domenica 1 marzo 2015

Les collections du Musée des Beaux Arts de Reims






Fondée en 1794 à partir des saisies révolutionnaires opérées sur les biens des émigrés et des collectivités religieuses, la collection du musée des Beaux Arts de Reims fut placée à l’Hôtel de Ville. 


Durant le XIXe siècle, dons et legs de collectionneurs privés, dépôts de l’Etat et achats de la Ville complétèrent progressivement ce fonds. 




La Ville de Reims acquit, en 1908, le grand séminaire désaffecté installé dans les bâtiments de l’ancienne abbaye Saint-Denis, pour y transférer le musée en 1913 ; c’est cet emplacement qu’il occupe encore aujourd’hui et qui correspond en partie au palais abbatial du XVIIIe siècle, remanié au XIXe siècle.

Le musée des Beaux-arts de la Ville de Reims conserve l’une des plus prestigieuses collections des musées de France établis en région. 



Il illustre ainsi les plus grands mouvements artistiques d’une période allant du XVIe au XXe siècle, à travers peintures, sculptures et aussi mobiliers et objets d’art. 

Trop à l’étroit dans le bâtiment actuel, le musée doit déménager dans une architecture conçue par David Chipperfield, à côté des Halles du Boulingrin.


Les collections :


Rez-de-chaussée 

Salle Gérard - XXe siècle

Enrichie grâce à la politique d’acquisitions du musée, elle comporte quatre sections qui entretiennent, pour trois d’entre elles, un riche écho avec le patrimoine rémois. 
Une place importante est donnée à la multiplicité des techniques artistiques : peinture, sculpture, dessin… 


Les prémices de la modernité : avec Paul Gauguin, les Nabis et les symbolistes (Edouard Vuillard…) ; le fauvisme (Henri Matisse, Albert Marquet…) ; le cubisme (Louis Marcoussis, André Lhote).

L’Art déco : Paul Jouve, Jean Dunand, François-Louis Schmied…
 
Le dadaïsme, le Grand Jeu et le surréalisme 
Georges Ribemont-Dessaignes, Joseph Sima, Artür Harfaux, Maurice Henry sont les points forts de cette collection. 
Dans cette section, un espace dévolu à Maurice Henry, met en valeur toutes les facettes de sa démarche. 
Une partie de son fonds d’atelier a été acquis récemment.

L’Abstraction après 1945 : Vieira da Silva, Michel Seuphor, Serge Charchoune, Karl-Jean Longuet… 

Chagall, la chute d'Icare
 

Des dépôts exceptionnels : des œuvres sont déposées par le Musée National d’Art Moderne, Centre Pompidou / CCI : Joseph Sima, Midi ; Jindrich Styrsky, Paysage d’échecs ; Serge Charchoune, Mozart divertimento K.138.
Pour parfaire la section Art déco ont été déposées deux œuvres monumentales de François-Louis Schmied, L’Idole et L’Ile Enchantée, par le Mobilier National.
Depuis l'été 2013, "la salle à manger" d'Emile Gallé est présentée dans un espace spécifique dédié à Henry Vasnier, rappelant l'importance de l'Art nouveau pour ce  grand collectionneur et donateur rémois qui militait à la fin du XIXe siècle pour un nouveau musée.   
Dans l'escalier d'honneur
Un série de grands formats religieux restaurés, de Jean et Jacques Hélart, est présentée au public et mise en valeur par les couleurs de l'escalier.

