mercoledì 16 aprile 2014

Al cinema un super documentario sul mitico J.D.Salinger !!



Appuntamento importante e atteso il 20 maggio prossimo al cinema per tutti gli appassionati di letteratura. 




Infatti il 20 maggio arriva nelle sale per un unico giorno il documentario Salinger (Il mistero del giovane Holden).





J.D. Salinger, lo scrittore scomparso nel 2010 e simbolo di un'intera generazione, anche se molto conosciuto aveva un carattere molto  riservato avaro di apparizioni pubbliche e d'interviste.

Salinger impedì perfino l’uscita di una sua biografia.






Il suo romanzo Il giovane Holden (uscito nel 1951) e i suoi Nove racconti (1953) ci parlano pero' di lui, tanto da averlo reso un vero e proprio punto di riferimento culturale.




Nel documentario realizzato da Shane Salerno, infatti, sono raccolte le testimonianze di molti personaggi celebri del mondo dello spettacolo, da Edward Norton a John Cusack, fino allo scomparso Philip Seymour Hoffman, attori profondamente influenzati dal tortuoso rapporto che Salinger aveva con i suoi personaggi letterari,.




 BIOGRAFIA

J. D. Salinger, all'anagrafe Jerome David Salinger (New York, 1º gennaio 1919 – Cornish, 27 gennaio 2010), è stato uno scrittore statunitense.
J. D. Salinger Signature.svg
È divenuto celebre per Il giovane Holden (The Catcher in the Rye), un classico romanzo di formazione che ha conosciuto una enorme popolarità fin dalla sua pubblicazione nel 1951.
I temi principali nei lavori di Salinger sono la descrizione dei pensieri e delle azioni di giovani disadattati, la capacità di redenzione che i bambini hanno su questi, e il disgusto per la società borghese e convenzionale. 

Salinger fu uno degli ispiratori del movimento letterario della Beat Generation, insieme ad altri autori.[1]
Salinger partecipò a poco più di 20 anni alla seconda guerra mondiale e fu tra i primi soldati americani ad entrare in un lager nazista, esperienza che lo segnerà emotivamente. 

Dal 1953 lasciò la sua città, New York, andando a vivere a Cornish (New Hampshire) riducendo progressivamente i contatti umani fino a vivere praticamente da recluso a partire dal 1980, forse a causa della difficoltà ad adattarsi alle luci della ribalta.
Salinger era conosciuto per la sua natura schiva e riservata, spesso venne descritto come un misantropo[2]; nell'arco di cinquant'anni ha rilasciato pochissime interviste: ad esempio nel 1953 ad una studentessa per la pagina scolastica The Daily Eagle di Cornish, nel 1974 a The New York Times (la sua ultima intervista).

 Non effettuò apparizioni pubbliche, né pubblicò nulla di nuovo dal 1965 (anno in cui apparve sul New Yorker un ultimo racconto) fino alla morte, benché, secondo molte testimonianze, avesse continuato a scrivere.

Jerome David Salinger nacque a New York il 1º gennaio del 1919, da Sol Salinger, un commerciante statunitense figlio di immigrati lituani di origine ebraica, e da Miriam Salinger, una casalinga statunitense di origini scozzesi, tedesche e irlandesi.[3] 
La madre di Salinger nacque con il nome di Marie Jillich ma, quando si sposò, adottò il cognome del marito, cambiò il proprio nome in Miriam e si convertì alla religione ebraica; J. D. non seppe che sua madre era convertita fino al giorno del suo bar mitzvah.[4] 
Jerome David fu il secondo figlio della coppia, dopo la primogenita Doris, nata nel 1911.[5]

La casa di J.D.Salinger a NewYork

Il giovane Salinger frequentò le scuole pubbliche nell'Upper West Side di Manhattan, completando gli studi di base alla McBurney School, dopodiché fu felice di sottrarsi all'iperprotettività della madre iscrivendosi al Valley Forge Military Academy and College di Wayne in Pennsylvania.[6] 

Nonostante avesse già in precedenza scritto sul giornalino scolastico della McBurney, è alla Valley Forge che Salinger iniziò a scrivere racconti "la notte, sotto le coperte, con l'aiuto di una pila elettrica."[7]
Si iscrisse poi come matricola alla New York University, ma nella primavera successiva abbandonò i corsi per accettare un lavoro su di una nave da crociera. In autunno si convinse ad apprendere il lavoro del padre nel settore dell'importazione di carne, e fu mandato presso la filiale di Vienna della società, dove perfezionò la conoscenza del francese e del tedesco.
Lasciò l'Austria solo un mese prima che il paese cadesse sotto il controllo di Hitler, il 12 marzo 1938. L'autunno seguente frequentò l' Ursinus College di Collegeville (Pennsylvania), ma lo fece soltanto per un semestre. Nel 1939 frequentò poi il corso serale di scrittura della Columbia University.

