domenica 27 settembre 2009

Besançon en Sonorama







Sonorama est une manifestation proposée par la Ville de Besançon, le Grand Besançon et le Casino Barrière Besançon.
"Comment faire résonner la ville, comment l’arraisonner, comment la sonner et lui rendre ses vibrations contemporaines...?
Sonorama est cette tentative de déstabilisation sonore des espaces communs, une sorte de palette chromatique du sensible.
Quatre directeurs artistiques et une ville, quatre univers singuliers qui se frottent, s’entrechoquent et se croisent : arts de la rue, arts sonores et numériques, musiques électroniques et arts contemporains se mixent dans la cité pour proposer une autre cartographie.
Compagnies de rue, artistes sonores et numériques, DJs/VJs, artistes et musiciens des scènes électroniques, rock ou hip-hop et autres créateurs « indisciplinaires » investiront nuit et jour l’espace de la cité.
Ils nous convient à explorer d’autres dimensions, celles de leurs imaginaires libérés et stimulés par les architectures, les rues, les passages, les jardins et les habitants qui les accueillent l’espace de quatre jours d’assauts poétiques, de flux énergétiques, d’expériences « sonsorielles ».
Comme ces artistes d’horizons multiples qui se sont impliqués dans cette nouvelle aventure, nous avons rencontré et questionné Besançon.Territoire d’opérations inventives, Sonorama 09 tente de redessiner la ville en un grand « paysage sonore » polyphonique et polymorphe, ample et subtil, généreux et intime, populaire et prospectif, actuel et intemporel…
L’espace et le temps de Besançon sont ainsi réinventés selon des rythmes et des modes divers à découvrir à travers ces contrastes, ces étincelles, ces contrepoints, ces partis pris et ces rencontres improbables.
Vincent Carry, Jérôme Delormas, Philippe Franck ,Jean-Marie Songy
Directeurs artistiques
• la direction artistique du festival
• l'équipe du festival
Contacts : contact@sonorama-besancon.com / © Troisième Pôle"
communiqué presse ... en style ampoulé

Le festival de Besançon 2009, aurevoir l'Italie..


"Le Festival de musique de Besançon rêve d'Italie"

La 62e édition (11-26 septembre 2009) a pour thématique "le voyage en Italie" et accueille un concours de chefs d'orchestre.
Le festival patronne en outre le 51e Concours international de jeunes chefs d'orchestre.

Vingt participants, de 14 pays différents, ont été sélectionnés parmi 247 candidats.S'il restait mercredi six demi-finalistes, seuls trois doivent participer à la finale samedi 19 septembre, à l'issue d'une nouvelle sélection.
Le prestigieux BBC Symphony Orchestra de Londres a assuré, dès les quarts de finale, les épreuves du concours organisé tous les deux ans depuis 1951. La venue d'un orchestre étranger pour cette compétition s'avère exceptionnelle. Cette année, selon les organisateurs, "le niveau est globalement plutôt élevé par rapport aux années précédentes, notamment en Chine" dont sont originaires trois candidats.Pour la finale le 19 septembre, une oeuvre pour grand orchestre, "Times", clin d'oeil à Besançon, la "ville du temps", a été programmée en création mondiale.

Elle a été composée par Edith Canat de Chizy lors d'une résidence d'un an dans la ville.

Parmi les anciens lauréats du Concours de chefs d'orchestre, figurent Seiji Ozawa, Michel Plasson, Alexander Gibson ou Zdenék Macal.

Quant au festival de Besançon à proprement parler, il programme jusqu'au 26 septembre quelque 60 concerts incluant des oeuvres de référence ou des pièces plus rares jouées par l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo, Elisabeth Chojnacka, Lorin Maazel, Jiri Belholavek ou l'Orchestre national de Lyon.

En ouverture le 11 septembre, l'Orchestre philharmonique de Monte-Carlo devait jouer l'"Italienne" de Felix Mendelssohn sous la direction de Luke Dollman (qui remplaçait Zdenék Macal, souffrant).