 

Premier étage


Salle Monthelon - Grands formats - XVe-XXe siècles

En attendant un nouveau musée, des peintures de grandes institutions nationales et régionales sont exposées et préfigurent la future salle XXe siècle.
Ainsi, du musée national d’Art moderne, sont présentées dans cette salle : L'Apocalypse de Tsuguharu Léonard Foujita, une œuvre impressionnante de Matta, Trans-apparence du Verbe, des peintures de Léon Zack, Composition, d’André Masson, Marécage et de Raoul Ubac, L’Arrière-saison
La plupart de ces œuvres des collections nationales rappellent la présence incontournable à Reims de l’art de l’entre-deux-guerres et de l’art abstrait des années soixante.  De plus, Reims est une ville essentielle pour Tsuguharu Léonard Foujita qui, après avoir été membre de l’Ecole de Paris durant les années vingt, privilégie l’art sacré et se convertit au catholicisme en 1959 en la cathédrale de Reims. 

Dans ce cadre, sont présentées trois œuvres du musée d’Art moderne de la Ville de Paris - La Crucifixion, La Descente de croix et L’Apocalypse, illustrant la fin de sa carrière.
Concernant les Années folles et l’Ecole de Paris, deux diptyques monumentaux composés de quatre « grands fonds blancs » déposés par le Conseil général de l’Essonne - son manifeste - mettent en lumière sa capacité à hybrider l’histoire européenne de l’art, la tradition japonaise et les années Art déco. 
A voir aussi, sa chapelle Notre-Dame-de-la-Paix qu’il offre en 1966 à la ville et qui se révèle être son testament artistique.
Les toiles peintes des XVe et XVIe siècles exposées initialement dans cette salle vont faire l’objet d’un chantier de restauration exceptionnel et minutieux qui  a conduit la Direction du Musée à les décrocher. 

Seule L'Indienne de l’artiste contemporain Gérard Garouste réalisée en vis-à-vis de ces toiles est présentée. 
Cette œuvre est déposée par le Fonds régional d’Art contemporain Champagne Ardenne dans le cadre d’un partenariat destiné à développer le dialogue art ancien/art contemporain. 

Enfin, l’espace dévolu initialement aux treize dessins de Cranach L’Ancien et Le Jeune (tous décrochés pour restauration) présente aujourd’hui une sélection de vitraux du XXe siècle achetés par la ville de Reims avec le soutien du Fonds régional d’acquisition des musées (FRAM) ou déposés par le FNAC / CNAP. 

 

Ce fonds constituera l’une des sections originales du futur musée. 

Les portraits des Cranach seront quant à eux restaurés et remis en valeur.

 

venerdì 27 febbraio 2015

Il nuovo idolo dei teenager, Ed Sheeran



Edward Christopher Sheeran è nato Halifax il 17 febbraio 1991.
Il cantautore britannico è diventato in poco tempo l'idolo delle teenager e riempie da solo lo stadio di Wembley !

Capelli rossi, lentiggini, sguardo timido, abbigliamento simil-grunge anni Novanta, Sheeran è assai diverso dai canoni estetici dei suoi coetanei Justin Bieber e One Direction e, per fortuna, questa diversità si riflette anche nella sua musica
Un pop di qualità, con influenze folk, soul, r&b e hip hop, nobilitato spesso da testi personali e profondi.


Dopo l’exploit dell’album del 2011, che ha venduto oltre due milioni di copie aggiudicandosi sei dischi di platino, Ed Sheeran ha aspettato  tre anni per la seconda uscita, X,

Accanto ai suoi storici collaboratori Johnny McDaid e Jake Gosling, Sheeran si è circondato di produttori d’eccezione come Rick Rubin, Pharrell Williams, Benny Blanco e Jeff Bhasker, che hanno aggiunto nuovi colori alla sua musica.

sabato 21 febbraio 2015

Una granita di limone al Bar Vitelli di Savoca !



Per giocare al mafioso andiamo in Sicilia, a Savoca, un tipico borgo del Messinese famoso per aver fatto da cornice ad uno dei più grandi capolavori cinematografici di sempre: Il Padrino.

Il settecentesco Palazzo Trimarchi ospita ancora la famosissima insegna del Bar Vitelli, luogo in cui fu girata la scena durante la quale un giovane Michael Corleone chiedeva (con l’antica “parrata”) la mano dell’amata Apollonia Vitelli al padre. 



