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lunedì 22 dicembre 2008

Scoprire Milano con Rachele


La Milano della moda, la Milano del design.

La Milano delle feste e del superlusso. La Milano della corsa contro il tempo.
La Milano della tecnologia e della creatività.

“A Milano, la città che amo, dedico le mie foto: riflesso di un’atmosfera metropolitana silenziosa, tranquilla, vera. Un momento in cui la nostra città si ferma per lasciarsi osservare, scoprire, immaginare…”
Parole di Rachele Conti, 17 anni, studentessa milanese del Liceo Artistico Meucci di Milano. Giovanissima e appassionata di fotografia, Rachele ha iniziato la sua avventura artistica immortalando l’anima di una “Milano che sogna, che non ha rumori.
Che agisce silenziosa in una quiete eterna”.


In anteprima, su http://www.elle.it/, una doppia gallery di immagini con gli scatti milanesi di Rachele, per vivere la moderna magia di una città elegante, veloce ed espressiva.

Fragonard à Besançon


Besançon possède la plus importante collection d’oeuvres de Fragonard en France.

Cet ensemble exceptionnel de plus d’une centaine de dessins et peintures, Besançon la doit à Pierre-Adrien Pâris (Besançon, 1745-1819), architecte de Louis XVI et grand collectionneur qui, à sa mort, fit don de ses richesses à sa ville natale.


Parmi ce fonds de tout premier ordre, composé essentiellement de dessins, le public pourra admirer une magnifique et célébrissime suite de dix sanguines de la villa d’Este à Tivoli, chefs-d’oeuvre de l’art du dessin au XVIIIe siècle.

domenica 7 dicembre 2008

Changement à La Scala


La direction de la Scala de Milan a annoncé sans explications que le ténor américain

Stuart Neil interprétera le rôle titre du Don Carlo de Verdi lors de la première dimanche soir à la place de Giuseppe Filianoti.

Le bref communiqué de la Scala a annoncé ce remplacement moins de 24 heures avant la prestigieuse représentation artistico-mondaine dont la diffusion en direct est programmée par de multiples chaînes de télévision étrangères.

Giuseppe Filianoti, prévu pour ce rôle, avait assuré vendredi l'avant-première devant 1.700 jeunes enthousiastes invités au prix attractif de 10 euros. Cependant, malgré la règle de l'embargo imposée aux médias avant la première, des informations avaient fait état d'un Don Carlo en petite forme vocale.

Le ténor italien a laissé éclater son amertume dimanche dans le Corriere della Sera, affirmant ne pas comprendre la décision de la direction du théâtre.

"Ils m'ont dit qu'ils font cela pour me protéger, qu'ils diront que je suis souffrant et que je ne peux pas chanter ni à la première, ni à la seconde" représentation, a-t-il raconté au journal milanais.

Selon lui, le remplacement ne lui a été notifié que pour les deux premières représentations.

Têtes couronnées, membres de la jet-set, politiques, patrons de l'industrie et de la finance et artistes de renom se pressent chaque année à la Scala de Milan pour les premières programmées le 7 décembre, jour de la Saint Ambroise, patron de la ville.

Le début de la saison à la Scala avait été marqué par l'annulation de plusieurs représentations en raison de grèves du personnel mais un accord signé lundi entre la direction et les syndicats a levé toute menace de ce type pour dimanche soir.

sabato 29 novembre 2008

sexe et art à NY




Si un modèle, pointant ses longues jambes vers le ciel, commence à susciter des commentaires qui sortent du domaine artistique et bifurquent vers la concupiscence, s'agit-il encore d'un cours de dessin ordinaire?

Pour une trentaine de New-yorkais réunis pour une séance de Dr Sketchy (Dr Crobard), une "anti-école d'art" autoproclamée, qui a propagé à travers la planète son désir de retourner aux origines bohèmes de l'art, la réponse est clairement oui.
"Parfois, cela fait du bien d'être attiré par ce que l'on dessine, et ici c'est clairement le cas", clame ainsi Maria Hooper, 28 ans, en croquant son modèle, une fétichiste connue sous le nom de Mosh.

Les cours de dessin classiques font appel à des modèles nus, mais dans une atmosphère généralement neutre et silencieuse. Chez Dr Sketchy, c'est tout le contraire: lors d'une séance organisée le week-end dernier à New York, les artistes buvaient des cocktails et laissaient glisser leur plume au son du rock 'n' roll. La scène se déroulait dans un bar néo-burlesque, mouvement artistique inspiré des cabarets, baptisé Slipper Room.

Le fait que Mosh ne soit pas nue, mais plutôt vêtue d'une robe ultra moulante et très courte, d'une petite culotte noire minuscule et de talons vertigineux, ne semblait qu'ajouter à l'excitation.

"Je suis impatiente de voir les autres tenues qu'elle va porter", glissait Maria Hooper, costumière de théâtre.
L'idée de ces ateliers du Dr Sketchy est née dans le cerveau de Molly Crabapple, illustratrice à succès de 25 ans, qui voulait insuffler de la vie dans ce que les artistes décrivent souvent comme des scènes statiques.

Il existe désormais une douzaine de Dr Sketchy au-delà des Etats-Unis, de Glasgow à Singapour, en passant par Tokyo.
Tous utilisent la même formule: boissons corsées, atmosphère branchée, et modèles de style néo-burlesque; un cocktail détonant qui semble faire mouche à tous les coups.
"C'est très dynamique parce que les costumes et les modèles sont souvent des danseurs ou des artistes qui font des performances et donc ils ont des corps très dynamiques", a-t-elle ajouté.

La jeune femme, vêtue d'une robe courte qui révèle le haut de ses bas colorés, n'a rien contre les cours de dessin classiques, mais elle juge cette "anti-école d'art" plus pimentée.
"Il y a un contexte en plus. Cela stimule l'imagination", dit-elle.

Molly Crabapple affirme que son idéal artistique est le romantisme et le côté bohème incarné par le peintre français du XIXe Toulouse-Lautrec.
Avec cela en tête, elle encourage le "dessin-enivré", les blagues graveleuses et les comportements excentriques. Et elle veut des modèles qui soient des "bêtes de foire, des rockeuses, des amazones, ou des fétichistes".

"Chez Dr Sketchy, tout le monde est un artiste sérieux, mais c'est une façon d'entrer dans un monde fantastique, une version passée de ce qu'être artiste pouvait vouloir dire", explique Molly Crabapple.

Au Slipper Room, les croqueurs amateurs devaient débourser 10 à 12 dollars pour pouvoir dessiner Mosh, sur une estrade minuscule entourée d'un cadre dorée et de lourds rideaux.

Après plus de trois heures de pose, le modèle prenait des poses de plus en plus extravagantes, faisant la moue au public ou accentuant son regard mélancolique à travers sa longue frange blond platine.
"Dr Sketchy a un côté théâtral. C'est toute une histoire", explique Monica Hunken, 27 ans, une actrice qui utilise de l'aquarelle pour peindre une délicate version de la poseuse fétichiste.

