domenica 15 febbraio 2009

David LaChapelle s'expose

Une vaste rétrospective du travail du photographe américain David LaChapelle a ouvert ses portes à la Monnaie de Paris, le 6 février dernier.
Près de 200 œuvres y seront exposées, jusqu’au 31 mai 2009, ainsi que sa toute nouvelle série, en exclusivité : "Présage d’innocence".

Une invitée surprise s’est également glissée dans le programme : la marque Passionata y présentera sa nouvelle collection 2009.

Il faut dire que cette dernière avait fait appel à David LaChapelle lui-même pour mettre au point sa nouvelle campagne publicitaire l’année dernière.

Bio de David LaChapelle :

Né en 1963 à Fairfield dans le Connecticut, David LaChapelle est l’un des plus grands
photographes de mode de ces dernières années.
Son premier cliché serait une photographie de sa mère, Helga LaChapelle en bikini et
un verre de Martini à la main, sur un balcon de Puerto Rico. Ce fut le déclenchement de
sa passion.
En 1977, il s’inscrit à l’École des arts de Caroline du Nord avec l’idée de devenir peintre
ou illustrateur.
Mais la photo l’a déjà imprégné et son choix s’affirme en photographiant
ses camarades d’école. L’année suivante, il tente sa chance à New York.
A son arrivée, David LaChapelle s’inscrit dans l’association des étudiants d’arts et à l’École des arts visuels.
Parallèlement, il est serveur au mythique Studio 54, vit dans une auberge de
jeunesse, fréquente les paumés, les drogués.
Dès 1982, Andy Warhol, alors rédacteur en chef du magazine branché Interview, publie ses premières photos de nus anonymes.
Iln’a alors que 19 ans.
Warhol et le pop art vont profondément le marquer.
Aujourd’hui,il a photographié les plus grandes icônes, stars, vip (Pamela Anderson, Marilyn Manson, Hillary Clinton, Leonardo DiCaprio, Naomi Campbell, David Bowie, Smashing Pumpkins, Red Hot Chili Peppers, Tupac Shakur, Elton John, Jeff Koons, Paris Hilton, Tori Amos,
Jude Law, Gael Garcia Bernal, Alicia Keys, Bjork, Cher, Elizabeth Taylor, Uma Thurman,
Muhammad Ali, David Beckham, Madonna, Eminem,… et la transexuelle Amanda
Lepore qu’il présente comme sa muse ), a fait les couvertures des plus grands magazines
(Rolling Stone, Vanity Fair,…), réalisé des clips (pour Joss Stone, Christina Aguilera, Amy
Winehouse, Britney Spears, Norah Jones,…), des films documentaires (Rize), des publicités
(H&M, Burger King’s, Desperate Housewives).
Ses photos se distinguent essentiellement par la vivacité de leurs couleurs (qui est obtenue
au tirage, par l’utilisation de négatifs couleurs), des décors bariolés, par des mises
en scène très soignées et pouvant être très importantes : un musée inondé, des maisons
détruites, des carambolages de voitures, des ours,… LaChapelle utilise très peu de trucages
numériques :
« C’est beaucoup plus drôle, si on veut photographier une fille assise sur un champignon
de fabriquer le champignon et de l’asseoir dessus, que de le faire à l’ordinateur.
De même si on veut mettre une fille nue et un singe en plein Time Square... ».
Ses influences vont de la peinture baroque au pop art, en passant par le porno chic
(abondance de corps nus).
De ses années de galère, au début des années 80, il a extrait son style : monter des situations, rendre la vie artificielle, soigner ses décors dans les moindres détails.
Tout cela vise à mettre à distance une réalité trop lourde à porter.
Car s’il fait poser ses modèles dans des endroits pas toujours idylliques, immeubles délabrés,
fast-food, salle d’accouchement, bureau, étal de viande… l’objectif est unique : exalter
la beauté et le glamour.
David LaChapelle fait parti des 10 plus grands noms de la photographie de mode classés
par le magazine américain American Photo.