En association avec le label Zig-Zag Territoires, en collaboration avec l'Ensemble 415 et la compagnie Nine Spirit, 17 musiciens devaient se réunir et confronter leurs univers respectifs: baroque, contemporain et jazz.Toujours dans une perspective d'ouverture, sous le "Magic Mirror", un chapiteau de bois érigé pour l'occasion à Besançon, divers genres musicaux -swing manouche, folk, blues, jazz, chanson française et musique arabo-andalouse- doivent se croiser et se côtoyer...>>


Lorin Maazel, eccezionale "chef d'orchestre" !


Nasce una nuova orchestra.

La Symphonica d’Italia, o meglio rinasce l’ex Symphonica Toscanini costituitasi dalla scissione della Filarmonica Toscanini nel maggio 2006. La compagine orchestrale sarà presentata a Roma il 9 settembre, presente la nipote d’Arturo Toscanini a spazzar via tutte le questioni che avevano funestato la precedente formazione.

Finalmente si chiarirà il lascito artistico del Maestro.
La collaborazione con il Maestro Maazel – direttore a vita dell’orchestra dal 2006 -, all’indomani della conclusione della sua esperienza alla New York Philharmonc Orchestra ed al Palau de las Arts di Valenzia, recentemente riconfermata però, continua.

Il Maestro ha accettato volentieri l’offerta di guidare la giovane orchestra formata da musicisti costituitisi in associazione autonoma e da strumentisti ospiti che vengono dalle più prestigiose orchestre europee ed americane, anche perché conosceva molti dei giovani professori. Intesa artistica, piacere di far musica, passione, sono la cifra dell’orchestra: fanno sì che la presa sul pubblico sia immediata.
S’inaugura l’attività della Symphonica d’Italia a Roma all’Auditorium del Parco della Musica l’11 settembre, nella giornata musicale internazionale “September Concert” in memoria della strage delle Twin Towers di New York.

Subito dopo, si esibirà al Festival International de Musique de Besançon (13 settembre).

L’agenzia musicale cinese Amethyst Performing Arts Management ha invitato nel 2010 l’orchestra ed il Maestro Maazel a Pechino per eseguire Turandot e Die Fledermaus e sei concerti beethoveniani (tre a Pechino e tre a Guangzhou). Già si profilano impegni più lontani all’orizzonte (per le celebrazioni del 150° anniversario dell’Unità d’Italia, per esempio: collaborazione con la Società Italiana di Musicologia – partner culturale – che ha in grembo altre sorprese).

Main sponsor dell’orchestra è Confcommercio.

mercoledì 23 settembre 2009

Buon compleanno Twiggy !



Due occhi perennemente sbarrati, affogati nel mascara.

Taglio corto/leccatissimo, da bambino in assetto da primo giorno di scuola.

E un fisico androgino – ovvero la risposta pelle & ossa alla pin-up in voga fino a qualche minuto prima –, perfetto per intepretare gli orli arrampicati della Swinging London.

Come i Beatles, la Mini Cooper e Mary Quant, Twiggy era l’(anti)icona dei favolosi Sixties: “anti” perché era piatta come una tavola da surf, si rosicchiava famelicamente le unghie e aveva sacrificato la criniera d’ordinanza (vedi alla voce Jean Shrimpton) sotto le forbici del parrucchiere delle star, Leonard Lewis of Mayfair.

Nella sua acerba magrezza, Miss Ramoscello è stata la Kate Moss del periodo Mod, la ragazzina che ingigantiva le sopracciglia inferiori a colpi di make up (megatrend del prossimo inverno) con un fotogenico e copiatissimo effetto Bambi.