 Il suo insegnante era Whit Burnett, a lungo direttore della rivista Story Magazine. Nel corso del secondo semestre Burnett capì che quel giovane autore aveva talento e, nel numero di marzo/aprile 1940 della rivista, pubblicò il racconto di debutto di Salinger, un breve ritratto di alcuni giovani senza uno scopo nella vita intitolato The Young Folks




BIOGRAPHIE
Jerome David Salinger est le fils d’un père juif et d’une mère catholique irlandaise (bien qu’il ait cru, jusqu’à la fin de son adolescence, que sa mère était également juive). 
Son père, Sol, importait de la viande. 
Adolescent, J.D. Salinger, alors connu sous le sobriquet de Jerry, part en voyage en Pologne pour observer l’entreprise familiale d’origine. 
Son dégoût le conduit à un éloignement de son père, à qui, une fois adulte, il ne s’adresse plus guère.
Il fréquente l’académie militaire Valley Forge en Pennsylvanie, qui lui servira de modèle pour le collège Pencey Prep dans L'Attrape-cœurs. Pendant ses années à l’Ursinus College de Collegeville, Pennsylvanie, un de ses professeurs a dit de Salinger qu’il était « le pire étudiant d’anglais dans l’histoire du collège ». 
Après avoir échoué à ses examens dans différentes écoles, Salinger suit des cours d’écriture à l’université Columbia en 1939. Son professeur, Whit Burnett, est l’éditeur de Story Magazine, et rapidement, il discerne un certain talent chez le jeune auteur. 

Dans le numéro de mars- de Story, Burnett publie la première nouvelle de Salinger, The Young Folks, dont le thème est la vie de plusieurs jeunes adultes égoïstes et sans but.
Burnett et Salinger continueront de correspondre pendant plusieurs années, jusqu’à ce qu’un différend les oppose à propos d’un projet de recueil de nouvelles également nommé The Young Folks.

J.D. Salinger sert dans l’armée durant la Seconde Guerre mondiale de 1942 à 1945 où il participe avec la 4e division d’infanterie américaine à des combats extrêmement violents. Cette expérience qui l’a sans doute affecté émotionnellement (il fut parmi les premiers soldats a pénétrer dans les camps de concentration libérés ; il a été hospitalisé pour soigner un stress post-traumatique en 1945) est probablement à l’origine de certains de ses écrits, comme Pour Esmé, avec amour et abjection où le narrateur est un soldat traumatisé. 

Il continue de publier ses nouvelles dans des magazines tels que Collier's et le Saturday Evening Post pendant et après son engagement militaire.
À partir de 1948, il commence véritablement à se faire connaître avec la publication de nouvelles, telles que Oncle déglingué au Connecticut, dans le journal New Yorker dont il devient rapidement l’un des auteurs les plus connus.  

Un jour rêvé pour le poisson-banane (titre original : A Perfect Day for Bananafish) est reconnu par la critique et est l’une des nouvelles les plus populaires que ce journal ait jamais publiées.
En fait, il ne s'agit pas de sa première collaboration avec le New Yorker, puisqu'une de ses nouvelles avait été déjà acceptée en 1942 par le journal. 
Il s’agissait d’une histoire intitulée Slight Rebellion off Madison, dans laquelle apparaissait un personnage mi-autobiographique nommé Holden Caulfield. 
La nouvelle ne fut toutefois pas publiée avant 1946 à cause de la guerre. 
Son histoire faisait référence à des nouvelles antérieures concernant la famille Caulfield. Le focus sur les personnages est finalement passé du grand frère Vincent à Holden.


