domenica 23 gennaio 2011

Reims banlieue de luxe de Paris ?



C'était en 2004.. l'Express.fr dans un article de Anais Cohen et Mathieu Iselin parle de la ville de Reims comme "la banlieue chic de Paris" en imaginant l'arrivée du TGV et ses consequences

" Dans trois ans, grâce au TGV, Reims ne sera plus qu'à quarante minutes de la capitale, contre une heure trente aujourd'hui. Soit autant qu'un trajet en RER d'Evry à Châtelet... La cité rémoise deviendra-t-elle alors une banlieue chic de la capitale? Beaucoup de Rémois seraient tentés d'aller travailler à Paris. A l'inverse, de nombreux Franciliens pourraient être séduits à l'idée de s'installer à Reims tout en travaillant dans la capitale. Rapprochée ainsi des portes de Paris, Reims verra dès lors son destin lié à celui de Paname.

Que vous évoque Reims? Pour beaucoup, c'est d'abord sa majestueuse cathédrale. Et pour cause: figure emblématique de la royauté française, Reims a été le lieu privilégié du sacre des rois de France.

Mais la cité champenoise ne se résume pas à un lieu saint. C'est aussi le temple du champagne, affirmant du coup son penchant pour les traditions et le bon goût.

Depuis des décennies, ces deux symboles forgent l'identité de la ville et lui assurent une renommée digne d'une grande métropole: vu d'Europe, selon une enquête réalisée par L'Expansion en 1990, Reims apparaît ainsi comme la 9e ville française en termes de rayonnement international. A la même date, Reims ne figurait qu'en 27e position en termes de poids démographique. Mais de même que Paris ne peut être réduit au Louvre et à la tour Eiffel, Reims ne peut l'être à sa cathédrale et à son champagne.

La capitale économique de la Champagne-Ardenne, dont l'agglomération rassemble plus de 210 000 habitants, manque d'ambition. La «belle en-dormie» a des atouts indéniables, mais peine à s'affirmer. Et pâtit du centralisme parisien: Reims ne compte que 68 entreprises de plus de 100 salariés, selon une étude réalisée par l'Insee en janvier 1999.

Du coup, l'arrivée du TGV représente l'espoir d'un nouveau départ pour la ville. Et cette ligne, Reims l'a voulue à tout prix. «Le tracé le plus court pour aller de Paris à Strasbourg n'impliquait pas de passer par Reims, rappelle Jean-Louis Schneiter, maire de Reims. Cependant, nous avons prouvé que, s'il devait y avoir une gare intermédiaire en Champagne, ce n'est qu'à Reims qu'elle pouvait se situer, en raison du fort potentiel de clientèle qui s'y trouve. La ligne a donc été déviée pour y passer.» Et le fait que cette ligne TGV, longue de 300 kilomètres entre l'Ile-de-France et la Lorraine, soit la première de France payante pour les collectivités locales, n'a pas rebuté la municipalité, qui a versé près de 84 millions d'euros à RFF (Réseau ferré de France) pour la construction de la gare TGV. Dans le coût global de 4 milliards d'euros, 124 millions d'euros seront à la charge de la région Champagne-Ardenne, des départements des Ardennes, de la Marne et de la ville de Reims.

Premier objectif:

rayonner en Europe

Concrètement, la venue du TGV dans la cité des rois se traduira par la rénovation de la gare actuelle, ainsi que par la création d'une nouvelle gare d'interconnexion à Bezannes, à 6 kilomètres de Reims. Plus importante que la gare centrale, celle-ci reliera la ville à Lille, Londres, Strasbourg, etc.

Premier objectif: rayonner en Europe. La cité occupe déjà une position de carrefour stratégique entre le Bassin parisien et l'Europe du Nord, soit un marché de 140 millions de consommateurs potentiels. Située au croisement des autoroutes A 4 et A 26 reliant respectivement Paris à Strasbourg et Calais à Dijon, Reims ne sera alors plus qu'à une heure trente de Strasbourg grâce au TGV...

Deuxième objectif: redynamiser la ville. Le TGV Est sortira-t-il la cité de sa léthargie? Car Reims se repose sur un patrimoine historique de premier plan, qui lui confère une image porteuse. Pourtant, la ville manque d'ambition sur le plan économique. «Cela se reflète dans le tourisme, déclare Jean-Louis Schneiter. Malgré une fréquentation en hausse constante, les gens ne restent pas très longtemps, juste pour visiter la cathédrale et une cave de champagne.» C'est là où le bât blesse. Car Reims ne réussit pas à fixer les entreprises sur son sol. Aussi, avec 11,5 millions de voyageurs prévus pour l'année de lancement sur toute la ligne, les retombées du TGV risquent d'être importantes.

Pour les sociétés franciliennes, joindre Reims en quarante minutes sera une occasion d'étendre leurs activités vers des sites plus attrayants en matière de qualité de vie et plus avantageux économiquement, du fait de coûts immobiliers plus faibles. La liaison rapide Paris-Reims permettra d'attirer les touristes, qui pourront visiter la ville en une journée, au même titre que Disneyland ou les châteaux de la Loire.

Autre avantage: grâce au TGV Est, Reims sera intégré au Réseau ferré de France et deviendra un carrefour d'échanges. Aujourd'hui, pour voyager entre Reims et d'autres villes françaises, la SNCF impose la plupart du temps aux voyageurs de passer par Paris et de changer de gare. Intégrer Reims au réseau ferré national, c'est aussi établir des lignes directes avec les autres villes de province et valoriser l'aéroport de Reims Champagne. Or le taux de fréquentation de ce dernier a chuté ces dernières années et le partenariat avec Ryanair a d'ailleurs pris fin, faute de clientèle suffisante. Améliorer les liaisons TGV, c'est donc faire gagner à la ville de Reims une plus grande autonomie.

Mais si ce rapide rapprochement est un atout inestimable, encore faut-il savoir en faire bon usage. La réduction du temps de déplacement entre Reims et la capitale, en particulier l'aéroport de Roissy (trente-cinq minutes), risque de faire de l'ombre à l'aéroport de Reims Champagne, déjà en difficulté. La ville, alors, pourrait devenir un simple satellite de la capitale. «L'arrivée du TGV n'est pas totalement sans danger, confirme le maire. En étant à quarante minutes de la gare de l'Est et à trente minutes de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, il est évident que nous ne deviendrons jamais une métropole de la taille de Lyon, Marseille, Lille ou Bordeaux. Cependant, la proximité peut avoir deux avantages importants: d'une part, la venue d'entreprises importantes, en particulier dans les secteurs high-tech, tertiaire et logistique. Et, d'autre part, l'arrivée d'une population aisée dans et aux alentours de Reims. Comme ce qui s'est passé dans les autres villes accueillant le TGV, les entreprises vont suivre le mouvement de population.»