Il che spiega come mai Londra si prepari a festeggiare con rispetto reverenziale il suo 60° compleanno (19 settembre) attraverso un’importante mostra fotografica alla National Portrait Gallery e un libro già must-have. Un successo intenso ma volutamente breve, il suo. Dopo aver inaugurato – a 16 anni e 41 chilogrammi – l’Era delle top model (ma solo sui set fotografici: , ha spiegato in seguito), essere stata eletta dal Daily Express “il viso del 1966” e aver ispirato una Barbie a sua immagine e somiglianza, la modella “grissino” Leslie Hornby si ritirò con stoica lungimiranza dopo quattro anni di trionfi, . Certo, avrebbe potuto permettersi di dormire sugli allori del suo robusto (quello sì!) conto in banca, autopensionandosi su un atollo della Polinesia. Ma – buon Segno non mente –, da instancabile Vergine si è reinventata non una bensì cinque carriere.

Come attrice, innanzitutto (dal suo debutto, avvenuto nel 1971 e consacrato da due Golden Globes, ha intepretato una ventina di film). E poi nelle vesti di cantante (nell’ultimo cd, uscito proprio oggi, si misura impavidamente con i grandi della musica, da Richard Rodgers a Cole Porter), autrice di libri in cui ci svela i segreti della sua straordinaria manutenzione personale, convincente testimonial, nonché stilista di abiti e lenzuola. Eppure, a differenza di Kate Moss, Twiggy ha avuto una vita tutt’altro che spericolata. Zero droghe () e molta fedeltà (dal 1988 è sposata felicemente con l’attore Leigh Lawson, conosciuto sul set del film Madame Sousatzka). Di fronte a certe attualissime carriere, messe letteralmente a nudo dal documentario di Lorella Zanardo Il corpo delle donne, non viene forse da rimpiangere la limpida ingenuità di quello sguardo sbalordito?

Buon compleanno, Twiggy!

lunedì 21 settembre 2009

La carie


Carie

En plus d'être un livre, puis un film d'épouvante, ainsi qu'une province d'Asie mineure, la carie flingue vos dents.
Une carie dentaire est une maladie chronique qui détruit la dent. C'est une maladie multifactorielle, avec 3 éléments : les bactéries (qui sont présentent chez tous les individus, sans forcément causer de caries), le terrain (nous, nos dents avec nos caractéristiques propres) et le substrat (la nourriture qui se dépose sur les dents). De plus à ces 3 facteurs s'ajoute une dimension supplementaire : la maladie évolue au fil du temps.
Quand on s'alimente, il y a un dépot de substances nutritives à la surface des dents, dans les sillons et entre les dents. Ces aliments servent de base à la formation de plaque dentaire, qui est envahi de bactéries. Lors du brossage régulier, cette plaque est éliminé et les bactéries sont sous controle de l'hygiène. Il y a donc équilibre entre nous et les bactéries.
Mais lorsque le brossage est absent, insuffisant ou mal fait, il reste de la plaque dentaire sur certaines zones. Les bactéries ne sont plus éliminées, elles se multiplient, s'organisent, se défendent de plus en plus contre l'organisme. Par ailleurs, une consommation importante en sucre, un grignotage fréquent peuvent augmenter ce phénomène.
Les bactéries produisent des acides à partir des sucres contenus dans la plaque dentaire non éliminée. Ces acides attaquent les tissus dentaires, c'est la carie.
L'atteinte est de plus en plus profonde : elle touche l'email puis la dentine et enfin atteind la pulpe.
Le traitement concervateur d'une carie consiste à enlever les tissus envahis de bactéries, de nettoyer la cavité ainsi réalisée et de la sceller pour la protéger, au moyen d'un ou plusieurs matériaux d'obturation.
Certaines caries qui touchent la pulpe necessitent un traitement endodontique (ou devitalisation).
Certaines caries touchent de manière trop importante la dent, et des soins non concervateurs permettent de remplacer la dent : protèse, implants etc...
La carie a connu une progression très importante apres la seconde guerre mondiale, avec le changement alimentaire avec un apport en sucre beaucoup plus important. Mais depuis quelques années, la prévention permet de réduire cet effet.
La prévention joue un rôle très important, c'est pourquoi il est important de consulter son dentiste annuellement. Car plus la carie est diagnostiqué tot, moins elle est importante, et plus le traitement sera aisé.

daniela wurdack: Le gagnant est..

daniela wurdack: Le gagnant est..