Giorgio De Chirico in mostra


De Chirico in mostra a Roma con il ‘suo’ museo"
L’arte enigmatica di Giorgio De Chirico ospitata, dal
20 novembre 2008 al 25 gennaio 2009, alla Galleria Nazionale D'Arte Moderna a Roma.
A trent’anni dalla scomparsa del pittore la Galleria Nazionale d’arte Moderna e Contemporanea e la Fondazione Giorgio e
Isa De Chirico hanno riunito 100 opere dell’Artista per vagliare
il suo rapporto con l’arte del passato. In una sorta di museo immaginario, l’esposizione, che ha come titolo “De Chirico e il museo” presenta dipinti ispirati al passato che il pittore realizzò e tenne nel suo studio romano.
Con una sola grande scultura l’itinerario si articola in sei sezioni tematiche.
Mitologia e Archeologia mostra il rapporto dell’artista con il mondo classico, soprattutto la Grecia, sua terra natale, fatto di imitazione nel senso di comprensione dell’intima essenza del “mito” per crearne nuovi.
Con la Neometafisica assistiamo ad una ricapitolazione dei temi passati che tornano originali grazie per gli accostamenti inediti dei soggetti.

La sezione Copie da Antichi Maestri vuole essere un’ulteriore prova che il nuovo può essere espresso con un’icona antica; mentre La Grande Pittura mostra l’evoluzione della tecnica pittorica del Maestro verso la pittura ad olio, “la maniera di Renoir’, nell’esaltazione dei rossi e dei gialli.

Notevole la sezione Rubens: dopo gli anni trenta, infatti, la produzione di de Chirico è mutuata da quella di Rubens, il maestro prediletto.

L’ultima sezione, Opere su carta, infine, raccoglie i disegni in tema con la mostra, un’occasione per comprendre meglio il procedimento di lavoro attuato dall’Artista.

De Chirico e il museo Galleria Nazionale d'Arte Moderna

Viale delle Belle Arti 131, RomaFino al 25/01/2009

martedì 25 novembre 2008

galeries d'art en ligne


Galeries d'art
en ligne :
Aujourd’hui en
matière d’art, inutile
d'arpenter les salles
de vente ou les galeries
pour acheter un tableau,
un dessin, une photographie
ou une sculpture.
Les galeries virtuelles,groupements d'artistes
et autres sites spécialisés se multiplient en effet sur la toile.
Ce nouveau mode de diffusion, encore méconnu, ouvre un peu plus le champ de l'art contemporain à tous les publics, et non plus seulement à quelques privilégiés.

En parallèle à la FIAC (Foire Internationale d'Art Contemporain, à Paris du 23 au 26 octobre) et parce qu’il y en a pour tous les goûts, MarieClaire.fr vous propose donc sa sélection de galeries d’art online, du style graffiti à la photographie en passant par les sculptures…

Style contemporain : www.emoluxe.com
Amateurs d'art à la recherche d'une œuvre originale et unique, Emoluxe répondra à vos attentes : le site propose actuellement des collections de vases, de tableaux et de pièces de forme en émaux, entièrement exécutée à la main, comprises entre 140 et plus de 2.000 euros. L'unicité de chaque œuvre est garantie par un certificat d'authenticité.
Emoluxe souhaite également promouvoir une sélection d'œuvres d'artistes renommés, telle l'émailleuse Mauricette Pinoteau, mais aussi de jeunes artistes particulièrement talentueux, à des prix abordables !

Pour faire connaître des artistes : www.galerie-art-virtuelle.com
Vous souhaitez acheter l'œuvre d'un peintre encore méconnu, ou vous faire connaître en tant qu'artiste, Gaviart (galerie d'art virtuelle en ligne) est alors fait pour vous.
Le site propose à chaque artiste, confirmé ou débutant, un espace d'exposition indépendant, et l'aide à se faire connaître. En tant qu'acheteur, vous en aurez également pour tous les goûts : peinture, sculpture, dessin, photographie, poésie, musique, et également pour toutes les bourses, les prix variant en fonction de l'artiste...

http://www.galerie-art-virtuelle.com/
http://www.emoluxe.com/

Photographies : www.cassegrain.org
Si vous êtes amateurs des grands espaces sauvages, le site du photographe Christophe Cassegrain propose une collection « vintage » et 52 paysages de Zion, Bryce, Arches, Gunnison, Paria plateau, Yosemite, Grand Canyon, Antelope Canyon, Mono lake, Colorado plateau ...
Tous les tirages sont ilfochromes (excellente qualité d'archivage, résistance aux attaques du soleil et pureté des blancs), signés et numérotés par l'auteur, pour des prix variant entre 200 et plus de 1.000 euros.

Des prix très abordables : www.carredartistes.com
Carré d'artistes propose une sélection de 30 artistes régulièrement renouvelés (un artiste par semaine) dont les œuvres sont comprises entre 54 et 276 euros.
Sur un marché souvent inaccessible, le site se veut être, pour les amateurs d'art, un moyen et adapté pour accéder à l'art contemporain.
Située à Lyon, la galerie Carré d´artistes organise également des ateliers d´art abstrait ou figuratif. Après une initiation aux formes, couleurs et perspectives, les enfants âgés de 7 à 11 ans, produisent leur chef-d´oeuvre en s´inspirant des modèles de la galerie. De quoi éveiller votre sens créatif !
http://www.carredartistes.com/

Style graffiti : www.blkmarket.net
Pour les aficionados de graffiti, Black Market est Le site incontournable !
Créé par Richard « SEEN » Mirando, figure emblématique du mouvement graffiti, et certainement celui qui l'a le plus influencé, le site regroupe des œuvres réalisées par les artistes qui ont créé les plus belles années du graffiti new-yorkais : Comet tc5, l'homme aux 25 000 trains, ou encore Cap Mpc, le «Graffiti artist» le plus controversé de tous les temps.
Aujourd'hui, alors que s'offrir une «pièce» d'un maître new-yorkais relève de l'inaccessible, SEEN souhaite proposer des œuvres à des prix accessibles pour tous : les œuvres son en effet comprises entre 150 et 6.000 euros. Grâce à internet, le chemin entre l'artiste et le passionné n'a jamais été aussi direct.
Le leitmotiv de Black Market : no agent ! no gallery !
http://www.blkmarket.net/

Des œuvres faciles d’accès : www.enviedart.com
C'est le site qu'on ne présente plus. Pour mettre l'art à la portée de tous, le site fait tout pour faciliter la tâche du néophyte.
Les pièces sont répertoriées par thèmes, par techniques, mais également par genres, par budgets et par couleurs.
Il y en a pour tous les goûts, mais pas forcément pour toutes les bourses : les œuvres sont en effet comprises entre 1.000 et 5.000 euros.
Le client peut même, à la demande, acheter une œuvre personnalisée, pour se sentir un peu artiste dans l'âme... Et pour les internautes qui veulent voir l'œuvre « en vrai », le site loue également des salles où il les expose

I 200 anni di Brera


Duecento anni per diventare grande.
Questa la parola d'ordine con la
quale stamani il sindaco di Milano
Letizia Moratti
e i ministri per i Beni Culturali e della Difesa,
Sandro Bondi e Ignazio La Russa,
hanno firmato il Protocollo
d'intesa per la conservazione
e valorizzazione del patrimonio
culturale di Milano.

In occasione del bicentenario, che cade nel 2009,
la Pinacoteca di Brera raddoppierà dimensioni nella sede storica - e il restauro, con ampliamento
e ammodernamento delle strutture, promettono,
sarà terminato per l'Expo 2015 - mentre l'Accademia traslocherà nella caserma Magenta di via Mascheroni.

