giovedì 2 luglio 2009

una canzone per 135mila animali abbandonati

Animali abbandonati, : 135mila all'anno!

Paolo Belli , l'ex front man dei ladri di biciclette, dedica un brano alla vita di un "trovatello", una canzone per dire basta.

Molti i vip nel videoclip
Sono circa 135 mila, soprattutto gatti (almeno 90 mila), gli animali domestici che vengono abbandonati ogni anno in Italia, in particolar modo con l'avvento della stagione estiva e la partenza delle famiglie per le vacanze.

Una cattiva abitudine che campagne di informazione e di sensibilizzazione sono fino ad oggi solo in parte riuscite a contrastare, tanto che il numero dei quattrozampe senza un tetto sopra la testa ha raggiunto livelli insostenibili.

I numeri del fenomeno sono sconcertanti: quasi 150 mila randagi i ospitati nei canili, oltre 440 mila cani a zonzo nelle strade e nelle campagne.

Per i gatti è anche peggio: si presume che siano almeno 2 milioni e 600 mila quelli «liberi», stando ai dati a disposizione del ministero della Salute e relativi al 2006.


CON GLI OCCHI DI UN CANE - Torna l'estate e torna dunque la preoccupazione che altri cani e altri gatti vadano ad aggiungersi alla lunga schiera dei trovatelli e dei senza fissa dimora. 
Le campagne forse non risolvono il problema ma se non altro fanno pensare. E quest'anno, a dare man forte a gruppi, associazioni ed enti che con messaggi sui manifesti o in campagne radio e tv invitano gli italiani a non sbarazzarsi nel modo più facile del loro amico di casa, c'è anche una canzone.
 Che parla di randagismo, del mondo visto dagli occhi di un cane: la vita in gabbia, la fuga verso la libertà, le carezze degli umani e i pericoli sulle strade. 
Si intitola «Una piccola bestia di razza di cane». E a proporla al grande pubblico è la calda voce di Paolo Belli, l'ex front man dei Ladri di Biciclette, protagonista in tv di Ballando con le stelle, che proprio con questo brano, scritto dalla Marcosbanda, ha voluto aprire il «concertone» del Primo Maggio da piazza San Giovanni (guarda il video).

NOTE CONTRO GLI ABBANDONI - «Una sera ero in una birreria e ho sentito la Marcosbanda che suonava il brano – racconta Belli, ricordando come è nato il progetto -. Mi sono subito ritrovato in questa grande e bella poesia che parla di un cane di quartiere e di quanto alle volte sia stupido l’uomo. Ho chiesto alla band se potevo cantarla per diffondere il più possibile il messaggio che condivido nel profondo».

Con questa canzone, Belli (“papà” di due cani adottati da un canile e di quattro gatti) ha deciso di sostenere i progetti della Lega antivivisezione (Lav). In particolare tre campagne informative: «Abbandonate solo la città» e «Se lo ami lo sterilizzi» contro l’abbandono di animali e «La gratitudine di un cane adottato è smisurata» per favorire le adozioni dai canili. 
Progetti che vogliono soprattutto responsabilizzare i padroni dei quattro zampe e garantire il rispetto dei loro diritti. 
Benché sia un reato, punito con l’arresto fino ad un anno, si stima che ogni anno vengano abbandonati, come detto, 135 mila animali sulle strade italiane e che oltre l'80 per cento di questi trovi la morte prima di essere accolto in una struttura adeguata.

I VIP NEL VIDEOCLIP - Il brano – inserito nel cd «20 anni» e nella scaletta del suo tour estivo di Paolo Belli - è accompagnato da un videoclip che racconta, attraverso gli occhi del protagonista a quattro zampe, una fuga che diventa anche viaggio e scoperta.