Il Bar Vitelli, così chiamato proprio dal regista Francis Ford Coppola, è rimasto tale e quale a come lo ricordate ne "Il Padrino", ed è continuamente assediato dai turisti che fanno a gara per sedersi al tavolo occupato da Al Pacino, durante la famosa scena della “parrata”. 

Nel famoso Bar Vitelli si possono degustare le squisite granite di limone artigianali e lo Zibibbo, il tipico vino della regione (di cui Coppola  andava pazzo), è possibile fare una foto ricordo proprio sotto l’insegna.

Il giro per le vie di Savoca, attraverso le scene de “Il Padrino”, prosegue poi con la visita alla Chiesa di San Nicolò (chiamata nel film "Santa Lucia"), che fa da sfondo alle nozze tra Michael e la giovane Apollonia Vitelli.


Altre scene del film “Il Padrino” furono poi girate altrove, a Fiumefreddo di Sicilia, dove si trova “Il Castello degli Schiavi”, la villa dove andarono ad abitare Michael e Apollonia, riutilizzata poi anche per alcune scene della 2° e della 3° parte, e ad Acireale

A Forza d’Agrò vennero riprese le scene in cui il giovane Corleone e i suoi scagnozzi girano per le strade di Corleone, e infine a Motta Camastra (ME), la scena in cui Michael e i suoi sbirri arriva a Corleone.

Le bellezze di Savoca non si limitano ai luoghi legati al film “Il Padrino”.


Il suo centro storico ospita ancora i ruderi del Castello di Pantefur, appartenuto ai suoi fondatori, i resti della mura e l’antica porta della città. 
Savoca è un villaggio unico che abbina alla bellezza del borgo le particolari refenze cinematografiche. 



La très très longue et insipide cerémonie des Cesar 2015




Le cinéma français s'est donné rendez-vous ce soir au théâtre du Châtelet à Paris pour la 40ème cérémonie des César. 
Présidée par Dany Boon, la soirée anniversaire sera animée par Edouard Baer et retransmise en direct et en clair par Canal+. 


Au cours de la soirée, un César d'honneur sera remis à Sean Penn et un hommage sera rendu à Alain Resnais, décédé en mars dernier.
 
Avec respectivement 10, 9 et 8 nominations, "Saint Laurent" de Bertrand Bonello, "Les Combattants" de Thomas Cailley et "Timbuktu" d'Abderrahmane Sissako sont les trois favoris pour succéder à "Les Garçons et Guillaume, à table !" de Guillaume Gallienne, le grand gagnant de la précédente édition. 
Rendez-vous dès 20h50 pour découvrir en direct le palmarès des César 2015.
 


20h30 : Dans un "Grand Journal" spécial, en direct, Antoine de Caunes fait monter la pression. 
Laurent Weil enchaine les interviews sur le tapis rouge. 
En attendant que ca commence, voici la liste complète des nominations.
20h40 : Sean Penn arrive au théâtre du Châtelet avec Charlize Theron. Chez nous, c'est moins glam' : nos sushis ne sont pas encore livrés mais nos bières sont décapsulées !
21h00 : Générique, c'est parti ! Edouard Baer est le premier à entrer en scène. Il fait un speech dégoulinant en parlant d'Armentières pour introduire Dany Boon qui accompagne le speech est au piano.
21h05 : Le président va parler. "J'ai le privilège de présider cette soirée", di-il en rappelant qu'il est toujours rentré bredouille de la cérémonie de prix malgré trois nominations. "Trois fois rien, c'est déjà quelque chose. Etre nominé c'est l'avoir presque, mais pas. NO(César)-Miné(de pas l'avoir)", s'amuse-t-il. 
Il feint de ressortir le speech qu'il avait préparé les fois dernières. Il parle de la polémique lancée par le distributeur Vincent Maraval sur le salaires des acteurs, et ressort des photos de vacances passées avec lui. 
Dany Boon rend hommage au succès du cinéma français qui va bien, à tous les cinémas : les comédies comme les films d'auteur. "Longue vie au cinéma français", clame-t-il avant de déclarer ouverte la soirée.
 
