
S’inaugura l’attività della Symphonica d’Italia a Roma all’Auditorium del Parco della Musica l’11 settembre, nella giornata musicale internazionale “September Concert” in memoria della strage delle Twin Towers di New York.
qui e là cerco news nei campi che mi piacciono e che spero vi interessino.. un blog ou il est question de mode, de théâtre, d'actualité en France et en Italie
Une nouvelle adresse parisienne qui fait le plus grand bonheur des amateurs de " delikatessen" façon newyorkaise.. et qui pourrait être votre diner de ce soir ou le déjeuner fun en famille du week end!
Un restaurant façon deli new-yorkais (on adooooooore!).
Une ambiance ultra décontractée dans le quartier du Marais (qui aurait cru que ça puisse exister).
La clientèle regroupe la jeune communauté juive du quartier, des familles venues offrir un délicieux hamburger frites à leurs marmailles, des amis venus boire un verre autour du bar en croquant un énorme cornichon, et quelques couples se remémorant les vacances à New York autour d’un bon pastrami.
Et même si New York n’a pas le monopole du sandwich pastrami, le lieu rappelle étrangement Katz’s Delicatessen (célèbre deli new-yorkais), la carte propose d’ailleurs un cheesecake (fameux dessert U.S) cependant le prix est un peu élevé : 7 euros…quand on sait qu’une rue plus loin on peut déguster une des meilleurs glaces de Paris (Amorino hum!) pour 3 euros, on réfléchit à deux fois avant de commander le cheesecake, d’autant que les plats étant très copieux, on a tendance à zapper la gourmandise.En guise de starters, rien de mieux que d’excellents onion rings (5 euros pour une assiette copieuse, idéale pour un apéro à deux).
Pour le main course : un choix de burgers, de viandes…tous accompagnés de coleslaw et de frites (ou salade au choix). Enfin encadré en rouge sur la carte, l’incontournable et l’objet de la sortie in the Marais, le Sandwich Pastrami d’une hauteur vertigineuse servi avec de très bonnes frites à tremper sans modération dans la véritable moutarde américaine. Prix moyen du plat 15 euros.
L’endroit vaut le détour, idéal pour passer une soirée détendue en se remplissant le ventre (à éviter impérativement si vous êtes au régime…beaucoup trop de tentations au menu).
SCHWARTZ’S DELI 16 Rue des Ecouffes 75004 Paris Métro St Paul
Trieste (Italiano: Trieste; Sloveno e Croato: Trst; Tedesco: Triest) e' una citta' e un porto dell'Italia nordorientale, a pochi chilometri dal confine con la Slovenia.
Trieste si trova nella zona piu' settentrionale del golfo di Trieste nel mare Adriatico. Con una popolazione di 207,069 persone (2001) e' il capoluogo della regione autonoma Friuli-Venezia Giulia e della provincia di Trieste.
Trieste fiori' sotto l'impero austroungarico fra gli anni 1867–1918, perdiodo durante il quale era considerata una delle citta' portuali piu' prosperose dell'Europa centrale nonche' una delle capitali europee della letteratura e della musica. Nonstante cio', il collasso dell'impero austroungarico e l'annessione di Trieste all'Italia dopo la prima guerra mondiale la portarono a un declino sia economico sia culturale.
Oggi Trieste e' una citta' di confine. La popolazione e' una mescolanza di etnie presenti nelle regioni circostanti. Il dialetto veneto locale dominante e' il triestino ("triestin"). Il dialetto e l'italiano prevalgono soprattuto nel centro cittadino mentre negli immediati sobborghi si parla anche lo sloveno.
Il veneto e lo sloveno sono considerate lingue autoctone della regione.
E' presente anche una esigua comunita' germanofona.
L'economia dipende soprattutto dal porto e dal commercio con le regioni circostanti. Nel corso della guerra fredda Trieste ebbe un ruolo marginale, ma ora sta ricostruendo parte della sua antica influenza.