Le gagnant est..


Le Japonais Kazuki Yamada, chef d'orchestre de 30 ans, a remporté samedi soir le 51ème Concours international des jeunes chefs d'orchestre, dans le cadre du festival de musique de Besançon, a constaté l'Afp.

Il a devancé en finale le Japonais Tomohiro Seyama et le Bulgare Rossen Gergov.

"Je suis très heureux de gagner ce prix comme l'avaient fait mes maîtres Seiji Ozawa et Yôko Matsuo", a déclaré le lauréat qui se présentait au Concours international de jeunes chefs d'orchestre de Besançon pour la seconde fois.

Les finalistes devaient interpréter trois morceaux devant le jury présidé par le chef d'orchestre tchèque Jiri Belohlavek, dont une création d'Edith Canat de Chizy, commandée spécialement pour le festival, intitulée "Times" en référence à Besançon, la "ville du temps".

Les deux autres morceaux étaient le Concerto pour violon n°2 de Felix Mendelssohn et la Symphonie Fantastique de Hector Berlioz.

Le concours de chefs d'orchestre a accueilli vingt candidats de 14 nationalités différentes pour l'une des compétitions les plus difficiles au monde.

Le lauréat a remporté une bourse de 12.000 euros, ainsi que l'invitation à diriger 15 orchestres européens, asiatiques et américains.

Dès dimanche, il partira à Montreux pour diriger le BBC Symphony orchestra de Londres pour un concert dans le cadre du festival de Montreux, ont indiqués les organisateurs.

venerdì 11 settembre 2009

Do it in Paris...


Très Paris tout ça non?!

Oui forcément puisque le site est destinée aux Parisiennes et à toutes celles qui veulent le devenir que ce soit pour un week-end end ou une vie.

Rubriques mode, cuisine, art de vivre, un concentré de vraies bonnes adresses, le tout gratuit…j' adore!!


Mention spéciale aux superbes illustrations.


Nouveau né du net français “Do It In Paris” est sans doute le site qui va devenir l‘incontournable de notre quotidien au même titre que la lecture de notre numéro de Elle transporté, plié et écrasé dans notre Billy, que le café du matin, que le brunch du dimanche et que la pause en terrasse les jours de soleil…



.. un po' di New York a Parigi






merci Schwartz’s Deli !





Une nouvelle adresse parisienne qui fait le plus grand bonheur des amateurs de " delikatessen" façon newyorkaise.. et qui pourrait être votre diner de ce soir ou le déjeuner fun en famille du week end!

Un restaurant façon deli new-yorkais (on adooooooore!).

Une ambiance ultra décontractée dans le quartier du Marais (qui aurait cru que ça puisse exister).

La clientèle regroupe la jeune communauté juive du quartier, des familles venues offrir un délicieux hamburger frites à leurs marmailles, des amis venus boire un verre autour du bar en croquant un énorme cornichon, et quelques couples se remémorant les vacances à New York autour d’un bon pastrami.

Et même si New York n’a pas le monopole du sandwich pastrami, le lieu rappelle étrangement Katz’s Delicatessen (célèbre deli new-yorkais), la carte propose d’ailleurs un cheesecake (fameux dessert U.S) cependant le prix est un peu élevé : 7 euros…quand on sait qu’une rue plus loin on peut déguster une des meilleurs glaces de Paris (Amorino hum!) pour 3 euros, on réfléchit à deux fois avant de commander le cheesecake, d’autant que les plats étant très copieux, on a tendance à zapper la gourmandise.En guise de starters, rien de mieux que d’excellents onion rings (5 euros pour une assiette copieuse, idéale pour un apéro à deux).