La signature 
de J. D.Salinger
Salinger a confié à plusieurs personnes qu’il sentait que Holden méritait un roman et L'Attrape-Cœurs (titre original : The Catcher in the Rye) est publié en 1951. 
C’est un succès immédiat, même si les premières critiques sont partagées. Bien que cela n’ait jamais été confirmé par Salinger lui-même, on peut penser que plusieurs éléments présents dans le livre sont autobiographiques. Le roman est dominé par le caractère nuancé et complexe de Holden Caulfield, un jeune homme de seize ans qui cherche vainement à communiquer avec les êtres rencontrés dans la grande ville. 
Le roman montre l’expérience de cet adolescent en pleine crise.
Le livre devient célèbre grâce aux descriptions, au sens du détail, à la vision subtilement complexe de Salinger ; il est apprécié également pour son humour ironique et pour son atmosphère déprimante et désespérée de New York. Le livre est toujours beaucoup lu actuellement, particulièrement aux États-Unis où il est largement étudié dans les écoles ; il est considéré comme une référence pour sa description de la colère et du désarroi propres à l’adolescence. 

Le roman a cependant été souvent contesté aux États-Unis2 en raison de l’utilisation d’un langage cru et offensant ; « sacré bon dieu (goddam) » apparaît pratiquement à chaque page.
En 1953, Salinger réunit en un recueil sept nouvelles déjà publiées dans le New Yorker (dont le poisson-banane), ainsi que deux autres qui avaient été refusées. 
Ce recueil est intitulé Nine Stories aux États-Unis, Pour Esme, avec amour et abjection (d’après une de ses histoires les plus appréciées) au Royaume-Uni. Il sera plus tard traduit en français (par Jean-Baptiste Rossi) et publié sous le titre de Nouvelles
 Le livre est un succès, bien que Salinger commence à contrôler étroitement la publicité accordée au livre et l’illustration de la jaquette.
Salinger publie ensuite Franny et Zooey (titre original : Franny and Zooey) en 1961 et Dressez haut la poutre maîtresse, charpentiers (titre original : Raise High the Roof Beam, Carpenters) en 1963. Tous deux sont des recueils de nouvelles publiées à l’origine dans le New Yorker.
J. D. Salinger meurt le à l’âge de 91 ans, à son domicile du New Hampshire.

lunedì 14 aprile 2014

Nutella ha 50 anni !




 Il 18 maggio 2014 Nutella® compie 50 anni!!
Con lo slogan 50 anni di emozioni insieme...




Per celebrare l'evento la mitica crema al cioccolato é presentata in vasetti "limited edition": dall'edizione speciale con il logo dei 50 anni, alla gamma ‘fluo’ dei barattoli da 1 kg in 4 colori: giallo, verde, arancione, e fucsia.




E per i golosi nostalgici i bicchieri da 200gr decorati diventati dagli anni ’90 dei veri e propri oggetti cult. 





Per festeggiare questo cinquantesimo compleanno i vasetti sono decorati con una grafica disegnata dagli stessi dipendenti della ditta Ferrero, in quattro simpatiche varianti, che raccontano tutto l’amore per Nutella®.




Non mancano poi le iniziative come Nutella® Stories: basta postare sul sito www.nutellastories.com il proprio pensiero dedicato alla crema più famosa al mondo per far parte all'event!

domenica 13 aprile 2014

Mister Naudon crée La Jeune Rue dans le Marais





Tom Dixon, Patricia Urquiola,Andrea Branzi, les frères Campana, Marc Ange, Ingo Maurer, Paola Navone, Nendo, Jaime Hayón...tous intéressés par le projet design et culinaire" La Jeune Rue"
qui devrait voir le jour  fin  mai ou la folle idée de Cedric Naudon, un passionné de bonne cuisine qui reprend, au centre de Paris, trentesix commerces de bouche. 




L'homme, qui est très discret, et qui aime parfaire son look avec des beaux et grands foulards en soie aux imprimés raffinés, a mis la main sur des locaux entre les rues du Vertbois, Volta et Notre-Dame-de-Nazareth, et les a métamorphosés en repaires gourmands et arty, avec le meilleur des produits du terroir. 
L'équation parfaite pour faire le buzz et attirer le bobo-bio-citadin.

