabella Blow, son ancienne assistante qui vient de se suicider.


Anna Wintour est rédactrice en chef de Vogue depuis 1988.
Elle est entrée dans le groupe d’édition Condé Nast en 1983 comme directrice de la création de Vogue. En 1986, elle est revenue en Angleterre, dont elle est originaire, pour devenir rédactrice en chef de l’édition britannique du magazine. Elle a été rédactrice en chef de HG de septembre 1987 à juillet 1988, date à laquelle elle a été nommée à son poste actuel.Anna Wintour a entamé sa carrière en 1970 au département mode du magazine Harpers & Queen à Londres. En 1976, elle s’est installée à New York et a rejoint la rédaction de Harper’s Bazaar comme rédactrice de mode.
En 1981, elle est passée chez New York comme rédactrice senior, et a couvert alors les secteurs de la mode et des styles de vie.

Chez Vogue, Anna Wintour s’est investie dans la collecte de fonds pour des oeuvres. En 1990, elle a joué un rôle clé dans le développement du programme caritatif de l’industrie de la mode contre le sida, la CFDA/Vogue Initiative.De 1995 à ce jour, Anna Wintour a co-présidé dix galas de bienfaisance pour le Costume Institute du Metropolitan Museum of Art.

En reconnaissance de son dévouement, le musée a nommé Ms.Wintour administratrice honoraire en 1998. En 2003, Anna Wintour a dirigé la création du CFDA/Vogue Fashion Fund, un prix inédit destiné à aider de jeunes créateurs de mode américains qui tentent de se faire un nom.
Le Fashion Fund Award a évolué pour devenir un jalon prestigieux dans la carrière des jeunes créateurs, et a inspiré les industries de la mode européenne qui ont mis en place des programmes similaires.
Anna Wintour a reçu de nombreux prix en récompense de son engagement personnel et de ses accomplissements philanthropiques, dont le Lifetime Achievement Award du Council of Fashion Designers of America (CFDA) et l’Award of Courage for AIDS Research de l’American Foundation for AIDS Research (amFAR).

Parallèlement à son travail chez Vogue, Anna Wintour s’est chargée du développement et du lancement de Teen Vogue en 2001 et de Men’s Vogue en 2005.
Elle est directrice éditoriale des deux magazines.

Le nouveau festival 2010 d' Aix en Provence

Après une édition 2009 marquée par l'austérité et la crise, le festival renoue avec une programmation étoffée et variée
Pour 2010, "on redéveloppe" le festival, a expliqué le directeur Bernard Foccroulle le 18 janvier en présentant la 62e édition (1er-21 juillet).
Au menu, cinq productions lyriques dont une création mondiale, le retour du site du Grand-Saint-Jean (pas utilisé par le festival depuis 2006) et l'arrivée en résidence du London Symphony Orchestra.
En 2009, en pleine crise économique, le patron belge du festival avait réduit la programmation lyrique à quatre productions pour faire face aux éventuelles conséquences financières.

Pour 2010, Bernard Foccroulle se garde tout de même d'en faire trop.
"Ce n'est pas le moment des fuites en avant (...)
On a bien traversé la crise mais je ne suis pas certain qu'elle soit terminée.
Il faut qu'on reste très vigilant et qu'on soit créatif.

"Une création mondiale et le retour au Grand Saint-JeanLe festival 2010 d'Aix-en-Provence sera donc marqué par la création mondiale de "Un retour - El regreso" (4-17 juillet), un opéra de chambre (avec orchestre et choeurs réduits) du compositeur argentin Oscar Strasnoy, né en 1970, avec le chef Roland Hairabedian et son ensemble marseillais Musicatreize dans la fosse, et Thierry Thieû Niang à la mise en scène.

Cette production marquera le retour du festival au domaine du Grand Saint-Jean, à quelques kilomètres au nord d'Aix, où la manifestation n'a pas organisé d'événements depuis 2006. L'oeuvre a été écrite sur un livret de l'Argentin Alberto Manguel d'après son propre roman "El regreso".

Le Grand Saint-Jean devrait désormais accueillir les productions de l'Académie européenne de musique, centre de formation de jeunes artistes du festival, qui lance cette année le réseau européen ENOA (en partenariat avec des structures allemandes, belges, britanniques, norvégiennes et polonaises).Les quatre autres opéras programmés

- Du 1er au 20 juillet, le Théâtre de l'Archevêché accueillera "Don Giovanni" de Mozart, ouvrage dirigé par Louis Langrée (sauf les 18-20 juillet) à la tête de l'Orchestre baroque de Fribourg (Freiburger Barockorchester, FBO) et mis en scène par le Russe Dmitri Tcherniakov, avec le baryton danois Bo Skovhus dans le rôle-titre.