Oltre all'attuale sede dove sono esposte le opere, Palazzo Citterio accoglierà dunque il patrimonio novecentesco, le collezioni Jesi e Zavattini, le donazioni dei privati (come la Fondazione Terruzzi), insieme alla biglietteria e al nuovo bookshop.

Ma non è tutto.

Tra gli altri beni culturali meneghini di cui si annuncia il restauro o l'apertura c'è la Sala delle Asse di Leonardo da Vinci nel Castello Sforzesco, la Beic, ossia la grande Biblioteca Europea di cui si parla da anni, un parco archeologico che sorgerà sulle rovine della città romana - che fu capitale dell'impero dal 286 al 402 d.C. -, mentre il Museo della Scienza sarà riorganizzato mettendo al centro la sua eredità leonardesca. Per quanto riguarda il programma del bicentenario, invero senza il “botto”, sono stati annunciati dalla soprintendente Sandrina Bandera una serie di mostre, concerti, conferenze e convegni.

Si parte a gennaio con Brera ospita: Caravaggio, tre dipinti del genio lombardo (Il ragazzo con canestro di frutta della Galleria Borghese, i Musici del Metropolitan Museum di New York e la versione della Cena in Emmaus oggi alla National Gallery di Londra, a confronto con quella posseduta dalla Pinacoteca) e col restauro del gesso della statua di Napoleone realizzato dal Canova.

Si prosegue ad aprile con Brera com'era: Paesaggi di Lombardia. 1817-1822, excursus sul paesaggio della Lombardia dedicato a Marco Gozzi e ai dipinti a lui commissionati dal viceré Eugenio di Beauharnais e poi dal presidente dell'Accademia, seguito dalla presentazione del restauro del celeberrimo Sposalizio della Vergine di Raffaello.

A giugno sarà la volta di Brera com'era: Il “Gabinetto dei ritratti dei pittori” di Giuseppe Bossi, omaggio a uno dei primi segretari dell'Accademia di Belle Arti. A ottobre si annuncia poi una mostra del Crivelli che ricostruirà due dei complessi più importanti realizzati dall'artista nell'ultimo decennio del Quattrocento: il restaurato Trittico di San Domenico e l'ancona del Duomo, entrambi provenienti da Camerino.

Chiude il programma una mostra, a novembre, dedicata ai documenti fotografici che testimoniano le vicissitudini subìte da Brera durante le due guerre.

Tutte le manifestazioni saranno realizzate dalla Soprintendenza per i Beni Storici, Artistici ed Etnoantropologici della Lombardia Occidentale, con la collaborazione della Direzione Regionale per i Beni Culturali e Paesaggistici della Lombardia e con il contributo di Civita e di Electa (che pubblicherà i cataloghi delle mostre).

Tutte iniziative interessanti, certo.

Ma sembra proprio di poter dire che manca il grande evento caratterizzante, la mostra-clou, in grado di (ri)lanciare veramente Brera in un'orbita internazionale degna della sua plurisecolare tradizione. Sono tutti eventi di “dimensioni contenute”, che non disturbano e non danno nell'occhio. Il che fa temere, per la Pinacoteca, che il 2009 sarà un'occasione sprecata. (elena percivaldi) link correlati

venerdì 14 novembre 2008

Lee Miller, la fotografa dai mille volti


Lee Miller a Parigi
Più di 140 opere allo Jeu de Paume dal 21 ottobre 2008 al 4 gennaio 2009 per tracciare il profilo di Lee Miller.


Lee Miller (1907-1977) è stata molte donne in una vita sola.

Americana, da giovanissima posa come modella prima per suo padre e dal 1927 per l'ambitissimo Vogue, diventando simbolo della liberazione della donna e musa di fotografi come Steichen, Man Ray, Horst P. Horst, and Hoyningen-Huene.

È proprio Steichen che la ispira a iniziare una carriera dietro l'obiettivo e che la raccomanda a Man Ray.

Nel 1929 Lee Miller si trasferisce a Parigi, dove diventa sua assistente, modella e compagna e si innamora della città e della fotografia.

Entra nel circolo dei grandi artisti: Max Ernst, Pablo Ricasso, Jean Cocteau, Paul Eluard, René Magritte, Joan Mirò.

Lasciato Man Ray, torna a New York dove fonda con suo fratello il Lee Miller Studio.

Si trasferisce in Cairo nel 1934 in seguito al matrimonio con Aziz Eloui Bey, facoltoso egiziano.

Nel 1939 lo lascia e ritorna a Parigi, dove inizia una relazione con il pittore inglese surrealista Roland Penrose, che seguirà a Londra.

È ormai nota fotografa e pubblica su Vogue America, Inghilterra e Francia.

Nel 1942 diventa corrispondente di guerra per l'esercito degli Stati Uniti per Vogue Inghilterra. Documenta la liberazione di Parigi, la battaglia di Saint-Malo, la caduta del Terzo Reich, la liberazione dai campi di concentramento.

La mostra al Jeu de Paume, che comprende 140 immagini, disegni, collage e uno spezzone di Le Sang du poète (1931) di Jean Cocteau, racconta in fondo la vita di questa grandissima artista che ancor prima che fotografa è stata donna d'avanguardia.

The Art of Lee Miller 21 Ottobre 2008-4 Gennaio 2009 Museo Jeu de Paume, sede Concorde, Parigi http://www.jeudepaume.org/

mercoledì 29 ottobre 2008

Bettina Rheims a Milano, Spazio Forma
















“I kissed a girl, and I liked it!”.
Bettina Rheims, la donna che amava le donne, porta a Milano tutta la sensualità dell'universo muliebre.
E chi dice che la solidarietà femminile non esiste, non dovrebbe mancare all'appuntamento...

“Us girls we are so magical / Soft skin, red lips, so kissable / Hard to resist, so touchable / Too good to deny it”: quante volte l'abbiamo sentito, ultimamente, dalla voce di Katy Perry? Esattamente trent'anni prima dell'ascesa nelle classififche pop mondiali di una canzone che racconta la meraviglia di un bacio saffico, Bettina Rheims (Parigi, 1952) lasciava la sua carriera da modella per passare dietro la macchina fotografica.
Era il ‘78, e la spinta per il cambiamento di rotta era arrivato dalla conoscenza d’un gruppo di spogliarelliste, primo soggetto immortalato dall'affascinante fotografa.
Da allora, gli scatti della francese sono stati migliaia, artistici e commerciali, patinati e underground, sensuali e hardcore; che siano pubblicità, servizi di moda od opere d'arte, Rheims riesce a fare di ogni fotografia una vera e propria donna.
Complessa, affascinante, sensuale, tentatrice e pericolosa, proprio come l'artefice. In mostra da Forma sono 94, muse più o meno conosciute, ma eccezionalmente donne, quando giocano con una parrucca bionda e la propria androginia, come Kristin Scott-Thomas; quando esaltano il loro lato follemente infantile, posando in pigiama rosa e stringendo un orsacchiotto, come Jennifer Jason-Leigh; quando siedono in cucina, come Monica Bellucci; o quando si fondono in baci carnali e proibiti, mostrando le proprie floride forme.
Milagros, che accoglie i visitatori, è l'emblema del femminino sacro, della Maria Maddalena, dai lunghi capelli rossi e dallo sguardo sincero e ingenuo, la coppa del Santo Graal che tanto ricorda la giuntura delle gambe muliebri; Charlotte Rampling torna a vestire le sue bretelle fatali, ma questa volta una camicia di seta nera crea un gioco sensuale di vedo-e-non-vedo sotto l'accessorio maschile, in vernice rossa, ancora più carnale; si sconfina nella pornografia quando le lacrime di Salma Hayek sembrano gocce di sperma.
E poi le geishe, che si perdono nella difficile ars amatoria giapponese, fatta di orchidee allusive e sguardi sottratti e ricordano le donne di Nobuyoshi Araki: si mostrano impudiche all'obiettivo, svelandosi, svestendosi, consapevoli della loro forza, maschie.