«Al videoclip hanno partecipato tanti amici, grandi artisti che condividono con me l’amore per gli animali» ricorda Belli mentre sullo schermo scorrono i volti in bianco e nero di Tosca D’Aquino, Neri Marcorè, Pierfrancesco Favino, Daniela Poggi, Licia Colò, Fabrizio Frizzi, Giulio Golia, il Trio Medusa, Irene Fornaciari, Arianna Ciampoli e Raffaele Vannoli. «Non è stato difficile coinvolgerli nelle riprese – aggiunge Belli –. È bastata una telefonata e mi hanno subito detto di sì. Appena si è sparsa la voce poi, mi hanno chiamato altri artisti per partecipare, ma orami eravamo già in montaggio e quindi era troppo tardi. Speriamo di riuscire a coinvolgerli il prossimo anno». 
«L’educazione al rispetto degli animali può passare anche attraverso una canzone – spiega Ilaria Innocenti, responsabile del settore Cani e gatti della Lav – che può far comprendere come la qualità della vita di cani, gatti o altri animali, sia una responsabilità umana. Ringraziamo Paolo Belli, la Marcosbanda e tutti gli artisti che hanno collaborato e invitiamo il pubblico a sostenerlo prima di tutto con l’impegno a rispettare gli animali, ad esempio scegliendo di adottare un animale da un canile».

mercoledì 1 luglio 2009

viva il cinema italiano!


L'été 2009 sera italien.

Dans les salles de cinéma d'art et d'essai, du moins, qui s'apprêtent à voir déferler une volée de films des années 1950 à 1970. On peut déjà se replonger dans les oeuvres d'épouvante de Mario Bava (Le Monde du 22 juin), ou dans Une journée particulière, mélodrame sur fond de fascisme d'Ettore Scola. Mais le gros de l'arrivage concerne la comédie.Alors que ressortent mercredi 24 juin Le Fanfaron et Les Monstres de Dino Risi, les semaines à venir nous réservent les copies neuves et restaurées de Divorce à l'italienne, joyau oublié de la filmographie de Pietro Germi, de Signore e signori (Ces messieurs-dames) du même auteur, Palme d'or à Cannes en 1966, et d'Affreux, sales et méchants d'Ettore Scola. Il y aura aussi des DVD édités par Carlotta : Hier, aujourd'hui et demain, de Vittorio De Sica, et Casanova'70, de Mario Monicelli.

Portés par d'immenses acteurs (Marcello Mastroianni, Jean-Louis Trintignant, Nino Manfredi, Sophia Loren, Claudia Cardinale, Virna Lisi...), ces films populaires, dans lesquels un burlesque teinté de commedia dell'arte se conjugue avec une critique sociale férocement réaliste, se sont d'abord vu coller l'étiquette péjorative de "néoréalisme rose", avant d'être reconnus comme un genre à part entière (la "comédie à l'italienne") par la critique française. Presque oubliés en Italie, ils retrouvent chaque été les faveurs des Français.


"Il y a quelque chose qui semble être de l'ordre du métabolisme, une alchimie qui fonctionne entre l'été et ces films légers, solaires, même s'ils ont tous un fond très social", suggère Ronald Chammah. Grand cinéphile d'origine italienne, ce réalisateur, producteur et restaurateur de films, qui partage sa vie avec Isabelle Huppert, a oeuvré sans le chercher à cette mode. Après avoir ressuscité avec succès Wanda de Barbara Loden en 2003, il réitéra l'expérience avec une des chefs-d'oeuvre italiens oubliés.


"L'AIR DU TEMPS"


Fouillant dans sa mémoire, il en identifie quelques-uns, puis entreprend d'en acquérir les droits, de les restaurer, et de les sortir en salle et en DVD en partenariat avec d'autres distributeurs et éditeurs. Il y eut d'abord La Fille à la valise, de Valerio Zurlini, sorti en 2005 avec Gemini Films, puis, en collaboration avec Ad Vitam, Eté violent, du même Zurlini, Le Jardin des Finzi-Contini, de Vittorio de Sica, et aujourd'hui Divorce à l'italienne, de Pietro Germi. La priorité est donnée à des films "peut-être connus, mais qui n'ont pas été vus depuis très longtemps, ni au cinéma ni à la télévision et de les sortir comme des exclusivités, avec une nouvelle affiche, un nouveau dossier de presse, et, quand c'est possible, une personne encore vivante ayant collaboré au film associée à la promotion".

Alors que les films de patrimoine américain fédèrent de moins en moins de spectateurs en salle, ces productions italiennes ravissent le public. 30 000 entrées pour La Fille à la valise en 2005, 60 000 pour Le Jardin des Finzi-Contini en 2007... "Il y a là quelque chose qui a peut-être à voir avec l'air du temps, avance Vincent-Paul Boncourt, fondateur de Carlotta films, très actif dans la réédition de films italiens. Ils associent le glamour des stars de l'époque, des thématiques sociales très noires, le tout couvert de comédie et répondant donc au besoin qu'ont les gens de rire."

