venerdì 27 marzo 2009

Hussein Chalayan a Londra




From fashion and back: Hussein Chalayan in UK

Dal 22 gennaio al 17 maggio 09 lo stilista di origini turco-cipriote, famoso per le sue ardite contaminazioni tra moda e alta tecnologia (e da un anno direttore creativo di Puma), viene celebrato per la prima voltanel Regno Unito.
Con una grande retrospettiva al Design Museum di Londra.
Hussein Chalayan, designer, filosofo e architetto
A Londra, una mostra rende il dovuto omaggio al grande stilistasfuggito ai dogmi del fashion-business
38 anni, nato a Nicosia, Cipro, ma trasferitosi in Inghilterra da bambino, Hussein Chalayan non ama essere etichettato. Che è un affermato designer di moda si può dire, e anche forte. "Miglior designer inglese dell'anno" per ben due volte consecutive (1999 e 2000), nel 2006 ha vinto un MBE per il servizio reso all'industria della moda.
Ma non chiamatelo "outsider". E dimenticatevi dell'appellativo "concettuale".
Nonostante le sue creazioni siano strettamente legate a tematiche politiche e sociali (tanto che è anche autore di cortometraggi come Absent Presence, con Tilda Swinton, con cui ha rappresentato la Turchia alla 51esima Biennale di Venezia), Chalayan infatti non si definisce né "profondo" né "artistico".
Ha semplicemente un cervello che usa, molto bene, per creare idee.
Che si indossano.
Bisogna ricordarselo, visitando la prima mostra che l'Inghilterra gli dedica. Perché il tavolo/gonna di legno che ha presentato nel 2000 (dalla serie Afterwords) è uno spettacolo, così come Airborne che applica ai tessuti la tecnologia d'avanguardia di 15.000 luci LED combinate a cristalli Swarovsky e il vestito "Readings" che proietta con 200 luci laser semoventi il sogno-realtà di una moda fantascienza.
Ma il direttore artistico di Puma (dal Gennaio 2008) è capace anche di capi basic (che proprio basic non sono mai) e di deliziosi abiti da cocktail nero pece di una semplicità rara e personalissima, così difficile da trovare in altri stilisti che un modello è stato indossato pochi mesi fa da Jennifer Connelly al Late Show with David Letterman.
Con circa 35 vestiti il Design Museum di Londra offre uno spaccato del mondo di Chalayan che è molto più di una sfilata di moda.
È fatto di architettura, design, filosofia, antropologia, scienza e tecnologia e ha come cardine uno studio quasi maniacale del corpo femminile e un utilizzo magistrale dei materiali e delle forme con cui Hussein sperimenta.
Hussein ChalayanFrom fashion and back
Fino al 17 Maggio 2009
Design Museum Shad Thames, London SE1 2YD
From fashion and back 22 gennaio - 17 maggio 2009 Design MuseumLondra

L'expo TAG au Grand Palais


L'Art de rue au musée : les backstage de l'exposition TAG
L’exposition T.A.G. au Grand Palais sacre jusqu’au 26 avril 2009 les Graffs et les Tags.

L’occasion de revoir quelques clichés en présence de leurs artistes.
La vocation de tagueur nait vers onze, treize ans, d’un besoin égocentrique d’expression, une nécessité d’exister, de parler.

Leur vie du début n’est guère différente de celle des autres artistes.

Il faut d’abord connaître les codes, les légendes, les courants, l’histoire en un mot.

Le parcours ensuite dépend de chacun. « Si t’as de bonnes statistiques, tu continues » : le tagueur joue au chat et la souris avec les représentants de l’ordre.
Hors la loi, ils le sont la plupart du temps. Certes ! « Tout comme celui qui roule sur l’autoroute plus vite que les autres ! »

Mais ce sont aussi les conditions qui veulent ça. On fait des terrains de basket, on ne dresse pas de murs à taguer.

Les sanctions augmentent pour les récidivistes. De fait, certains abandonnent.
A contrario, d’autres deviennent des légendes. Une légende « c’est le mec qui te tue. A chaque fois, tu vas à gauche, à droite, tu vois son nom ». Une légende se place aux bons endroits, sur des surfaces inédites, sans compter le talent artistique véritable qui justifie cette consécration au sein d’un grand musée.