Pour le main course : un choix de burgers, de viandes…tous accompagnés de coleslaw et de frites (ou salade au choix). Enfin encadré en rouge sur la carte, l’incontournable et l’objet de la sortie in the Marais, le Sandwich Pastrami d’une hauteur vertigineuse servi avec de très bonnes frites à tremper sans modération dans la véritable moutarde américaine. Prix moyen du plat 15 euros.

L’endroit vaut le détour, idéal pour passer une soirée détendue en se remplissant le ventre (à éviter impérativement si vous êtes au régime…beaucoup trop de tentations au menu).

SCHWARTZ’S DELI 16 Rue des Ecouffes 75004 Paris Métro St Paul

martedì 1 settembre 2009

Trieste





















Trieste (Italiano: Trieste; Sloveno e Croato: Trst; Tedesco: Triest) e' una citta' e un porto dell'Italia nordorientale, a pochi chilometri dal confine con la Slovenia.

Trieste si trova nella zona piu' settentrionale del golfo di Trieste nel mare Adriatico. Con una popolazione di 207,069 persone (2001) e' il capoluogo della regione autonoma Friuli-Venezia Giulia e della provincia di Trieste.

Trieste fiori' sotto l'impero austroungarico fra gli anni 1867–1918, perdiodo durante il quale era considerata una delle citta' portuali piu' prosperose dell'Europa centrale nonche' una delle capitali europee della letteratura e della musica. Nonstante cio', il collasso dell'impero austroungarico e l'annessione di Trieste all'Italia dopo la prima guerra mondiale la portarono a un declino sia economico sia culturale.
Oggi Trieste e' una citta' di confine. La popolazione e' una mescolanza di etnie presenti nelle regioni circostanti. Il dialetto veneto locale dominante e' il triestino ("triestin"). Il dialetto e l'italiano prevalgono soprattuto nel centro cittadino mentre negli immediati sobborghi si parla anche lo sloveno.

Il veneto e lo sloveno sono considerate lingue autoctone della regione.

E' presente anche una esigua comunita' germanofona.
L'economia dipende soprattutto dal porto e dal commercio con le regioni circostanti. Nel corso della guerra fredda Trieste ebbe un ruolo marginale, ma ora sta ricostruendo parte della sua antica influenza.

Turismo :
I luoghi di interesse turistico a Trieste includono numerosi esempi di art nouveau e architettura neoclassica, eredita' del passato asburgico, il Centro Internazionale di Fisica Teorica (ICTP), la Scuola Internazionale Superiore di Studi Avanzati (SISSA) e l'Universita' di Trieste.

Trieste, da secoli, è un salotto internazionale e, passeggiando per le sue strade pulite, ammirando i palazzi carichi di storia, le piazze eleganti ed ariose, lo si capisce facilmente.

Una delle immagini che caratterizza la città è il bianchissimo "Faro della Vittoria" che illumina il Golfo di Trieste ed al contempo funge da monumento commemorativo per caduti in mare durante la prima Guerra Mondiale.

Finito nel 1927, il Faro di Trieste, costruito in pietra locale e costruito sopra i resti di un forte austriaco, ha finito per essere il simbolo della città.Trieste, da secoli, è un salotto internazionale e, passeggiando per le sue strade pulite, ammirando i palazzi carichi di storia, le piazze eleganti ed ariose, lo si capisce facilmente.

martedì 25 agosto 2009

A Torino : le foto di 50 anni di Festival ( di Cannes)



Sophia Loren e Johnny Depp, Monica Vitti e Sharon Stone, Elisabeth Taylor e Isabelle Adjani. Ovvero, alcune delle celeb immortalate in 50 anni dagli obiettivi esclusivi della famiglia di fotografi più famosi sulla Croisette: i Traverso.