Car l'arrivée du TGV coïncide aussi avec la mode consistant à «se mettre au vert», ce que les cadres supérieurs et les professions libérales apprécient tout particulièrement. Et pour cause. Quarante minutes pour se rendre à son travail est une durée faisant rêver plus d'un Francilien habitué aux sempiternels embouteillages.

Comment, alors, ne pas être tenté par l'idée de vivre à Reims, de jouir d'un cadre de vie agréable, tout en continuant de profiter des avantages d'une vie professionnelle basée à Paris?

Nathalie Jacquet a fait ce choix. Arrivée à Reims en 1990, cette directrice des relations extérieures a continué de travailler pendant deux ans au siège social d'Air France, situé alors sur les Champs-Elysées, en tant que responsable marketing.

Supportant sans broncher ses cinq heures de déplacements quotidiens, elle se rend compte rapidement des limites de cette vie: «Avec les enfants, c'est devenu ingérable», confie-t-elle.
Concilier une vie familiale épanouie avec un tel emploi du temps relève en effet d'un véritable exploit. Pourtant, elle ajoute: «Avec le TGV, j'aurais envisagé de garder mon job à Paris.»

La proximité Reims-Paris pourrait, en effet, séduire plus d'un Francilien.
«En tant que mère de famille, je suis heureuse de vivre ici, témoigne Nathalie Jacquet. Tout est à échelle humaine.»
Car la vie rémoise, loin du gigantisme et du stress de la capitale, présente de nombreux atouts.
Reims offre, en plus d'un patrimoine historique de renom, de nombreux espaces verts.

La coulée verte, qui s'étend sur près de 650 hectares au coeur de la cité, d'un seul tenant, est l'un des lieux favoris des Rémois, qui pratiquent de nombreuses activités sportives, de la course à pied à l'aviron, en passant par le roller. Le tout en plein centre-ville.

La cité dispose aussi d'une université, qui capte la majorité de la population estudiantine régionale, soit 22 000 étudiants, de classes préparatoires ainsi que d'une école de commerce.

Reims, c'est enfin son inévitable place Drouet-d'Erlon, véritable concentré de cafés et de restaurants au style Art déco, également le lieu de toutes les manifestations locales. «Pour se ressourcer, pour se reposer, ce sont mes amis parisiens qui viennent», déclare Nathalie Jacquet.

Loin d'être une simple station estivale pour Franciliens exténués, Reims a aussi une place économique à défendre: des Parisiens travaillent désormais à Reims.

«De mon appartement du XXe arrondissement à mon travail, je mets une heure trente», raconte Gaëlle Le Guirriec, professeur d'économie. Soit autant que pour aller à Cergy-Pontoise en voiture.

En vérité, cette délicieuse harmonie entre vie professionnelle et familiale pourrait attirer des couples avec enfants dans une ville plutôt jeune.

Selon le recensement de 1999, la composition par tranche d'âge révèle une proportion de 20-39 ans largement supérieure à la moyenne nationale, soit 37% contre 27.

Mais cette arrivée risquerait d'engendrer une flambée des prix immobiliers, phénomène déjà constaté en Provence-Alpes-Côte-d'Azur après l'arrivée du TGV Méditerranée.

Car, en plus des nombreux Parisiens qui voudront élire domicile à Reims tout en travaillant dans la capitale, beaucoup d'autres seront tentés d'y avoir une résidence secondaire, augmentant du coup la demande de logements ainsi que les prix immobiliers.

Reims deviendrait alors une sorte de vaste cité résidentielle de luxe.

Bref, une banlieue chic de Paris. Ce que le maire de la ville ne craint pas. «Reims est, à l'exception de Paris, la ville la plus dense de France. Le foncier y est relativement cher.
En outre, il reste peu de place dans la ville elle-même et dans l'agglomération, ce qui va freiner l'afflux de population.

Les nouveaux arrivants vont donc avoir tendance à s'installer dans un rayon de 10 à 15 kilomètres aux alentours. La densité de la ville jouera contre le développement de sa population, mais pour celui de son économie.»
Aussi faut-il prévoir une montée des prix à proximité immédiate de la ville. «Il est vrai qu'il y a déjà des augmentations dans certains villages.
Mais ceux-ci s'organisent au travers de communautés de communes.

A cela s'ajoute la création prochaine du Pays rémois, qui rassemblera l'ensemble des communes et communautés de communes en vue d'une certaine cohérence urbanistique et géographique, dans la définition des moyens de transports notamment.
Il faut donc s'attendre à un fort développement de la région.»

Aujourd'hui, le TGV constitue une réelle chance et un enjeu majeur pour les villes soucieuses de leur développement.
Car il est devenu l'emblème de la ville du XXIe siècle, une sorte d'ascenseur urbain qui place désormais l'heureuse élue dans la cour des grands. Si la «suburbanisation» de Reims n'est pas pour demain, ce risque doit néanmoins interpeller les élus locaux sur la façon d'exploiter au mieux les bénéfices apportés par la venue du TGV, tout en préservant la ville de ses éventuels effets pervers.

Reims gardera-t-elle son indépendance?
«C'est l'un des enjeux à venir, conclut le maire. Nous devons mettre en avant la proximité avec la capitale en faisant passer l'idée que Reims est une ville où l'on trouve tout, et pas seulement la banlieue de Paris. C'est en train de se faire, y compris chez les Rémois, qui commencent à réagir dans ce sens. A vrai dire, je pense que le TGV permettra de renforcer le statut de métropole régionale de la cité.»

Symbolique à bien des égards, le TGV n'est pas pour autant ce trophée que l'on brandit rageusement pour signifier son triomphe; il pose un véritable défi. Attendre passivement sa venue ne suffit pas, il faut s'y préparer activement.

Cette fois-ci, la balle est dans le camp des Rémois..."

martedì 18 gennaio 2011

Lezioni di stile da over 60 !