Historien du cinéma, auteur notamment de La Comédie italienne (Veyrier, 1983), Jean Gili analyse ce succès comme lié "au fait que le cinéma italien a conservé une image forte liée à sa riche histoire, et au fait qu'il fut très présent sur les écrans français jusqu'aux années 1970 incluses. Et ces films qui ressortent sont à peu près tous des chefs-d'oeuvre : ils ont une telle réputation que des jeunes qui ne les connaissent pas vont les voir".

Ce phénomène est par ailleurs concomitant d'une récente renaissance du cinéma italien, note-t-il. Mais il se construit d'une certaine façon contre lui.

Si l'on a vu en France des films comme Gomorra, de Matteo Garrone, Il Divo, de Paolo Sorrentino, tous deux sélectionnés à Cannes, ou encore Le Déjeuner du 15 août, de Gianni Di Gregorio et produit par Matteo Garrone, l'historien déplore que le bouillonnement qu'il constate ne soit pas mieux perçu en France. "Alors que le succès de ces films prouve qu'il y a une vraie demande, les distributeurs ne veulent pas se risquer sur ce terrain. Cette frilosité contribue à perpétuer le préjugé selon lequel le cinéma italien ne pourrait se conjuguer qu'au passé."

Mais les choses pourraient changer. Tandis que les puissances publiques des deux pays réfléchissent à réviser leurs accords de coproduction, qu'un nouvel atelier de scénaristes franco-italiens (la villa Farnese) a été lancé cette année à Cannes, on se prend à rêver d'un modèle de collaboration qui favoriserait la diffusion des films et la notoriété des acteurs des deux côtés des Alpes. Comme à la grande époque des coproductions franco-italiennes. 'été 2009 sera italien. Dans les salles de cinéma d'art et d'essai, du moins, qui s'apprêtent à voir déferler une volée de films des années 1950 à 1970. On peut déjà se replonger dans les oeuvres d'épouvante de Mario Bava (Le Monde du 22 juin), ou dans Une journée particulière, mélodrame sur fond de fascisme d'Ettore Scola. Mais le gros de l'arrivage concerne la comédie.

domenica 21 giugno 2009

tornano le zeppe!




Trend eco-chic delle calzature più gettonate dell’estate, i macrotacchi e zeppe in sughero.


Da portare con i lunghi abiti dallo spirito hippie, con scamiciati in fresco sangallo, e con tutti gli stili di quest'estate 2009.. sono l'ideale per raggiungere altezze vertiginose!

Sellerio compie 40 anni


Nel 1969 nasceva a Palermo la casa editrice dalle inconfondibili copertine blu.

E in questi 40 anni Sellerio ha mantenuto la sua natura indipendente e originale, dando spazio a racconti intramontabili e ad autori del calibro di Sciascia, Tabucchi, Canfora e Camilleri. Se la sua forza è racchiusa proprio nella tradizione, il miglior modo per festeggiare i fatidici anta è ripubblicando i grandi classici, in edizioni restaurate ad hoc.

Venti libri di altrettanti scrittori, pensati come istantanee dall’album di famiglia dell’editore siciliano.

Questa magnifica “rosa dei venti” (in uscita a luglio e a settembre) sarà preceduta dal rinnovato Procuratore della giudea di Anatole France, in omaggio ai lettori il 3 e 4 luglio in tutte le librerie.

lunedì 15 giugno 2009

Happy Few







Happy Few: piccole comunità abbinate a grandi vantaggi.








Club di manager, donne in carriera, imprenditori, sportivi e night clubbers.



Si ritrovano in micro-realtà create "su misura" per loro.

Per condividere informazioni, passioni comuni e godere di interessanti opportunità.

Quintessentially (http://www.quintessentially.com/) è un club internazionale esclusivo per miliardari allergici alla burocrazia e alle attese. L'obiettivo è infatti quello di rendere subito accessibile ciò che di solito non lo è: chi è socio, non faticherà per trovare posti riservati in prima fila a opere, spettacoli, concerti o nei ristoranti più esclusivi delle capitali oppure per prenotare vacanze deluxe. Il club, inoltre, è specializzato nel problem solving quando ci si trova all'estero. Il tutto per una "modica" cifra di iscrizione che varia dai 1.150 ai 36mila euro l'anno, a seconda del pacchetto di servizi richiesti.