Originaria di Tenda, la famiglia Traverso si trasferì a Cannes nel 1850, e, dopo la prima guerra mondiale, Auguste Traverso decise di trasformare la sua passione per la fotografia in un lavoro vero e proprio.

E' dal 1946 che i Traverso, oltre a documentare la vita della città e i suoi eventi più importanti, sono i principali testimoni del Festival di Cannes.

Sono ormai quattro le generazioni di fotografi che si sono succedute e hanno saputo immortalare divi e divine di ieri e di oggi, in istanti irripetibili sia pubblici che privati.

Dedicato a loro e ai loro scatti : l'appuntamento in programma a Torino dal 16 giugno (al 30 agosto) 2009. Nell'Aula del Tempio della mole Antonelliana viene ospitata infatti la mostra Cannes Cinéma. 50 anni di festival nella Collezione Traverso. Oltre 90 le foto di grande formato in esposizione.

Museo Nazionale del Cinema di Torino
Cannes Cinéma
50 anni di festival nella Ccollezione Traverso
Mole Antonelliana
Aula del tempio
16 giugno 30 agosto 2009






lunedì 17 agosto 2009

Kate Moss in vacanza : uno spinello con Lily Allen e ..la piccola Lila Grace, sua figlia!


Vacanze e trasgressione.
E' questa l’equazione meglio conosciuta da Kate Moss (35 annni) che ne ha combinata un’altra delle sue, tanto per dimostrare che il lupo perde il pelo ma non il vizio!

Infatti Kate è stata sorpresa a fumare marijuana in presenza di sua figlia Lila Grace (vedere per credere) assieme alla sua amica Lily Allen (25 anni) sullo yacht superlusso a largo di Saint Tropez.

La vacanza delle due, tra birra, champagne & spinelli, sembra proprio essere un amarcord nostalgico di un vecchio stile di vita – fatto di eccessi e divertimento sfrenato – molto caro alla modella, che nel 2005 si guadagnò il nomignolo di “Cocaine Kate” per lo scandalo legato all’uso di stupefacenti, con tanto di video in flagranza di sniffata. Insomma, poco è cambiato da quattro anni fa!

Ma Kate non aveva detto di essersi completamente ripulita e di aver messo la testa a posto per il bene di sua figlia?

george clooney contro i paparazzi : la pazienza hai dei limiti!








Il bel George ha, infatti, deciso di denunciare un paparazzo che si è arrampicato sul muro della sua villa per rubare gli scatti privati della coppia dell’estate( Elisabetta Canalis, 30 anni) , immortalando con il suo (mega)teleobiettivo però anche una ragazzina di 13 anni, ospite dell’attore, che si stava cambiando. L’opinione pubblica si schiera dalla parte del cavaliere senza macchia, ma i fotografi sono già sul piede di guerra.

giovedì 13 agosto 2009







Vingt quatre photographies, grand format, souvent inédites pour raconter les moments heureux vécus par Jacques Henri Lartigue à Deauville, entre 1916 et 1980. Une exposition gratuite, visible tout l’été, pour découvrir, en noir et blanc, sur les lieux même où elles ont été réalisées, les lumineuses photographies, facétieuses et élégantes du Deauville de Jacques Henri Lartigue.



De 1906 à 1980 Jacques Henri Lartigue (1894 1986) séjourne régulièrement à Deauville et sur la Côte normande. Il a découvert Deauville, enfant, avant d’y revenir très fréquemment dès qu’il est en âge de conduire. Il rejoint alors, avec les automobiles qui le fascinent, à quelques heures de route de Paris, une destination fréquentée par ceux qu’il a plaisir à retrouver.
Dans les années 20 le peintre Jacques Lartigue, formé à l’Académie Jullian, gagne sa vie avec ses tableaux et conforte ses relations avec une clientèle de collectionneurs, qu’il rejoint sur leurs lieux de villégiature : Cannes, Megève, Aix les Bains, Royan, Biarritz, la côte normande, Le Touquet,…
Pour conserver la mémoire de ses moments heureux, il consigne cette chronique dans des albums-souvenirs qu’il illustre de ses photographies : En 1916, âgé de 22 ans, il retrouve à Deauville la cantatrice Marthe Chenal, avec qui il vit une folle passion.