La giornalista Egle Santolini, per La Stampa si attacca a un tema sociale d'attualità : i baby boomer icone di moda.


Come stanno invecchiando i baby boomer?

Quelli che «io alle sneakers non rinuncerò neanche dopo i novanta», e per i quali qualcuno sta sicuramente progettando una sedia a rotelle con incorporata la custodia dell’iPod?


Per farsene un’idea, e ragionare sul panorama antropologico che ci si parerà davanti nei prossimi decenni, serve fare un giro sul blog di Ari Seth Cohen, fotografo ventottenne ex responsabile di un negozio di moda sulla West Coast, arrivato da Seattle a New York con una buona idea in tasca.

Il sito si chiama Advanced Style (advancedstyle.blogspot.com) e, apparentemente, si inserisce nella pletora di blog modaioli ispirati dal geniale Scott Schuman di www.sartorialist.com: decine e decine di foto scattate per strada a persone di gusto, cioè non necessariamente eleganti in senso stretto, però dotate di un senso spiccato e personale dello stile.

Over 60

L’originalità di Ari sta nel fatto di andare alla ricerca esclusiva di modelli sopra i 60.
Quelli che una volta si sarebbero definiti come vecchietti bizzarri o vecchiette eccentriche, e stiamo parlando dei tempi in cui le dame dabbene dopo il cinquantesimo compleanno non osavano più l’arancione e abolivano il rossetto; ma che oggi, visto che quegli anziani sono stati giovani ai tempi degli incandescenti anni Sessanta e adulti durante i formidabili Settanta, appaiono in via di totale e felice sdoganamento.

Di fronte alla smagliante Jenny, forse ottuagenaria, fotografata in «ankle boots» alla Grand Central Station, o sul sofà di casa in abito nero mentre mette in mostra un gran bel paio di gambe, chi avrebbe, francamente, il coraggio di scandalizzarsi?
Ed ecco ancora Carole, sui 70, con l’eyeliner marrone meticolosamente steso intorno agli occhi, che in un video mostra il proprio appartamento in technicolor e disquisisce su Dries Van Noten e Miuccia Prada.

Ecco soprattutto Debra, che di Ari Seth Cohen è la musa preferita, mentre decanta un affresco blu cobalto su un muro di Tribeca e poi spiega perché si sia messa un paio di guanti pervinca.
E quanto sia orgogliosa della montatura di tartaruga dei suoi occhiali, del boa viola, del cappello dal taglio inconsueto.

I nonni e i Beatles

Elio Fiorucci, guru della moda presa dalla strada e teorico dell’originalità individuale nel vestire, osserva che «chi da giovane ha ascoltato la musica dei Beatles non può dimenticarsene neppure se è nonno.
La moda è la scrittura della nostra personalità e questo diventa ancora più vero con il passare del tempo.
Del resto oggi, sempre di più, ci si veste secondo il gusto e non secondo l’età.

Pensi a Benedetta Barzini, per me la donna più elegante d’Italia.
Non è più una ragazzina, ma resta splendida e si veste come una quindicenne. E il bello è che le quindicenni l’ammirano e la prendono a esempio».

La stilista Luisa Beccaria è completamente d’accordo: «Che cosa vogliamo dire, piuttosto, di certi trentenni noiosissimi?
In certi anziani ammiro il surplus di energia, io sono per il rimescolamento delle generazioni e degli stili».

Ari Seth Cohen racchiude la sua filosofia in questa frase: «Divertirsi, mantenersi in salute, usare lo stile e la creatività per rimanere vitali ed entusiasti».
«Le persone di una certa età - aggiunge - non hanno più nulla da dimostrare e non devono più sedurre a tutti i costi. Ecco perché sono più libere e più inventive».

Quanto ai signori uomini, sul blog passano in rassegna un numero imprecisato di pantaloni rossi, risvolti sartoriali, gemelli di foggia interessante, sciarpe a righe creativamente avvoltolate intorno al collo.

Cappelli, soprattutto: forse la fonte d’ispirazione più immediata, visto che Cohen racconta che, da bambino, «andava a frugare nell’armadio del nonno, affascinato dai suoi berretti».
Marvin osa un paio di calzoni latte-e-menta e una giacca blu copiativo (fidatevi: insieme stanno benissimo).
Siccome è pieno inverno e la sua ragazza esprime una certa perplessità, le ricorda che il pregiudizio per cui col freddo si devono portare soltanto colori scuri è vecchio come il cucco.

Ma la sezione più esilarante è forse quella dedicata alle scarpe: derby leopardate, stivaletti carminio, sandali rosa, zeppe e mocassini bicolori.

«Onora il padre e la madre, onora i nonni soprattutto», conclude Ari Seth. «E cerca di imparare da loro due o tre cosette su come godersi la vita»

sabato 15 gennaio 2011

Victoria's Secret arrive en Europe






La marque américaine de lingerie Victoria’s Secret vient de confirmer l’ouverture prochaine d’un premier établissement à Londres qui débutera son expansion en Europe.

Bien que le flagship n’ouvrira ses portes qu’en 2012, il deviendra la concurrence directe des franchises de lingerie, puisque son plan commercial est de doubler sa taille dans les marchés internationaux et cela sur une durée de trois ans.

Le géant de la mode intime arrive en Europe avec l’intention de conquérir le vieux continent. Victoria’s Secret a annoncé depuis son siège aux Etats-Unis qu’elle ouvrirait un magasin à Londres, sur Bond Street, une des rues les plus commerçantes de la capitale britannique.

Victoria’s Secret appartient au groupe Limited Brands, dont les intentions d’expansion visent le marché européen.
Même si le communiqué de la marque n’indique pas exactement dans quelles villes elle souhaite s’implanter, la France et l’Espagne semble être les deux pays dans la ligne de mire.

La firme a décidé de doubler sa taille dans les marchés internationaux sur une durée de trois ans.

Il est prévu que le nouvel établissement ouvre ses portes en 2012 et le choix du local semble être déjà fait.

Limited Brands avait fermé l’année 2008 avec des ventes qui atteignaient les 8600 millions de dollars et distribuait à travers un réseau commercial de 2900 magasins propres et franchises aux Etats-Unis et au Canada.

Avec un total de 1040 magasins, la marque Victoria’s Secret est le plus importante du groupe. Elle facturait 5307 millions de dollars en 2009.