Business women’s only. Pwa, ovvero Professional Women's Association (www.pwa-milan.org) è una community composta da 175 donne, tra i 30 e i 40 anni, provenienti da oltre 24 paesi. Trait d'union: lavorano e vivono a Milano. Ogni mese, le socie si ritrovano a cena o per l'aperitivo al fine di scambiarsi idee e fare network. Tra i vantaggi offerti dal gruppo, consulenza di carriera, nuove opportunità di lavoro, seminari e master di specializzazione scontati fino al 60%. Il costo di iscrizione per accedere all’Associazione è di 100 euro e possono entrarne a far parte libere professioniste, donne manager, creative. I prossimi aperitivi sono fissati per il 10 e 24 giugno.

Costa Azzurra da jetset : Le Grand Club (www.legrandclub.net) è un private social network che promuove il divertimento in Costa Azzurra. L'accesso è riservato solo a imprenditori di alto livello con gusti e abitudini di vita simili, che apprezzano una certa qualità della vita e amano organizzare feste private a tema, dando ai soci l'opportunità di incontrarsi. Il club promuove l'immagine degli iscritti e organizza per loro vacanze all'insegna del lusso e del divertimento. Tutti i soci hanno diritto a due card, la black e la diamond, che danno libero accesso a tutti i locali più esclusivi della costa francese.

Milan-IN (http://www.milanin.com/) è l’iniziativa di un gruppo di utenti LinkedIn uniti da un comune obiettivo: aggregare professionisti che credano nel networking come strumento per il business. I soci di Milan-IN si incontrano spesso per stringere accordi di business o far partire un progetto. L'iscrizione al gruppo è consentita solo a chi possiede un profilo su Linkedin; per farne parte, inoltre, bisogna dimostrare di considerare la capacità di sviluppare affari un'espressione nobile della creatività umana. Tra i vantaggi, una serie di convenzioni con negozi e strutture studiate ad hoc per le esigenze dei manager.

Le calzature di lusso di Jerome Chouinard-Rousseau



Jerome Chouinard-Rousseau: «God save the pop!»


Con le sue lussuosissime scarpe ha sedotto star come Cameron Diaz e Charlize Theron.


Si chiama Jerome Chouinard-Rousseau il giovane designer canadese che gioca con i colori e celebra la musica e la cultura pop di ieri e di oggi
.













La lingerie al Museo





Completini vintage e immagini da copertina.


Il Fashion and Textile Museum di Londra celebra la moda underwear con una mostra che ne racconta la storia. Dal 12 giugno al 27 settembre 2009





Fashion and Textile Museum apre la stagione estiva con un approfondimento intrigante:l'evoluzione dell'intimo. Perché se all'inizio era la famosissima "maglia della salute", oggi l'intimo è arma di seduzione e di marketing allo stesso tempo.
Dal primo reggiseno brevettato nel 1915 all'alta tecnologia delle mutandine anticellulite o del reggiseno rassodante, Londra svela - letteralmente - i segreti dell'underwear dalle origini ad oggi.
Tra funzionalità e seduzione, infatti, l'intimo è cambiato insieme alle esigenze delle donne e si è evoluto con il ruolo da loro rivestito nella società, abbracciandone i trend del momento.
Dal super sexy al radical chic, dal feticismo al glamour, la mostra presenta un ampio ventaglio di collezioni pubbliche e private di intimo, incluse le linee firmate dai VIP. M&S, Triumph, La Perla, Christian Dior, Elle MacPherson Intimates, Myla, Wonderbra e molte altre firme di lingerie, dunque, per passare in rassegna l'intimo femminile attraverso un viaggio sensoriale e visuale di capi vintage come il primo completino "Merry Widow" (La Vedova Allegra, 1952), ispirato da Lana Turner, protagonista dell'omonimo film, il corsetto della famosa artista del burlesque Immodesty Blaize, un vestito composto da reggiseni

mutandine dei designer Vin & Omi e ancora il reggiseno di cristalli Swarovski.

