mercoledì 22 ottobre 2008

Le diable s'habille à Savile Row


À Londres, cette rue est mythique en matière d’élégance masculine.

On y vient pour ses costumes bespoke, pièces uniques taillées aux mesures du sujet, dont l’allure et le prix donnent le vertige.
Londres. Le premier choc de Savile Row, c’est ce silence.
Comme si l’air s’habillait de tweed. On est presque tenté de marcher sur la pointe des pieds, de mettre des feutrines sous les roues des automobiles, l’index sur la bouche du métro de Green Park.
Vous pensiez marcher impunément sur le Row. C’est trop tard. Maintenant, il y aura un avant et un après. « Pourquoi je m’habille ici, confie cet élégant sous réserve d’anonymat ? Parce que j’aime la relation avec le vendeur. J’existe en tant que tel, je porte un costume, et non le contraire. J’évolue dans un monde superficiel, mais je n’ai nullement envie de ressembler à un serveur de chez Costes, en costume noir et chemise noire.
Mon costume de Savile Row, mes vestes, mes pantalons me protègent du monde. Ils me donnent un réel recul. Ici, je suis un dandy, mais je sais qu’à Paris on me prendrait pour un supercrétin. »
Toutes les icônes de l’élégance sont passées dans cette rue : Fred Astaire, Beau Brummell, Marlene Dietrich, Roger Moore, le prince Charles
Ici, les artistes les plus cinglants ont nourri leur créativité dans une désobéissance de velours profond et de nuit en satin blanc : John Lennon, Mick Jagger, David Bowie, Ray Davies, Nick Cave
Aujourd’hui, si vous restez quelques moments le long du Golden Mile (Savile Row pour les intimes), vous risquez fort de croiser sur le côté est – plus classique – le duke of Devonshire et, sur l’autre versant de la rue, le West Side, Pete Doherty, leader déjanté des Baby Shambles. Sur Savile Row, le monde est simplifié.
Il balance entre Bentley et Porsche, joueurs en Bourse et icônes de mode.
Lorsque l’on pousse la porte d’une de ces adresses cultes, deux siècles vous tombent soudainement sur les épaules.
Même correctement habillé, on ne se sent pas seulement intimidé, mais un brin minable, démonétisé, quelconque, apprêté.
Pardon : prêt à porter. Le pantalon est approximatif, les manches de chemise taillées à la hache, la veste à l’ouest.
Les Anglais, certains en tout cas, s’habillent aussi bien que nous mangeons.
Ils ont le redoutable privilège d’avoir des codes excluants.
Dans des expressions aussi superficielles que la mode, ces derniers fonctionnent parfaitement. L’uniforme de l’école est l’un des actes fondateurs de leur élégance tout en paradoxes.
Tout le monde y est passé, et même iconoclastes, ils continuent d’afficher un chic de tous les diables.
Le costume "bespoke", une pièce unique
Mais ce chic a un prix.
Et à Londres, les prix sont ivres d’eux-mêmes.
C’est tout juste si le timbre-poste ne se vend pas chez Hermès.
C’en est décourageant. Pour un costume bespoke (entendez : pièce unique entièrement conçue selon vos mesures, un cran au-dessus du sur-mesure), la note s’élève à environ 3 000 livres, auxquelles s’ajoutent deux ou trois séjours à Londres pour les essayages, soit 5 000 à 6 000 livres.
Ou si vous préférez 7 600 euros et, pour être définitivement clair, 49 500 francs. Au début, on rit nerveusement.
Ensuite, on se sent bizarre. On touche à peine le costume, de crainte qu’il ne nous morde.
Mais le plus redoutable reste à venir.
Lorsque vous faites un essayage, le sortilège commence.
Votre carte de crédit miaule douloureusement, c’est trop tard.
Ressortir intact de Savile Row devrait vous verser automatiquement dans l’ordre du Mérite.
Car un costume comme ceux de Anderson & Sheppard, ce n’est pas seulement divin, c’est renversant. Vous voilà dans un autre rapport à vous-même.
Finis les costumes sympas et les chemises flottantes, vive le rapport à soi, le triomphe de la légèreté, la veste à un bouton !
On entre dans une expérience, l’apesanteur du « feel » et du « fit ».
En endossant les costumes de Savile Row, vous allez rejoindre le clan des légers, cavaliers et autres dandys aux paupières mi-closes ; ceux qui ont admirablement scié la branche de leur vie : Oscar Wilde, l’empereur du Mexique, le roi Edward VIII, qui abdiqua pour les beaux yeux de Wallis Simpson.