- Toujours au Théâtre de l'Archevêché, du 2 au 13 juillet, le même FBO accompagnera "Alceste" de Gluck, sous la houlette du chef britannique Ivor Bolton et dans une mise en scène de l'Allemand Christof Loy, avec la soprano française Véronique Gens dans le rôle-titre.

- Du 3 au 10 juillet, le Grand Théâtre de Provence accueillera "Le Rossignol" et d'autres fables d'Igor Stravinsky, scénographiées par le célèbre artiste québécois Robert Lepage, avec dans la fosse le Japonais Kazushi Ono à la tête de l'Orchestre de l'Opéra de Lyon.

- Du 16 au 21 juillet, le même Grand Théâtre de Provence accueillera enfin "Pygmalion" et des fragments d'"Hippolyte et Aricie" de Rameau, avec William Christie et ses Arts Florissants, dans une scénographie et une chorégraphie de l'Américaine Trisha Brown, avec la soprano belge Sophie Karthäuser.

L'installation du London Symphony OrchestraAprès quatre années de résidence festivalière pour la Philharmonie de Berlin (2006-2009), le temps du cycle prestigieux et onéreux de la Tétralogie de Wagner, le festival accueille une nouvelle phalange en résidence (2010-2013), celle du London Symphony Orchestra (LSO), connu pour son expérience en pédagogie.

Elle débutera par deux concerts (17 et 18 juillet) dirigés par Sir Colin Davis et la mise sur pied d'une nouvelle formation, l'Orchestre des jeunes du Festival d'Aix, pour clôturer le festival (21 juillet).

Par ailleurs, le festival propose des soirées dédiées aux musiques du monde, avec un hommage au poète palestinien Mahmoud Darwich (1941-2008) le 6 juillet et une rencontre entre musiques du jazz et du Mali le 8 juillet.

Trieste e Bologna di David B. (in francese)




L'inclassable David B. débarque chez Delcourt avec son "Journal d'Italie - Trieste Bologne" (Collection Shampooing).
L’auteur de L’Ascension du Haut Mal nous plonge une nouvelle fois dans son imaginaire avec ce journal qui n’en a que le nom.
Ses balades dans l’Italie du nord (Trieste, Venise, Parme et Bologne) ne sont que prétexte à des rencontres surréalistes et des envolées irréelles. Du pur David B. !
C’est plus qu’une tendance, les blogs des auteurs de BD prolifèrent comme des champignons. Tous en ont un ou presque.

Tous sauf un, David B. L’envie de tenir un journal était pourtant bien là mais pas question de se “laisser aller” à raconter son quotidien.
Jugeant sa vie pas assez passionnante, l’auteur a donc choisir de faire un journal qui lui ressemble, ou plutôt un miroir de son imaginaire, là où naissent ses histoires.
“Je me suis demandé comme je pourrais l’aborder à ma manière, indique David B.
Ce Journal d’Italie explique comment je construis mon imaginaire grâce à un répertoire d’idée.
Il s’agit du récit de ce qui se passe dans mon cerveau plutôt que de ce qui se passe dans ma vie...” On est donc là au coeur de la matière première du faiseur d’histoire. Ses pérégrinations et ses rencontres.
Dans l’Italie de sa femme qu’il a appris à aimer grâce à sa culture du fantastique et cinématographique, chaque recoin, chaque animal (surtout les chats), chaque librairie, chaque rêve, chaque personne le renvoie à une histoire fantastique, un conte, une angoisse.
Ses thèmes favoris y prennent une large part.

Une certaine noirceur, la peur, l’inquiétude sont toujours aussi palpable. Mais quel régal de se laisser aller dans la tête de David B.
L’histoire du ghetto de Venise est à elle seule un petit chef d’oeuvre.

Comme Pratt en son temps avec Corto Maltese, l’auteur nous balade dans ce haut lieu historique, empreint de mythologie.
Grâce à son style graphique très libre (pas de crayonné mais directement de la plume), il n’a pas besoin de penser ses planches comme sur un album classique. Le Journal y gagne en fluidité et en originalité.
C’est notamment le cas avec le passage sur la mafia qui a elle aussi inspiré David B. A travers l’histoire sanglante de Lucky Luciano, on s’éloigne des clichés habituels. Dans cet univers emplis de violence, l’auteur se livre à un festival graphique et narratif. Du grand art !