L'Egg Chair


Depuis 1958, l'"Egg chair", designé par Arne Jacobsen, n'a cessé d'accroître sa popularité.
Il a traversé les époques pour entrer dans le panthéon du design. Pour son cinquantième anniversaire, l'artiste israélo-danois Tal R
lui offre un petit relooking, à la demande de Fritz Hansen, éditeur historique du célèbre fauteuil.
Le résultat est surprenant : 50 "Egg chairs", déclinés en une série de patchworks colorés.
Des pièces uniques et non conventionnelles qui sont exposées à la galerie de l'Entretemps du Bon Marché Rive Gauche après avoir été dévoilées en Italie à la Furniture Fair puis à la Galerie Carla Sozzani à Milan en 2008.

Le site du Bon Marché : http://www.treeslbm.com/#

Le site de Fritz Hansen (en anglais) : http://www.fritzhansen.com/

Rupture assistée









en retard,
voilà un site anti St.Valentin..





http://www.rupturetranquille.com/

qui dit:
Soyez les bienvenus sur le site qui se joue de la rupture amoureuse et en fait une matière de rire ! Cette semaine, nous lançons les festivités pour la future Saint Va Lointain, fête de la rupture !!
Les cinq articles les plus récents :
CONSEILS : Just ruptured, signes extérieurs de rupture
RUPTURE ASSISTEE : GPS, Global Partiring System
RECIT : A la St Valentin, un tango et tout va bien !
TENDANCE : La Saint Va Lointain
SPEED ROMPING : Planning de rupture Les cinq articles les plus consultés :
TENDANCE : La Saint Va Lointain
METHODE : Soldez votre moitié !
AVANT : Hipposteak
APRES : Actimec, mon mec quotidien
PARTIER et+ : L'Homo Ruptus


Merci de nous rester fidèles ou de nous quitter tranquillement !

Bonne rupture!

sabato 14 febbraio 2009

Applaudir..Hydrogen Jukebox




Beatnik attitude...
Fin 1940, au sortir de la guerre nucléaire qui a entraîné l'Europe exsangue, fait basculer l'ordre planétaire, et saisit les intellectuels en un trauma qui a révélé la chute de la civilisation, trois écrivains américains se retrouvent à l'Université de Columbia et expriment chacun à leur façon le choc éprouvé: Williams Burroughs publie Le Festin nu (1959), Allen Ginsberg, Howl (1955), et Jack Kerouac, auteur de Sur la route (1957), formalise leur engagement et leur prise de conscience et se désignant désormais comme la Beat géneration, par référence aux vagabonds adeptes des trains de marchandises, nouvelle espèce de bohèmes émigrés, traversant un monde désormais éclaté...
Contre cette expérience du désenchantement, les intellectuels proclament l'ivresse des sens, la fin des règles étriquées de la bourgeoisie bien pensante.
Il faut jouir de la vie et choisir la démence de vivre.

A San Francisco, le groupuscule se fédère au cours des années 1950: toute une pensée libertaire inspire les beatniks, futurs hippies, anticipant la génération de mai 1968.

La genèse de Hydrogen Jukebox commence lorsque pour répondre à une commande de vétérans du Viet Nâm, exprimée en 1988, Philip Glass, né en 1937, part à la recherche d'Allen Ginsberg (1926-1997) qu'il a connu en Inde.

Le poète dans le sillon d'Henri Michaux livre sa conscience aux drogues exploratrices d'un nouvel état sensible, plus apte à décrire et éprouver les mondes parallèles, comme à critiquer violemment l'impasse de l'Amérique puritaine d'Eisenhower.

Son poème Howl suscite ce titre un beau scandale: jugeant son oeuvre particulièrement obscène, le FBI classe son auteur au nombre des libertaires dangereux, ennemis de l'ordre intérieur. Comme le free-jazz est constitué de courtes scénettes, le poète expérimente dans Reality sandwiches, une écriture fugace, dessinant en épisodes, des tranches de vie et des carnets de voyage.

Ginsberg et Glass composent ainsi le texte nourri des poèmes beatnik qui est à la source d'Hydrogen Jukebox. Il s'agit d'un vaste tableau en 15 scènes, foisonnant et kaléidoscopique dont la charge critique, ironique et lyrique fustige les travers de l'Amérique du nord des années 1950 à 1980.Philip GlassAuteur prolixe, ardent représentant de la musique répétitive, Philip Glass est né à Baltimore, il y a 71 ans.