En 1919, il photographie le tournage d’un film, et revient régulièrement à Deauville…, avant son ultime séjour, en 1980, comme spectateur fidèle du jeune Festival du cinéma américain.
Par la grâce de ses photographies, la mémoire de Jacques Henri Lartigue rejoint celle de Deauville : Au fil de ces années, Lartigue photographie ses amoureuses, ses proches, se déplace en voiture ou en aéroplane, il suit les événements des étés Deauvillais, des moments heureux partagés avec ses proches et ses amis artistes : Sem, Van Dongen, …
60 ans durant le regard de Jacques Henri Lartigue, immortalise, ses moments heureux, vécus sous les ciels et les lumières changeantes de Deauville.



martedì 21 luglio 2009

une nouvelle passion italienne : vivre à Barcelone


Matteo Fulvani parle du climat, "un printemps perpétuel".

Des taxes, "beaucoup moins élevées". De l'efficacité de la bureaucratie : "Une semaine a suffi pour obtenir mon inscription au registre du commerce."

En préparant un café serré, ristretto, comme là-bas, cet Italien de 32 ans n'en finit pas d'énumérer les raisons qui l'ont amené à ouvrir son restaurant à Barcelone, bien loin de son Frioul natal. Pour finir, il avoue : "En Italie, Barcelone est à la mode."




Depuis un an, six chefs de la Camorra, la mafia napolitaine, et plusieurs de leurs lieutenants, ont été arrêtés sur la côte méditerranéenne espagnole, de Barcelone à Marbella, surnommée "Costa Nostra" par les policiers en raison de la forte concentration de mafieux italiens.

Sur les 249 chefs classés "dangereux" par la justice italienne, 70 % auraient trouvé refuge en Catalogne et dans les riches stations balnéaires de la Costa del Sol, selon le procureur antimafia de Naples Luigi Cannavale, cité fin juin par le quotidien El Pais. Cette émigration aurait commencé dans les années 1980. Mais l'Espagne n'est pas seulement une retraite dorée pour les trois mafias italiennes. Selon le magistrat, les Napolitains, les Siciliens de Cosa Nostra et les Calabrais de la 'Ndrangheta géreraient ensemble, à partir du sol espagnol, le trafic de drogue à destination de l'Europe.

Quand il a ouvert le Cuore di Mamma, il y a dix-huit mois, dans le quartier de L'Eixample, Matteo avait encore à l'esprit cette émission culte de MTV, "Italo Spagnolo", diffusée depuis une terrasse de la capitale catalane, qui vantait aux jeunes Italiens "le miracle espagnol".

Certes, la première année fut "un enfer de travail", comme pour quiconque lance son affaire, mais Matteo Fulvani est resté sur son nuage : "Ici, l'attitude des gens est positive, il règne un esprit d'ouverture assez unique."

Quelles ont été les raisons des 22 685 autres Italiens établis à Barcelone et officiellement recensés par la mairie ? Ils forment, depuis cette année, la plus importante communauté étrangère de la ville, devant les Equatoriens, les Pakistanais et les Boliviens.

Comme Matteo, la plupart se sont installés récemment : leur nombre a plus que doublé depuis 2005. "Une véritable explosion", confirme M. De Martin, le consul général d'Italie à Barcelone. En Catalogne, les inscrits sont passés de 15 400 en l'an 2000 à plus de 52 000 aujourd'hui.