A ce sujet, lorsqu’une blogueuse, Chloé, présente au vernissage, se demande si une exposition sur l’art des rues ne va pas à l’encontre des principes mêmes du tagueur, la réponse est simple : « tout ça fait partie des arts picturaux qu’on le veuille ou non, mais c’est vrai, c’est une commande».

La logique de création n’a pas été la même. Ils se sont retrouvés devant des toiles blanches à remplir, alors que leurs travaux habituels obéissent à une logique : « on repère les lieux. On part en mission ».

Mais le résultat n’entre pas dans une galerie. Il faudrait pouvoir décrocher des pans de mur de deux mètres sur quatre pour s’offrir son graff.
Aujourd’hui, les conditions d’exposition étant uniques et inhabituelles, les tagueurs veulent se montrer critiques sur T.A.G : « la bande sonore est faible » fait remarquer l’un d’entre eux. « Dans la vie, le bruit des bombes de peinture, c’est quelque chose… ».

Un jugement d’esthète, voire nostalgique, qui révèle une sagesse acquise avec l’âge. En effet, certains atteignent ici « the fame », la célébrité, parce qu’on parle de leur travail comme d’une extension d’eux-mêmes.

Après avoir été, pour certains convoités par les marques de streetware, ils sont au Grand Palais : « l’establishment de la reconnaissance de l’art » précise Dize. On pourra toujours se demander si ceux qui débutent aujourd’hui seront des légendes demain, en peignant sur des murs alloués par la mairie.

mercoledì 25 marzo 2009

http://la-presse-people.blogspot.com

Chaussures de rêves







Cet été, les souliers ne sont pas prêts de passer inaperçus !




Au programme, cambrures de rêve, formes délirantes et détails bijoux.
De véritables œuvres d’art qu’on ne se lasse pas de contempler… et de porter

Sandale en satin et perles nacre
Gianvito Rossi
750 €
Sandale à talon en satin rose et cuir mauve bijoux fleur en email et strass lanière cheville façon ballerines
Diego Dolcini
950 €

Sandale noire lézard, talon en mousseline de soie
Victor & Rolf
563 €

Isabelle Adjani dans "la journée de la jupe"




Photo d'une scène du film
Photo de l'affiche du film

La journée de la jupe", qui sort mercredi en salles, raconte à la manière d'une grande tragédie classique comment une professeur de collège prend un jour en otage ses élèves.

Sur un thème souvent exploré -- la violence ordinaire à laquelle sont confrontés quotidiennement les enseignants de banlieues --, le réalisateur Jean-Paul Lilienfeld a bâti un scénario d'une remarquable intensité, servi notamment par deux acteurs au mieux de leur talent, Isabelle Adjani et Denis Podalydès.

Unité de temps, unité de lieu, unité d'action. L'histoire se concentre dans la confrontation d'un professeur de français, Sonia Bergerac (Isabelle Adjani) et ses élèves, enfermés pour un huis-clos dramatique dans une salle de spectacle, au sous-sol d'un collège.

Un peu malgré elle, Sonia Bergerac, poussée à bout par l'insolence et le mépris de ses élèves, les prend en otages, revolver au poing. A l'extérieur, les forces spéciales de la police ont pris position et tentent de résoudre le problème, sans effusion de sang.

Isabelle Adjani épouse ici à la perfection le rôle d'une enseignante surmenée, déprimée par la départ de son mari, en révolte contre des adolescents qu'elle aime pourtant profondément et dont elle comprend les angoisses.

"Le plus important était de faire exister l'authenticité des relations entre ce prof et ses élèves. C'était capital pour la crédibilité du film, pour la justesse du ton", déclare-t-elle.

On savourera la scène étonnante où elle braque son revolver sur la tête d'un jeune beur arrogant pour lui extorquer...le vrai nom de Molière, Jean-Baptiste Poquelin.

En contrepoint d'Isabelle Adjani, Denis Podalydès campe avec talent le chef des forces spéciales, lui aussi en proie au doute, soucieux d'éviter un assaut périlleux et plein de compassion pour la preneuse d'otage.