Au menu, l'Espagnol Jaime Hayón signe une meunerie (qui plante, récolte et moud son blé ), les frères Campana un restaurant de poissons, Eugeni Quitllet une fromagerie, Tom Dixon une épicerie, Ramy Fischler un bar à huîtres, Michele De Lucchi une boucherie, Marc Ange un marché couvert avec fruits etlégumes, Patricia Urquiola un resto italien, Vincent Darré un glacier, Jasper Morrison un bar à tapas, A+A Cooren une quincaillerie, Ingo Maurer un café speakeasy, Paola Navone un street food coréen, Nendo une pâtisserie, Julie Boukobza une galerie d'art contemporain, et Andrea Branzi, en association avec MK2, un cinéma (ouverture prévue en 2015), qui s'annonce comme un haut lieu culturel du quartier...



Ce jeu de Monopoly gastronomico-esthético-immobilier. n'a pas de prix, enfin le montant de l'opération reste top secret. 
Secret comme Mister X , le surnom donné par le Financial Times à Monsieur Cedric Naudon!








Français d'origine marocaine et italienne il a fait fortune dans la finance et dans le concept store avec sa femme aux Etats-Unis, avant de rentrer en France en 2003  pour se consacrer à sa passion des métiers de bouche. 

En 2012, il rachète ainsi Le Sergent Recruteur, ex-adresse touristique sur l'île Saint-Louis, qu'il transforme en repaire gourmet et branché en faisant appel à Jaime Hayón côté déco et au jeune chef Antonin Bonnet pour la cuisine, lequel récolte une première étoile dans la foulée.

Mais l'épicurien quadragénaire qui a fondé Behind the Scene, «éditeur de lieux à vivre et à manger», voit plus grand et s'affiche en humaniste défenseur du patrimoine gastronomique français : «La Jeune Rue doit proposer des produits vertueux, vendus au juste prix, en fonction des saisons et sans intermédiaires de la ferme à Paris», dit-il.






Des artisans de renom (Perrine et Charles Hervé-Gruyer pour les légumes, Jacques Abbatucci pour la viande) fourniront les matières premières qui aboutiront sur une plateforme de 10 000 mètres carrés à Bercy où des ateliers de découpe et de préparation fourniront La Jeune Rue en direct et en exclusivité. «Nous allons créer 250 emplois dans le quartier. C'est un projet atypique pour Paris, mais aussi pour la profession. » 

Un projet qui tord le cou aux grincheux qui pensent encore qu'à Paname, il ne se passe plus rien.

mercoledì 9 aprile 2014

Un nouveau Atelier du Bagel dans le 9ème...on essaye?













J'adore le bagel et mes adresses sont tout naturellement dans le Marais.
Mais maintenant il y a un nouveau "l'Atelier du Bagel" dans le 9ème arrondissement et on m'a dit que après presque deux mois de travaux, l'Atelier du Bagel situé au 31 rue Saint Lazare a fait peau neuve et revisité sa carte.
Donc à tester.





Côté menu, les grands classiques restent en première ligne : le bagel saumon-avocat reste la star incontestée (et pour cause !), tandis que le spécial thon-avocat, le pastrami-fromage ou le poulet-mayonnaise n'ont pas tardé à gagner leurs lettres de noblesse. 

Contre la routine il y a le « Bagel du moment » ou bien la gamme de bagels sucrés : Nutella®, speculoos, beurre et confiture ou encore beurre de cacahuète ! 
Finalement, ce ne sont pas moins de treize bagels que propose aujourd'hui l'établissement, et sept pains différents dont les nouveautés : myrtilles et muesli-raisins. 




Des bagels à déguster dans de charmantes boîtes à bagel, le tout nouvel écrin spécialement créé par l'Atelier
Coté sucré : l'Oreo Cheesecake ou le Méga Carrot Cake.

Coté déco : dix places assises sous des lampes dénudées, tabourets en métal, bois clair et fer forgé.

Dernière info :l'établissement ouvre désormais ses portes de 8h30 à 16h00

Le restaurant est ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 16h00. 

Livraison possible en 45 minutes. Pour le 9ème arrondissement, minimum commande 12 €. Pour les 1er, 2ème, 3ème, 8ème, 10ème, 17ème et 18ème arrondissements, minimum 15 €. 


Atelier du Bagel restaurant resto paris






lunedì 7 aprile 2014

Il plissé super top quest'estate !



Perdersi completamente tra le pieghe della moda questa primavera e estate 2014!

Yssey Miyake con il suo plissé ritorna puntuale riconfermandosi icona e trademark della Maison.




Le pieghe, il plissé, la pleatmania arrivano con forza nelle numerose collezioni presentate tra Parigi, Milano, Londra e New York. 