Fino all'ultima sala, che culmina in un futuristico spazio bianco che racconta di tessuti innovativi e design d'avanguardia ancora tutti da realizzare. Millennio che vai, completino che trovi...
Undercover - the evolution of underwear

12 Giugno - 27 Settembre 2009

Fashion and Textile Museum
83 Bermondsey Street London

www.ftmlondon.org






venerdì 12 giugno 2009

Michael S.Smith crea un nuovo stile per Casa Obama







Michael S. Smith da Hollywood alla Casa Bianca....per il restyling top secret della suite della First Family d’America!!


La notizia ha fatto il giro del mondo :
il restyling del secondo piano della Casa Bianca é stato affidato da Michelle Obama al designer delle star Michael S. Smith, uno dei 100 top designer al mondo secondo Architectural Digest.


Gli appartamenti della Casa Bianca cambiano volto.
Al via gli acquisti per le camere da letto di Malia e Sasha.
Con incursioni nei grandi retail store americani
La scelta è singolare.
Mai prima degli Obama un interior decorator di grido aveva varcato la soglia degli appartamenti presidenziali.

A chiamarlo è stata la First Lady che milioni di americani hanno ammirato mentre allestiva l’orto della White House!
In fondo, da una coppia così understatement molti si aspettavano, in fatto di casa, una scelta meno convenzionale.
Lo stesso Washington Post narra che a Chicago tra gli arredi della loro residenza comparivano arredi etnici e vetrine ricolme di libri.
Eppure c’è chi sostiene che Smith, autore delle case di Dustin Hoffmann, Steven Spielberg, Rupert Murdoch, Cindy Crawford, si stia adeguando allo stile Obama, stemperando il lusso che ha reso celebre il proprio lavoro dalla California al New England.
Il risultato – citano le agenzie di stampa – rispecchierà l’eleganza casual che caratterizza le scelte della famiglia presidenziale.
In particolare: il mix di alto e basso che distingue lo stile personale di Michelle. Con il meglio dell’arte e del design americani, e brand accessibili ai più.
Le premesse per essere curiosi ci sono tutte.

Chissà che non sia giunta l’ora di un nuovo American Style.
Intanto, visto che solo pochissime persone al mondo vedranno i nuovi appartamenti della First Family d’America, i più interessati potranno farsi un’idea del lavoro di Michael S. Smith attraverso il libro delle sue case, edito da Rizzoli, dal titolo Houses.
Michelle Obama in un comunicato ufficiale ha definito lo stile del designer californiano amichevole e familiare.
Michael S. Smith.
Houses by Michael S. Smith with Christine Pittel Rizzoli prezzo: euro 40.50
Link correlati: http://www.michaelsmithinc.com/

giovedì 11 giugno 2009

A Milano, opere da calpestare




Tombino Art, sedici artisti interpretano la città sotterranea dei cavi


Da giovedì 11 giugno «Sopra il Sotto»: trenta piattaforme in ghisa nell’asfalto trasformano la zona Tortona a Milano in una mostra urbana




Se passate dalle parti di via Tortona state attenti a do­ve mettete i piedi: potre­ste calpestare un'opera d'arte.






Domani 30 tombini realizzati da 16 street artist invaderanno il quartiere dietro Porta Geno­va, da via Savona a Montevi­deo, da via Forcella a Bergogno­ne e Stendhal, per una mostra open air «visitabile» fino a no­vembre.



«Sopra il Sotto» è il ti­tolo dell'esposizione ideata per festeggiare i 10 anni di Me­troweb, la società che con oltre 5 mila chilometri di cavi in fi­bra ottica ha reso Milano la cit­tà più cablata d'Europa. Interpretare il tema della re­te, usando come tele piattafor­me in ghisa da incastonare nell' asfalto, è il compito affidato agli autori dei tombini-quadro. «Un'opportunità per colloquia­re con la città, strappando un sorriso a chi ci abita», commen­ta Microbo, che ha trasformato in tombino il suo immaginario fatto di fili e creature informi.


«Da anni siamo "inquinati" dal­le brutture. Io decorerei anche i gabbiotti dell'Enel, sono mo­struosi».

Gli street artist come paladini della bellezza urbana? Gisella Borioli di Superstudio Group, direttore artistico della mostra, ne è convinta: «Con questa iniziativa regaliamo un tocco di armonia alla città. Ma non confondiamo questi artisti con chi imbratta i muri.