Sachez qu’en costume made in Savile Row vous ne serez jamais capitaine d’entreprise, ni responsable financier ou contrôleur de gestion.
Vous leur avez laissé la conduite du monde. Vous êtes assis sur la banquette arrière.
Les dix adresses de Savile Row
1 – GIEVES & HAWKES
On se souviendra des manteaux immaculés des princes William et Harry au mariage du prince de Galles et de la duchesse de Cornwall (2005), réalisés dans les ateliers de cette adresse légendaire. La maison est immense, à l’image de la patience des tailleurs capables de tout, même de l’impossible. Générique impressionnant : toute la royauté mondiale, Roger Moore… Premier prix en bespoke : 3000 livres (sur-mesure : 695 livres).1 Savile Row. Tél. : 00.44.20.7434.2001. 2 – GET BACK
Une génuflexion s’impose devant cet immeuble sur le toit duquel les Beatles enregistrèrent « Live», la chanson de leur dernier album. 3 Savile Row.
3 – Anderson & Sheppard
Ne cherchez plus cette maison mythique, elle a déménagé juste à côté.
Dirigée par Anda Rowland et John Hitchcock, la légende continue avec des coupes magistrales (épaules douces) et un casting de rêve : du prince Charles à Tom Ford, en passant par l’histoire de l’élégance dont Fred Astaire reste l’icône tutélaire. Le rêve de tout dandy débute à 2 900 livres. Lorsque Tom Ford passa, il commanda illico dix costumes, un acte fondateur pour sa future maison. 32 Old Burlington Street. Tél. : 00.44.20.7734.1420.
4 – KILGOUR
Sous la houlette de Carlo Brandelli, cette adresse entre dans la mode de plain-pied avec un magasin de prêt-à-porter, tout en conservant ses ateliers de costume bespoke dont le ticket d’entrée tourne autour de 2900 livres, le sur-mesure restant dans les 785 livres. La ligne Kilgour se veut élancée, athlétique, avec des épaules nettes et structurées. Clients fidèles : Eric Clapton, David LaChapelle, Bryan Ferry… 8 Savile Row. Tél. : 00.44.20.7734.6905.
5 – DEGE&SKINNER
Depuis 1880, on reçoit les hommes bien taillés aux épaules carrées, sportifs, cavaliers et militaires. Temple de la précision, Dege&Skinner habille aussi Michael Jackson et George Bush senior. 10 Savile Tow. Tél. : 00.44.20.7287.2941.
6 – LANVINC’était le rêve d’Alber Elbaz, grand admirateur de Savile Row. Il effectue une entrée tonitruante avec, bien entendu, un atelier bespoke, mais aussi des coups de dingue, comme ces étoles en vison et autres sortilèges contemporains. 30-32 Savile Row.
7 – HENRY POOLE & CO
Institution fondée en 1806, plébiscitée par les dandys et le gotha couronné, de Napoléon III à Hailé Sélassié en passant par Buffalo Bill. « Poole mène, les autres suivent » serait la devise de cette institution dont les costumes _bespoke sont proposés à partir de 2 500 livres. 15 Savile Row. Tél. : 00.44.20 7734.5985.
8 – OZWALD BOATENG
L’adresse la plus flashy et souvent enthousiasmante dans une vision contemporaine et débridée du costume bespoke réalisé par l’ex-mentor de Givenchy. Jamie Foxx, dans Miami Vice, de Michael Mann, est une des plus belles illustrations de la veste trois boutons, avec un travail remarquable sur la tête de manche, le cintrage et couleur de la doublure. 12A Savile Row. Tél. : 00.44.20.7440.5230.
9 – RICHARD JAMES
Belle boutique claire et spacieuse, avec de superbes costumes prêts à emporter (à partir de 600 livres) mais surtout avec un secteur bespoke, où les tarifs débutent à 2 290 livres, sans oublier des accommodements sur mesure moins saignants (1 100 livres). Très fort dans les silhouettes un bouton (qu’affectionne Pete Doherty) et réputé pour son sens des couleurs, Richard James accueille régulièrement Mick Jagger, Jarvis Cocker, sir Paul McCartney, Hugh Grant, Madonna, Mario Testino… 29 Savile Row. Tél. : 00.44.20.7434.0605.
10 – SPENCER HART
Nick Hart appartient à cette nouvelle vague désarmante.
Respectueux des grands, il est reconnu pour son approche romantique du costume, cool et subtilement classique (ce fut l’un des premiers à réintroduire la chemise blanche, dont il propose une vingtaine de modèles).
David Bowie y vient souvent, à l’instar de Jamie Foxx, Placebo, Jay-Z… Les prix débutent à 3500 livres. Jolie veste de voyageur à 1 950 livres (boum !). 36 Savile Row. Tél. : 00.44.20.7434.0000.