La moitié d'entre eux ne sont "que des passeports", ironise Maurizio Bandettini, vice-président de la Casa degli Italiani ("Maison des Italiens"), une institution créée en 1866 par les premiers immigrants venus de la Botte. Grâce à la loi Tremaglia, votée en 2005 pour permettre aux Italiens de l'étranger de voter nombreux aux législatives de 2006, les enfants et petits-enfants d'émigrés italiens de par le monde ont pu récupérer la nationalité italienne.

Un sésame pour l'Europe dont ont profité nombre d'Argentins, d'Uruguayens ou de Brésiliens. "Ils se sont arrêtés en Espagne par commodité linguistique, et aussi parce qu'il était plus facile d'y trouver du travail qu'en Italie", explique Pietro De Martin.

Les Italiens d'Amérique latine sont arrivés en famille, avec une expérience et un projet professionnels : "Il s'agit de représentants de la classe moyenne, entre 35 et 45 ans, bien décidés à rester, précise Ignasi Cardelus, responsable des relations internationales à la mairie de Barcelone. Ils n'ont généralement pas de relations avec la communauté des Italiens nés en Italie." Ces derniers forment le second flux d'immigration italienne.

Alors que leurs cousins d'outre-Atlantique se sont répartis dans toute l'Espagne, ils choisissent prioritairement la Catalogne, et plus spécialement Barcelone où ils représentent près de 60 % de la présence italienne.

"Le dynamisme économique et social de la dernière décennie a attiré beaucoup de jeunes Italiens, confie M. De Martin. La majorité a la volonté de retourner en Italie. C'est la génération Europe."


Ces Barcelonais d'adoption récente viennent de toute l'Italie. Du Mezzogiorno, gangréné par un chômage chronique, comme des riches régions du nord du pays. "Beaucoup sont des étudiants qui ont trouvé sur place leur premier emploi ou de jeunes diplômés revenus après quelques années d'expérience ou de galère en Italie", souligne M. Cardelus.

Au département marketing chargé de travailler en permanence la "marque Barcelone", on estime que le fait d'avoir été désignée comme siège de l'Union pour la Méditerranée (UPM) confortera son image de capitale de la Méditerranée : "C'est la ville méditerranéenne par excellence, où il fait bon vivre", ajoute Ignasi Cardelus. Le consul général s'enorgueillit d'une "intégration réussie" où dominent les professions libérales (architectes, photographes, médecins, etc.).

Quand il est arrivé à Barcelone, en 1966, pour implanter la petite entreprise familiale de céramique, Maurizio Bandettini avait intégré une communauté italienne "moins nombreuse, mais beaucoup plus influente". A l'époque, se souvient-il, "la grande industrie en Catalogne était italienne, avec Fiat, Olivetti, Pirelli...". Les dirigeants de ces grands groupes ont donné toute son ampleur à la Casa degli Italiani, ses oeuvres sociales, son école. Cette dernière accueille aujourd'hui un demi-millier d'élèves, majoritairement... espagnols.

Les jeunes Italiens qui poussent la porte du beau bâtiment de l'association "sont généralement à la recherche d'un job", assure-t-on au secrétariat. Pour M. Bandettini, "la presse italienne trompe la jeunesse en continuant à présenter Barcelone comme un Eldorado. Comment leur faire comprendre que la vie n'est pas moins chère qu'en Italie et qu'il n'y a plus de travail" ?

Au consulat, on admet que la crise pourra "ralentir le rythme" de l'immigration.

Pourtant, malgré les mauvaises nouvelles économiques, 1 841 nouveaux arrivants ont été enregistrés en 2008, soit une augmentation de 8,8 %. Et les déçus du voyage sont rares : quitte à empiler les petits boulots, autant le faire ici, pensent-ils, comme Catia, la serveuse du Cuore di Mamma. Architecte de formation, la jeune Turinoise n'a pas trouvé d'emploi après l'éclatement de la bulle immobilière espagnole, mais elle "profite de Barcelone" et fait la promotion du tiramisu maison.