L'IDI'AC di Milano


Inizialmente denominato Ateneo Artistico 3A, viene fondato negli anni Sessanta dal celebre cartellonista e illustratore futurista Franco Mosca, in concomitanza con l'apertura a Milano delle principali Agenzie di Pubblicità.

La Scuola ha al suo interno due differenti percorsi di studio, il Corso di Grafistica e il Corso di Ambientazione e Antiquariato che diventerà in seguito il Corso Superiore di Architettura d'Interni dell'Interior Design Institute.

Il Corso di Grafistica si propone come luogo di formazione nell'ambito delle arti visive applicate alla Pubblicità, alla Moda, all'Editoria e al Cinema.

La richiesta da parte del mercato pubblicitario di continuo aggiornamento e di sempre maggiori competenze specialistiche determina un riassetto del Corso, che viene strutturato sulla falsariga di un'Agenzia di Pubblicità, divenendo Corso di Grafica Pubblicitaria, di durata biennale, con affermati docenti professionisti al suo interno.

A partire dalla metà degli anni Settanta la Signora Luisa Galliani subentra nella direzione a Franco Mosca proseguendone la linea formativa e rafforzandone lo stretto legame con il mondo del lavoro.
Il Corso diventa di durata biennale con frequenza obbligatoria, è riconosciuto dalla Regione Lombardia e rilascia un attestato di Qualifica Professionale Superiore.

Nel 1980 viene affiancato al biennio un Corso di Specializzazione di durata annuale in Analista Pubblicitario, che completa il percorso di studi del Grafico Pubblicitario, in vista di un collocamento nell'Agenzia di Pubblicità sia nel ruolo dell' Art Director che del Copywriter.

Nel 1991 Ateneo Artistico 3A diventa Istituto Superiore di Qualificazione Professionale - Scuola di Comunicazione - L'Ateneo.

Il Corso Superiore di Pubblicità riscuote un sempre più ampio consenso tra il pubblico e adesioni da parte di professionisti di spicco del settore, in un continuo aggiornamento nel campo della comunicazione, nell'individuazione di strategie teoriche e pratiche in linea con le tendenze di un mercato in continua evoluzione.

Nel 1993 la direzione dell'Istituto è affidata all'Arch. Antonella Dedini che inizia, a partire dal 1999, una collaborazione con Domus Academy, scuola post-universitaria attiva a Milano già da un decennio.

Nel 2000 la Scuola acquisisce l'attuale denominazione di IDI'AC - Scuola Superiore di Pubblicità e Comunicazione.

IDI'AC ha sempre intrattenuto stretti rapporti di collaborazione con T.P. (Associazione Italiana Tecnici Pubblicitari Professionisti), consolidando un legame di fiducia professionale grazie al quale gli studenti hanno la possibilità di iscriversi direttamente all'Associazione senza sostenere l'esame di ammissione, ed essere quindi tutelati deontologicamente nell' espletamento della libera professione .


Nel mese di luglio 2006 è cambiata la gestione.
Attualmente la scuola è gestita e diretta da Rosanna Gerini, architetto, libera professionista con decenni di esperienze diversificate nell'ambito dell'architettura e del design, oltre all'esperienza maturata nella formazione professionale post diploma superiore e post laurea.

Determinata, ha come obiettivo il potenziamento dell'attività formativa dell'Istituto e l'ottenimento del più elevato riconoscimento dei corsi offerti.

Già dalla prossima stagione "anno accademico" saranno inseriti Master di alto livello specialistico e corsi "small" di approfondimento sia nel campo dell'architettura che del design oltre alla grafica pubblicitaria e della comunicazione o arti visive.

Un importante tema sarà affrontato e approfondito "progettare per l'uomo", l'essere umano che sarà al centro dell'attenzione nelle materie insegnate.


INTERIOR DESIGN INSTITUTE srL – società unipersonale
Via Mazzini,10 20123 Milano - Tel.+39 02 867530 Tel.+39 02 86463289 Fax +39 02 86461353 www.idiac.it info@idiac.it
P.I. 12648120157 C.C.I.A.A. MILANO 1576740
“CORSO SUPERIORE DI COMUNICAZIONE E PUBBLICITA”
CREATIVE COMMUNICATION

Corso Superiore di Livello Universitario

Il Corso di Specializzazione Superiore in Comunicazione Creativa ha l’obiettivo di conferire un alto grado di specializzazione nel settore della comunicazione, della grafica e della pubblicità a tutti gli operatori del settore, laureati o laureandi in comunicazione e a tutti coloro che intendono inserirsi nel mondo dell’agenzia pubblicitaria in qualità di Art Director, Copywriter, Graphic Designer, Web Designer.

Il corso contempla un approccio diretto alle campagne stampa e di pubblicità, con lo studio e la realizzazione di brief reali in un assetto di lavoro identico a quello delle agenzie pubblicitarie, inoltre prevede l’analisi di case history di personaggi di spicco del settore, seminari, sopralluoghi e collaborazioni con agenzie, in un approccio diretto e vitale con il mondo reale della pubblicità.

Saranno inoltre affrontate le più ampie tematiche legate alla comunicazione d’impresa con un focus sul Marketing Communication e il Management degli eventi, sempre più indispensabili in un approccio efficace alle strategie comunicative.

Obiettivo del corso è creare professionisti con una personalità e professionalità forti e individualmente riconoscibili, sviluppandone le attitudini e il talento personali, al fine di formare nuove figure che siano capaci di gestire a 360 gradi i vecchi e i nuovi metodi della comunicazione. I docenti, veri tutor individuali, conducono gli studenti verso l’acquisizione del metodo per trasformare la propria creatività e il proprio talento personale in un efficace strumento di accesso al mondo del lavoro.

Per questo motivo il corso prevede uno stage presso aziende del settore e un monitoraggio costante degli strumenti acquisiti da parte degli studenti.

Metodologia didattica

Lezioni frontali in aula, esercitazioni pratiche, visite guidate presso strutture significative.
La formazione degli studenti passa anche attraverso collaborazioni su temi specifici, da parte dei docenti del corso con aziende e istituzioni, per questo si svilupperanno brief reali, commissionati da aziende.

Destinatari

Il Corso è rivolto a laureandi, laureati, professionisti del settore e tutti coloro che siano interessati a esplorare il tema proposto ed inserirsi nel campo della comunicazione pubblicitaria.