Passionné par la photographie de Muybridge qui décompose le mouvement, le musicien s'engage aussi à transcrire la musique indienne de Ravi Shankar: l'élève de Nadia Boulanger ne tarde pas à imposer sa propre écriture.
On lui doit nombre d'opéras (une vingtaine à ce jour, depuis Einstein on the Beach, créé en 1976 avec le concours de Bob Wilson et de la chorégraphe Lucinda Child). Aux côtés de Bob Wilson, Philip Glass a aussi travaillé avec David Bowie et Brian Eno. En hommage à Allen Ginsberg décédé en 1997, le compositeur écrit une nouvelle partition engagée d'après son poème Ode au plutonium.

En avril 2008, Philip Glass a créé son dernier opéra au Metropolitan de New Yok, Satyagraha, avant d'inspirer Bartabas et de faire jouer l'une des ses oeuvres, à Paris au Grand Palais, en juin 2008 dans le cadre de l'exposition Monumenta de Richard Serra.Hydrogen: penser le monde...

Hydrogen Jukebox composé avec le poète Allen Ginsberg en 1990, est ainsi créé en France en janvier 2009, du 12 janvier au 5 mars 2009, d'Angers et Nantes à Caen, soit 13 dates événements et 7 villes d'accueil pour une tournée mémorable.

« Lorsque je créais des pièces musicales à caractère social, j’utilisais souvent des langages inusités, voire obscurs, comme le sanskrit pour Satyagraha, l’égyptien ancien pour Akhnaten, le latin pour The Civil Wars ou juste quelques syllabes et nombres pour Einstein on The Beach. Avec Jukebox, j’ai travaillé avec le langage vernaculaire que nous pratiquons tous. Et la poésie d’Allen semble faite pour cela, car il puise dans les sons et les rythmes qui nous entourent pour façonner son langage poétique, un langage américain qui est logique, sensuel parfois abstrait mais toujours expressif. Fondre langage et musique ensemble apporte un sentiment de puissance, de plénitude sensorielle au sens propre, comme seul l’opéra en procure. » précise Philip Glass à propos de Hydrogen Jukebox.
Pour Allen Grinsberg, l'ouvrage pointe du doigt les éléments qui menacent notre civilisation.

En décrivant tout ce qui complote contre la survie de notre monde, l'opéra délivre en effet un oxygène salvateur: un baume pour maintenir l'humanité hors d'atteinte de ses faiblesses destructrices? : « En définitive, l’objet d’Hydrogen Jukebox, ses fondements, son message secret, est de soulager la souffrance humaine par une prise de conscience aigue des obsessions, névroses et problèmes que nous rencontrons en cette fin de millénaire.

Ainsi ce “mélodrame” est un aperçu millénariste de ce qui se passe, de ce que nous pensons, des nouvelles percutantes des Etats-Unis et du monde. En construisant cette pièce, nous pensions au déclin de l’empire, la chute de l’Amérique en tant qu’empire et même à la destruction de la planète dans les prochains siècles. Nous avons dressé la liste des choses que nous voulions couvrir – Philip et moi ainsi que Jerome Serlin le scénariste, quelques sujets communs.
Il y avait, bien sûr, le Bouddhisme, la méditation, le sexe, la révolution sexuelle. Il y avait la notion de corruption en politique, à la tête de l’état.

On y trouvait aussi des thématiques sur l’art, le voyage, les rapports Orient Occident ainsi que l’écologie, dont tout le monde parlait. Et, bien entendu, la guerre, la paix et le pacifisme. Hydrogen Jukebox serait-il un manifeste ultime préapocalyptique, déroulé en un appel du dernier recours, avant que l'humanité n'implose, avant cette fin du monde qui pourrait bien être son but inéluctable?


Le titre Hydrogen Jukebox vient d’un vers du poème Howl : …listening to the crack of doom on the hydrogen jukebox… (...tout en écoutant le crash apocalyptique d'un jukebox à hydrogène). Cela renvoie à un état de technologie hypertrophiée, un état psychologique dans lequel les gens sont à la limite de leur apport sensoriel face à la civilisation de jukeboxes militaires, face au puissant grondement industriel ou face à une musique qui vous secoue les os et pénètre votre système nerveux, comme le ferait un jour un bombe à hydrogène, en annonçant l’apocalypse », annonce Allen Ginsberg.