Jean-Paul Lilienfeld évoque avec subtilité le malaise des banlieues, qu'il s'agisse de l'intégration - plusieurs élèves et Sonia Bergerac elle-même sont d'origine arabe - ou de la condition de la femme.

Invitée par la police à formuler ses exigences de preneuse d'otages, Sonia Bergerac réclame une "journée nationale de la jupe", pendant laquelle toutes les femmes pourront porter une jupe sans se faire traiter de "pute".

Conclusion inexorable de cette impitoyable démonstration, le film s'achève dramatiquement par la mort de l'enseignante et de l'un des élèves.

Dans le rôle des élèves pris en otage, une poignée de jeunes comédiens donnent la réplique à Isabelle Adjani.
Ils déploient dans "La journée de la jupe" une verve comparable à celle qui a assuré le succès du film "Entre les murs".

Anne Hathaway dans la peau de Judy Garland

Anne Hathaway dans la peau de Judy Garland sur les planches et au cinéma!
L'actrice américaine Anne Hathaway, l'une des récentes révélations de Hollywood, interprétera dans un film et sur les planches la célèbre chanteuse et actrice américaine des années 40 Judy Garland, a annoncé mardi la presse spécialisée américaine.

L'actrice, âgée de 26 ans, donnera vie à la légendaire Dorothy du "Magicien d'Oz" de 1939, en se basant sur la biographie de l'artiste intitulée "Get Happy : The Life of Judy Garland".

"On a une meilleure perception de Judy Garland au travers de ce livre et nous sentons réellement qu'Anne peut y apporter son propre style", a dit au quotidien Variety le chef de production, Ben Famiglietti.

On ignorait encore lequel du film ou de la pièce de théâtre serait proposé en premier au public.

Anne Hathaway a été saluée récemment pour son interprétation dans "Rachel getting married" de Jonathan Demme, qui lui a valu une nomination aux Oscars dans la catégorie de la meilleure actrice.

On l'avait vue auparavant en secrétaire persécutée par Meryl Streep dans "Le diable s'habille en Prada", en épouse délaissée dans "Le secret de Brokeback Mountain" et en "agent 99" dans la comédie "Max la menace".

Viva la bufala!!


Un risto-bar sofisticato e ultramoderno, dal design che strizza l’occhio ai sushi-bar delle grandi metropoli.


Potrebbe sembrare la descrizione di un qualunque ristorante à la page, se non fosse che Obikà è interamente dedicato alla degustazione di mozzarella di bufala Dop, orgoglio della gastronomia made in Italy e feticcio alimentare da declinare in molteplici specialità, dalla burrata alla treccia.

Il resto del menu, principalmente salumi e primi piatti, è studiato per esaltare al meglio il sapore dell’amata bufala, di esclusiva provenienza casertana e salernitana.

A Roma Obikà si trova in Piazza di Firenze,

a Milano in via Mercato.

I nostalgici della bufala in esilio più o meno volontario a

Londra possono ritemprarsi in Oxford Street 400, dove Obikà ha aperto una filiale che è già un cult per i londinesi!

sabato 21 marzo 2009

Les Sony World Photography Awards



Les Sony World Photography Awards ont pour objectif de récompenser le travail de photographes du monde entier qui sont divisés en deux catégories.

L’une des principales récompenses pour les finalistes professionnels et les gagnants de la catégorie amateurs sera de voir leur œuvre exposée à la Winners' Exhibition qui se tiendra en même temps que le Festival de Cannes, à l'intérieur de la Rotonde Lerins, véritable temple à la gloire de la photographie. Les œuvres de ces gagnants rejoindront ensuite le Global Tour 2009/2010, exposition itinérante se tenant dans les galeries et les villes les plus prestigieuses du monde.

Le gagnant dans la catégorie professionnelle "Photographie commerciale de Mode" est le polonais Piotr Fajfer. Le gagnant dans la Catégorie Amateurs "Photographie commerciale de Mode" est le français Christo Stankulov.

En tout il existe 20 catégories dans des domaines aussi variés que l'architecture, le sport, le portrait, paysage, la musique.

Chacun des photographes récompensés verra son œuvre exposée et honorée lors de la cérémonie de remise des Sony World Photography Awards qui se déroulera au prestigieux Palais des Festivals à Cannes, le jeudi 16 avril.