Baccanali, Salomè, Madonne e Maddalene, icone d'altri tempi, come nei bianchi e neri che sembrano scatti rubati agli anni ‘20 e al loro erotismo fatto di perle, piume e capelli ondulati. Quello che le donne non dicono, Bettina Rheims lo fotografa.
Sono avvisati gli uomini: le loro compagne, all'uscita dalla mostra, potrebbero sentirsi diverse. It's girls' power!articoli correlatiBettina Rheims ai Chiostri di San Domenico di Reggio Emilia
dal 23 settembre al 23 novembre 2008
Bettina Rheims - Puoi trovare la felicità a cura di Philippe Dagen
Spazio Forma - Centro Internazionale di Fotografia Piazza Tito Lucrezio Caro, 1 (zona Bocconi) - 20136 Milano
Orari: da martedì a domenica ore 10-20; giovedì e venerdì ore 10-22
Ingresso: intero € 7,50; ridotto € 6Catalogo Contrasto, € 40Info: tel. +39 0258118067; info@formafoto.it; http://www.formafoto/




martedì 28 ottobre 2008

Albert Besnard


Dans ses « Impressions des Salons », publiés dans
Le Mensuel de mai 1891, enthousiaste devant les envois d' Albert Besnard, Marcel Proust écrit : « [il personnifie] le mouvement, les couleurs éclatantes, la vie dans tout son épanouissement, la nature grandie, je dirais idéalisée, si le mot n’était pris trop souvent dans un sens banal.
Je ne connais pas de portrait plus séduisant que celui de ces deux sœurs se donnant le bras, fines, malicieuses, à la peau nacrée, simplement mises de tulle vert retenu à la taille d’un ruban blanc, l’une se renversant légèrement en arrière d’un mouvement fier, mais pas hautain, l’autre se penchant pour cueillir une fleur, cela sans effort, sans mièvrerie. Elles se détachent sur le fond d’une serre aux sombres feuillages, d’un bleu vigoureux, profond, onctueux.
Cela a l’éclat des beaux Rubens, avec la grâce, la délicatesse en plus.
C’est l’image de la jeunesse joyeuse, du printemps. Besnard expose un autre portrait d’une égale importance, mais évoquant un sentiment tout différent : la note est plus intime, plus enveloppée ; il est aussi plus sobre de tons ; puis trois petites toiles : une Annonciation conçue comme un primitif avec un ange gozzolien qui s’envole dans un paysage délicieux ; un effet curieux de soleil couchant et un intérieur, un couvert mis (quelle nature morte !) près d’une fenêtre ouvrant sur un fond de falaise.
N’oublions pas ses cartons (projets de vitraux), d’une si belle couleur, d’un si large dessin, rappelant, sans les imiter le moins du monde, les compositions japonaises, parce que, comme les Japonais, Besnard sait regarder et a l’amour profond du maître des maîtres, la nature. »

Dans cette chronique où peinture devient littérature, l’auteur de la Recherche…rend compte de façon éclatante de l’admiration éprouvée envers Besnard dans cette ultime décennie du XIXe siècle.
Prix de Rome (1874), portraitiste recherché de la grande bourgeoisie française, auteur de nombreuses commandes officielles : le décor du hall de l’Ecole nationale supérieure de Pharmacie à Paris (1874), le décor de la salle des mariages de la Mairie du 1er arrondissement (1887-1888) ou celui de l’amphithéâtre de chimie à la Sorbonne (1896)… chevalier de la Légion d’Honneur, Besnard est, en cette fin de XIXe siècle, l’exemple du peintre arrivé qui, suivant le cursus honorum des artistes d’autrefois, s’est imposé et a imposé son œuvre.

L’éclat de cette reconnaissance va le conduire à des hautes responsabilités institutionnelles. Directeur de la Villa Médicis (1913-1921) où il succède à Carolus-Duran, directeur de l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts (1922-1932), élu à l’Académie française au fauteuil de Pierre Loti (1924).
Se confondant presque avec ce monde institutionnel, l’Etat lui accorde des funérailles nationales : il est le premier peintre dont la mémoire a été ainsi honorée (ill. 1).
Cependant, Albert Besnard resta longtemps, jusqu'assez récemment encore, tantôt méconnu, tantôt méprisé.

Le scepticisme, l’ironie ou la réserve contenus dans l’épithète académique, le qualificatif dédaigneux de cher maître, dont les critiques affublèrent, un peu trop à la hâte, l’œuvre et son auteur, après sa disparition, ont jeté sa création dans les abîmes d’un purgatoire non mérité. La réévaluation récente de cette si riche et si contrastée vie artistique de la Belle Epoque n’a pas profité au peintre. Même si ses œuvres sont très prisées par les collectionneurs de peinture et les amateurs d’estampes, il reste peu présent sur les cimaises des musées.
Le Musée d’Orsay ne montre qu’une seule peinture dans la salle dédiée aux portraitistes mondains et aucune exposition ne lui avait été consacrée depuis celle de 1949 commémorant, à la Bibliothèque nationale de France, le centenaire de sa naissance.
Il était donc grand temps que Besnard sorte de cette ombre.
Grâce à l’activité soutenue de l’association « Le Temps d’Albert Besnard », qui publie chaque année, depuis 2004, un très intéressant bulletin analysant les divers aspects de l’activité de l’artiste, et à la passion de Madame Chantal Beauvalot, animatrice de l’association et auteur d’une thèse sur ses décors1, Besnard resurgit.
Son parcours est classique et sans grande surprise.

Fils d’un « bon élève d’Ingres »2, Louis-Adolphe Besnard, qui quitte le domicile juste après la naissance de son fils, et d’une miniaturiste assez remarquée, Louise-Pauline Vaillant, Albert prend ses premières leçons de dessin avec sa mère.
Entré en 1866, à 17 ans, à l’Ecole des Beaux-Arts, il suit les cours d’Alexandre Cabanel, puis de Sébastien-Melchior Cornu.
Reçu au Salon en 1868, il remporte le Grand prix de Rome en 1874 avec La Mort de Timophane, tyran de Corinthe (Paris, ENSBA), sujet antique, un genre qu’il n’abordera plus par la suite, mais qui montre déjà un clair-obscur très accentué et un réalisme dramatisé. A Rome il fréquente les salons de la marquise de Roccagiovine et de la comtesse Primoli, fait la connaissance de sa future femme, le sculpteur Charlotte Dubray, et surtout approfondit sa culture artistique. De 1880 à 1883 il s’installe à Londres.
Il rencontre deux expatriés français, Félix Bracquemond et Alphonse Legros, qui lui redonnent le goût de l’eau-forte.
Cependant son art s’enrichit considérablement au contact de celui des préraphaélites, même si leur influence ne fut que passagère, et surtout grâce à la fascination qu’exerce sur lui la sonorité de la palette des grands portraitistes anglais du XVIIIe siècle : Reynolds, Gainsborough et Lawrence.
Ses audaces chromatiques, qui ont souvent irrité ou déconcerté critiques et amateurs d’art, joueront à partir de cette date un rôle primordial dans sa création.
L’exposition ouverte au Musée Eugène Boudin de Honfleur tente de présenter, à travers 80 œuvres (peintures, pastels et gravures) provenant de plusieurs musées et de collections particulières françaises, le riche parcours de Besnard.