Anzi, per evitare fraintendimenti smetterei di chiamarli "wri­ter", meglio "urban painter"». Abbominevole — vero no­me Oliver, 29 anni, autore di un tombino che ricorda una maschera africana — suggeri­sce «public artist»: «Il mio in­tento è dare qualcosa alla gen­te, non danneggiare», dice.

«So­gno di avviare un nuovo Rina­scimento urbano, di abbellire intere facciate di palazzi.

A Ber­lino si può, a Milano no: le isti­tuzioni non sono abbastanza aperte».


Eppure lui, Microbo e gli al­tri pionieri della tombini-art sono richiestissimi nel campo della moda, della pubblicità e del design.

«Perché sono pop, usano un linguaggio immedia­to, facile da capire», sostiene Borioli.


«Siamo come pubblici­tari, usiamo la strada come vei­colo di comunicazione per pro­muovere la nostra opera — spiega Pho, anche lui nel cast di «Sopra il Sotto» —.


La mo­stra è la conferma che quello che abbiamo fatto per anni nel­le strade, anche illegalmente, è piaciuto, ha acquistato valore.


Quanto? Le mie opere valgono 3 mila euro al metro quadro, ho customizzato maglie per Quicksilver, a luglio esporrò a Londra. Che altro chiedere?».


Abbominevole chiederebbe di lasciare i tombini a terra per sempre, anziché metterli all' asta, a novembre: «Sono con­tento che il ricavato vada in be­neficenza, ma mi dispiace non poterne seguire il deteriora­mento ».

Le scarpe dei passan­ti? Per Microbo non è un pro­blema: «A me basta che la mia opera sia per strada: il massi­mo della democraticità».


INFORMAZIONI: «Sopra il Sotto», dall'11/6 a no­vembre in zona Tortona

lunedì 8 giugno 2009

La mitica Vespa ha una boutique nel centro di Milano




La due ruote più chic del mondo inaugura una vera e propria "boutique" nel centro di Milano.




È il 1946 quando nasce la pin-up dei motori: la Vespa.


Battezzata così per via del rumore rombante e della carrozzeria sinuosa, diventa subito l'icona del design e dello stile italiani, simbolo del boom economico e della Dolce Vita.


Come diva, viene immortalata nel film "Vacanze Romane" di William Wyler: sulla sua sella, Gregory Peck scarrozza Audrey Hepburn in giro per Roma.
Come trend setter, invece, fa il suo debutto in "Quadrophenia", lungometraggio di Franc Roddam che racconta la vita dei Mod, i ragazzi inglesi che alla fine degli Anni Cinquanta fanno di uno stile sobrio ed elegante il proprio manifesto e che scelgono la Vespa GS come loro mezzo di trasporto-simbolo.
Ma il successo di Vespa non è solo un fatto di costume.

In quanto mezzo veloce e dinamico, con il quale è facile districarsi nel traffico, ha un grandissimo riscontro di vendite in tutto il mondo.

Fortuna che prosegue anche oggi grazie a modelli come Vespa LX e Vespa GTS. Insomma, per celebrare questo mondo che da sempre fa sognare gli appassionati di ogni età, il marchio lancia la sua quarta boutique in Italia.

Dopo i Vespa Store di Roma, Napoli e Firenze, apre il nuovo spazio a Milano, in Viale Vittorio Veneto 12. Mercoledì 20 maggio, Linus di Radio Deejay, grande fan della due ruote, terrà a battesimo il centro con una grande festa a partire dalle 18.30.
Ma non è tutto.

Prossimamente anche le città di Torino, Genova, Bologna, Palermo e Catania avranno il loro Vespa Brand Center, un piccolo universo di stile dove scegliere il modello giusto tra le linee classica, vintage o sportiva; provare i nuovi modelli GTS 125 Super e LX 50 4Valvole; e scoprire gli accessori originali e il merchandising come le T-shirt e i cappelli.

Ecco una gallery dove vedere subito tutti i modelli nuovi e quelli storici. Sono la testimonianza di un successo che non conosce confini.
Perché la Vespa è la due ruote preferita anche a Berlino, New York, Londra e Parigi, megalopoli dove la si può ammirare a ogni angolo delle strade.

Le succès de Twitter?

Le succès de Twitter serait dû à un petit nombre d'internautes .