Philip Glass et son Opéra de Chambre Hydrogen Jukebox



Génial!!

Hydrogen Jukebox de Philip Glass et Allen Ginsberg
Exercice de spéléologie au coeur de la Beat Generation..
A Nantes, la création française de l’opéra de chambre Hydrogen Jukebox, neuvième opus lyrique du compositeur américain Philip Glass tient de l’expédition spéléologique : née en 1998 d’une rencontre de Glass avec le poète Allen Ginsberg, créé en 1990 au Spoleto Music Festival de Charleston, l’oeuvre plonge dans un passé pas si lointain mais qui se referme sur une génération qui a marqué et fait son temps : la Beat Generation, cette vague de rébellion sociale et poétique qui secoua l’Amérique des années cinquante à quatre vingt et fit des ondes sur les jeunesses du monde.
Jack Kerouac fut le premier à en déclencher les marées avec son emblématique Sur la route, bientôt suivi par Ginsberg et William Burroughs dont The Howl et Le Festin nu imprégnèrent les esprits et les révoltes.
C’est l’Amérique des Happy Fifties bientôt rattrapée par ses guerres, au Vietnam et ailleurs, par la rage de liberté tous azimuts, par le sexe sans tabou et la drogue comme accessoire d’évasion. Aux paroles proférées par le poète répondirent les sons d’un nouveau type baptisés « minimalistes » ou « répétitifs » initiés par des compositeurs comme LaMonte Young, Steve Reich, Terry Riley et Philip Glass.

La découverte au Festival d’Avignon 1976 de son premier opéra Einstein on the Beach mis en scène par Bob Wilson et chorégraphié par Lucinda Childs fit l’effet d’un électrochoc qu’aucune autre œuvre postérieure renouvela.
20 chants pour 7 musiciens, 6 chanteurs et un narrateur
Pour la production française de Hydrogen Jukebox, Philippe Nahon et son ensemble Ars Nova, côté musique, Joël Jouanneau à la mise en scène et Jacques Gabel pour la scénographie se sont emparés des traces laissées par ces temps-là et ont tenté de leur redonner vie.

L’œuvre, articulée autour de vingt chants pour sept musiciens, six chanteurs et un narrateur, a presque 20 ans d’âge.

Son titre est extrait de Howl (cri, hurlement), le poème quasi identitaire de Ginsberg : « listening to the crack of doom on the Hydrogen Jukebox (en écoutant le crack d’apocalypse d’un jukebox à hydrogène) ».
La scénographie de Gabel s’appuie sur les données de la célèbre Factory chère à Andy Warhol, tables de maquillage aux miroirs encadrés de lampes, murs gris et écrans mobiles auxquels s’ajoutent un tuyau accroché aux cintres crachant du sable sur des restes d’uniformes, et, à l’avant-scène le bureau et la machine à écrire de Ginsberg.

Un Ginsberg qu’incarne le comédien Eric Génovèse, prêté par la Comédie Française dont il est sociétaire. Jouant les Frégolis, acteur et danseur d’une multitude d’autres personnages il dit et profère les textes en flamme de Ginsberg.

Le programme les reproduit en langue originale et dans leur traduction : belle initiative qui pointe du bout des mots la difficulté de traduire un langage principalement axé sur le souffle et la mélodie des syllabes.
Quand le cheval de fer fonce vers la guerre
Déguisé en oncle Sam - haut de forme et couleurs de bannière étoilée -, Philippe Nahon dirige ses ouailles musiciennes comme s’il était lui aussi un personnage à part entière.

Côté jardin les vents, flûte (Pierre-Simon Chevry), clarinette (Eric Lamberger) et le saxophone de Jacques Charles qui se livre à un étourdissant solo de jazz.

Côté cour, percussions et synthétiseurs, les instruments clés de cette musique, sont manipulés par Isabelle Cornélis, Elisa Humanes, Michel Maurer et André Dos Santos.