Macro, micro, piatte o voluminose, tanto sottili da sembrare eterei arabeschi o rigorose e geometriche: gli stilisti si danno a fondo nella piega misurandosi con tecnica, maestria e creatività.
Sui catwalk è un autentico festival di plissettature




Il risultato? Gonne a pieghe di stile rétro (Michael Kors), abiti plissettati dalla leggendaria eleganza della Maison Christian Dior o vestiti con texture modulari dal piglio avant-garde di J. W. Anderson.



Da adottare subito anche le giacche con plissè sottilissimi e lamé di Lanvin, i top drappeggiati ad arte per un effetto très chic di Chloé!

domenica 6 aprile 2014

Arrivano le scarpe Prada su misura !





Lusso, lusso, lusso ! Le scarpe su misura by Prada !
Scamosciate, con plateau, oppure basse e open toe. 
Arrivano dunque le scarpe su misura "by Prada", dove sulla suola possono essere incise anche le proprie iniziali.

Per una scarpa si fa troppo presto a dire décolleté.. e la punta spesso è troppo rotonda, il colore non è proprio quello desiderato, per non parlare del tacco! Solo su questo si potrebbe aprire un capitolo. 
E siccome il lusso mira ormai alla personalizzazione di ogni accessorio, la Maison Prada non poteva esimersi da cio' e quindi offrire  la possibilità di trovare scarpe su misura.

Il servizio si chiama "Made to Order".
Si puo' scegliere fra 9 modelli di décolleté anche in versione open toe, tra le tante possibilità di tacchi altissimi con plateau, classiche a punta con tacco più basso, in vernice, in pelle, in camoscio o in raso e in tutti i colori possibile e immaginabili (o quasi)

 
Anche la suola potrà essere scelta e personalizzata: nera, mughetto o azzurro, e oltre al marchio Prada sarà possibile inserire anche le proprie iniziali
Il servizio partirà ufficialmente nelle boutique Prada di via Della Spiga a Milano dal 2 aprile in poi. 
Offriranno il servizio in negozio nei seguenti giorni:
Prada Milano di via Della Spiga il 2 aprile
Prada Firenze dal 4 al 6 aprile
Prada Roma dall'8 al 9 aprile
Prada Napoli il 10 aprile
Prada Bari il 12 aprile
Prada Palermo 16 aprile

domenica 23 marzo 2014

Un gelato gioiello per ricchi stravaganti : Des-Ice !





Bizzarro e costoso. Questi gli aggettivi che meglio si addicono a Des-Ice (desire+ice, ovvero desiderio+gelato), prezioso gioiello del valore di 500mila euro
 


Firmato Harrods, creazione della casa di gioielli Spadafora e dell'atelier del gelato Muntoni, si tratta di un completo di collana e  orecchini, composto da 45 smeraldi taglio a goccia, per una caratura totale di 51,64 carati

Per il recupero delle pietre, tutte dello stesso colore, sono stati impiegati circa 4 anni e mezzo di ricerche. 
Il gioiello è poi impreziosito da 9 carati di brillanti

Il tutto avvolto e accompagnato da un dessert gelato che riproduce i vari sapori: una base di champagne millesimato e caviale, fragole e una crema di petali di rose.




Presentato l'estate scorsa nel villaggio di lusso Harrods di Porto Cervo in Sardegna, il gelato gioiello Des-ice é realizzato solamente su richiesta.




L'iPhone Black Diamonds, il lusso al parossismo !





Vale 15 milioni di dollari la versione molto speciale dell'iPhone 5 acquistata da un imprenditore cinese rimasto anonimo.

Realizzato da Stuart Hughes, celebre artigiano di Liverpool, é uno smartphone unico, versione speciale dell'iPhone5 caratterizzato da
135 grammi di oro 24 carati, 600 diamanti, di cui 53 utilizzati per il logo della mela sul retro. 
A tutto questo si aggiunge un bel vetro anteriore di zaffiro.

L'​iPhone Black Diamonds supera così tutti gli altri modelli extra lusso come iPhone Supreme e GoldVish Le Million e diventa lo smartphone più costoso al mondo.

Vee Speers e la peccaminosa mostra "Bordello"







Esporre la decadenza della vita notturna nella Parigi degli anni '20 e '30, le atmosfere ambigue e provocanti dei bordelli per ricchi uomini d'affari, le peccaminose tentatrici che vi lavoravano .. 