Vingt quatre photographies, grand format, souvent inédites pour raconter les moments heureux vécus par Jacques Henri Lartigue à Deauville, entre 1916 et 1980. Une exposition gratuite, visible tout l’été, pour découvrir, en noir et blanc, sur les lieux même où elles ont été réalisées, les lumineuses photographies, facétieuses et élégantes du Deauville de Jacques Henri Lartigue. |
De 1906 à 1980 Jacques Henri Lartigue (1894 1986) séjourne régulièrement à Deauville et sur la Côte normande. Il a découvert Deauville, enfant, avant d’y revenir très fréquemment dès qu’il est en âge de conduire. Il rejoint alors, avec les automobiles qui le fascinent, à quelques heures de route de Paris, une destination fréquentée par ceux qu’il a plaisir à retrouver.
Dans les années 20 le peintre Jacques Lartigue, formé à l’Académie Jullian, gagne sa vie avec ses tableaux et conforte ses relations avec une clientèle de collectionneurs, qu’il rejoint sur leurs lieux de villégiature : Cannes, Megève, Aix les Bains, Royan, Biarritz, la côte normande, Le Touquet,…
Pour conserver la mémoire de ses moments heureux, il consigne cette chronique dans des albums-souvenirs qu’il illustre de ses photographies : En 1916, âgé de 22 ans, il retrouve à Deauville la cantatrice Marthe Chenal, avec qui il vit une folle passion.
En 1919, il photographie le tournage d’un film, et revient régulièrement à Deauville…, avant son ultime séjour, en 1980, comme spectateur fidèle du jeune Festival du cinéma américain.
Par la grâce de ses photographies, la mémoire de Jacques Henri Lartigue rejoint celle de Deauville : Au fil de ces années, Lartigue photographie ses amoureuses, ses proches, se déplace en voiture ou en aéroplane, il suit les événements des étés Deauvillais, des moments heureux partagés avec ses proches et ses amis artistes : Sem, Van Dongen, …
60 ans durant le regard de Jacques Henri Lartigue, immortalise, ses moments heureux, vécus sous les ciels et les lumières changeantes de Deauville.
Depuis un an, six chefs de la Camorra, la mafia napolitaine, et plusieurs de leurs lieutenants, ont été arrêtés sur la côte méditerranéenne espagnole, de Barcelone à Marbella, surnommée "Costa Nostra" par les policiers en raison de la forte concentration de mafieux italiens.
Sur les 249 chefs classés "dangereux" par la justice italienne, 70 % auraient trouvé refuge en Catalogne et dans les riches stations balnéaires de la Costa del Sol, selon le procureur antimafia de Naples Luigi Cannavale, cité fin juin par le quotidien El Pais. Cette émigration aurait commencé dans les années 1980. Mais l'Espagne n'est pas seulement une retraite dorée pour les trois mafias italiennes. Selon le magistrat, les Napolitains, les Siciliens de Cosa Nostra et les Calabrais de la 'Ndrangheta géreraient ensemble, à partir du sol espagnol, le trafic de drogue à destination de l'Europe.
Quelles ont été les raisons des 22 685 autres Italiens établis à Barcelone et officiellement recensés par la mairie ? Ils forment, depuis cette année, la plus importante communauté étrangère de la ville, devant les Equatoriens, les Pakistanais et les Boliviens.
Comme Matteo, la plupart se sont installés récemment : leur nombre a plus que doublé depuis 2005. "Une véritable explosion", confirme M. De Martin, le consul général d'Italie à Barcelone. En Catalogne, les inscrits sont passés de 15 400 en l'an 2000 à plus de 52 000 aujourd'hui.
La moitié d'entre eux ne sont "que des passeports", ironise Maurizio Bandettini, vice-président de la Casa degli Italiani ("Maison des Italiens"), une institution créée en 1866 par les premiers immigrants venus de la Botte. Grâce à la loi Tremaglia, votée en 2005 pour permettre aux Italiens de l'étranger de voter nombreux aux législatives de 2006, les enfants et petits-enfants d'émigrés italiens de par le monde ont pu récupérer la nationalité italienne.
Un sésame pour l'Europe dont ont profité nombre d'Argentins, d'Uruguayens ou de Brésiliens. "Ils se sont arrêtés en Espagne par commodité linguistique, et aussi parce qu'il était plus facile d'y trouver du travail qu'en Italie", explique Pietro De Martin.