A ces excellents instrumentistes se joignent les voix des sopranos Mia Delmaë et Céleste Lazarenko, de la mezzo Aurore Ugolin, du ténor Michaël Bennett, des barytons et barytons basses Jeremy Huw-Williams et Jean-Loup Pagésy qui figurent tour à tour le chœur et les diverses silhouettes qui traversent les temps et les paysages : des plaines d’Oklahoma aux rives du Gange, de Chicago à Calcutta, quand « le cheval de guerre fonce vers la guerre », que meurent « les soldats venus de nulle part pour aller où on les envoie » et que dans ce marasme il faut invoquer Yahvé, Allah et Bouddha.
D’Eisenhower à Bush père, les présidents défilent et les événements liés à leurs mandats : par flashs, par fragments, par états de névroses.

Il n’y pas d’histoire, il y a l’Histoire et ses convulsions, les battements sourds de la musique de Glass, ses répétitions en boucle qui créent une sorte d’hypnose.
Ni véritable opéra, ni véritable oratorio, c’est un voyage dans des mondes en tourmente qui n’ont pas fini de nous interpeller.


Hydrogen Jukebox de Philip Glass, livret d’Allen Ginsberg, ensemble instrumental Ars Nova, direction Philippe Nahon, mise en scène Joël Jouanneau, décor Jacques Gabel, costumes Claire Sternberg, lumières Franck Thévenon, réalisation sonore Pablo Bergel.Avec Eric Génovèse, Mia Delmaë, Céleste Lazarenko, Aurore Ugolin, Michael Bennett, Jeremy Huw-Williams, Jean-Loup Pagésy.
Nantes – Théâtre Graslin, les 12,13,14,22,24 & 26 janvier
Angers – Grand Théâtre, les 28 & 29 janvier
Orléans – Théâtre – le 16 janvier
Dijon – Opéra – le 1er février
Besançon – Théâtre Musical – le 13 février
Poitiers – TAP – le 19 février
Caen – Théâtre – le 5 mars

Per San Valentino, mangiamo dei cioccolatini!




Non sono fan della festa del 14 febbraio,(come per la festa della mamma, della nonna, del papà..tutto é prestesto al commercio.)..ma in questo caso si tratta di cioccolatini, e dunque il pretesto é buono, anzi buonissimo !
La proposta golosa per San Valentino di quest'anno é ..T'a - Sentimento Italiano, il nuovo brand di lusso del cioccolato hand made dei fratelli Alemagna!
Per l’occasione la scatola del purissimo cioccolato T’a - Sentimento Italiano è accompagnata da 4 biglietti con speciali messaggi d'amore da scegliere in base alle sfumature del proprio sentimento d’amore: quattro eleganti cartoncini di colore rosso intenso per dire


T’Amo…T’Adoro…T’Abbraccio...o anche semplicemente T’Anti auguri!

Un’idea regalo originale ed elegante, ben diversa dalla solita scatola di cioccolatini!
T'a - Sentimento Italiano, confezione S.Valentino da 9 cioccolatini € 15,50

mercoledì 11 febbraio 2009

Guillaume Canet

Il est l'un des acteurs-réalisateurs les plus talentueux du cinéma français. A 35 ans, Guillaume Canet affiche un sacré palmarès, couronné par un César en 2007, celui du meilleur réalisateur pour son film Ne le dis à personne.
Et d'après le Figaro, ses gains 2007 étaient estimés à 1 600 000 euros, ce qui fait de lui le 6e acteur le mieux payé de France. Rien que ça!
C'est une rencontre avec Jean Rochefort, qui a la passion des chevaux comme lui, qui lui donne l'envie de faire de la comédie.
Il commence donc à étudier au cours Florent à Paris, faute d'avoir pu devenir jockey après un accident.

En 1996, il tourne dans son premier film: 17 ans et des poussières de Joël Santoni. Après cette première expérience, il gravira les marches de la gloire quatre à quatre. Acteur, réalisateur, metteur en scène pour le théâtre...
Côté coeurs, le bohneur est aussi au rendez-vous.
Il a été marié cinq ans à l'ancien mannequin allemand devenue actrice, Diane Kruger.
Il lui offre même son premier rôle au cinéma en 2002 dans son premier long-métrage en tant que réalisateur, Mon idole, avant qu'elle ne devienne une vedette internationale grâce au rôle d'Hélène dans le film Troie en 2004.