L’un des 12 finalistes professionnels se verra attribuer l’Iris d’Or et sera ainsi consacré meilleur photographe SWPA de l'année 2009.

Au cours de la soirée, le ou la gagnante recevra un chèque de 25 000 $ ainsi qu'un appareil photo Sony et son équipement.

Dans la catégorie amateurs, le ou la gagnante choisi(e) parmi les huit finalistes, recevra un chèque de 5 000 $ ainsi qu’un équipement de photographe Sony.Au cours de cette soirée, sera faite une autre annonce de la plus grande importance : le nom du gagnant du Prince's Rainforest Project (PRP) Award.

Le ou la gagnante de ce prix recevra une subvention lui permettant de financer complètement un projet de documentation sur les forêts pluviales du monde entier.

Zanibook, le Facebook pour les animaux


Zanibook, le premier réseau social pour animaux de compagnie.

Comment, vous n’avez pas encore inscrit Tobbi, votre fox-terrier ?

Facebook, c’est tellement 2008 et la nouvelle tendance pour « réseauter » entre amis et faire des rencontres, c’est de se cacher derrière son animal de compagnie.

Mode d’emploi.
« J’ai fait ça pour rire au début », avoue Christophe Garnier, employé d’une animalerie en Belgique et créateur de Zanibook, le site de réseau social pour animaux.

« Je ne pensais pas que tant de gens voudraient échanger au sujet de leurs petites bêtes. » Seulement depuis sa mise en ligne, en février dernier, Zanibook.com a déjà conquis plus de 35 000 internautes.

« Tout se déroule exactement comme sur Facebook », ajoute l’entrepreneur. Après avoir minutieusement complété le profil de votre créature, vous pourrez l’inscrire dans un groupe – « Chiens d’Ille-et-Vilaine et de Bretagne », « Je suis métisse et j’assume », « Ta patte sur mon cœur » –, papoter avec d’autres maîtres et répondre à des sondages tels que « Les croquettes Friskies sont-elles les meilleures du monde ? » ou « Croyez-vous qu’un hamster russe peut vous tuer ? »

On se demande également si un bichon maltais peut fournir un formidable alibi pour draguer en ligne !

Car même si la plupart des membres semblent réellement rechercher une « cat-sitter » pour les vacances de Pâques ou la mère des chiots de leur labrador, qui finira autour d’un verre après le bol d’air d’une grande balade au parc ?

Les toutous peut-être…

Reese Witherspoon


Descendante fiérote de l’un des premiers signataires de la Déclaration d’indépendance, mademoiselle a d’abord rêvé de briguer la présidence des États-Unis.

Un devoir de mémoire vite oublié quand ses voisins fleuristes de Nashville lui proposent de tourner dans une pub pour leur boutique.

Elle a 7 ans et, c’est décidé, sera actrice.

Parole tenue. À 14 ans, elle obtient son premier rôle dans Un été en Louisiane (Robert Mulligan, 1991). À 19, elle est propulsée au firmament de Hollywood par Freeway (Matthew Bright, 1996).

Sa peau de porcelaine, son sourire mutin et son menton en galoche lui garantissent d’abord les rôles de jeunes candides adolescentes.


Dans Fear (James Foley, 1996), elle découvre l’émotion des rave parties avec Mark Wahlberg ; dans Sexe Intentions (Roger Kumble, 1999), le pari machiavélique d’une fratrie malsaine aux côtés de Ryan Phillippe. Avec qui, à l’époque, elle vient de convoler.

L’alliance au doigt et deux enfants à charge – Ava Elizabeth et Deacon Reese –, la gentille fille modèle devient alors femme à poigne décapante dans L’Arriviste (Alexander Payne, 1999), La Revanche d’une blonde (Robert Luketic, 2001) et Fashion Victime (Andy Tennant, 2002).

À l’écran comme à la ville, la Witherspoon organise en effet sa vie comme une équation.

Enfin, ça, c’était avant qu’elle reçoive l’Oscar de la Meilleure Actrice en 2006 pour son interprétation de June Carter dans le biopic Walk The Line, de James Mangold, qu’elle se sépare de Ryan Phillippe et s’amourache du torride Jake Gyllenhaal.