Vee Speers ha ricreato tutto ciò in fotografie dall'aspetto vintage, realizzate all'interno di locali originali ben conservati, e stampate con tecniche al carbone per ricreare l'effetto della pittura.




Rifacendosi agli scatti del maestro della fotografia Gyula Halasz, conosciuto con lo pseudonimo Brassaï, Vee Speers risuscita un mondo scomparso .




I lavori del fotografo australiano, realizzati in oltre 20 anni di attività, sono esposti dal 
3 marzo al 12 aprile 2014 
presso la 
The Little Black Gallery di Londra.


sabato 15 marzo 2014

Il made in Italy con Google sulla rete !





"Si narra che il Gorgonzola fu scoperto quando un oste servi' stracchino ammuffito per cacciare ospiti ubriachi. Abbinandosi gradevolmente al vino, il piano falli' ma nacque una prelibatezza oggi amata in tutto il mondo."

 Dal Gorgonzola ad altri tesori nazionali, Google e i suoi partner  invitano a riscoprire la storia e le tradizioni del Made in italy su una piattaforma dedicata alle eccellenze italiane.

Dalla storia meno conosciuta del cappello di Montappone, da cui Federico Fellini non si separava mai nei suoi set e che oggi fa bella mostra nel museo della cittadina marchigiana, ai fasti del Parmigiano reggiano o del Prosciutto San Daniele fino ai successi del tessile biellese o alla tradizione millenaria del vetro di Murano. 




Il made in Italy approda sul web e lo fa dalla porta principale grazie a Google che insieme a ministero delle Politiche agricole e Unioncamere oggi ha presentato una piattaforma con oltre 100 mostre digitali sulle nostre eccellenze artigianali e dell'agroalimentare.
Non è tutto, in pista anche un portale e un percorso formativo per aiutare le Pmi a conquistare l'economia digitale. 

A presentare il progetto, oltre al presidente di Unioncamere Ferruccio Dardanello, anche Carlo D'Asaro Biondo, Presidente Sud e Est Europa, Medio Oriente e Africa di Google, che ha criticato l'ipotesi di una web tax in Italia: «Bisogna fare attenzione a fare leggi nazionali che non tengano conto degli effetti della globalizzazione».



 Il colosso di Mountain View, insieme al ministero delle Politiche agricole e a Unioncamere, ha deciso di creare una piattaforma (google.it/madeinitaly) realizzata dal Google Cultural Insitute dedicata, per la prima volta, alle eccellenze produttive di un Paese. 
Attraverso un centinaio di mostre digitali (in italiano e inglese), fatte di racconti, immagini, video e documenti storici, chiunque da ogni parte del mondo potrà scoprire il meglio del nostro sistema agroalimentare e dell'artigianato, la loro storia e il loro legame con il territorio: dai prodotti più famosi fino a eccellenze meno note come la fisarmonica di Vercelli, il merletto di Ascoli Piceno o la carota novella di Ispica. 




Il made in Italy del resto è sempre più cliccato sul web: nel 2013 le ricerche su Google - fa sapere il colosso di Mountain view - sono cresciute del 12% rispetto al 2012. 
Ma i nostri giacimenti, fatti di filiere industriali e distretti, sono ancora poco presenti sul web: solo il 34% delle Pmi ha un proprio sito internet e solo il 13% lo utilizza per fare e-commerce.
 

Un portale e un percorso formativo per aiutare le Pmi
Oltre alle mostre digitali sul meglio del made in Italy l'idea del progetto è anche quello di far sì che le imprese, in particolare le piccole e medie, siano in grado di cogliere i benefici del web. da qui un portale dedicato (www.eccellenzeindigitale.it) e anche un percorso formativo online – realizzato da Google insieme alla Fondazione Symbola e con il coordinamento scientifico dell'Università Cà Foscari di Venezia - per fornire agli imprenditori idee e riferimenti pratici per utilizzare il web come mezzo per sviluppare il proprio business. Oltre a una lezione di Vint Cerf, oggi Chief Evangelist di Google e uno degli inventori di internet, la piattaforma propone contenuti che valorizzano prima di tutto le storie di quegli imprenditori artigiani che, scommettendo sulla rete, hanno consolidato la propria forza competitiva e proiettato la propria attività in uno scenario internazionale.