Et depuis plus d'un an, il file le parfait amour avec Marion Cotillard, rencontrée sur le tournage de Jeux d'Enfants en 2003.

Scarlett en Marilyn pour Dolce & Gabbana








Pour lancer ses cosmétiques, Dolce&Gabbana a assuré ses arrières en réquisitionnant l’une des actrices les plus influentes du moment.

Scarlett Johansson prête donc son image, et ses courbes, à la marque pour une promotion glamourissime.
Pin Up des temps modernes, c’est assurément le nouveau statut de Scarlett Johansson, parfait clone de Marilyn Monroe le temps d’un shooting photo à Londres.

Ce résultat ultra sensuel et very sexy, on le doit au photographe Solve Sundsbo, mais aussi au make-up de l’actrice.
Mise en plis fifties peroxydée, bouche en cœur rouge ardent et seins corsetés beiges rosés… Scarlett est une icône hollywoodienne comme on n’en fait plus.
«Sûre d’elle, magnifique et sympathique, elle est très Dolce&Gabbana» comme dirait le principal intéressé, Stefano Gabbana.
Le teint velouté, la peau de pêche et le regard lointain de la belle charmeront les badauds, tandis que les femmes jalouseront sa taille de guêpe et sa classe candide mais néanmoins fatale qu’elle avait affiché auparavant dans la campagne printemps-été 2007 de Louis Vuitton.

lunedì 9 febbraio 2009

"La petite danseuse de 14 ans" di Degas


Nel saggio che Paul Valèry dedica a Edgar Degas afferma:
C’era in Degas una curiosa sensibilità per la mimica. D’altronde, le ballerine che ha dipinto, le ha colte in atteggiamenti professionali significativi, il che gli ha permesso di rinnovare la visione dei corpi e di analizzare un gran numero di pose di cui i pittori prima di lui non si erano mai occupati.
Abbandonò le belle donne mollemente adagiate, le veneri delizione e le odalische; non cercò di sistemare su un letto qualche oscena e sovrana Olimpia [...]. Si accanì invece di ricostruire l’animale femminile specializzato, schiavo della danza; e quei corpi, più o meno deformati, ai quali fa assumere posizioni assai instabili per la loro articolata struttura [...], fanno pensare che tutto il sistema meccanico di un essere vivente può fare smorfie come un volto
”.
Con queste poche righe dello scrittore francese Valèry possiamo capire in modo esaustivo la ricerca quasi maniacale di Degas sul tema della danza e delle ballerine.
Le ritrasse in numerosissime pose: leggere sul palco come in “Ballerine in scena”, nello sforzo degli esercizi come in “Ballerine alla sbarra”, rilassate negli spogliatoi, dietro le quinte come in “Ballerine fra le quinte”.
Ma a differenza di altri artisti precedenti che ritraevano i danzatori in pose perfette ed eleganti, le ballerine di Degas, pur non mancando di grazia e di armonia, raccontano di un mondo fatto di duro lavoro, sacrificio e studio.
Di rado Degas rappresenta il balletto nei suoi momenti spettacolari.
L’artista francese predilige la descrizione delle fasi di preparazione, dove spesso coglie l’occasione per smascherare i limiti fisici delle danzatrici, trovando una nuova forma di bellezza più naturale e umana.
Sono davvero tante le opere di questo autore dedicate al mondo della danza.
Tantissimi dipinti di ballerine che Degas inizia ad affrontare, per la prima volta, in un olio su tela del 1868 dal titolo “L’Orchestra dell’Opéra”, che ritrae i musicisti del teatro lasciando intravedere, nella parte superiore, un movimento di balletto.
Bisogna ricordare che Degas sviluppò il tema della danza non solamente tramite dipinti e disegni. Infatti non si può non citare “”, una scultura in cera e stoffa che ritrae la giovane Marie Van Goethem.
Il realismo eccessivo, con l’aggiunta delle stoffe per il tutù e il corpetto, le scarpe in raso e il fiocco tra i capelli fatti con una parrucca nera, oltre alla estrema tensione e conformazione del corpo e del viso, suscitarono molto clamore alla prima esposizione nel 1881.
È proprio da questa descrizione della scultura intitolata “” che annunciamo una straordinaria aggiudicazione, avvenuta il 3 febbraio presso la sede londinese di Sotheby’s.
Questa bellissima ballerina scolpita dall’artista impressionista francese è stata presentata al pubblico in sala per una stima compresa tra i 9 e i 12 milioni di sterline e ha ottenuto una quotazione record di 13.3 milioni di pounds (pari a 19.2 milioni di dollari). Un risultato che lascia entrare un pò di speranza nel mercato dell’arte 2009, visto che ha superato il precedente record di Degas relativo ad una sua scultura (“”, battuta dalla Sotheby’s di New York nel novembre del 1999 per 12.4 milioni di dollari).La versione messa in asta ieri sera da Sotheby’s a Londra è una delle rare sculture in bronzo create da Degas che raffigura una giovane ballerina, immagine che il celebre maestro francese ha dipinto in numerosi quadri.
La figura della ragazzina, realizzata tra il 1879 e il 1881, fu originariamente modellata in cera per poi essere fusa in bronzo nel 1922, dopo la morte di Degas avvenuta nel 1917.
La scultura che offrirà Sotheby’s è una delle poche opere in bronzo di Degas ancora in mani private.
” è stata messa in vendita da Sir John Madejski, il milionario presidente del Reading Football Club e uomo generoso nel contribuire alla trasformazione di molte istituzioni culturali nel Regno Unito.
Il signor Madejski aveva acquistato questa particolare versione della statua per 5 milioni di sterline nel febbraio 2004 presso la Sotheby’s di Londra.
Questa fu l’ultima volta che una “Petit danseuse” apparì in asta e da allora si potè ammirare solamente presso una mostra organizzata alla Royal Academy of Arts.