Pari ambitieux, car son œuvre est très considérable quantitativement et très varié techniquement, allant de la modeste et réduite eau-forte aux compositions décoratives de très grandes dimensions.
Le choix ne fut sans doute pas facile, car cette production, qu’on estime à plusieurs milliers de tableaux, à l’exception des grands projets décoratifs et de leurs esquisses répertoriées par Madame Beauvalot, reste en grande partie dans des collections particulières.
Cependant le pari est gagné.
Le choix des œuvres présentées donne une image assez claire de l’évolution de la carrière de Besnard.
De la Jeune Florentine (Paris, collection particulière) de ses années d’études en passant par le Portrait de Madeleine Gorges enfant (1872, Paris, musée d’Orsay), très redevable à la manière de Jules Lefebvre, jusqu’au portrait de Madame Roger Jourdain (toile de tout premier ordre (exposée dans la superbe salle de la chapelle) qui marqua la carrière du peintre en raison de l’originalité de ses effets d’éclairage et du scandale fait autour d’elle, et à celui de la Comtesse Pillet-Will, (vers 1900-1905, Paris, collection particulière) au visage impassible, toutes ces huiles prouvent bien la place de Besnard parmi les portraitistes les plus importants de son temps. Intéressé surtout par la couleur et la lumière, même si on décèle quelques hardiesses dans le dessin, Besnard croque avec tendresse ses enfants, comme dans le Portrait de Germaine (1890, collection particulière) ou ose des compositions chromatiques proches de celles des Fauves comme dans la Jeune fille peignant ses cheveux.
Parmi les paysages exposés on remarque le Port d’Alger au crépuscule (1893, Paris, musée d’Orsay), le Ciel d’orage à Berck-sur-Mer proche de Manet, et plusieurs aquarelles sur l’Inde que Besnard réalisa lors de son voyage (octobre 1910 – avril 1911).
On voit aussi deux grandes toiles indiennes terminées en France. Ses travaux indiens furent exposées par la galerie Georges Petit en 1912 et reçurent un accueil triomphal. Les décors sont évoqués par plusieurs esquisses peintes (toujours in situ) provenant des collections du musée de Petit Palais à Paris et destinées à orner le Salon des sciences de l’Hôtel de Ville, les mairies des Ier et XIXe arrondissements, ainsi que la coupole d’entrée du Petit Palais
Un choix d'estampes peu connues du grand public, puisées dans son œuvre gravé, démontre le talent expressif et l’élégante aisance de la technique de Besnard aquafortiste

Au plaisir de la redécouverte de ce peintre, s’ajoute un excellent travail scientifique, agréable et facile à lire.
Le catalogue qui accompagne l’exposition, richement illustré avec des œuvres qui ne sont pas présentes dans l’exposition, ainsi que des photographies à caractère documentaire, contient quatre remarquables études consacrées à la carrière de Besnard : Chantal Beauvalot, « Paul-Albert Besnard (1849-1934), un glorieux méconnu », Christine Gouzi, « Albert Besnard ou La Tentation du XVIIIe siècle », Isabelle Collet, « Besnard, décorateur : un excitateur d’idées », Dominique Lobstein, « La réception critique d’Albert Besnard : une difficile conquête » ainsi qu’une « Chronologie » et une liste des œuvres exposées accompagnée de brèves notices explicatives. Sans doute une étude sur les gravures de Besnard aurait été aussi souhaitable. Si le maquettiste a fait un beau travail, rendant le livre clair et facile à manipuler et les couleurs des reproductions respectant, la plupart du temps, celles des originaux, on déplore les dimensions trop petites de certaines images à caractère documentaire, réduites parfois aux dimensions de timbres poste.

lunedì 27 ottobre 2008

Colpo di fulmine dal dentista




Sono andata dal dentista.
Niente di grave, la solita visita annuale, ho dei denti sanissimi!
Dunque, entro nello studio dentistico.

Il mio dentista, un ragazzo davvero molto simpatico, mi dice fieramente, con un bel sorriso da dentista :
" Ha visto come tutto é cambiato? "

Infatti tutto é nuovo di zecca, il divano dalle forme design é in cuio verde pallido, e tutti gli apparecchi fanno pensare a un vascello spaziale.
Alle pareti bianche, sono appesi due quadri nei toni marron, nero, grigio, con una luminosità eccezionale.
Colpo di fulmine!
Guardo la firma : Fremond.
Chi lo conosce?
Si chiama Denis Fremond , dunque é francese.. da' pero' l'impressione d'essere un giovane allievo
di Edward Hopper.
So soltanto che é nato nel 1950, che i suoi temi preferiti sono degli interiori a New York.

Mi piacerebbe conoscerlo, ma preferisco immaginarlo, mi ricordo ancora la delusione nel scoprire il ritratto di Prevert, il mio poeta preferito..
lo immaginavo giovane, etereo, con una bellezza malinconica e invece..!L'avete visto? (Jacques Prevert, nella foto in bianco e nero)

venerdì 24 ottobre 2008

l'Orchestre de Besançon au Théâtre





Le 24 Octobre 2008
s'ouvre la saison musicale à
l'Opéra Théâtre de Besançon, sous la direction de Peter Csaba.




Cette saison encore, l'Orchestre de Besançon Franche-Comté propose un programme varié allant du classique à la musique contemporaine privilégiant les oeuvres du grand répertoire des différentes musiques à découvrir et à connaître.
De grands interprètes de la vie musicale française et internationale viendront se joindre à l'orchestre pour des moments musicaux d'exception.
Les collaborations avec les forces musicales de la région Conservatoire à rayonnement régional, Ensemble vocal Contraste, choeurs d'enfants du Grand Besançon et du Doubs, Festival international de musique se poursuivront.
L'Orchestre de Besançon Franche-Comté propose des concerts sur le territoire du Grand Besançon et de la Région Franche-Comté, et poursuit ses actions pédagogiques en direction des enfants des écoles de la région et des publics empêchés.
Le Chef D'Orchestre:
Peter Csaba est né en 1952 en Transylvanie (Roumanie) dans une famille de musiciens hongrois. Il étudie le violon, la composition et la direction d’orchestre à Bucarest.