21h12 : Edouard Baer lance une soirée "de neuf heures", salue Jean Rochefort et les nombreux belges. Il accueille Charlize Theron et se jette sur elle pour l'embrasser.
 
21h14 : Avant de remettre le César de l'Espoir féminin, on revoit les anciennes actrices qui ont reçu ce prix. Cécile de France et Cédric Klapisch viennent remettre le prix. 
Elle essaye de traduire ce que dit le réalisateur, leur sketch est plutôt marrant ! 
Sans surprise c'est Louane Emera qui emporte le prix pour la comédie "La Famille Bélier" ! 
L'ado est très, très émue. "Merci d'avoir voté pour moi, je vais tout faire pour ne pas vous décevoir", dit-elle avant de remercier l'équipe du film et sa famille.
 
21h24 : Edouard Baer, plus lunaire que jamais, est très drôle. 
Alex Lutz et Stéphane de Groodt viennent remettre le César du meilleur son
Ils charrient Fleur Pellerin ("la fine Fleur de la politique"). C'est le film "Timbuktu", l'un des favoris de la soirée, qui est récompensé. Les discours des deux gagnants sont beaucoup trop longs... C'est le César de la meilleure photographie pour Sofian El Fani de nouveau pour "Timbuktu", qui compte donc déjà deux prix. "Vive l'Afrique", dit le lauréat.
 
21h38 : Zabou Breitman et Pierre Deladonchamps viennent remettre le César du meilleur premier film. Le jeune comédien, récompensé l'année dernière pour "L'Inconnu du lac", chambre l'âge de la comédienne. 
"En attendant, moi, je ne me fais pas bronzer la bite dans des films de pédés !", lui répond son aînée. La meilleure vanne de la soirée. 
Sans surprise, c'est "Les Combattants" de Thomas Cailley qui l'emporte.
 


21h46 : Un magnéto rend hommage aux familles des nommés, parties en vacances sans leurs illustres parents. Des enfants abandonnés au sport d'hiver. C'est un peu long mais amusant et original ! "Non Madame Lacoste, il ne viendra pas déjeuner dimanche le petit Vincent !", enchaîne MC Baer.
 
21h50 : Meilleur acteur dans un second rôle. Géraldine Nakache et Leïla Bekhti entrent en faisant la prestation de Beyonce sur "Who run the world". Pas de speech, elles sont trop essoufflées. Le prix va à Reda Kateb pour pour "Hippocrate".
21h57 : Etienne Daho et Cécile Cassel viennent remettre le prix de la meilleure musique. Ils chantent avant d'ouvrir l'enveloppe. Le prix revient à Amine Bouhafa pour "Timbuktu". Trois prix déjà pour le film d'Abderrahmane Sissako. Ca sent la razzia !
 

22h03 : Magnéto avec tous les films primés depuis 40 ans. Ouf, on en a vu la majorité ! Matthieu Chedid entre sur scène pour reprendre "L'amour en fuite" une chanson écrite par Alain Souchon pour François Truffaut. 
Il est rejoint par Ibrahim Maalouf qui était nommé ce soir. "Allez on va mettre un peu de dingue ! On va essayer de montrer ce qu'est le cinéma français", dit le chanteur entre deux couplets. La salle se lève.
 