Quelle magiche scarpette rosse



Ruby slippers da fiaba
Il Mago di Oz compie 70 anni.
La New York Fashion Week
festeggia le famose scarpette rosse di Dorothy con una mostra
da Saks Fifth Avenue.
Venti stilisti interpretano le magiche scarpette rosse.
La Slipper Collection del Mago di Oz - promossa da Warner Bros e Crystallized Swarovski Elements – è in mostra dal 5 settembre a Bryant Park, il giorno successivo al galà di apertura della settimana della moda di New York.
Nella foto :
Rossella Jardini ha disegnato un paio di décolletées in raso per Moschino.
Quando le punte si uniscono, formano un fiocco. Chissà se fanno anche volare via…

Per i golosi




Fino a domenica Perugia sarà il tempio dei golosi!
Anche quest'anno è tempo per i golosi del consueto pellegrinaggio a Perugia, Corso Vannucci!

Fino al 26 ottobre infatti è Play Chocolate , l'Eurochocolate 2008.
Giunti ormai alla quindicesima stagione della festa del cioccolato a Perugia ci si chiede soltanto “Chi resisterà al richiamo del cacao?”.
L'evento di quest'anno ripropone il format gioco-allegria-musica dove tutto è cosparso dall'elemento principale in ogni sua forma. Il cioccolato!
Quest'anno l'Eurochocolate si propone come un gioco del gusto ( Play Chocolate appunto!), una sfida per liberare la spensieratezza ludica attraverso il dolce.
Fantasia, infanzia e cioccolato si fondono in un evento per bambini e adulti.
Anche quest'anno il cioccolato sarà protagonista e investirà le strade di Perugia con stand, degustazioni e eventi.
Riaprirà in questa sede il Chocolate Show, il più dolce bazar del mondo, che ci farà realizzare il sogno di infanzia: essere sommersi da 6000 tipologie di prodotti rigorosamente a base di cacao e cioccolato!
La novità assoluta di quest'anno è la Chococard che al costo di 5 euro dà la possibilità di usufruire di omaggi, degustazioni e sconti non solo negli stand della manifestazione, ma anche nei negozi, nei ristoranti, teatri e musei della città.

LV ci sorprende




Sorpresa per i fan del Monogram : Louis Vuitton sorprenderà con un mare di novità!
Già forte di molteplici collaborazioni artistiche, lo storico marchio inaugurerà un museo d’arte contemporanea nel 2011, a Parigi:pour la Création, disegnata dal noto architetto Frank Gehry.
Per la prima volta in Italia, più precisamente a Roma, è prevista inoltre nel 2009 l’apertura di una maison LV, in linea con lo stupefacente flagship sugli Champs-Élysées di Parigi.
Ma la ciliegina sulla torta è l’inaugurazione deil primo e-shopping Vuitton, esclusivamente per l’Italia: uno spazio multimediale dove si puo' trovare tutti gli accessori per uomo&donna, l’orologeria, i divertenti bijoux e le preziose city guide.

