S’inaugura l’attività della Symphonica d’Italia a Roma all’Auditorium del Parco della Musica l’11 settembre, nella giornata musicale internazionale “September Concert” in memoria della strage delle Twin Towers di New York.
domenica 27 settembre 2009
Lorin Maazel, eccezionale "chef d'orchestre" !
S’inaugura l’attività della Symphonica d’Italia a Roma all’Auditorium del Parco della Musica l’11 settembre, nella giornata musicale internazionale “September Concert” in memoria della strage delle Twin Towers di New York.
mercoledì 23 settembre 2009
Buon compleanno Twiggy !
Due occhi perennemente sbarrati, affogati nel mascara.
lunedì 21 settembre 2009
La carie
Une carie dentaire est une maladie chronique qui détruit la dent. C'est une maladie multifactorielle, avec 3 éléments : les bactéries (qui sont présentent chez tous les individus, sans forcément causer de caries), le terrain (nous, nos dents avec nos caractéristiques propres) et le substrat (la nourriture qui se dépose sur les dents). De plus à ces 3 facteurs s'ajoute une dimension supplementaire : la maladie évolue au fil du temps.
Quand on s'alimente, il y a un dépot de substances nutritives à la surface des dents, dans les sillons et entre les dents. Ces aliments servent de base à la formation de plaque dentaire, qui est envahi de bactéries. Lors du brossage régulier, cette plaque est éliminé et les bactéries sont sous controle de l'hygiène. Il y a donc équilibre entre nous et les bactéries.
Mais lorsque le brossage est absent, insuffisant ou mal fait, il reste de la plaque dentaire sur certaines zones. Les bactéries ne sont plus éliminées, elles se multiplient, s'organisent, se défendent de plus en plus contre l'organisme. Par ailleurs, une consommation importante en sucre, un grignotage fréquent peuvent augmenter ce phénomène.
Les bactéries produisent des acides à partir des sucres contenus dans la plaque dentaire non éliminée. Ces acides attaquent les tissus dentaires, c'est la carie.
L'atteinte est de plus en plus profonde : elle touche l'email puis la dentine et enfin atteind la pulpe.
Le traitement concervateur d'une carie consiste à enlever les tissus envahis de bactéries, de nettoyer la cavité ainsi réalisée et de la sceller pour la protéger, au moyen d'un ou plusieurs matériaux d'obturation.
Certaines caries qui touchent la pulpe necessitent un traitement endodontique (ou devitalisation).
Certaines caries touchent de manière trop importante la dent, et des soins non concervateurs permettent de remplacer la dent : protèse, implants etc...
La carie a connu une progression très importante apres la seconde guerre mondiale, avec le changement alimentaire avec un apport en sucre beaucoup plus important. Mais depuis quelques années, la prévention permet de réduire cet effet.
La prévention joue un rôle très important, c'est pourquoi il est important de consulter son dentiste annuellement. Car plus la carie est diagnostiqué tot, moins elle est importante, et plus le traitement sera aisé.
Le gagnant est..
"Je suis très heureux de gagner ce prix comme l'avaient fait mes maîtres Seiji Ozawa et Yôko Matsuo", a déclaré le lauréat qui se présentait au Concours international de jeunes chefs d'orchestre de Besançon pour la seconde fois.
Les finalistes devaient interpréter trois morceaux devant le jury présidé par le chef d'orchestre tchèque Jiri Belohlavek, dont une création d'Edith Canat de Chizy, commandée spécialement pour le festival, intitulée "Times" en référence à Besançon, la "ville du temps".
Les deux autres morceaux étaient le Concerto pour violon n°2 de Felix Mendelssohn et la Symphonie Fantastique de Hector Berlioz.
Le concours de chefs d'orchestre a accueilli vingt candidats de 14 nationalités différentes pour l'une des compétitions les plus difficiles au monde.
Le lauréat a remporté une bourse de 12.000 euros, ainsi que l'invitation à diriger 15 orchestres européens, asiatiques et américains.
Dès dimanche, il partira à Montreux pour diriger le BBC Symphony orchestra de Londres pour un concert dans le cadre du festival de Montreux, ont indiqués les organisateurs.
venerdì 11 settembre 2009
Do it in Paris...
.. un po' di New York a Parigi
merci Schwartz’s Deli !
Une nouvelle adresse parisienne qui fait le plus grand bonheur des amateurs de " delikatessen" façon newyorkaise.. et qui pourrait être votre diner de ce soir ou le déjeuner fun en famille du week end!
Un restaurant façon deli new-yorkais (on adooooooore!).
Une ambiance ultra décontractée dans le quartier du Marais (qui aurait cru que ça puisse exister).