22h14 : On enchaîne avec le César du meilleur film d'animation. Le réalisateur et dessinateur Joann Sfar rend hommage à "Charlie Hebdo". Les deux prix reviennent à "Les Petits Cailloux" de Chloé Mazlo en court-métrage et, pour les longs, au mignon "Minuscule - La vallée des fourmis perdues" de Thomas Szabo et Hélène Giraud.
22h24 : Julie Gayet et Denis Podalydès, entrent en scène. "Un couple, à la scène comme à la ville", dit Edouard Baer pour introduire l'illustre remettante du César du meilleur espoir masculin qui revient à Kévin Azaïs pour "Les Combattants". Le jeune acteur avoue ne pas avoir préparé de speech. Il remercie Denis Podalydès qui jouait dans son premier film mais celui-ci ne semble pas s'en souvenir ! "Merde à tout le reste des nommés", lance-t-il très spontané avant de quitter la scène.
 

22h30 : Un "Casting(s)" imagine des auditions pour un biopic sur Jean Paul Gaultier. Face à son partanaire Éric Elmosnino, Pierre Niney s'amuse des deux films sur "Saint-Laurent". Le vrai Jean-Paul Gaultier fait une apparition dans ce sketch un peu long, avant de venir, en slip, avec Marilou Berry, en culotte, remettre le prix des meilleurs costumes. Il revient à Anaïs Romand pour "Saint Laurent", qui a dû réinventer les œuvres du couturier puisque Pierre Bergé a refusé au film l'accès aux archives de son ancien compagnon.

22h39 : Comme Valérie Lemercier avant lui, Edouard Baer tente de reprendre la danse de "Rabbi Jacob". Il est interrompu au bout de 20 secondes. "Il y a deux Saint Laurent, on peut refaire les choses...", s'amuse le comédien. La blague fait un bide... On enchaîne vite sur le César du scénario original qui revient à Abderrahmane Sissako et Kessen Tall pour "Timbuktu". "Nous avions un scénario faible mais le désir était fort", lance le réalisateur.
22h49 : Séquence in mémoriam.  
Jacques Chancel, Marie Dubois, Roger Hanin et Alain Resnais. Des extraits de "On connait la chanson" sont diffusés. Quelques-uns de ses acteurs fétiches lui rendent hommage. 
Lambert Wilson, accompagneé par Sandrine Kimberlain et Pierre Arditi chante. Dans la salle, sa compagne Sabine Azéma est très émue, elle pleure sous le regard des trois acteurs..je trouve la scène un peu indécente.
22h56 : Place aux décors qui revient à Thierry Flamand pour "La Belle et la Bête". Il dénonce le fait que les grosses productions françaises soient tournées à l'étranger pour des raisons fiscales. "Je sais, on a tourné Astérix en Hongrie, j'ai jamais compris pourquoi", lance Edouard Baer. 
Malgré cela, les remerciements sont beaucoup trop longs... Le César du meilleur montage revient à Nadia Ben Rachid pour "Timbuktu".
23h08 : Avant le César du meilleur documentaire, Baer improvise une scène (pas terrible) avec Jean Rochefort, Romain Duris, Pierre Niney, Guillaume Gallienne et la ministre. Le gagnant est "Le Sel de la Terre" de Wim Wenders et Juliano Ribeiro Salgado.
23h20 : Marion Cotillard vient remettre le César d'honneur de Sean Penn. Longue standing ovation. "Sean, la France vous aime", lui assure l'actrice qui se dit "fan" de son travail. L'acteur semble ému de ce long hommage.
23h42 : César du court-métrage à "La femme de Rio" d'Emma Luchini et Nicolas Rey. Ils font un très court discours.
23h48 : On remet rapidement le César de la meilleure actrice dans un second rôle à Kristen Stewart pour "Sils Maria" ! La jeune américaine monte sur scène très naturelle et remercie sa partenaire Juliette Binoche.
23h56 : Nathalie Baye et Guillaume Canet pour le meilleur réalisateur qui revient à... Abderrahmane Sissako pour "Timbuktu", qui décroche son sixième prix de la soirée. Il remercie la France de l'avoir accueilli et sa productrice d'avoir pris des risques en finançant ce film. "La France est un pays magnifique car il est capable de se lever face à l'horreur", a déclaré le cinéaste.
0h11 : Pour le film étranger, c'est "Mommy" de Xavier Dolan qui l'emporte ! Le jeune homme a écrit une lettre qui est lue par sa comédienne Suzanne Clément.
0h20 : Les choses sérieuses continuent. Juliette Binoche et Kristen Stewart remettent le César du meilleur acteur. Il revient à Pierre Niney pour "Yves Saint Laurent" qui a donc été préféré à Gaspard Ulliel. L'heureux élu tient à saluer son collègue et son fair-play.
0h30 : César de la meilleure adaptation pour Cyril Gely et Volker Schlöndorff pour "Diplomatie".
0h39 : Surprise chez les actrices ! C'est Adèle Haenel qui s'impose pour "Les Combattants" ! La jeune actrice, déjà primée l'an dernier, bat ainsi Juliette Binoche, Catherine Deneuve, Marion Cotillard et Karin Viard ! "Ca fait vraiment un drôle d'effet", confie la jeune comédienne très naturelle !
0h46 : Logiquement, le César du meilleur film revient à "Timbuktu" d'Abderrahmane Sissako. La productrice Sylvie Pialat remercie son équipe... Le film remporte donc 7 César en tout ! C'est le grand gagnant de la soirée.
0h50 : C'est fini ! 
C'était beaucoup, beaucoup, beaucoup trop long ! 