Les Italiens d'Amérique latine sont arrivés en famille, avec une expérience et un projet professionnels : "Il s'agit de représentants de la classe moyenne, entre 35 et 45 ans, bien décidés à rester, précise Ignasi Cardelus, responsable des relations internationales à la mairie de Barcelone. Ils n'ont généralement pas de relations avec la communauté des Italiens nés en Italie." Ces derniers forment le second flux d'immigration italienne.
Alors que leurs cousins d'outre-Atlantique se sont répartis dans toute l'Espagne, ils choisissent prioritairement la Catalogne, et plus spécialement Barcelone où ils représentent près de 60 % de la présence italienne.
"Le dynamisme économique et social de la dernière décennie a attiré beaucoup de jeunes Italiens, confie M. De Martin. La majorité a la volonté de retourner en Italie. C'est la génération Europe."
Ces Barcelonais d'adoption récente viennent de toute l'Italie. Du Mezzogiorno, gangréné par un chômage chronique, comme des riches régions du nord du pays. "Beaucoup sont des étudiants qui ont trouvé sur place leur premier emploi ou de jeunes diplômés revenus après quelques années d'expérience ou de galère en Italie", souligne M. Cardelus.
Au département marketing chargé de travailler en permanence la "marque Barcelone", on estime que le fait d'avoir été désignée comme siège de l'Union pour la Méditerranée (UPM) confortera son image de capitale de la Méditerranée : "C'est la ville méditerranéenne par excellence, où il fait bon vivre", ajoute Ignasi Cardelus. Le consul général s'enorgueillit d'une "intégration réussie" où dominent les professions libérales (architectes, photographes, médecins, etc.).
Quand il est arrivé à Barcelone, en 1966, pour implanter la petite entreprise familiale de céramique, Maurizio Bandettini avait intégré une communauté italienne "moins nombreuse, mais beaucoup plus influente". A l'époque, se souvient-il, "la grande industrie en Catalogne était italienne, avec Fiat, Olivetti, Pirelli...". Les dirigeants de ces grands groupes ont donné toute son ampleur à la Casa degli Italiani, ses oeuvres sociales, son école. Cette dernière accueille aujourd'hui un demi-millier d'élèves, majoritairement... espagnols.
Les jeunes Italiens qui poussent la porte du beau bâtiment de l'association "sont généralement à la recherche d'un job", assure-t-on au secrétariat. Pour M. Bandettini, "la presse italienne trompe la jeunesse en continuant à présenter Barcelone comme un Eldorado. Comment leur faire comprendre que la vie n'est pas moins chère qu'en Italie et qu'il n'y a plus de travail" ?
Au consulat, on admet que la crise pourra "ralentir le rythme" de l'immigration.
Pourtant, malgré les mauvaises nouvelles économiques, 1 841 nouveaux arrivants ont été enregistrés en 2008, soit une augmentation de 8,8 %. Et les déçus du voyage sont rares : quitte à empiler les petits boulots, autant le faire ici, pensent-ils, comme Catia, la serveuse du Cuore di Mamma. Architecte de formation, la jeune Turinoise n'a pas trouvé d'emploi après l'éclatement de la bulle immobilière espagnole, mais elle "profite de Barcelone" et fait la promotion du tiramisu maison.
In un’estate musicale che lo vede conquistare i maggiori palchi d’Europa e degli States – dove ha aggiunto 25 nuove date al suo calendario già fittissimo – con il Working on a Dream Tour, The Boss sarà protagonista indiscusso anche nelle librerie.
La casa editrice Baldini Castoldi Dalai, infatti, pubblica un volume tutto dedicato a Bruce Springsteen.
E non stiamo parlando di un libro qualsiasi, ma di una vera e propria biografia del cantante del New Jersey, scritta rivisitando le parole delle sue canzoni.
Dai primi passi nel mondo della musica con Greetings From Asbury Park, N.J (1973), alla consacrazione con Born In The U.S.A. (1984) fino agli ultimi successi, la vita del cantautore newyorkese attraversa la storia degli Stati Uniti. Il sogno americano si incarna nei testi di Bruce, e lui stesso ne diventa il simbolo facendo della propria musica la colonna sonora di una società in continua trasformazione, come dimostra il suo impegno pro Obama.
Il libro si intitola Magic in the night ed è scritto da Rob Kirkpatrick, giornalista e saggista, tradotto in Italia da Ermanno Labianca, il maggior esperto di Springsteen di casa nostra.