Durata


Il corso è Triennale da ottobre a giugno.
con il patrocinio dell’Ordine degli Architetti PPC
della Provincia di Milano

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Frequenza
3-4 ore al giorno dal lunedì al giovedì.

Modalità di accesso

Gli studenti verranno selezionati attraverso il seguente percorso:
- valutazione del curriculum vitae
- colloquio motivazionale

Attestato
Al termine del corso i partecipanti riceveranno un attestato di Specializzazione in Pubblicità e Comunicazione se avranno raggiunto almeno l’85% delle presenze.






20123 Milano - tel 02 85.68.51.34 - tel e fax 02 804257

mercoledì 12 gennaio 2011

Les règles d'or pour réussir le thé








Règles d'or pour réussir le thé


Pour les thés noirs, les thés bleus et les thés parfumés :

Le thé doit se faire dans une théière réchauffée au préalable : il convient, après y avoir placé le filtre * , d'y verser de l'eau bouillante ensuite rejetée.

Mettre une petite cuillère de thé (environ 2,5 g) par tasse dans le filtre* de la théière encore chaude et laisser reposer quelques instants de manière que, grâce à la vapeur, l'arôme du thé puisse commencer à se libérer.

Verser de l'eau frémissante sur le thé de façon que toutes les feuilles en soient imprégnées.

Laisser infuser le thé (consulter la table d'infusion)

Pour les thés à feuilles broyées, environ 2 minutes

Pour les thés à feuilles brisées, environ 3 minutes

Pour les thés à feuilles entières, environ 5 minutes

Pour le Darjeeling first flush, à peine 3 minutes en augmentant légèrement le dosage du thé (3,5 g)

Pour les thés bleus, 7 minutes
Retirer immédiatement le filtre* contenant les feuilles de thé et servir après avoir remué. Ceci est très important pour obtenir une saveur homogène de la première à la dernière tasse. Les thés de grands jardins ne se dégustent pas brûlants; patientez quelques instants après l'infusion, les parfums seront ainsi plus subtils à votre palais.

Pour les thés blancs et les thés verts :
Le thé doit se faire dans une théière ou dans un "chung" (tasse à couvercle) réchauffé au préalable..
Mettre la quantité nécessaire par personne ou par tasse (consulter la table d'infusion). Laisser reposer quelques instants de manière que, grâce à la vapeur, l'arôme du thé puisse commencer à se libérer.
Verser de l'eau chaude sur le thé (consulter la table d'infusion pour la température de l'eau).
Laisser infuser le thé (consulter la table d'infusion) :

Pour le thé vert, de 1 à 3 minutes
Pour le thé blanc Yin Zhen, 15 minutes
Pour les thés blancs Pain Mu Tan, 7 minutes
Enlever les feuilles de thé et servir après avoir remué.

* Filtre à thé dégustateur en coton.

Il grande Bosch a Venezia



Prosegue l’esposizione di collezioni statali a Palazzo Grimani, con tre dipinti del pittore più visionario della storia dell’arte: Hieronymus Bosch

Dopo il grande successo della mostra dedicata alle celebri opere di Giorgione, La Vecchia, La Tempesta e la Nuda, che hanno inaugurato l’apertura di Palazzo Grimani, come spazio espositivo permanente a Venezia, in questa magnifica sede, saranno esposti altri tre capolavori assoluti che da anni non si vedono in pubblico.

Protagonista, questa volta, il pittore fiammingo più noto e intrigante della storia dell’arte: Hieronymus Bosch ('s Hertogenbosch, Olanda 1450 – 1516), di cui si potranno ammirare la Visione dell’Aldilà (1500 – 1503), il Trittico di santa Liberata (1505) e il Trittico degli eremiti (1510), provenienti da Palazzo Ducale di Venezia.

Promossa dalla Soprintendenza Speciale per i Musei e le Gallerie Statali di Venezia, organizzata e prodotta da Arthemisia Group, la mostra sarà aperta a Palazzo Grimani dal 19 dicembre 2010 al 20 marzo 2011.

Il Soprintendente Vittorio Sgarbi ha scelto di rendere accessibili al pubblico tre straordinarie opere di Bosch, due delle quali in deposito da anni a Palazzo Ducale, rendendo omaggio alle opere del sublime artista conservate a Venezia, dove soggiornò con molta probabilità tra il 1499 e il 1502.

Per mantenere una linea di continuità tra le collezioni periodicamente esposte a Palazzo Grimani, resterà inoltre allestita la bellissima Nuda (1508) di Giorgione, dalle Gallerie dell’Accademia, e contestualmente, per gennaio, si prepara l’esposizione del Breviario Grimani, volume capolavoro appartente alla Biblioteca Marciana.

Figura molto discussa per la forte carica espressiva nonché per la bizzaria e inquietudine dei suoi dipinti, Jeroen Anthoniszoon van Aken, che si firmava e divenne noto come Bosch, proviene da una famiglia di pittori olandesi e si ditingue per i suoi lavori fantastici, nati per illustrare la morale e i concetti religiosi dell’epoca.

Il suo fantasioso immaginario, non sempre di facile interpretazione, si avvale dei Bestiari medioevali e protagonista costante dei suoi dipinti è l'umanità condannata all’inferno per via del peccato.

La meditazione sulla vita dei Santi e sulla Passione di Cristo sembrano le uniche vie per riscattare il genere umano dal peccato universale.

Le tre opere esposte a Palazzo Grimani facevano parte della collezione del cardinale Domenico Grimani e giunsero nelle collezioni di Palazzo Ducale dopo la morte del prelato, grazie al suo lascito testamentario alla Serenissima.

Il Trittico di santa Liberata e il Trittico degli eremiti passarono per un periodo a Vienna, prima nelle collezioni imperiali fra il 1838 e il 1893, poi al Kunsthistorisches Museum fino al 1919, e fecero poi ritorno a Palazzo Ducale, dove sono attualmente conservate.