giovedì 19 febbraio 2015

Alessandro Volta il grande scienziato comasco

 
Alessandro Volta, il fisico italiano reso immortale dall'invenzione della pila e da alcune altre straordinarie scoperte 270 anni fa. 

Ieri 18 febbraio 2015 si festeggiava il 270° anniversario della nascita di Alessandro Volta. 

Ce l'ha ricordato anche Google, che ha dedicato un doodle formato pila:  al celebre fisico italiano, passato alla storia soprattutto per le sue scoperte nel campo dell'elettricità e il cui nome, non a caso, ha ispirato anche un'unità di misura, il Volt.


Il conte Alessandro Giuseppe Antonio Anastasio Volta nasce a Como il 18 febbraio 1745, da una famiglia benestante. 
In giovinezza studia retorica e filosofia presso i gesuiti, ma nel 1761, quando entra nel Regio Seminario Benzi di Como, fa amicizia con il canonico Giulio Cesare Gattoni, a sua volta fisico, che gli trasmette la passione per le materie scientifiche. 
Naufraga così definitivamente il sogno dei genitori di vederlo diventare sacerdote, mentre l'umanità riceve in cambio un grande scienziato.


Alla soglia dei 50 anni Alessandro Volta vanta già uno straordinario curriculum scientifico. 
Oltre ad aver scritto diverse memorie e lettere che hanno rivoluzionato le conoscenze dell'epoca sui fenomeni elettrici, ha infatti realizzato alcune invenzioni molto rilevanti in materia, tra cui l'elettroforo perpetuo, un generatore elettrostatico capace di accumulare una modesta quantità di carica elettrica in modo discontinuo, e il condensatore, che permette di accumulare energia elettrica tenendo separate cariche elettrostatiche. 
Il meglio deve però ancora venire.

All'inizio del 1800 vede la luce un'invenzione sui cui Alessandro Volta stava lavorando da tempo: la pila, un antenato della batteria elettrica, che genera una corrente elettrica costante. 
Partendo dalle teorie di Luigi Galvani, che dagli esperimenti sulle rane aveva ipotizzato l'esistenza di un "fluido elettrico animale", Volta realizza una batteria alternando dei dischi di zinco e rame con del cartone imbevuto di salamoia. 
Il fenomeno alla base del funzionamento della pila voltaica, per cui tra due conduttori metallici diversi posti a contatto si stabilisce una piccola differenza di potenziale, ha preso il nome di "effetto Volta".