Collection Shampooing
Journal d'Italie - Tome 1 : Trieste Bologne
par David B.
Editions DelcourtPrix : 14,95 €

giovedì 4 febbraio 2010

Tommy H. celebra Keith Haring

Tommy Hilfiger ha contribuito a rendere il graffito una vera e propria forma d’arte.
Keith Haring, scomparso 2 decennie fa, viene celebrato da Tommy Hilfiger con una serie di sneakers create con il suo stile incomparabile.

La griffe Hilfiger si è unita alla celebre Keith Haring Foundation – inaugurata dallo stesso artista prima della sua morte per aiutare i bambini malati di AIDS – e ha realizzato una capsule collection per uomo, donna e bambino, ispirata alle celebri stampe dell’artista.

Già nel 1986, Haring era noto per aver aperto a New York uno dei primi Pop Shop, dove era possibile acquistare gadget delle sue opere e vederlo al lavoro.

Seguendo il modello, Hilfiger ha deciso di organizzare un Pop Store all’interno della boutique parigina Colette (distributore esclusivo di questa linea cult a Parigi), dal 4 al 13 febbraio

Fra qualche mese l'esposizione arriva in Italia.

venerdì 29 gennaio 2010

Ellen von Unwerth : "Fräulein". Ritratti.














































Taschen e la fotografa Ellen von Untwerth hanno prodotto una magnifica e lussuosa monografia in edizione limitata di 1500 copie numerate.

Il volume contiene ritratti di Claudia Schiffer, Kate Moss, Vanessa Paradis, Eva Mendes, Adriana Lima, Carla Bruni, Eva Green, Monica Bellucci e molte altre realizzati negli ultimi 15 anni e in parte inediti.

La mitica Terrazza Martini




La Terrazza Martini é situata in piazza Diaz 7 , zona Duomo,.
Dal 15° piano del grattacielo omonimo si può godere il più bel panorama su Milano.

Peccato però che per accedere a questo luogo privilegiato occorra essere invitati ad un evento mondano oppure più modestamente a una cena aziendale ).

Infatti il locale é raramente aperto al pubblico.
Vetro laccato rigorosamente rosso-Martini, parquet in Cabreuva Incenso, verniciato a mano e posato a spina di pesce, acciaio lucente, legno di Bambo, resina e pelle : un mix di materiali e forme dal design firmato Poltrona Frau che crea un ambiente accogliente e soprattutto esclusivo.

Progettata alla fine degli anni ‘50, la terrazza è stata rinnovata nel 2007 dallo Studio Puresang di Anversa, con l'intenzione di avvicinare Milano al cinema e ai suoi protagonisti attraverso un desing moderno e lussuoso.

giovedì 28 gennaio 2010

L'erede di Kate Moss




La somiglianza tra Toni e Kate è innegabile
Il fascino, i lati oscuri e le sue eccentricità,fanno di Kate Moss una protagonista della moda mondiale, ma non solo.

Schiere di giornalisti e fotografi ne seguono eccessi e passioni, cadute e resurrezioni, e i magazine di tutto il mondo si contendono l’ultima apparizione della super modella londinese, che continua a scrollarsi di dosso la polvere dell’ultimo scandalo con il suo elegantissimo incedere e il suo sguardo distante.

Come è accaduto a tutte le dive, anche per Kate Moss si è aperta la caccia alla sua erede tra le schiere di giovanissime modelle che si affacciano al mondo luccicante delle passerelle con il mito di Kate ben impresso in mente.
Il numero di gennaio di Vogue Germania dedica un ampio servizio fotografico proprio a una di queste possibili emule, la diciassettenne Toni Garrn.

E in effetti la somiglianza di questa giovane modella tedesca, classificatasi all’undicesimo posto nella speciale classifica Top 50 Models Women List, con la Moss è davvero impressionante. Stessa bellezza eterea, stessa eleganza altezzosa, stessi colori, pallidi e tenui. Nel servizio di Vogue Germania firmato dalla fotografa Camilla Akrans e intitolato “Holiday”, Toni Garrn gioca con l’immagine di un’altra immortale icona di stile, Brigitte Bardot, in una serie di scatti dal sapore rétro, con acconciature hollywoodiane e uno sguardo languido e seducente.