Depuis, sa vie est un brin moins mathématique.

Son style : positivement discret. Le blond californien impeccable, le sourire plus blanc que blanc, ce petit bout de femme (1,57 m) justifie pourtant d’un style bien défini.

Ses robes sont généralement près du corps, coupées aux genoux.

Ni trop longues, ni trop courtes.

Pas d’astuces maquillage, juste un brin de blush – sa peau naturellement satinée s’occupe du reste.

On l’a peut-être déjà aperçue en Dior ou Valentino lors d’une cérémonie, mais ce devait être exceptionnel.

L’ambassadrice de la marque de make-up Avon est une aficionada de Nina Ricci.

Seuls vices connus à ce jour ? Les chaussures – elle en aurait plus de 150 paires –, et – oh mince ! – la vieille broderie…
En savoir plus sur Reese Witherspoon sur Evene.fr

venerdì 20 marzo 2009

La mode écolo éthique




Sac en canettes
Sac "Leni", OBA Sympa, le sac un poil "baba" à porter de jour comme de nuit…


Il est réalisé avec pas moins de 1 538 languettes de canettes.


So chic, so éthique ! Dimensions : 26,5 cm x 25 cm x 4,5 cm


180 € sur la boutique en ligne OBA.


Les canettes recyclées
Créée en 2007 par Ana Paula Freitas et basée sur les principes du commerce équitable avec le Brésil, OBA est une marque haut de gamme qui utilise les languettes des canettes de boissons comme matières premières pour réaliser des accessoires de mode solidaires, écologiques, éthiques et terriblement glamour et chic.La canette est au Brésil un facteur d’insertion sociale et de commerce équitable grâce au soutien de plusieurs associations dont "Cia Do Lacre".Sacs et ceintures sont réalisés entièrement à la main. L'extérieur est constitué de capsules de canettes assemblées par du fil de crochet. L'intérieur est doublé en tissu.
Un brin "bling bling", mais c’est sublime !






Isabelle Huppert Présidente!



L'actrice Isabelle Huppert

a été choisie pour présider le 62ème Festival de Cannes qui aura lieu du13 au 24 mai 2009.

Grande habituée de la Croisette où elle a déjà été jurée, maîtresse de cérémonie et lauréate en 1978 pour "Violette de Nozières" puis en 2001 pour "La Pianiste", Isabelle Huppert s'est toutefois déclarée très touchée par cet honneur.

Madri e figlie..







Madri e figlie..
E' il rapporto più forte, determinante, controverso.
E non sempre si rivela idilliaco.
Tre romanzi ne indagano gli aspetti più crudi, duri, bizzarri...






La ballata d'Iza
La ballata di Iza di Magda Szabò (Einaudi)

In una nuova edizione, il romanzo mette in luce un controverso rapporto tra madre e figlia che ha come sfondo la storia dell’Ungheria.
Alla morte del padre, la giovane convince la madre a trasferirsi da una piccola cittadina di provincia a Budapest. Qui cerca di cancellare nell’anziana qualsiasi traccia del passato costringendola in un innaturale isolamento.
Da leggere se vuoi scoprire fino a che punto possa essere difficile immedesimarsi nella propria madre.
Quanto costa: € 11,50


Io non amavo mia madre
Io non amavo mia madre di Enrichetta Buchli (Antigone edizioni)
Rachele sente la necessità di scrivere lettere alla psicoanalista che l’aveva aiutata a superare la morte della madre.
In questo modo lascia emergere ricordi traumatici del suo rapporto con la donna gravemente disturbata.
L’analista le risponde commentando i suoi stati d’animo in un libro in cui psicanalisi e letteratura si confondono all’unisono.
Da scegliere se vuoi addentrarti nei misteri della psiche approfittando di una chiave di lettura molto personale.
Quanto costa: € 15


Di madre in figlia
Di madre in figlia di Helen Epstein (Forum editrice)
Il libro è una coinvolgente biografia familiare al femminile che racconta quattro generazioni e, nello stesso tempo, la storia degli ebrei nell’Europa centro-orientale.
Tra personaggi femminili delicati e vibranti, il tentativo dell’autrice è mettere a fuoco il ritratto della madre.
Da leggere se ti appassiona percorrere a ritroso i rapporti familiari in un’ottica assolutamente femminile.
Quanto costa: € 22

Un guide de voyage "spécial femmes"!