La clientèle regroupe la jeune communauté juive du quartier, des familles venues offrir un délicieux hamburger frites à leurs marmailles, des amis venus boire un verre autour du bar en croquant un énorme cornichon, et quelques couples se remémorant les vacances à New York autour d’un bon pastrami.
Et même si New York n’a pas le monopole du sandwich pastrami, le lieu rappelle étrangement Katz’s Delicatessen (célèbre deli new-yorkais), la carte propose d’ailleurs un cheesecake (fameux dessert U.S) cependant le prix est un peu élevé : 7 euros…quand on sait qu’une rue plus loin on peut déguster une des meilleurs glaces de Paris (Amorino hum!) pour 3 euros, on réfléchit à deux fois avant de commander le cheesecake, d’autant que les plats étant très copieux, on a tendance à zapper la gourmandise.En guise de starters, rien de mieux que d’excellents onion rings (5 euros pour une assiette copieuse, idéale pour un apéro à deux).
Pour le main course : un choix de burgers, de viandes…tous accompagnés de coleslaw et de frites (ou salade au choix). Enfin encadré en rouge sur la carte, l’incontournable et l’objet de la sortie in the Marais, le Sandwich Pastrami d’une hauteur vertigineuse servi avec de très bonnes frites à tremper sans modération dans la véritable moutarde américaine. Prix moyen du plat 15 euros.
L’endroit vaut le détour, idéal pour passer une soirée détendue en se remplissant le ventre (à éviter impérativement si vous êtes au régime…beaucoup trop de tentations au menu).
SCHWARTZ’S DELI 16 Rue des Ecouffes 75004 Paris Métro St Paul
martedì 1 settembre 2009
Trieste
Trieste (Italiano: Trieste; Sloveno e Croato: Trst; Tedesco: Triest) e' una citta' e un porto dell'Italia nordorientale, a pochi chilometri dal confine con la Slovenia.
Trieste si trova nella zona piu' settentrionale del golfo di Trieste nel mare Adriatico. Con una popolazione di 207,069 persone (2001) e' il capoluogo della regione autonoma Friuli-Venezia Giulia e della provincia di Trieste.
Trieste fiori' sotto l'impero austroungarico fra gli anni 1867–1918, perdiodo durante il quale era considerata una delle citta' portuali piu' prosperose dell'Europa centrale nonche' una delle capitali europee della letteratura e della musica. Nonstante cio', il collasso dell'impero austroungarico e l'annessione di Trieste all'Italia dopo la prima guerra mondiale la portarono a un declino sia economico sia culturale.
Oggi Trieste e' una citta' di confine. La popolazione e' una mescolanza di etnie presenti nelle regioni circostanti. Il dialetto veneto locale dominante e' il triestino ("triestin"). Il dialetto e l'italiano prevalgono soprattuto nel centro cittadino mentre negli immediati sobborghi si parla anche lo sloveno.
Il veneto e lo sloveno sono considerate lingue autoctone della regione.
E' presente anche una esigua comunita' germanofona.
L'economia dipende soprattutto dal porto e dal commercio con le regioni circostanti. Nel corso della guerra fredda Trieste ebbe un ruolo marginale, ma ora sta ricostruendo parte della sua antica influenza.
Una delle immagini che caratterizza la città è il bianchissimo "Faro della Vittoria" che illumina il Golfo di Trieste ed al contempo funge da monumento commemorativo per caduti in mare durante la prima Guerra Mondiale.
Finito nel 1927, il Faro di Trieste, costruito in pietra locale e costruito sopra i resti di un forte austriaco, ha finito per essere il simbolo della città.Trieste, da secoli, è un salotto internazionale e, passeggiando per le sue strade pulite, ammirando i palazzi carichi di storia, le piazze eleganti ed ariose, lo si capisce facilmente.
martedì 25 agosto 2009
A Torino : le foto di 50 anni di Festival ( di Cannes)
Originaria di Tenda, la famiglia Traverso si trasferì a Cannes nel 1850, e, dopo la prima guerra mondiale, Auguste Traverso decise di trasformare la sua passione per la fotografia in un lavoro vero e proprio.
E' dal 1946 che i Traverso, oltre a documentare la vita della città e i suoi eventi più importanti, sono i principali testimoni del Festival di Cannes.
Dedicato a loro e ai loro scatti : l'appuntamento in programma a Torino dal 16 giugno (al 30 agosto) 2009. Nell'Aula del Tempio della mole Antonelliana viene ospitata infatti la mostra Cannes Cinéma. 50 anni di festival nella Collezione Traverso. Oltre 90 le foto di grande formato in esposizione.