La quasi totalité du trafic et du contenu de Twitter, réseau de micro-blogs dont la popularité a explosé, est le fait d'une portion minime d'utilisateurs, selon une étude conduite à l'Ecole de commerce de Harvard.
Il est dès lors difficile pour les professionnels de considérer le site comme un réel indicateur de tendances au coeur de l'opinion publique, souligne l'étude de la Harvard Business School.
Le réseau social Twitter permet aux utilisateurs de publier des messages de 140 caractères au maximum, appelés "tweets" ("piaillements"), qui peuvent ensuite être lus par tous les personnes désirant en prendre connaissance.

L'étude Harvard a ainsi suivi au mois de mai les messages d'un groupe de 300.000 utilisateurs choisis au hasard.
Il en ressort que 10% des utilisateurs sont à l'origine de plus de 90% du contenu, indique Mikolaj Jan Piskorski, directeur de l'étude. Plus de la moitié des utilisateurs publient des messages à intervalles supérieurs à 74 jours.
La médiane statistique par utilisateur donne un résultat d'un seul message publié sur la durée de vie d'un compte d'utilisateur.

De plus en plus d'entreprises se tournent vers Twitter pour savoir ce que les consommateurs pèsent d'elles, souligne Piskorski.

Mais certains utilisateurs sont beaucoup plus actifs que d'autres, limitant d'autant la portée des informations glanées, souligne le maître-assistant en stratégie commerciale.
Néanmoins, Twitter peut avoir son utilité quand il s'agit de répondre à des besoins spécifiques des consommateurs, ajoute-t-il.

Il peut également être utile en termes de marketing, puisque que les entreprises disposant d'un compte Twitter peuvent promouvoir des produits, lancer des campagnes de publicité ou proposer des offres spéciales auprès des internautes qui les suivent.
Contrairement aux plates-formes relationnelles telles que Facebook, les hommes sont deux fois plus enclins à suivre les tweets d'autres hommes que ceux de femmes, selon la même étude.

Les femmes, elles, sont plus enclines à s'intéresser aux messages d'utilisateurs du sexe opposé.
Piskorski souligne que l'étude n'a pas permis de déterminer si c'était parce que les femmes demandent moins souvent d'être suivies ou parce que les femmes sont beaucoup plus sélectives dans la validation de leur communauté de lecteurs.

Une suite à cette étude devrait être publiée ce mois-ci, a indiqué Piskorski.
Selon des données récemment publiées par l'institut Nielsen Online, et portant sur le trafic en ligne, Twitter comptait plus de sept millions de visiteurs en février, contre 475.000 en février 2008.

I giornalisti italiani all'estero..

Ils passent leur temps aux terrasses des cafés romains, devisent avec des confrères italiens de gauche, s'amusent à abîmer l'image de la Péninsule.

C'est ainsi qu'Il Giornale, le quotidien dirigé par le frère de Silvio Berlusconi, juge les journalistes étrangers en poste en Italie.

Leur plus grand tort est d'avoir attaché du prix au Noemigate et d'avoir rendu compte des développements de l'affaire Noemi, dans laquelle ils voient comme un paradigme de quelques-uns des maux italiens : omissions, mensonges, absence de transparence ont sidéré la presse anglo-saxonne, habituée à faire démissionner des ministres pour moins que ça.
Pour M. Berlusconi, la chose est entendue : les journalistes étrangers sont à la solde du Parti démocrate. L'accusation a fait s'étrangler le pâle Dario Franceschini, le secrétaire général du parti qui a déjà bien du mal à régenter sa propre formation. Elle est d'autant plus cocasse qu'elle vise également des titres comme le Financial Times, le Times, The Economist, le Frankfurter Allgemeine Zeitung, qui ne sont pas très enclins à vanter les mérites de l'économie administrée.
Le président du Conseil a haussé la mise en accusant cette fois, sans le nommer, le magnat australien de la presse, Rupert Murdoch, de vouloir sa perte. N'est-il pas le propriétaire du Times qui a titré ainsi un éditorial à propos de M. Berlusconi : "Le masque du clown est tombé" ? Ex-allié en affaire du Cavaliere, M. Murdoch détient également le bouquet satellitaire Sky qui taille des croupières à Mediaset, l'empire audiovisuel du président du Conseil.