Nella foto : il progetto della Fondation Louis Vuitton pour la Création.
Ideata dal famoso architetto Frank Gehry, questo immenso "vascello" trasparente, con 14 vele in vetro create per riflettere la luce del cielo di Parigi, sorgerà fra gli alberi del Jardin d’acclimation nel Bois de Boulogne di Parigi.

Adidas compie 60 a Milano !!



Adidas, il marchio più gettonato dagli amanti dello streetwear - e non solo - compie 60 anni e festeggia alla grande con
60 Years of Soles and Stripes, un megaparty a Milano durante la settimana della moda, in cui verrà presentata la collezione p/e 2009.

Tra le ultime novità ci sono le imperdibili mi Originals, sneakers supercustomizzabili, e quelle in tessuto jeans: Originals Denim by Diesel.
La collezione-madre, Originals, si ispira allo sport (DNA imprescindibile del marchio) declinato magistralmente in versione streetstyle.
Su ogni articolo si staglia ovviamente il trifoglio: introdotto nel 1972 e da allora logo-icona del brand, esprime autenticità, libertà e creatività e, perché no, fortuna.

martedì 21 ottobre 2008

Les années italiennes à Besançon


Simon Vouet, les années italiennes (1613-1627)
du 27 Mar. 09 au 29 Jui. 09
Exposition coproduite par le musée des Beaux-Arts de Nantes et le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon.
L’exposition est consacrée au séjour italien de Simon Vouet, période durant laquelle son art puisa aux sources des plus grands maîtres de la péninsule.
En se laissant tout d’abord tenter par le ténébrisme populaire des oeuvres du Caravage et il réalise des chefs d’oeuvres du genre.
Le rassemblement d’œuvres dispersées dans les plus grands musées du monde permet d’apporter des jalons essentiels à la connaissance du peintre, des réjouissantes scènes de genre aux virtuoses épisodes religieux, en passant par une magnifique galerie de portraits.
Sous le pontificat du pape Urbain VIII Barberini, Vouet devient un des premiers peintres de la ville éternelle, et le chef de file de l’importante colonie française (Vignon, Valentin, Mellin…). Il reçoit de nombreuses commandes de portraits (Musée du Louvre) et de tableaux d’église (magnifique Circoncision du Museo de Capodimonte, Naples).

Suprême honneur, il est élu en 1624 prince de l’Académie de Saint-Luc, corporation puissante des peintres et sculpteurs de Rome.

Il est le premier artiste français à recevoir une prestigieuse commande pour la basilique Saint-Pierre de Rome (1626) : une grande peinture murale, représentant L’Adoration de la Croix et des symboles de la Passion, servant à la fois de décor et d’écrin à la Pietà de Michel-Ange. Le décor a malheureusement été détruit au XVIIIe siècle, mais l’exposition reconstituera pour la première fois la splendeur de cette commande en réunissant les fragments dispersés dans le monde d’un grand modèle préparatoire réalisé par Vouet.

Le musée de Besançon conserve l’un de ses fragments.

En même temps que l'exposition consacrée à la période italienne de Simon Vouet, le musée présente sa superbe collection d'oeuvres graphiques de l'artiste datant de la période française.

Ce sont vingt cinq dessins autographes et neuf exécutés dans sont entourage qui feront l'objet d'un catalogue par Barbara Brejon de Lavergnée, spécialiste des dessins du XVIIe siécle français.

Cette exposition est reconnue d'intérêt national par le ministère de la Culture et de la Communication/Direction des musées de France.
> Voir le site du musée des Beaux-Arts de Nantes

Expo de Grete Stern à Besançon


Grete Stern,
Berlin - Buenos Aires
du 14 Nov. 08 au 26 Jan. 09
Au Musée d'Art et D'Archéologie
de Besançon

nella foto :Sueno n°5 : « Botella del mar », 1950, Idilio : « Los Suenos de inhibiciones » - Grete Stern - © IVAM


Comme Ilse Bing et Ellen Auerbach, la photographe allemande Grete Stern (Wuppertal1904-Buenos Aires 1999)
a connu le foisonnement des avant-gardes en Allemagne dans les années 1920 puis l’exil.