HIERONYMUS BOSCH
(1450 ca. - 1516)

Jeroen Van Acken Anthoniszoon, universalmente noto come Hieronymus Bosch, nacque intorno al 1450 in un villaggio del Brabante Settentrionale, zona che oggi corrisponde all’Olanda.
Nipote di un pittore di soggetti sacri e figlio di un modesto artigiano, divenne piuttosto benestante grazie a un buon matrimonio e a una cospicua eredità. Cominciò la sua attività artistica nel 1475, ed ebbe subito un grande successo.
La sua fama fu immediata e grandissima perché le sue prime opere sono effettivamente dei capolavori, ma anche perché la sua arte è davvero calata nello spirito dei tempi.
A ciò seguì un periodo di oblio, prima della riscoperta definitiva, in cui Bosch fu semplicisticamente definito un "produttore di mostri".
In effetti, le opere di questo artista sono un concentrato di simboli magici, di invenzioni fantastiche umane e animali, un campionario di creature che ben poco hanno a che spartire con la realtà.


Non sono però soltanto il frutto di una fantasia sfrenata: se non c’è riscontro diretto nella natura, questo esiste nella cultura, soprattutto quella popolare.

I motivi ripresi da Bosch sono spesso quelli dei racconti folkloristici tramandati per tradizione orale o nelle letterature fantastiche in cui i paesi del Nord Europa sono maestri.
Secoli dopo, allegorie, onirismi e simbologie si riveleranno interpretabili alla luce delle teorie psicoanalitiche freudiane, dimostrandosi cosi specchio dell’inconscio.
Gli anni in cui visse e maturò Bosch furono colmi di splendori artistici e di conquiste e scoperte: Botticelli nel campo figurativo, Chaucer in quello letterario, Diaz e Colombo in quello geografico, contribuirono a creare un clima di deciso rinnovamento.

Ma furono anche tempi di guerre, di violenze, di fanatismi religiosi: venne istituita l’Inquisizione spagnola, si aprì la caccia alle streghe e si perseguì con crudeltà la magia e quanti la praticavano.

Specchio dello spirito dei tempi
In linea con lo spirito di tempi cosi complessi e pieni di contraddizioni estreme sono le prime opere di Bosch. Il suo esordio consiste, a detta di molti studiosi, nella tavola conservata al Museo del Prado di Madrid, La cura della follia.

Ancora un po’ duro nei contorni, possiede però la novità di uno sfondo che si apre all’occhio e spazia sconfinato, che è motivo ricorrente nell’opera del pittore e del tutto inedito in Olanda fino a quel momento. I
l tema si chiarisce osservando i particolari: la borsa del personaggio seduto, trafitta da un pugnale e il tulipano, simbolo di denaro, che fuoriesce dalla sua testa e che sta per essere reciso dal chirurgo, la dicono lunga sull’attività dei medici che inventano assurde cure per spillare quattrini agli sciocchi.

Un tema come I sette peccati capitali non poteva non interessare un artista come Bosch.
L’opera era in origine il ripiano di un tavolo, lavoro decisamente insolito almeno per l’area olandese.
Un grande tondo centrale, simboleggiante l’occhio di Dio, porta al centro la figura del Cristo e tutt’attorno le scene dei sette peccati, ricchi di particolari grotteschi, con un intendimento chiaramente morale. Nei quattro tondi posti agli angoli del tavolo ci sono i Misteri Novissimi: Morte e Giudizio, Inferno e Paradiso. Anche questo lavoro è al Prado di Madrid.
Il tema dei ciarlatani pronti a imbrogliare gli sciocchi torna in un’altra opera anteriore al 1480: Il prestigiatore del Musée Municipal di Saint Germain en Laye.

Infatti allo spettatore incantato dal gioco sta per essere sfilata la borsa.
Più maturo nella composizione e nel colore, benché le figure si presentino ancora piuttosto piatte, è La nave dei folli, nel parigino Museo del Louvre.

Un gruppo di varia umanità, tra cui in posizione principale alcuni rappresentanti del clero, va alla deriva fisica e morale su una barca in cui si compie ogni genere di peccato.

Il tema della nave trovava ampi riscontri nelle Fiandre quattrocentesche soprattutto in campo letterario.

I trittici maggiori o il trionfo dell’allegoria
Una delle opere più importanti dell’olandese è il Trittico del Fieno, che si fa risalire ai primissimi anni del 1500 e che oggi si trova al Prado di Madrid. Chiudendo i due pannelli laterali appare il cammino della vita, una strada sconnessa circondata da ogni sorta di rappresentazione del vizio; la parte interna riporta, nello scomparto di sinistra
Il peccato originale, in quello di centro Il carro del fieno e a destra Le costruzioni infernali.


Qui l’autore va al di là di tutte le fonti sia bibliche che popolari per avventurarsi nella pura invenzione iconografica come dimostra il motivo, in alto a sinistra, della caduta degli angeli ribelli che si trasformano in grossi insetti.

Del tutto inedito, dà il via a una delle caratteristiche ossessioni boschiane, la mutazione.

Il tema centrale può essere derivato da un proverbio popolare fiammingo che dice: "Il mondo è come un carro di fieno, ciascuno ne arraffa quanto può". Stilisticamente ancora più compiuto è il Trittico delle delizie, anche questo al Prado di Madrid.

Magnifica è la stesura del colore, limpidissimo e trasparente, e riuscitissima è la complessa composizione che riesce a legare microcosmi completi e perfetti dal punto di vista prospettico tra di loro e con l’insieme del paesaggio, raggiungendo una notevole solidità strutturale nonostante le infinite variazioni. Gli scomparti chiusi raffigurano La creazione del mondo; all’interno, da sinistra: Il paradiso terrestre, Il giardino delle delizie, il più ricco di invenzioni magistralmente disposte nello spazio, e L’inferno musicale.
Un’altra tematica che ebbe in Bosch ampio respiro è quella delle Tentazioni di Sant’Antonio, centrale in un altro splendido trittico del Museu Nacional de Arte Antiga di Lisbona.
Il soggetto venne ripreso dal pittore in moltissime varianti, poiché particolarmente adatto a sbrigliare la fantasia nell’inventare ogni genere di creature che, in veste di tentazioni, circondano il Santo in meditazione.

Uno splendido esempio è, ancora una volta, al madrileno Prado, dove si conserva anche la copia di un altro, andato purtroppo perduto. Diversissimi, sono ugualmente ricchi di inventiva fiamminga nei dettagli come nel paesaggio, mentre il colore assume tonalità sempre più cristalline.
Capace di toni pacati e soavi come di feroce figurative, il pittore dimostra la sua versatilità in due opere di Madrid, il dolcissimo San Giovanni Battista in meditazione (Museo Lazaro Galdiano) e il terribile Cristo portacroce (Prado), le cui teste deformi si ritroveranno in Goya come torneranno mille spunti boschiani nel surrealismo di Salvador Dali e di Max Ernst.

martedì 11 gennaio 2011

Milano al quinto posto !