Le somiglianze tra la Garrn e Kate Moss, tuttavia, si fermano per il momento solo in superficie: al contrario della supermodella inglese, Toni Garrn pare avere un temperamento riservato e tranquillo, che la tiene alla larga dagli eccessi che hanno contribuito, in maniera controversa, a creare il mito di Kate Moss non solo come modella, ma come vera e propria icona.
Niente fidanzati violenti per Toni, né festini in perfetto stile “sesso, droga & rock’n’roll”.

La presenza a tutti gli eventi mondani più glamour e fotografati, assieme a una certa predilezione per il trench, invece, accomunano le due bellissime modelle.

Toni Garrn ha esordito con alcune campagne esclusive per Calvin Klein nel 2008, seguite da una lunga serie di impegni con altri importanti brand della moda, da Hugo Boss a Shiseido, da Versace a Dior, da Prada a Donna Karan.

Sembrerebbe dunque che, a prescindere da ogni possibile parallelismo, più o meno ricercato, Toni abbia davanti a sé una carriera di tutto rispetto, con o senza l’ombra dell’intramontabile Kate a fare da sfondo.

lunedì 18 gennaio 2010

Kate Moss per Longchamp


Kate Moss é sempre all'affiche.
Longchamp, il noto marchio di pelletteria
francese ha infatti deciso di collaborare con la sua più celebre testimonial nella realizzazione di due capsule collection di borse e accessori.
Stilista di una collaudata linea di abbigliamento per il brand inglese Topshop, Kate ha confidato di essere eccitata da questa nuova sfida fashion d’alta gamma.

Ovidie,"porno femminista"....


Ovidie racconta in “Histoire de sexe(s)” le tante facce del piacere.
Foto ©La Presse Ovidie Becht

Pensato spesso come un prodotto a uso e consumo di un pubblico maschile, il genere porno è da decenni accusato dalle femministe di riprodurre stereotipi degradanti della donna vista solo come oggetto sessuale destinato unicamente a esaltare il desiderio maschile.

Esiste però un’altra faccia del porno, etichettata in maniera un po’ approssimativa come “porno femminista”, che esplora l’universo del piacere femminile, le sue fantasie, i suoi lati oscuri. Sebbene esista una “corrente” di questo tipo anche negli Stati Uniti, è la francese Ovidie la regina incontrastata di questo genere.

Ovidie nasce nel 1980 da una famiglia alto borghese, e già da adolescente inizia a interessarsi al mercato del porno, quando, militante femminista in erba, vuole approfondire con una ricerca gli stereotipi femminili degradanti nei film porno.
Ben presto quest’universo la assorbe al punto tale che, appena diciottenne, studentessa di filosofia, inizia a recitare lei stessa in alcune pellicole hard, diventando nel giro di pochissimo tempo una star del settore.
La sua ambizione è di cambiare dall’interno il mondo del porno, introducendovi produzioni destinate specificamente a un pubblico femminile.

Già a vent’anni passa dall’altra parte della macchina da presa.

Uno dei suoi film, “Lilith” (2001), riesce a entrare nel circuito del cinema mainstream, e Ovidie inizia a essere invitata ovunque in veste di “esperta”, di “femminista”, di “performer”.

Tutte etichette che le vanno strette, ma alle quali si adegua pur di poter diffondere il suo lavoro. Le donne, dichiara in un’intervista recente, “per secoli si sono vergognate di amare il sesso, così si è diffusa la convinzione che fosse importante solo per gli uomini”.
Al contrario, prosegue, “anche le donne hanno un loro ricco immaginario sessuale”.

Ovidie è oggi regista, produttrice, scrittrice e continua a battersi per il superamento degli stereotipi e dei silenzi che circondano il mondo del sesso al femminile.
Per l’emittente satellitare francese French Lover Tv cura un programma di educazione sessuale senza veli per donne, continua a scrivere libri e all’ultima edizione del Festival del cinema porno indipendente di Berlino ha presentato, “Histoire de sexe(s)”, un film che mette a confronto immaginari e fantasie maschili e femminili attraverso le storie di otto amici che si incrociano e si sovrappongono: le scene spinte ci sono, ma il film vuole essere qualcosa di più di una produzione porno.
E’ per questo che Ovidie si sta battendo affinché le venga data la possibilità di distribuirlo, nel 2010, nelle sale mainstream.