La crisi anche a Sotheby's


Tutti gli economisti aspettavano con trepidazione la Contemporary Art Evening di Sotheby’s a Londra, per vedere se il mercato del contemporaneo avesse ancora un suo piccolo momento di gloria per “sconfiggere” la grande crisi che ha investito il settore.

Purtroppo il “miracolo” non è avvenuto.

Non si può affermare che l’asta londinese del 5 febbraio sia andata del tutto male.

Con un risultato totale di 17.879.250 sterline e 25 lotti venduti su 27, la conclusione non è stata tragica.

Ma quanta amarezza nel vedere un catalogo composto da pochi pezzi e per di più proposti al pubblico in sala a stime molto basse.

Piuttosto scarsi i risultati della Pop Art: un è rimasto invenduto, mentre un ritratto di Mick Jagger eseguito nel 1975 da è stato aggiudicato a 797.250 sterline.

Per quanto riguarda i grandi artisti del contemporaneo, e non hanno ottenuto performance meravigliose, ma almeno sono stati venduti.I

l primo a 2.841.250 sterline contro una stima di 2,2-3,2 milioni, il secondo da una stima di 250-350 mila è stata battuto per 361.250 sterline.

Discreti i risultati degli italiani.

Il lotto 4 di , da una valutazione iniziale di 250-350 mila pounds, è stato venduto per 241.250.

Mentre un da una stima di 350-450 mila sterline, è riuscito a raggiungere un’aggiudicazione di 505.250 sterline.Ma quello che doveva essere il protagonista della Contemporary Art Evening di Sotheby’s era il .

Andato venduto, ma con un risultato al di sotto della stima e lontano dalle quotazioni degli anni precedenti.

La bellissima opera intitolata “Concetto Spaziale” del 1961, che è stata presentata al pubblico in sala con una stima di 5-7 milioni di sterline , è stata venduta per soli 4.409.250 pounds.

Nel 1961 Fontana venne invitato a partecipare all’esposizione “Arte e Contemplazione” organizzata al Centro Internazionale delle Arti e del Costume di Palazzo Grassi a Venezia.

Nel capoluogo veneto, mentre lavorava alla preparazione della mostra, il maestro fu ispirato dal luogo e concepì una serie di circa venti Venezie di grande effetto poetico.

Tra i lavori più straordinari mai concepiti e di eccezionale esecuzione, questo “Concetto Spaziale” gode di una posizione di rilievo nella produzione artistica di Fontana.