Museo Nazionale del Cinema di Torino
Cannes Cinéma
50 anni di festival nella Ccollezione Traverso
Mole Antonelliana
Aula del tempio
16 giugno 30 agosto 2009
lunedì 17 agosto 2009
Kate Moss in vacanza : uno spinello con Lily Allen e ..la piccola Lila Grace, sua figlia!
george clooney contro i paparazzi : la pazienza hai dei limiti!
giovedì 13 agosto 2009
Vingt quatre photographies, grand format, souvent inédites pour raconter les moments heureux vécus par Jacques Henri Lartigue à Deauville, entre 1916 et 1980. Une exposition gratuite, visible tout l’été, pour découvrir, en noir et blanc, sur les lieux même où elles ont été réalisées, les lumineuses photographies, facétieuses et élégantes du Deauville de Jacques Henri Lartigue. |
De 1906 à 1980 Jacques Henri Lartigue (1894 1986) séjourne régulièrement à Deauville et sur la Côte normande. Il a découvert Deauville, enfant, avant d’y revenir très fréquemment dès qu’il est en âge de conduire. Il rejoint alors, avec les automobiles qui le fascinent, à quelques heures de route de Paris, une destination fréquentée par ceux qu’il a plaisir à retrouver.
Dans les années 20 le peintre Jacques Lartigue, formé à l’Académie Jullian, gagne sa vie avec ses tableaux et conforte ses relations avec une clientèle de collectionneurs, qu’il rejoint sur leurs lieux de villégiature : Cannes, Megève, Aix les Bains, Royan, Biarritz, la côte normande, Le Touquet,…
Pour conserver la mémoire de ses moments heureux, il consigne cette chronique dans des albums-souvenirs qu’il illustre de ses photographies : En 1916, âgé de 22 ans, il retrouve à Deauville la cantatrice Marthe Chenal, avec qui il vit une folle passion.
En 1919, il photographie le tournage d’un film, et revient régulièrement à Deauville…, avant son ultime séjour, en 1980, comme spectateur fidèle du jeune Festival du cinéma américain.
Par la grâce de ses photographies, la mémoire de Jacques Henri Lartigue rejoint celle de Deauville : Au fil de ces années, Lartigue photographie ses amoureuses, ses proches, se déplace en voiture ou en aéroplane, il suit les événements des étés Deauvillais, des moments heureux partagés avec ses proches et ses amis artistes : Sem, Van Dongen, …
60 ans durant le regard de Jacques Henri Lartigue, immortalise, ses moments heureux, vécus sous les ciels et les lumières changeantes de Deauville.
martedì 21 luglio 2009
une nouvelle passion italienne : vivre à Barcelone
Depuis un an, six chefs de la Camorra, la mafia napolitaine, et plusieurs de leurs lieutenants, ont été arrêtés sur la côte méditerranéenne espagnole, de Barcelone à Marbella, surnommée "Costa Nostra" par les policiers en raison de la forte concentration de mafieux italiens.
Sur les 249 chefs classés "dangereux" par la justice italienne, 70 % auraient trouvé refuge en Catalogne et dans les riches stations balnéaires de la Costa del Sol, selon le procureur antimafia de Naples Luigi Cannavale, cité fin juin par le quotidien El Pais. Cette émigration aurait commencé dans les années 1980. Mais l'Espagne n'est pas seulement une retraite dorée pour les trois mafias italiennes. Selon le magistrat, les Napolitains, les Siciliens de Cosa Nostra et les Calabrais de la 'Ndrangheta géreraient ensemble, à partir du sol espagnol, le trafic de drogue à destination de l'Europe.
Quelles ont été les raisons des 22 685 autres Italiens établis à Barcelone et officiellement recensés par la mairie ? Ils forment, depuis cette année, la plus importante communauté étrangère de la ville, devant les Equatoriens, les Pakistanais et les Boliviens.
Comme Matteo, la plupart se sont installés récemment : leur nombre a plus que doublé depuis 2005. "Une véritable explosion", confirme M. De Martin, le consul général d'Italie à Barcelone. En Catalogne, les inscrits sont passés de 15 400 en l'an 2000 à plus de 52 000 aujourd'hui.
La moitié d'entre eux ne sont "que des passeports", ironise Maurizio Bandettini, vice-président de la Casa degli Italiani ("Maison des Italiens"), une institution créée en 1866 par les premiers immigrants venus de la Botte. Grâce à la loi Tremaglia, votée en 2005 pour permettre aux Italiens de l'étranger de voter nombreux aux législatives de 2006, les enfants et petits-enfants d'émigrés italiens de par le monde ont pu récupérer la nationalité italienne.