La notizia é strepitosa e ha fatto il giro di tutti i media.

Il New York Times ha inserito Milano nella lista dei 41 luoghi da visitare nel 2011...e addirittura al quinto posto!

E fra gli highlights segnalati dalla corazzata Usa, ruolo centrale per il Museo del Novecento, appena aperto nel restaurato Palazzo dell'Arengario, ma anche per l’Hangar Bicocca, trainato dalla presenza in permanenza della famosa installazione di Anselm Kiefer.

Non mancano riferimenti al design, con una segnalazione per lo Spazio Rossana Orlandi, alla moda - Miu Miu e Marni -, alla ricettività, con l’Hotel Milano Scala.

In questo contesto, Milano risponde con nuove notizie confortanti, come il successo dello stesso Museo del Novecento, che in soli 32 giorni di apertura al pubblico ha raggiunto il traguardo delle 200mila presenze, con 8.208 ingressi nella sola giornata del 28 dicembre.

Un successo favorito anche dall’ingresso gratuito al museo fino al 28 febbraio, garantito anche dalla sponsorizzazione di Merrill Linch.

Ma che è stato sottolineato tanto dal sindaco Letizia Moratti quanto dall’assessore Massimiliano Finazzer Flory, che ha dichiarato: "Continuiamo a puntare su tre G: genio, gratuità, gente”.


Che anche in Italia si riapra l’annosa discussione attorno al modello-Londra con musei gratis sempre?


Ecco qui l'estratto originale trattando della quinta posizione, cioé MILANO

5. Milan


A reborn cathedral joins fashion-forward galleries and hotels.

Compared with the Italian troika of tourism — Florence, Venice and Rome — Milan is often an afterthought.
But with novel, eye-catching design emerging around the city, that should soon change.

For years, unsightly scaffolding obscured the Milan Cathedral; now that most of it has been dismantled, the newly scrubbed Gothic masterpiece, also known as the Duomo, is worth a fresh look.
Across the piazza, the city’s collection of 20th-century art is now showcased at the Museo del Novecento, which opened in December in the restored Palazzo dell’Arengario.

Outside the historic center, former factories have been transformed into design studios, old warehouses have been repurposed as unconventional art venues, and galleries are packed with avant-garde works.
The eclectic Spazio Rossana Orlandi gallery displays the latest creations from emerging designers, while large-scale art installations from acclaimed international artists like Anselm Kiefer are exhibited at HangarBicocca, a cavernous art space that re-opened last year.

And though fashion followers still flock to the wish-filled windows of Miu Miu and Marni, fashion in Milan now extends beyond retail and runways.
Arguably the most fashionable addition is the Hotel Milano Scala, which opened last year in a renovated 19th-century mansion singing the eco-chic promise of “zero-emissions hospitality.” In a country where green directives are not yet widespread, it proves that Milan is, once again, on the cutting edge.
— INGRID K. WILLIAMS

mercoledì 5 gennaio 2011

Stasera arriva la Befana !!




Attenzione, stasera arriva la Befana !!
Prepariamo le calze..


La Befana vien di notte, con le scarpe tutte rotte… canta la vecchia filastrocca conosciuta da tutti.

Puntuale come ogni anno, nella notte tra il 5 e il 6 gennaio arriva la vecchia nonnina carica di dolci per chi è stato buono e di carbone per chi è stato cattivo: soltanto dopo il suo arrivo le feste di Natale possono dichiararsi definitivamente chiuse!

La tradizione della Befana è antica, risalirebbe secondo alcuni a vecchi miti dell'antica Roma, legati ai riti propiziatori per l'anno nuovo.

Un tempo in molte regioni italiane era la festa più attesa dai bambini.
Babbo Natale non esisteva ed era la Befana a portare piccoli doni e dolciumi.

Oggi i bambini arrivano all'Epifania saturi di doni e dolci, ma la vecchina continua a conservare il suo fascino, e questa giornata è un'occasione per trascorrere del tempo in famiglia, magari partecipando a uno dei tanti eventi organizzati in tutt'Italia per salutare le feste natalizie.

Successo assicurato per i mercatini di dolciumi : famoso quello di Roma, in Piazza Navona, e quello di Milano in Piazza dei Mercanti, ma ogni città e paese ha il suo mercatino

A Firenze nella notte del 5 gennaio la Befana è solidale con l'evento "La Befana vien di notte…".
Per ricordare l'Epifania, invece, anche quest'anno verrà rievocata la Cavalcata dei Magi, organizzata dall'Opera di Santa Maria del Fiore con oltre 700 figuranti che sfileranno nel centro della città, da Palazzo Pitti fino a Piazza del Duomo.

A Perugia il 6 gennaio sarà un tripudio di iniziative, con Befane volanti, sui trampoli, spettacoli di fiabe animate per bambini, musica e zucchero filato per tutti.
Per l'occasione, si potrà anche visitare gratuitamente la mostra allestita al Museo di Palazzo della Penna, "Brajo Fuso. Opere dal 1945 al 1980".

Una Befana un po' particolare quella organizzata invece dall'Acquario di Genova: durante la giornata dell'Epifania, i bambini saranno accompagnati in una visita guidata all'acquario, e ascolteranno fiabe e racconti di mare, mentre al Galata Museo del Mare potranno partecipare all'iniziativa "Buon Natale… Capitan Bonny!", una serie di laboratori manuali per costruire oggetti "marittimi".

Il 5 e il 6 gennaio in tutta la provincia di Torino si moltiplicano le iniziative per salutare le feste come si deve: mercoledì 5 gennaio a Rivoli si darà fuoco ad una Befana fantoccio, mentre a Vigone andrà in scena una festa in maschera sulla pista di pattinaggio.
Il 6 gennaio ad Orbassano si potrà visitare una mostra di libri e giochi per bambini, mentre a San Secondo di Pinerolo, al Castello di Mirandolo, si potrà visitare la mostra "Caravaggio in Piemonte", dedicata al grandissimo pittore milanese.

l'icona Anna Dello Russo






Icona assoluta del fashion system Anna Dello Russo è l’emblema dello stile e della moda.