Il letto in un libro


Di/letto...di Ugo Riccarelli.
Una serie di racconti legati a un unico spazio, il letto...

Il letto, rifugio dalle fatiche del giorno o campo in cui si consumano battaglie notturne, un rettangolo morbido che accoglie ma che può anche intrappolare, in cui si susseguono le fasi della vita di ognuno di noi, dal letto-culla della nascita a quello che accoglie nell’ora dell’addio.

E’ attorno a questo oggetto, che è anche un luogo, che si dipanano i racconti di “Di/letto”.

Ugo Riccarelli, vincitore del premio Strega nel 2004 con il romanzo “Il dolore perfetto”, raccoglie in questo libro scritti brevi, racconti, monologhi interiori di uomini, donne e divinità e dei letti che li accolgono o li respingono, ai quali tendono pieni di desiderio o dai quali fuggono.

La sequenza di letti che racchiudono esistenze si apre con il talamo di Ulisse, costruito sul tronco di un ulivo secolare, con le radici ben piantate nel suolo di Itaca, simbolo del tenace e indistruttibile amore che legava l’eroe alla sua isola e alla sua donna.

Un letto che “ha il nome di Penelope e i suoi occhi profondi d’azzurro, dove neanche il marinaio più coraggioso oserebbe inoltrarsi”, e che l’attenderà per decenni, solido e indistruttibile.
Un avvio avvolto nel mito, seguito da una catena di altri letti, quello in ferro battuto in cui una donna consuma la sua prima notte d’amore con un uomo che la tradisce e che accoglie il corpo morto di un’altra donna, una saggia vecchietta che le aveva aperto gli occhi; quello più dozzinale, un letto dell’Ikea, che segna con la sua riluttanza a lasciarsi montare la difficoltà di un rapporto che fatica a incastrarsi e che alla fine va in frantumi tra viti e assi di legno sparse sul pavimento; un ricovero d’ospedale che lega la vita e la morte di una donna e del suo amorevole marito, aggrovigliati dal destino allo stesso letto, il numero 50; il letto-culla che accoglie un bimbo caduto dal cielo, arrivato a donare sollievo a una donna piagata dalle cinghiate; un altro, infine, che accoglie le membra spossate di un Padre Eterno stanco di contemplare il suo creato e che, osservando il piacere provato da uno dei miliardi di esserini da lui creati nel distendersi nel suo lettuccio impara qualcosa dalle sue creature e trova finalmente riposo.

I brevi racconti di Riccarelli sono piccoli spazi che si aprono davanti al lettore, disegnati con uno sguardo che resta delicato anche quando penetra nell’intimità delle lenzuola e ne svela la vita segreta, tra amori e disillusioni, mantenendo un’atmosfera sospesa e incantata che continua ad aleggiare su questi letti e sugli esseri che vi cercano rifugio.
Autore: Ugo Riccarelli
Titolo: Di/letto
Editore: Voland
Pagine: 112
Prezzo: € 13,00

lunedì 11 gennaio 2010

L'Applique de Martina Grasselli...




Dans un cadre deux visages tentent de percer une membrane opaque...
C'est une lampe murale du designer italien Martina Grasselli.

L'objet est une sculpture par sa forme design et un luminaire par sa fonction..

Le contraste entre la forme et le matériel moderne est intéressant et genère une ambiguité unique.
Son nom est "Lapplique".... un peu viellot mais tellement charmant !..

Matériel:
Polycarbonate, châssis en bois
Couleurs:blanc
Ampoules:2 x E 27, max. 60 W

Gioielli da favola...











Per ritrovare il magico fascino delle favole dell'infanzia in versione deluxe, la mela di Biancaneve e altre immagini da sogno..
Ecco gioielli e bijoux dal design unico per viaggiare in una sfavillante dimensione fiabesca.

Flora e fauna si alternano in un gioco ultraprezioso di materiali e colori: civette, mele, orsacchiotti per grandi bambini..
Nelle foto:
- Teddy bear tempestati di cristalli coloratissimi per i ciondoli
- La mela di Biancaneve si veste di gemme ultrapreziose per il ciondolo di Pasquale Bruni (4.500 euro).
- Un Sex on the Beach formato deluxe con l'anello in oro bianco, diamanti, tormalina e quarzo citrino, Piaget.
- D'acciaio e cristalli il ciondolo "portafortuna" con civetta di Morellato (84 euro).