Un sésame pour l'Europe dont ont profité nombre d'Argentins, d'Uruguayens ou de Brésiliens. "Ils se sont arrêtés en Espagne par commodité linguistique, et aussi parce qu'il était plus facile d'y trouver du travail qu'en Italie", explique Pietro De Martin.
Les Italiens d'Amérique latine sont arrivés en famille, avec une expérience et un projet professionnels : "Il s'agit de représentants de la classe moyenne, entre 35 et 45 ans, bien décidés à rester, précise Ignasi Cardelus, responsable des relations internationales à la mairie de Barcelone. Ils n'ont généralement pas de relations avec la communauté des Italiens nés en Italie." Ces derniers forment le second flux d'immigration italienne.
Alors que leurs cousins d'outre-Atlantique se sont répartis dans toute l'Espagne, ils choisissent prioritairement la Catalogne, et plus spécialement Barcelone où ils représentent près de 60 % de la présence italienne.
"Le dynamisme économique et social de la dernière décennie a attiré beaucoup de jeunes Italiens, confie M. De Martin. La majorité a la volonté de retourner en Italie. C'est la génération Europe."
Ces Barcelonais d'adoption récente viennent de toute l'Italie. Du Mezzogiorno, gangréné par un chômage chronique, comme des riches régions du nord du pays. "Beaucoup sont des étudiants qui ont trouvé sur place leur premier emploi ou de jeunes diplômés revenus après quelques années d'expérience ou de galère en Italie", souligne M. Cardelus.
Au département marketing chargé de travailler en permanence la "marque Barcelone", on estime que le fait d'avoir été désignée comme siège de l'Union pour la Méditerranée (UPM) confortera son image de capitale de la Méditerranée : "C'est la ville méditerranéenne par excellence, où il fait bon vivre", ajoute Ignasi Cardelus. Le consul général s'enorgueillit d'une "intégration réussie" où dominent les professions libérales (architectes, photographes, médecins, etc.).
Quand il est arrivé à Barcelone, en 1966, pour implanter la petite entreprise familiale de céramique, Maurizio Bandettini avait intégré une communauté italienne "moins nombreuse, mais beaucoup plus influente". A l'époque, se souvient-il, "la grande industrie en Catalogne était italienne, avec Fiat, Olivetti, Pirelli...". Les dirigeants de ces grands groupes ont donné toute son ampleur à la Casa degli Italiani, ses oeuvres sociales, son école. Cette dernière accueille aujourd'hui un demi-millier d'élèves, majoritairement... espagnols.
Les jeunes Italiens qui poussent la porte du beau bâtiment de l'association "sont généralement à la recherche d'un job", assure-t-on au secrétariat. Pour M. Bandettini, "la presse italienne trompe la jeunesse en continuant à présenter Barcelone comme un Eldorado. Comment leur faire comprendre que la vie n'est pas moins chère qu'en Italie et qu'il n'y a plus de travail" ?
Au consulat, on admet que la crise pourra "ralentir le rythme" de l'immigration.
Pourtant, malgré les mauvaises nouvelles économiques, 1 841 nouveaux arrivants ont été enregistrés en 2008, soit une augmentation de 8,8 %. Et les déçus du voyage sont rares : quitte à empiler les petits boulots, autant le faire ici, pensent-ils, comme Catia, la serveuse du Cuore di Mamma. Architecte de formation, la jeune Turinoise n'a pas trouvé d'emploi après l'éclatement de la bulle immobilière espagnole, mais elle "profite de Barcelone" et fait la promotion du tiramisu maison.
lunedì 20 luglio 2009
Bruce Springsteen in libreria
In un’estate musicale che lo vede conquistare i maggiori palchi d’Europa e degli States – dove ha aggiunto 25 nuove date al suo calendario già fittissimo – con il Working on a Dream Tour, The Boss sarà protagonista indiscusso anche nelle librerie.
La casa editrice Baldini Castoldi Dalai, infatti, pubblica un volume tutto dedicato a Bruce Springsteen.
E non stiamo parlando di un libro qualsiasi, ma di una vera e propria biografia del cantante del New Jersey, scritta rivisitando le parole delle sue canzoni.
Dai primi passi nel mondo della musica con Greetings From Asbury Park, N.J (1973), alla consacrazione con Born In The U.S.A. (1984) fino agli ultimi successi, la vita del cantautore newyorkese attraversa la storia degli Stati Uniti. Il sogno americano si incarna nei testi di Bruce, e lui stesso ne diventa il simbolo facendo della propria musica la colonna sonora di una società in continua trasformazione, come dimostra il suo impegno pro Obama.
Il libro si intitola Magic in the night ed è scritto da Rob Kirkpatrick, giornalista e saggista, tradotto in Italia da Ermanno Labianca, il maggior esperto di Springsteen di casa nostra.