Il est lauréat de nombreux concours nationaux et internationaux, notamment le Concours Niccolo Paganini à Gênes, Italie.
Il s’installe en France en 1983 et devient professeur au CNSM de Lyon en 1984.
D’abord super-soliste à l’Opéra de Lyon et à l’Orchestre national de Lyon, il choisit ensuite de se consacrer principalement à la direction d’orchestre.
Entre 1993 et 2002, Peter Csaba a été directeur artistique et chef permanent, en Suède, de l’Orchestre « Musica Vitæ». Il est aujourd’hui directeur et chef titulaire de l’Orchestre symphonique de Besançon et directeur artistique de l’Orchestre de chambre « Virtuosi de Kuhmo » en Finlande.
Depuis septembre 1996, il a en charge la direction de la classe d'orchestre du Conservatoire national supérieur de musique de Lyon.
Entre 1993 et 2000, Peter Csaba a été également directeur artistique du Festival « Lappland Festspiel » à Arjeplog, en Suède puis de l'édition 2000 du Festival de Kuhmo en Finlande. Il est directeur de l'Académie Maurice Ravel de Saint-Jean de Luz et depuis 2002,
de « Encuentro de Musica y Academia de Santander » en Espagne.
En 1995, pour son travail artistique de qualité à la tête de l'orchestre suédois « Musica Vitæ», il a reçu le prix le plus prestigieux en Scandinavie, le «Spelmanen Prize».
En 2002, il devient membre de l'Académie royale de Suède. Invité privilégié des « Folles journées de Nantes », Peter Csaba a dirigé l'Orchestre symphonique de Varsovie en 2004 lors d'un concert retransmis en direct sur Arte.
Peter Csaba a réalisé de nombreux enregistrements pour Ondin, Caprice, Praga, Harmonia Mundi et Hungaroton.
Brève historique du Théâtre Opéra De Besançon
Besançon, comme toutes les villes de France , n'avait jadis que des comédiens ambulants.
Ce ne fut que plusieurs années après son rattachement à la France que Besançon eut enfin un spectacle régulier.
Les comédiens faisaient au départ leurs représentations dans une salle du Palais Granvelle.
Le Théâtre a été construit sur les plans et sous la direction de Claude Nicolas Ledoux de 1778 à 1784. (Besançon )
Faisant de fréquents séjours en Franche-Comté en raison de ses fonctions, Ledoux fut choisi pour construire le théâtre de Besançon. Les salles de spectacles publiques étaient encore peu nombreuses en France.
Jusqu'alors, l'usage était que les nobles seuls étaient assis, le peuple restant debout.
Mais cet état de fait suscitait des critiques auxquelles Ledoux, qui concevait le théâtre comme une communion de tous les spectateurs, à caractère quasi-religieux, souhaita répondre.
Il trouva dans l'intendant de Franche-Comté, Charles André de La Coré, un esprit éclairé qui consentit à le suivre. Ainsi le théâtre de Besançon se trouva-t-il être le premier dont le parterre fut garni de fauteuils destinés aux abonnés.
Les officiers s'installèrent au premier balcon, la noblesse occupa les premières loges et la bourgeoisie les secondes, tandis que le peuple eut des places assises dans l'amphithéâtre : ainsi le théâtre put-il être à la fois le lieu de la communion et celui d'une stricte hiérarchie des classes.
Avec l'aide du machiniste Dard de Bosco, élève de Servandoni, Ledoux dota la cage de scène, à laquelle il donna un grand volume, de tous les perfectionnements.
Il fut le premier à dissimuler les musiciens dans une fosse d'orchestre.
L'édifice fut inauguré en 1784 et reçut des éloges.
La façade présente un péristyle de six colonnes d'ordre ionique, et de trois portes.
Aux deux extrémités, on trouve les escaliers qui conduisent dans les différentes parties de la salle.
On trouve à l'intérieur du théâtre, quatre rangs de loges en amphithéâtre.
La sculpture, la dorure, les différents ornements qui le composent respire l'élégance et la gaieté. Sa forme est en demi-cercle et l'avant scène étant très ouverte, il n'y a pas une place d'où l'on ne puisse apercevoir les comédiens.
Plusieurs modifications ont été apportées récemment au théâtre, tel que le plafond, restauré par M. Delestre.

martedì 21 ottobre 2008

Les années italiennes à Besançon


Simon Vouet, les années italiennes (1613-1627)
du 27 Mar. 09 au 29 Jui. 09
Exposition coproduite par le musée des Beaux-Arts de Nantes et le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon.
L’exposition est consacrée au séjour italien de Simon Vouet, période durant laquelle son art puisa aux sources des plus grands maîtres de la péninsule.
En se laissant tout d’abord tenter par le ténébrisme populaire des oeuvres du Caravage et il réalise des chefs d’oeuvres du genre.
Le rassemblement d’œuvres dispersées dans les plus grands musées du monde permet d’apporter des jalons essentiels à la connaissance du peintre, des réjouissantes scènes de genre aux virtuoses épisodes religieux, en passant par une magnifique galerie de portraits.
Sous le pontificat du pape Urbain VIII Barberini, Vouet devient un des premiers peintres de la ville éternelle, et le chef de file de l’importante colonie française (Vignon, Valentin, Mellin…). Il reçoit de nombreuses commandes de portraits (Musée du Louvre) et de tableaux d’église (magnifique Circoncision du Museo de Capodimonte, Naples).

Suprême honneur, il est élu en 1624 prince de l’Académie de Saint-Luc, corporation puissante des peintres et sculpteurs de Rome.

Il est le premier artiste français à recevoir une prestigieuse commande pour la basilique Saint-Pierre de Rome (1626) : une grande peinture murale, représentant L’Adoration de la Croix et des symboles de la Passion, servant à la fois de décor et d’écrin à la Pietà de Michel-Ange. Le décor a malheureusement été détruit au XVIIIe siècle, mais l’exposition reconstituera pour la première fois la splendeur de cette commande en réunissant les fragments dispersés dans le monde d’un grand modèle préparatoire réalisé par Vouet.

Le musée de Besançon conserve l’un de ses fragments.

En même temps que l'exposition consacrée à la période italienne de Simon Vouet, le musée présente sa superbe collection d'oeuvres graphiques de l'artiste datant de la période française.

Ce sont vingt cinq dessins autographes et neuf exécutés dans sont entourage qui feront l'objet d'un catalogue par Barbara Brejon de Lavergnée, spécialiste des dessins du XVIIe siécle français.

Cette exposition est reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction des musées de France.
> Voir le site du musée des Beaux-Arts de Nantes

Expo de Grete Stern à Besançon


Grete Stern,
Berlin - Buenos Aires
du 14 Nov. 08 au 26 Jan. 09
Au Musée d'Art et D'Archéologie
de Besançon

nella foto :Sueno n°5 : « Botella del mar », 1950, Idilio : « Los Suenos de inhibiciones » - Grete Stern - © IVAM


Comme Ilse Bing et Ellen Auerbach, la photographe allemande Grete Stern (Wuppertal1904-Buenos Aires 1999)
a connu le foisonnement des avant-gardes en Allemagne dans les années 1920 puis l’exil.

C’est la richesse de ce double héritage que nous voulons mettre en lumière dans l’exposition du Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon : l’Allemagne du Bauhaus où Grete Stern intègre le langage de la modernité puis l’Argentine et le Buenos Aires cosmopolite de Borgès qu’elle découvre avec son époux, le photographe Horacio Coppola.
L’exposition rendra hommage à ce parcours original en présentant un ensemble exceptionnel d’œuvres réalisées entre 1923, date marquant ses débuts en Allemagne, et les années 1950, époque à laquelle elle connaît une grande activité en Argentine. Le projet rassemblera une centaine de photographies réalisées au sein du studio « ringl + pit » fondé avec Ellen Auerbach et lors de son exil argentin.