C’est la richesse de ce double héritage que nous voulons mettre en lumière dans l’exposition du Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie de Besançon : l’Allemagne du Bauhaus où Grete Stern intègre le langage de la modernité puis l’Argentine et le Buenos Aires cosmopolite de Borgès qu’elle découvre avec son époux, le photographe Horacio Coppola.
L’exposition rendra hommage à ce parcours original en présentant un ensemble exceptionnel d’œuvres réalisées entre 1923, date marquant ses débuts en Allemagne, et les années 1950, époque à laquelle elle connaît une grande activité en Argentine. Le projet rassemblera une centaine de photographies réalisées au sein du studio « ringl + pit » fondé avec Ellen Auerbach et lors de son exil argentin.

De l’esthétique Bauhaus de ses premiers travaux à l’inspiration surréaliste de la célèbre série « Sueños » (1948-1951) où Grete Stern reconstitue par photomontage pour une revue féminine, la théorie des rêves de Sigmund Freud, l’exposition offrira un parcours d’une grande richesse rendant justice à une photographe jusqu’alors peu connue en France.

Un catalogue illustré sera publié à cette occasion, incluant plusieurs essais originaux de spécialistes allemand, espagnol et français.
Cette exposition présentera sous un jour nouveau l’oeuvre de Grete Stern.
Après la présentation de la série Sueños à Arles en 1996 et à la Galerie 213 à Paris en 2002, cette manifestation sera la première exposition monographique consacrée à l’artiste en France.
A plusieurs reprises, le musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon a mis à l'honneur de grands photographes - Robert Doisneau, Jacques-Henri Lartigue - suscitant chaque fois l'enthousiasme renouvelé du public.
Le projet d'une exposition Grete Stern à Besançon s'inscrit dans cette lignée et se fait enfin l'écho de l'actualité artistique nationale, le Musée du Jeu de Paume préparant pour l'automne 2008 une exposition Lee Miller et le Centre Georges Pompidou envisageant à l'automne 2009 une exposition sur la photographie surréaliste.

Il Gran Galà Donna Italiana




Nasce il Gran Galà Donna Italiana!
Francesca Valenti e Giulia Quintavallequali le principali donne italiane di maggiore successo sono state premiate sabato 4 ottobre nell’incantevole cornice dell’Hotel Ville Montefiori sul Lago di Garda a Gardone Riviera (BS) in occasione della I edizione del Gran Galà Donna Italiana patrocinato dal Ministero alle Pari Opportunità.
Tra le premiate: Federica Balestrieri (conduttrice Pole Position di Rai Uno), Cinzia Th Torrini (regista della serie televisiva Mediaset Elisa di Rivombrosa), Laura Frati Gucci (Presidente Nazionale AIDDA), Pia Donata Berlucchi, Presidente dell’Associazione Le donne del vino, Claudia Borroni (migliore amica di Ale e Franz in Buona la prima), Maria Grazia Cavenaghi Smith, Direttore dell’ufficio di Milano del Parlamento Europeo e, nella categoria sportiva, Giulia Quintavalle, oro olimpico a Pechino 2008 e prima donna italiana a conquistare tale titolo, che ha reso omaggio alla manifestazione salendo sul palco con la medaglia d’oro.
Forte anche la partecipazione di aziende nazionali ed internazionali, tra cui lo stilista Mauro Gasperi, che ha vestito le presentatrici con un total look ricco di trasparenze, sovrapposizioni e dettagli raffinati, per celebrare le donne moderne, impegnate e autonome.
La Dott.ssa Francesca Valenti, ideatrice del progetto, ha dichiarato: “E’ stato un sincero onore poter valorizzare i percorsi delle donne di maggiore rilievo del panorama nazionale

L’interesse di tali donne per il Gran Galà Donna Italiana è la base su cui costruire collaborazioni e relazioni per una crescita della donna e allo stesso tempo fornire alle nuove generazioni un modello positivo di convivenza, impegno e successo.”