Un guide de voyage spécialement dédié aux femmes ..
L'idée semble toute simple, pourtant il semblerait que personne n'y ait pensé avant.

Créer un guide de voyage spécialement dédié aux femmes est une évidence qui voit enfin le jour. Le "Guide la voyageuse" écrit par Nadège Demanée, journaliste globe-trotteuse compile à l'intention des femmes tous les bons conseils pour réussir son voyage.

Qu'on voyage seule, entre amies, avec ou sans enfants, avec ou sans hommes, on trouve dans ce livre de nombreuses astuces qui facilitent le séjour.

Indispensable pour partir l'esprit tranquille, ce guide s'articule autour de trois parties : une première d'aspect purement pratique pour prendre la décision de partir et organiser les différentes formalités de départ; la deuxième partie donne les indications essentielles pour réussir votre voyage avec de nombreux bons plans pratiques par exemple comment échanger son appartement.

La dernière partie indique l'essentiel à savoir de 150 pays sur les 5 continents du pays le plus évident au plus improbable.

Pour chaque pays le guide donne la "condition de la femme", les "us et coutumes" par exemple il faut savoir que l'homosexualité est interdite par la loi au Gabon et dans de nombreux pays d'Afrique Noire.

"Le Guide de la Voyageuse" donne également des indications sur la santé, l'adoption, la sécurité, le shopping ainsi que ses plus et coup de coeur.

Pour voyager au féminin avec un minimum de soucis et optimser le séjour que celui ci se fasse à Londres ou aux Belizes voilà un allié précieux et complet !

INFOS PRATIQUES :
Le Guide de la Voyageuse par Nadège Demanée
432 pages
Prix : 15,90 €

Le design italien au Pavillon des arts et du design à Paris



Le design italien à l'honneur du Pavillon des arts et du design

Le Pavillon des arts et du design qui se tiendra du 1er au 5 avril 2009 dans le Jardin des Tuileries à Paris réunira 80 exposants sur 4 750 m² fera honneur au design italien pour cette édition 2009.

Le Pavillon accueillera les plus grands noms du marché de l’art italien : Massimo et Sonia Cirulli, Galerie Rossella Colombari, Galerie Pegaso, Galerie HP Le Studio, Galerie du Passage et Galerie Italienne.

Ainsi que ses dignes représentants sur le territoire national : Clara Scremini Gallery.

Les designers italiens seront également présents sur de nombreux stands : Franco Albini chez HP Le Studio, Mattia Bonetti et Pucci de Rossi chez Cat-Berro Galerie, à la Galerie du Passage et à la Galerie Italienne.

Cette année le Pavillon innove avec la création du Prix du Pavillon des Arts et du Design imaginée par Patrick Perrin et Stéphane Custot et mécené par Moët-Hennessy.

Ce prix permettra d’offrir aux Arts Décoratifs un objet sélectionné au Pavillon par un jury de personnalités qualifiées du monde l’art et de la culture.

Cet objet viendra enrichir les collections permanentes des Arts Décoratifs.

Ce même jury désignera également les prix habituels du Pavillon, à savoir « Le Stand du Pavillon » et « L’Objet du Pavillon ».

Ce "Pavillon des arts et du design" est une occasion unique pour découvrir le design et l'art dans des spécialités très variées : Mobilier, Dessin, Peinture et Sculpture de la Renaissance à nos jours, Antiquités, Modernisme, Photographie, Design, Arts Premiers, Arts d’Asie, Bijoux, Verrerie contemporaine, Argenterie, Orfèvrerie, Tapis, Tapisseries ...


INFOS PRATIQUES :Dates : du mercredi 1er au dimanche 5 avril 2009

Lieu : Jardin des Tuileries - Esplanade des Feuillants

Face au 234, rue de Rivoli, angle rue de Castiglione - 75001 PARIS

Horaires : tous les jours de 11h à 20h Nocturnes : jeudi 2 et vendredi 3 avril 2009

jusqu’à 22h

Entrée : 15 euros