De l’esthétique Bauhaus de ses premiers travaux à l’inspiration surréaliste de la célèbre série « Sueños » (1948-1951) où Grete Stern reconstitue par photomontage pour une revue féminine, la théorie des rêves de Sigmund Freud, l’exposition offrira un parcours d’une grande richesse rendant justice à une photographe jusqu’alors peu connue en France.

Un catalogue illustré sera publié à cette occasion, incluant plusieurs essais originaux de spécialistes allemand, espagnol et français.
Cette exposition présentera sous un jour nouveau l’oeuvre de Grete Stern.
Après la présentation de la série Sueños à Arles en 1996 et à la Galerie 213 à Paris en 2002, cette manifestation sera la première exposition monographique consacrée à l’artiste en France.
A plusieurs reprises, le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon a mis à l'honneur de grands photographes - Robert Doisneau, Jacques-Henri Lartigue - suscitant chaque fois l'enthousiasme renouvelé du public.
Le projet d'une exposition Grete Stern à Besançon s'inscrit dans cette lignée et se fait enfin l'écho de l'actualité artistique nationale, le Musée du Jeu de Paume préparant pour l'automne 2008 une exposition Lee Miller et le Centre Georges Pompidou envisageant à l'automne 2009 une exposition sur la photographie surréaliste.

lunedì 13 ottobre 2008

Festival of Festival a Bologna


Bologna ospiterà dal 6 al 9 novembre, nella prestigiosa location di Palazzo Re Enzo, la prima edizione di Festival of Festivals, ambizioso congresso dedicato al vivacissimo universo degli eventi culturali. Un settore percorso da grandi mutamenti e che sta dimostrando (nei numeri) un crescente potenziale e un’attenzione da parte del pubblico e dei media senza precedenti.

Organizzatori, enti promotori e patrocinanti, aziende, istituzioni culturali, professionisti, formatori e studenti, avranno l’occasione di incontrarsi per confrontare le esperienze, condividere le scelte strategiche, definire gli obiettivi e progettare gli sviluppi di quello che Festival of Festivals propone, per la prima volta, di considerare il “Settore degli Eventi Culturali”.

“L’esigenza da cui nasce il congresso – dichiara Andrea Romeo, general manager di FoF - è quella di mettere in relazione figure professionali che operano in diverse aree culturali, cinema, musica, culture, teatro e scienze, creando occasioni di scambio e confronto in una realtà, come quella degli eventi, in costante evoluzione e baciata da una crescita in completa controtendenza”.

Festival of Festivals si inaugurerà alla presenza delle istituzioni giovedì 6 novembre, con un esclusivo cocktail di benvenuto offerto da FIAT Group (main sponsor dell’evento) per gli ospiti, gli accreditati, e i numerosi fornitori ufficiali, nella meravigliosa Sala del Podestà di Palazzo Re Enzo.

I lavori del congresso si apriranno invece ufficialmente venerdì 7 novembre alle 11.30 con la conferenza di Giovanna Maggioni - Direttore Generale dell’UPA (Utenti Pubblicità Associati) – sulle prospettive di investimenti privati nell’ambito degli eventi culturali live.

Nel pomeriggio, poi, sarà lo stesso FIAT Group - che dell’evento ha sposato la visione sin dalla nascita – ad intervenire su nuove visioni e nuovi valori delle sponsorship e partnership delle aziende con gli eventi culturali.

Festival of Festivals proporrà inoltre cinque importanti conferenze di presentazione dedicate ad altrettanti grandi eventi internazionalmente riconosciuti per l’eccellenza nella loro area tematica: la Mostra Internazionale d’Arte Cinematografica di Venezia, il Sziget Festival di Budapest (Musica), Festivaletteratura di Mantova (Culture), il Kunsten Festivaldesarts di Bruxelles (Teatro), il Festival della Scienza di Genova.

domenica 12 ottobre 2008

Il mitico fotografo Demarchelier in mostra a Parigi


La "Demarchelier touch"in mostra a Parigi al Petit Palais, fino al 4 Gennaio 2009.
Una grande mostra raccoglie oltre 400 scatti realizzati dall'artista nel corso della sua carriera
È il dono che possiede Patrick Demarchelier di ritrarre l'intangibile: la spontaneità e la parte ottimista dei soggetti che fotografa.

Quasi un miracolo, considerando che si tratta di modelle e celebrità, un mondo che spesso coltiva indolenza, finzione e vanità.

Sono 400 le foto di moda che si affiancano, in senso letterale, alla collezione permanente del Petit Palais di Parigi.
Una scelta curatoriale coraggiosa e innovativa di Gilles Chazal dove l'arte classica incontra l'arte contemporanea - o viceversa? - in maniera ravvicinata, dimostrando che si può e si deve sperimentare.
Autodidatta, Patrick Demarchelier nasce nel 1943 a Parigi.
Dall'età di 17 anni si appassiona alla fotografia.
Lavora per Elle e Marie-Claire in Francia e in Italia, conquista le pagine di Vogue e di Harper's Bazar a New York.
Realizza campagne pubblicitarie internazionali per Dior, Louis Vuitton, Chanel, Yves Saint Laurent, Gianfranco Ferre, Valentino, Prada, Gucci e intrattiene dal 2004 una collaborazione esclusiva con le edizioni Condé Nast (Vogue, Glamour...).
Non a caso primo fotografo ufficiale non britannico della famiglia Reale, nonché fotografo personale e amico della Principessa Diana, Demarchelier immortala il volto e l'anima, dimenticando ogni lato oscuro. Robert de Niro, Tom Cruise, Paul Newman, Julia Roberts, Nicole Kidman, Madonna, Meg Ryan: personaggi che grazie al suo obiettivo magico appaiono prima di tutto persone.
Perché la grandezza di questo artista sta nella sua discrezione, nel rispetto dell'altro, chiunque sia. Scattando, molto semplicemente, subito al di là delle apparenze.

Patrick Demarchelier - Images et Mode au Petit Palais 27 Settembre 2008 - 4 Gennaio 2009 Petit Palais Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Parigi web: http://www.paris.fr/

venerdì 18 luglio 2008

Palermo : l'arte spagnola dal 1957 el 2007 in mostra


Picasso, Miro', Dali' e tanti altri in mostra a Palermo
Cinquant'anni di arte spagnola sono condensati al Palazzo Sant'Elia di Palermo per l'esposizione España 1957-2007.


Non a caso la mostra muove dal 1957, anno di costituzione del gruppo El Paso che rappresenta il momento di passaggio dalla modernita' alla contemporaneita', ma l'allestimento non segue un rigido percorso cronologico, mentre e' suddiviso in sezioni secondo un'impostazione tematica e narrativa.

Le sezioni sono:

Quijotismo trágico, Misticismo pagano, Existencialismo barrocco, Tenebrismo hispánico, Astrazione simbolico-formale.Quijotismo trágico.

Nulla più del poema cavalleresco Don Chisciotte di Cervantes esprime la tensione della cultura spagnola verso mete così ambiziose da portare con sé il rischio del fallimento e l’arte del Novecento porta costantemente in sé il "quijotismo" ovvero l’ironia amara che sconfina nel comico e finisce per mostrare la tragedia della sconfitta, al di là delle diverse epoche e, di volta in volta, delle diverse soluzioni formali.