La Cité de la Musique expose Serge Gainsbourg


A l'heure où la popularité de Serge Gainsbourg ne cesse de grandir, la Cité de la musique à Paris consacre à partir de mardi une exposition-événement à cet "artiste total".
A l'heure où la popularité de Serge Gainsbourg ne cesse de grandir, des terres anglo-saxonnes à l'Asie, la Cité de la Musique à Paris salue son œuvre à compter de mardi 21 octobre.

"Les images, je les ai écrites, plaquées sur des symboles musicaux", disait-il.
L'exposition-événement, accompagnée d'un cycle de concerts et de projections de films, présente les facettes de cet "artiste total".
Cet hommage, rendu à l'auteur de "La Javanaise", n'avait pas de lien au départ avec les 80 ans qu'il aurait dû célébrer cette année, explique l'illustrateur sonore Frédéric Sanchez, commissaire de la manifestation, programmée jusqu'au 1er mars.
Puis, l'évidence a fait le titre de l'expo: "Gainsbourg 2008" ou un certain jeu de correspondance entre l'"importance" actuelle de l'artiste et un rappel de son année de naissance, après soustraction du double 0 (28), mais aussi de dates présentes dans sa musique, de "Ronsard 58" à "69 Année érotique".
Dans un voyage qui s'étend de 1958 à 1989, le visiteur suit l'oeuvre d'un homme qui n'a cessé d'établir des passerelles entre musiques, mots et images.
Il importait de montrer "toute la transversalité de l'artiste" qui, à l'instar de Bob Dylan, David Bowie ou Patti Smith, ne s'est pas cantonné à un domaine unique et a fait partie de ces "catalyseurs des époques", observe Frédéric Sanchez.
Cependant, "même si l'on parle cinéma, littérature, la finalité, c'est la musique", souligne-t-il, espérant amener ainsi tous les publics "à réécouter Serge Gainsbourg avec une autre oreille" grâce à la découverte de son travail artistique, sa "technique d'écriture" et la "force de sa formation classique": des éléments moins connus que sa vie privée, comme ses amours avec Jane Birkin, Brigitte Bardot et Bambou et les scandales autour de Gainsbarre, son double médiatique.
Pour déambuler dans l'univers "gainsbourien", Frédéric Sanchez a imaginé quatre périodes, dans un espace de 500m2 et d'où jaillissent 24 totems, fonctionnant comme autant de supports d'écrits, d'images fixes ou animées, auxquels s'ajoutent des manuscrits, des dessins et des objets, prêtés par des proches de l'artiste.
Sa fille Charlotte a notamment confié au musée la sculpture de Claude Lalanne,
"L'homme à tête de chou", élément fort du décor tapissé de noir du domicile de Gainsbourg, rue de Verneuil et source d'inspiration du concept-album du même nom, sorti en 1976.
En illustration sonore, plusieurs artistes ayant croisé Gainsbourg ont prêté leur voix à la lecture de textes et plus de 300 pochettes de disques ornent les murs d'un petit espace.
Sorte de labyrinthe à jeux de miroirs et en trois dimensions (mots, images, musiques), l'exposition s'ouvre sur la "période bleue" (1958-65), une expression de Gainsbourg pour qualifier la première partie de sa carrière, en allusion à Picasso et à la peinture, un "art majeur" auquel il s'était dans un premier temps destiné.

Du "bleu" au blues, cet espace permet d'évoquer ses parents, Olga et Joseph Ginsburg, la Russie qu'ils ont quittée, leur déracinement, sa naissance le 2 avril 1928 à Paris, ses débuts de pianiste dans des cabarets, cette vie qui l'a poussé à la musique et le choc de sa rencontre avec Boris Vian, l'agitateur touche-à-tout.

Dans ce dédale où les totems offrent quantité de flashes sur sa carrière, la deuxième période tourne autour des "idoles": les vedettes du yé-yé, comme France Gall, Françoise Hardy et des actrices, Brigitte Bardot, Anna Karina ou Valérie Lagrange, pour lesquelles Gainsbourg va composer de 1965 à 1969.

Suit "La Décadanse", un troisième espace-temps (1969-79) avec le scandale provoqué par la diffusion du sulfureux "Je t'aime moi non plus", interprété par Jane Birkin.