Les retombées internationales de l'affaire Noemi sont d'autant plus embarrassantes pour le chef du gouvernement que l'Italie accueillera le G8, début juillet, dans la ville sinistrée de l'Aquila. M. Berlusconi a déjà eu d'autres occasions de se faire remarquer dans les sommets internationaux.
Cette fois, il ne s'agit pas d'une boutade lancée trop vivement ou d'une proposition incongrue. Il en va de sa réputation et de l'image du pays qu'il administre.
L'annonce, avec des accents de victoire, par le gouvernement d'une prochaine visite, le 15 juillet, de M. Berlusconi à Washington semble prouver que Barack Obama ne lui fait pas grief de ses manières.
"Les étrangers sont inquiets pour notre démocratie", a déclaré l'ancien président du Conseil de centre gauche, Romano Prodi.
"L'image de l'Italie à l'étranger prête à rire", s'inquiète Massimo D'Alema, lui aussi ancien chef du gouvernement.
L'actuel ministre des affaires étrangères, Franco Frattini, s'est dit au contraire "fier d'être Italien", accusant la gauche de créer "un réseau de presse international hostile au gouvernement".

lunedì 1 giugno 2009

Sexy come Dita von Teese


Perché non seguire il suo stile?

Sexy, glamour senza essere volgare, per me Dita von Teese é il colmo della sensualità.


La seduzione per Dita Von Teese è una seconda pelle... letteralmente.

La regina del burlesque, che trasuda femminilità da tutti i pori, è stata ingaggiata dal marchio di lingerie Wonderbra per realizzare una linea di intimo di cui non solo è modella, ma anche stilista.

La collezione, in edizione limitata e ispirata alla sensualità delle pin-up anni ’40 e ’50, vanta mise sexy tutte pizzo & merletti.

Per l’ex sig.ra Manson, la biancheria intima non dovrebbe essere indossata per provocare il partner ma solo per compiacere se stesse.

Il “nobile” intento di Dita, infatti, è quello di indurre ogni donna a indossare una lingerie seducente in ogni occasione.

Se il risultato sarà guadagnare un sex appeal pari al suo, vale almeno la pena di tentare!

La copertina di Rolling Stone : Lady Gaga..



Nuda, ricoperta di bolle rosa e ritratta da David La Chapelle, devo ammettere che é glamour, ma non mi piace per niente!!


La biondissima icona dance, Lady GaGa (22 anni) , grazie al successo dell’album The fame, si è guadagnata la prestigiosa cover del magazine Rolling Stone a cui confessa le proprie preferenze sessuali.

La trasgressiva cantante ammette di essere bisessuale, senza però aver mai avuto una relazione con una donna, sottolineando che la sua attrazione verso il gentil sesso sarebbe puramente fisica.
L’artista americana di origini italiane racconta, inoltre, di aver avuto una storia molto tormentata con Luke, un bassista heavy metal – che ha ispirato quasi tutte le canzoni del suo disco – e di essere rimasta profondamente turbata dalla fine del loro rapporto.

Sarà per colpa di questi traumi che Stefani Joanne Angelina Germanotta (nome all’anagrafe dell’artista) ora ha le idee ben chiare e, sempre in questi giorni, ha “elegantemente” dichiarato a una tv australiana: «L'unica cosa che un uomo deve avere per piacermi è un “affare” molto grande».

Inutile commentare..

H&M , Dita, Estelle, Katy, Roisin e Cindy contro l'AIDS







Contro il virus dell’HIV una iniziativa che coinvolge

Dita Von Teese, Estelle, Katy Perry, Róisín Murphy (voce dei Moloko) e Cindy Lauper con H&M in Fashion Against AIDS,

E'una campagna di sensibilizzazione e raccolta fondi realizzata dal marchio svedese con Designers Against AIDS.

In vendita nei negozi del brand una collezione di T-shirt, vestiti, canotte e body creati da personalità dello spettacolo. Il 25 % del ricavato di ogni articolo sarà donato a progetti ideati per aumentare la consapevolezza dei giovani nei confronti dell’HIV.

Ann-Sophie Johansson, responsabile creativa H&M, spiega che: «Il design di questa collezione si ispira agli Anni 80: il bianco è dominante, esaltato da stampe a graffito e colori brillantissimi. Tutti i capi saranno perfetti abbinati a uno streetwear fatto di minigonne e jeans slavati, da completare con lunghe collane e tacchi vertiginosi per la sera».
T-shirt e body da 14,90 euro, abiti da 19,90 euro.