Proveniente da una collezione privata italiana, il dipinto fu acquistato direttamente dall’artista nel 1961. Conservato nella stessa raccolta per quasi 50 anni, questo capolavoro è quasi sconosciuto al pubblico.

Proprio per questo motivo quello che ha proposto Sotheby’s è un vero evento storico per il mercato dell’arte.“Concetto Spaziale” è una tela ad olio e resine con un effetto molto materico in omaggio alle architetture della città lagunare e con una cromaticità che spazia dal bianco all’oro in relazioni alle luci e ai giochi d’acqua dei canali.

Fontana utilizzava l’oro solo per le occasioni più speciali, enfatizzandone il simbolismo: qui diventa protagonista dell’opera, evocando i più celebri simboli di Venezia, dal leone alato dorato di San Marco ai mosaici degli interni della Basilica di San Marco.

Nel 1962 questo capolavoro di venne inserito nella mostra organizzata alla Galleria Civica d’Arte Moderna di Torino, “Strutture e Stile. Pitture e Sculture di 42 Artisti d’Europa, America e Giappone”.

La serie delle Venezie rimane tra i cicli più celebri dell’artista; opere di questa serie si possono osservare presso il Ludwing Museum di Colonia, nella collezione Thyssen-Bornemisza e alla Fondazione .

les petites parisiennes de Kiraz














































Le Cosmopolitan

La trentaine pimpante et sexy, Carrie Bradshaw a remis sur le tapis le Cosmopolitan.
Résultat ?

Ringard il y a peu, le cocktail revient en Guest Star dans tous les bars.

Loin derrière les Etats-Unis qui ne comptent plus ses fans, Paris (re)découvre une tendance lourde : la cocktailmania.

Qui s'empare des adresses les plus trendys, d'une micro-société toujours avide de nouveaux codes. Un succès justifié parce que le cocktail, c'est la fête !


Et parce que de l'autre côté du bar, c'est y voir un nouveau terrain de jeux, d'essais et de créativité.


Comme un Thierry Marx ou Ferran Adria en gastronomie, les barmen les plus doués veulent nous émoustiller à leur tour à coup de nouvelles textures et sensations gustatives.

Premier rendez vous à Paris



Ambiance retro tamisée au Chacha Club

A la fois restaurant, fumoir, bar, dancing, le Chacha Club propose toutes les ambiances.

Dernier né de la nuit parisienne, on y apprécie la carte du restaurant aux accents italiens, les lumières tamisées et son décor néo-baroque.
Adresse : Chacha Club 47 rue Berger 75001 Paris
Téléphone : 01 58 62 56 25
Tarifs : A la carte environ 80 €
Sur le web : http://www.chachaclub.fr/







Pour le gourmands chic


Bar à chocolat Mauboussin

Bar à chocolat Mauboussin sur les Champs-Elysées

© Paris Galant - Ed.Fizzi © Bar à chocolat Mauboussin

Dans cette boutique des Champs-Elysées, pas de doute le chocolat est définitivement aphrodisiaque.

A boire ou à croquer, la maison Mauboussin dédie son 3e étage très contemporain au chocolat et cacao sous toutes ses formes.
Adresse : Mauboussin 66 avenue des Champs-Elysées 75008 Paris
Téléphone : 01 42 56 03 42
Tarifs : Environ 40 € pour deux
Sur le web : http://www.mauboussin.com/







A Paris un bar à champagne très glamour


Flûte l'Etoile, bar à champagne

Flûte l'Etoile, un bar à dégustation uniquement dédié au champagne.

© Paris Galant - Ed.Fizzi © Flûte l'Etoile


Des bulles, des bulles, des bulles...
A quelques pas de l'Arc de Triomphe, découvrez un lieu unique entièrement dédié à la dégustation du champagne. Un concept new-yorkais décliné à Paris pour les amateurs de bulles, de champagnes blancs ou rosés. Si la liste des champagnes présente à la carte est impressionnante, les cocktails de la maison valent également le détour...
Adresse : Flute l'Etoile 19 rue de l'Etoile 75017 Paris
Téléphone : 01 45 72 10 14
Tarifs : Prix pour 2 à la carte environ 150 €
Sur le web : http://www.flutebar.com/en/index.php?page=etoile-paris/