L'exposition insiste sur la naissance du couple en 1968, sur le tournage du film "Slogan" de Pierre Grimblat ou sur "L'histoire de Melody Nelson" (1971), un opus qui conte la relation fatale d'un homme mûr avec une jeune fille.
L'expression de Gainsbourg se radicalise à travers trois autres concept-albums, dont "Rock around the Bunker".
En plein mouvement punk, il remonte sur scène en 1978. "Ecce Homo" (1979-1989), l'ultime période, traite des années 1980, marquées par un coup d'éclat, la version reggae de "La Marseillaise" et par l'édition d'"Aux armes et caetera", née en Jamaïque.
Gainsbourg devient une réelle signature et en même temps naît Gainsbarre et ses frasques cathodiques.
Il joue de son personnage, tout en levant un voile pudique sur ses émotions lors de rares interviews-confessions.

Pour Frédéric Sanchez, "montrer Gainsbourg dans un musée, 17 ans après sa mort, c'est presque comme une suite logique à son propre parcours".

giovedì 16 ottobre 2008

Lego ha 50 anni!


Il 2008 segna il 50° anniversario della nascita dei Lego, i celebri mattoncini colorati che, a dispetto dell'età, sono attuali più che mai.

Tanto da invadere il campo dell'arte, della moda, del web, del design...

Per festeggiare i cinquant'anni del brand la Lego ha lanciato sul mercato la collezione ToyTastic. Immortalati come i piccoli personaggi PlayMobil ci sono vip e celebs: dai coniugi Beckham a Madonna, da Brad, Angelina e i gemelli ad Amy Winehouse.

Senza dimenticare Batman, Harry Potter, Indiana Jones, SpongeBob o Hello Kitty.

I Little Artists sono gli autori di Art Craziest Nation, rappresentazioni di famose opere d'arte e di artisti famosi attraverso i blocchi di Lego.

Anche in passerella trionfano i Lego. A Parigi, Jean-Charles de Castelbajac si è divertito a ricostruire abito e accessori ispirandosi ai mitici mattoncini.

Anche la Bibbia raccontata attraverso i personaggi PlayMobil della Lego? Come no! Basta cliccare sul sito The Brick Testament . Antico e Nuovo Testamento tutti da cliccare (e replicare?).


A Bocchignano, vicino a Roma, l'artista street Jan Vormann, nel 2007, si è dedicato al minuzioso lavoro di riparare le crepe nei muri di un intero paese usando le costruzioni Lego. L'occasione? il progetto di gruppo 20 Eventi (la rassegna di arte contemporanea organizzata ogni anno nel periodo estivo).

Roberto Saviano minacciato di morte


L’auteur du best-seller « Gomora », adapté au cinéma, envisage de quitter l’Italie après avoir reçu des menaces de mort.

Une enquête de police a confirmé que la mafia napolitaine voulait le tuer avant Noël, son livre ayant « fait trop de bruit ».

À 28 ans, l’écrivain, placé sous protection policière depuis 2006, rêve de goûter aux joies de la vie normale.

" Je veux une vie, je veux une maison. Je veux tomber amoureux et boire une bière en public. Je veux prendre le soleil et marcher sous la pluie et rencontrer sans peur ma mère " a-t-il confié à La Repubblica.

mercoledì 15 ottobre 2008

Borat perturba un defilé

Sacha Baron Cohen perturbe la fashion week à Milan
Les fashionistas italiennes n’en ont pas cru leurs yeux: alors que démarrait le défilé Agatha Ruiz de la Prada à Milan, un individu affublé d’une tenue invraisemblable s’est élancé sur le podium pour défiler aux côté des modèles, avant d’être violemment capturé et livré à la police. Le perturbateur n’est autre que Sacha Baron Cohen, qui après le triomphe de "Borat" récidive avec un nouveau documentaire dans lequel il se confronte au monde de la mode sous les traits du reporter autrichien efféminé Bruno.
Le film, intitulé "Bruno: un délicieux voyage en Amérique dans le but de mettre mal à l’aise les hétérosexuels en présence d’un homo étranger en t-shirt résille", est en cours de tournage.
Bruno a-t-il maintenant prévu de perturber la fashion week parisienne?
On attend avec impatience les prochains rebondissements de ce tournage à haut risque dans le milieu très fermé de la mode

martedì 14 ottobre 2008

Santagold, presto famosissima


Santogold, molto newyorkese,
vive nella Grande Mela e con essa divide la vocazione street e la cultura melting pot.