Misticismo pagano - L’anelito verso il divino si manifesta nella cultura spagnola in forma mistica.
Ma accanto alle manifestazioni individuali di fuga verso il divino, si pongono fenomeni sociali che trovano espressione in una ricca ritualità collettiva con tutta la sua carica sensuale.
Existencialismo barrocco -
Se nella sezione Quijotismo trágico l’attenzione è rivolta al rapporto che l’individuo ha con l’altro, qui si affronta il rapporto dell’individuo con se stesso.
L’esistenzialismo barocco trova espressione nell’horror vacui di cui l’individuo fa esperienza nel momento in cui si confronta con i propri limiti. Sul piano formale si manifesta come un’invasione dello spazio con una sovrabbondanza di elementi che mirano a riempire l’angoscia che il vuoto produce.
Tenebrismo hispánico -
Riprendendo il nome che è stato dato a uno stile pittorico proprio di un gruppo di artisti del Nord dell’Europa e della Spagna in particolare, questa sezione affronta il rapporto dell’arte spagnola con il nero e la predilezione per contrasti molto forti basati sul chiaroscuro.
Abstracción simbólico-formal -
Infine, nel contesto dell’arte astratta del Novecento, l’arte spagnola si muove su un doppio binario, da una parte affronta la relazione dell’individuo con il proprio inconscio, sconfinando sovente nel segno surrealista, dall’altra si serve concettualmente (e strumentalmente) delle forme geometriche esistenti in natura.

In entrambi i casi l’obiettivo è definire la grammatica di linguaggi autonomi capaci di affrontare in chiave originale il simbolo e la sua manifestazione più o meno controllabile da parte dello stesso autore.
Elenco degli artisti
Fermín Aguayo, Manu Arregui, Eduardo Arroyo, Txomin Badiola, José Manuel Ballester, Jorge Barbi, Miquel Barceló, Jordi Bernadó, Joan Brossa, Luis Buñuel, Carmen Calvo, Daniel Canogar, Rafael Canogar, Jacobo Castellano, Eduardo Chillida, Jordi Colomer, Salvador Dalí, Equipo Crónica, Equipo 57, Pepe Espaliú, Esther Ferrer, Dionisio Gonzalez, Luis Gordillo, Juan Hidalgo, Cristina Iglesias, Pello Irazu, Francisco Leiro, Eva Lootz, Antonio López, Enrique Marty, Ramón Masats, Mateo Maté, Manolo Millares, Antoni Miralda, Joan Miró, Juan Luis Moraza, MP & MP Rosado, Juan Muñoz, Antoni Muntadas, Miquel Navarro, Aitor Ortiz, Jorge Oteiza, Pablo Palazuelo, Carlos Pazos, Perejaume, Javier Pérez, Pablo Picasso, Joan Hernández Pijuan, Jaume Plensa, Sergio Prego, Manuel Rivera, Bernardí Roig, Fernando Sánchez Castillo, Antonio Saura, Adolfo Schlosser, Eusebio Sempere, José Maria Sicilia, Santiago Sierra, Susana Solano, José Suárez, Antoni Tàpies, Francesc Torres, Juan Uslé, Isidoro Valcárcel Medina, Eulàlia Valldosera, Daniel Verbis, Manuel Vilariño, Zush/Evru.
SCHEDA TECNICA España 1957-2007
L’arte spagnola da Picasso, Mirò, Dalì e Tápies ai nostri giorni18 maggio – 14 settembre 2008
Palermo, Palazzo Sant’EliaVia Maqueda 81, 90133 Palermo
Mostra a cura di Demetrio Paparoni
Promossa dalla Provincia Regionale di PalermoInstituto Cervantes con il patrocinio del Presidente del Parlamento Europeo Ministero della Cultura Spagnolo in collaborazione conDARC Sicilia
Produzione ARTHEMISIA
Progetto grafico : Angela Scatigna,
Arthemisia Catalogo Skira
Orari di aperturamartedì, mercoledì, giovedì, domenica ore 10-13 / 17-20
venerdi, sabato e prefestivi ore 10-13 / 17-23 lunedì chiuso
BigliettiIntero 7,00 euro Ridotto 5,00 euro gruppi di almeno 15 persone, minori da 6 a 18 anni, portatori di handicap, soci Touring Club con tessera, militari, forze dell’ordine non in servizio, insegnanti, famiglie numerose (almeno due adulti e due bambini di oltre 6 anni, altre categorie convenzionate.
Ridotto speciale 3,00 euro visitatori oltre i 65 anni, studenti fino a 26 anniRidotto speciale scuole 1,00 eurogruppi di studenti delle scolaresche di ogni ordine e grado, minori accompagnati, dipendenti della Provincia Regionale di Palermo.
Gratuito minori di 6 anni, un accompagnatore per ogni gruppo, due accompagnatori per ogni gruppo scolastico, un accompagnatore per disabile che presenti necessità, giornalisti iscritti all’albo, tesserati ICOM, membri dell’Istituto Cervantes, consiglieri e cariche istituzionali della Provincia Regionale di Palermo, funzionari del DARC Regione Siciliana.
Informazioni e prenotazioniTel. 091 87630898Sito ufficialehttp://www.arthemisia.it/index.php?IDC=2&ID=45







martedì 17 giugno 2008

Un'esposizione originale

Fino 20 giugno, all'Università dell'Insubria di Varese, è possibile visitare l'originale esposizione dal titolo ''1948 e dintorni: Manifesti Politici Immagini e Simboli dell’Italia repubblicana''.
In questa occasione verrano celebrati, insieme al decimo anniversario dalla fondazione dell'ateneo, i 60 anni delle elezioni del 1948 e i 100 anni dalla nascita di Giovannino Guareschi, giornalista e scrittore italiano, autore dei celebri Don Camillo e Peppone, personaggi simbolo dell'Italia dell'epoca e dello scontro tra due diverse visioni del mondo e della politica.
La mostra propone una serie di manifesti politici delle campagne elettorali, realizzati nel periodo successivo alla Seconda guerra mondiale, esposti come vere e proprie opere d'arte, in un percorso che si articola attraverso 131 affiche della propaganda elettorale degli anni tra il 1946 e il 1953.
Proprio allo scontro tra Democrazia Cristiana e Fronte Popolare (in particolare per le elezioni del 1948) è dedicata la maggior parte della cartellonistica in mostra:
da una parte De Gasperi con gli Stati Uniti e la Chiesa, dall’altro Togliatti e Nenni con l’Urss e il bolscevismo.
I manifesti, infatti, rappresentavano il mezzo più efficace di formazione del consenso, rispetto alla radio, che forniva ai partiti spazi molto ridotti, e ai giornali che restavano un privilegio per pochi. La propaganda muraria, invece, aveva il merito di riuscire ad arrivare alle masse, dagli analfabeti agli intellettuali.
Nel Salone di Rappresentanza dell’Università, vengono presentati i manifesti propagandistici realizzati dalle diverse forze politiche per il referendum istituzionale del 1946, le elezioni politiche del 1948, le elezioni amministrative del 1951 e la successiva tornata politica del 1953.
Il materiale in mostra, proveniente dalla raccolta del fotografo piacentino Maurizio Cavalloni, si accompagna al catalogo, curato da Filadelfo Ferri, direttore dell’ International Research Center for Local Histories and Cultural Diversities dell’Università degli Studi dell’Insubria, che "Oltre a raccogliere una notevole quantità di materiale iconografico, è arricchito da saggi scritti per l’occasione da prestigiosi docenti e studiosi del fenomeno politico italiano"- ha sottolineato il rettore, Renzo Dionigi.