L'annuncio dell'invenzione della pila, avviene nel 1801 presso la Royal Society di Londra, rendendolo celebre in tutto il mondo. 

Tra le tante onorificenze ricevute, nel 1805  Napoleone lo nomina Cavaliere della Legion d'onore.



Anche se molti lo conoscono solo per la pila, è stato Alessandro Volta a scoprire l’origine del gas metano.

Nell’autunno del 1776, padre Carlo Giuseppe Campi, dell’ordine dei Somaschi, nota una sorgente di "acqua infiammabile" nelle acque stagnanti di San Colombano al Lambro (Mi) e prega Volta di studiarla per rivelarne la natura. 
Lo scienziato non può andare nella Bassa Lodigiana, ma lavora di cervello: questa aria viene prodotta all’interno delle acque pantanose e quindi sospetta che si tratti di un evento comune a tutte le paludi.

L'intuizione arriva quando Volta è in vacanza ad Angera, sulla sponda lombarda del lago Maggiore: è qui che le sue supposizioni trovano conferma.

Raccoglie l’aria prodotta in un canneto, tra laghi e stagni, dove riposano i resti di vegetali e di animali putrefatti, dimostrando che il gas non è un prodotto di origine minerale, ma organica.

Volta ribattezza questo gas "aria infiammabile nativa delle paludi", poi diventato noto come metano. 
In una delle sue lettere suggerisce di sostituire l’uso dell’olio come combustibile per le lampade con il gas delle paludi.



Un monumento a Como per commemorare Volta, l'orgoglio della città.

La Fontana monumentale venne commissionata dal Comune di Como per riqualificare uno dei luoghi d'ingresso alla città, piazzale Camerlata già allora transitata da molti veicoli in quattro direzioni di marcia. 
I progettisti, l'architetto Cesare Cattaneo e il pittore Mario Radice, data la destinazione urbanistica del monumento, idearono tale combinazione di anelli e di sfere ispirandosi alla pila di Alessandro Volta. 
110 metri quadrati di marciapiede in ghiaietto circondano il prato, intersecato da una passerella. 
Due vasche con zampillo di diversa misura sull'area erbosa, continuano il motivo del cerchio su cui tutto il complesso sviluppa volumi e linee. 
Quattro anelli si protendono a sbalzo, si susseguono fino a nove metri, si alternano a quattro sfere e fronteggiano un quinto più piccolo, verticale e diametralmente opposto. 

Tutti gli elementi insistono sull'inverosimile staticità assicurata da un traliccio metallico, da un pilastro che attraversa le sfere e da quattro mensole anulari. 
La base che disegna - tra il prato e la ghiaia - una vasta area piatta, e la sospensione dell'enorme peso nel vuoto, sono i tratti di questo ardito compendio di scultura e architettura.

Woinic le colosse des Ardennes !



Woinic est le plus grand sanglier du monde et il fait figure, aujourd'hui, d'emblème incontesté du département des Ardennes



La sculpture de l'Ardennais Eric Sleziak, installée sur une aire d'autoroute de l'A34 dans la commune de Saulces-Monclin, entre Rethel et Charleville-Mézières, mesure 8,5 mètres de haut, 5 mètres de large et 14 mètres de long pour un poids de 50 tonnes. 


Monté sur une plate-forme pivotante sur fond de collines et de forêts, ce sanglier géant représente une halte étonnante et inoubliable, notamment pour les plus petits, aux portes des Ardennes françaises.

Réalisé par le sculpteur ardennais Eric Sleziak entre le 1er janvier 1983 et le 18 décembre 1993, il s'agit d'une œuvre monumentale en petits carrés de fer soudés (10 cm × 10 cm) entre eux.  

Onze années et 12 000 heures de travail furent nécessaire à sa réalisation, ainsi que 430 bobines de fil et 325 bouteilles de gaz.

Woinic è la contraction de Woidouche et Nicole, les prénoms des parents du sculpteur.