Ma guai a dirglielo!

Perché Santi, questo il suo vero nome, si sente diversa da tutto.

Il suo vero nome è Santi White, ha 32 anni ed è originaria di Philadelphia, sebbene ora viva a New York, Brooklyn per la precisione.

Il nome d’arte è in realtà il nomignolo che le era stato affibbiato da ragazzina quando indossava dei grandi orecchini d’oro personalizzati con il suo nome.

La chiave del suo successo? L'eclettismo.

Il suo album d’esordio, eponimo, va dal pop al dub, dalla new wave al punk rock ed electro, influenze diverse che generano un suono unico e davvero “nuovo”.

Il Compleanno di Dita


A Parigi per presentare la sua nuova linea di lingerie by Wonderbra, la regina delle showgirl,

Dita von Teese, ha festeggiato i suoi 36 anni tra velluti porpora, specchiere d'oro e fiumi di champagne.

A ricreare l'atmosfera da club privé chic in suo onore, all'interno del Le Milliardaire club, è stato il sontuoso allestimento del Fendi 'O', il rifugio vip-festaiolo itinerante della maison

lunedì 13 ottobre 2008

Festival of Festival a Bologna


Bologna ospiterà dal 6 al 9 novembre, nella prestigiosa location di Palazzo Re Enzo, la prima edizione di Festival of Festivals, ambizioso congresso dedicato al vivacissimo universo degli eventi culturali. Un settore percorso da grandi mutamenti e che sta dimostrando (nei numeri) un crescente potenziale e un’attenzione da parte del pubblico e dei media senza precedenti.

Organizzatori, enti promotori e patrocinanti, aziende, istituzioni culturali, professionisti, formatori e studenti, avranno l’occasione di incontrarsi per confrontare le esperienze, condividere le scelte strategiche, definire gli obiettivi e progettare gli sviluppi di quello che Festival of Festivals propone, per la prima volta, di considerare il “Settore degli Eventi Culturali”.

“L’esigenza da cui nasce il congresso – dichiara Andrea Romeo, general manager di FoF - è quella di mettere in relazione figure professionali che operano in diverse aree culturali, cinema, musica, culture, teatro e scienze, creando occasioni di scambio e confronto in una realtà, come quella degli eventi, in costante evoluzione e baciata da una crescita in completa controtendenza”.

Festival of Festivals si inaugurerà alla presenza delle istituzioni giovedì 6 novembre, con un esclusivo cocktail di benvenuto offerto da FIAT Group (main sponsor dell’evento) per gli ospiti, gli accreditati, e i numerosi fornitori ufficiali, nella meravigliosa Sala del Podestà di Palazzo Re Enzo.

I lavori del congresso si apriranno invece ufficialmente venerdì 7 novembre alle 11.30 con la conferenza di Giovanna Maggioni - Direttore Generale dell’UPA (Utenti Pubblicità Associati) – sulle prospettive di investimenti privati nell’ambito degli eventi culturali live.

Nel pomeriggio, poi, sarà lo stesso FIAT Group - che dell’evento ha sposato la visione sin dalla nascita – ad intervenire su nuove visioni e nuovi valori delle sponsorship e partnership delle aziende con gli eventi culturali.

Festival of Festivals proporrà inoltre cinque importanti conferenze di presentazione dedicate ad altrettanti grandi eventi internazionalmente riconosciuti per l’eccellenza nella loro area tematica: la Mostra Internazionale d’Arte Cinematografica di Venezia, il Sziget Festival di Budapest (Musica), Festivaletteratura di Mantova (Culture), il Kunsten Festivaldesarts di Bruxelles (Teatro), il Festival della Scienza di Genova.