Autorità in fatto di tendenze, pioniera del fashion blogging, musa ispiratrice per stilisti e designer.

Insomma, una donna che sa anticipare i tempi

Ma chi è Anna Dello Russo, oltre che una ‘fashion maniac’ come l’ha definita il grande fotografo Helmut Newton?

Nata a Bari, il suo amore per i vestiti si è manifestato sin da piccola, e giovanissima si è trasferita a Milano, città fashion per eccellenza, dove ha studiato Arte e Letteratura.

Dopo gli studi è entrata a far parte del mondo della moda come redattrice, fino ad approdare alla Bibbia glamour: Vogue.

Editor per Vogue Italia, è diventata, dal 2000 al 2006, direttrice di Vogue Uomo.

Dopo un periodo freelance, attualmente ricopre la carica di Editor at Large - direttrice - di Vogue Japan.

Definirla ‘esperta di moda’ è decisamente riduttivo: Anna Dello Russo è la moda.

E’ talmente un’icona che il sito di abbigliamento Yoox per celebrare il decimo anniversario ha prodotto 10 diverse t-shirt con la stampa degli outfit più glamour di Anna, andate a ruba.

Poche donne possono copiare esattamente i look delle sfilate: lei lo fa.

Da capo a piedi, l’outfit dev’essere completo, che fuori ci sia sole, pioggia o vento, se l’abbigliamento prevede un certo tipo di accessori devono esserci tutti, dall’ombrello ai gioielli.

Disdegna i cappotti, perché coprono il vestito, a parte gli originali pellicciotti fluo di Dolce&Gabbana della scorsa collezione.

Non porta mai due volte la stessa tenuta.

Possiede migliaia di scarpe, circa 4.000, e ben due appartamenti uno dei quali utilizzato esclusivamente come guardaroba.

Questi e altre centinaia di consigli e ‘perle di saggezza’ fashion si trovano nel suo stilosissimo blog.

Pioniera del giornalismo online, è stata tra le prime a capire l’importanza del blogging nel mondo della moda.

Oggigiorno i fashion blogger sono la vera autorità in fatto di stile, e gli stilisti fanno a gara per averli nel front-row delle sfilate.


Oltre all’innato amore per abiti e accessori (in cui implica anche il cagnolino Cucciolina), Anna è dotata di disinvoltura, d'eleganza e di una ironia che le permette di sfoggiare cappelli e tenute sorprendenti.

lunedì 3 gennaio 2011

Galettes de prestige signées Ladurée, Lenôtre, Hermé, Dalloyau
















Galette des Rois Orange Passion de Ladurée
La Maison Ladurée a imaginé une galette au parfum exotique en mariant subtilement l'orange et le fruit de la passion à la crème d'amande.
Pour rester dans l'originalité la fève de cette année sera sur le thème du voyage...à decouvrir !
Prix : 5,90 euros la part
En vente dans les boutiques Ladurée
Site : www.laduree.com

Galette Harley Davidson de Lenôtre
Les deux marques prestigieuses se sont associées afin de célébrer en grandes pompes l'Epiphanie.
Disponible dès le 2 janvier, cette galette est composée d'une couronne de baba imbibée de sirop au rhum, d'une crème fouettée posée sur un fond feuilleté garni de crème pâtissière à la vanille Bourbon Madagascar.
Tous les passionnés de Harley Davidson seront gâtés puisque la fève est une édition limitée dont le design est inspiré du cadran des motos américaines...
Prix : 54 euros
En vente dans les boutiques Lenôtre
Site : Lenôtre

Galette Carré Blanc de Pierre Hermé
Pour la fête des Rois, Pierre Hermé a créé une galette aux allures classiques mais composée de compotes de poires et d'airelles, d'une crème d'amande au sirop d'érable, le tout surmonté de macarons carrés blancs.
Disponible dès le 2 janvier.
Modèles de 3/4 personnes à 10/12.
Prix : à partir de 34 euros
En vente dans les boutiques Pierre Hermé et sur le site
Site : www.pierreherme.com


La Galette "Secret de Framboises" de Dalloyau
Voici une galette pleine de fraîcheur et de couleur !
Une pâte pâte croustillante finement dorée, une crème d'amande onctueuse au subtil parfum de yuzu (un agrume cousin du citron vert) le tout relevé par des framboises fraîches placées au centre de la galette.
La fève est une jolie clé, couleur or ou argent.
Disponible dès le 1er janvier.
Prix : 37,50 euros
A acheter dans les points de vente.Liste en appelant au 01 42 99 90 00
Site : www.dalloyau.fr

giovedì 30 dicembre 2010

Un parfum unique... e carissimo






Chi ha sognato da sempre di indossare un profumo unico, che si adatti perfettamente alla propria pelle e alla propria personalita' puo' realizzare il suo sogno a Parigi, presso l'Artisan Parfumeur, 32 rue du Bourg Tibour.

Da L’Artisan Parfumeur sono necessari cinque tappe e tre mesi per ottenere una fragranza unica.

Il primo incontro è con Pamela Roberts direttrice dell’atelier e serve a conoscere i desideri, i ricordi, le aspettative della cliente, il tutto viene poi trasferito al ‘naso’ incaricato della realizzazione di questo profumo esclusivo.

Il secondo appuntamento è invece necessario per testare i primi tentativi e scegliere la base della composizione.

Al terzo incontro si prova il profumo finale.

Alla quarta tappa il profumo è pronto e gli si può dare un nome.

Resta la confezione che sarà svelata con la consegna del profumo al quinto e ultimo appuntamento.

Il profumo viene infatti imbottigliato in una boccetta (150 ml) in vetro soffiato realizzata dal maestro vetraio Pascale Riberorolles, in 10 vaporizzatori da 50 ml con etichetta personalizzata e in 5 mini vaporizzatori da borsetta, il tutto presentato in un cofanetto di raso di seta.


prix du parfum 15.000 €

mercoledì 29 dicembre 2010

Ornella Muti super ritoccata ma sempre splendida..

Bellissime foto di Ornella Muti, diventata bionda dopo essere stata un'affascinante bruna dagli occhi azzurri.. Da notare che nella foto con la figlia Naike Rivelli la piu' bella e la piu' giovane é lei !!