domenica 12 dicembre 2010

Parfums : les familles olfactives












J'ai trouvé un site très sympathique ( www.iloveparfums.com ) qui non seulement vend des parfums à des prix intéressants mais qui en plus est plein de renseignements sur les parfums.
J'ai bien aimé le petit guide sur les famille olfactives..
Voici un extrait :


Sans entrer dans trop de détails, voici quelques notions et quelques termes qui vous permettront de vous y retrouver mieux… ou vous donneront un sujet de conversation dans ce dîner très ennuyeux qui se profile à l’horizon.


Un parfum, ou jus, se distingue avant tout par sa concentration.
Le parfum ou extrait est la variante la plus concentrée en extrait pur : de 15 à 40% du volume total, le reste étant de l’alcool éthylique spécial.

L’eau de parfum, moins concentrée, contient entre 10 et 20% d’extrait, et l’eau de toilette entre 5 et 15%.

Il existe aussi des eaux de cologne (3-8%) et, inaugurées récemment, les eaux légères, avec à peine 3% d’extrait.
Le diapason va ainsi du sillage puissant et envoûtant à un arôme léger et joueur, à peine perceptible.
Selon que vous vous préparez pour la plage ou pour un dîner en tête à tête, vous choisirez différemment.

Les ingrédients d’un parfum varient à l’infini, mais les principales sources restent encore les fleurs, les fruits, l’écorce de bois précieux et d’autres matières végétales comme les racines, les graines, les mousses ou les feuilles.
Des ingrédients d’origine animale comme le musc ou l’ambre gris étaient jadis utilisés, mais ont depuis longtemps été remplacés par des matériaux de synthèse.

Puis, enfin, il y a l’essence du parfum – l’odeur même.
Tout comme la femme, le parfum n’est pas simple et ne dévoile jamais tout dès l’abord.
Il est multiple et changeant. Tout comme la femme, il est différent avec chacun.
Il a ses coups de tête et ses coups de cœur – pardon, ses notes de tête, ses notes de cœur, et ses notes de fond, qui se succèdent harmonieusement.

Chaque parfum a pourtant un caractère dominant et appartient à une famille – à l’exception de quelques célibataires endurcis.

On distingue ainsi les floraux, les boisés, les orientaux, les hespéridés, les fougères, les chyprés et les cuirs.


Les floraux sont élaborés autour d’une ou plusieurs senteurs florales, comme le muguet, l’iris, la rose ou le jasmin…
Lorsqu’une seule fleur domine – comme le muguet dans Diorissimo – on parle d’un soliflore.
Lorsque plusieurs senteurs florales se combinent, on parle d’un bouquet.
Le parfum floral est plein de lumière et de grâce.
L’incontournable Flower de Kenzo, Arpège de Lanvin, J’Adore de Dior

Les boisés, comme leur nom l’indique, sont dominés par des senteurs boisées comme le vétiver (lavande tropicale), le cèdre ou le santal.
Plus secs et plus profonds que les floraux, chauds et puissants, ce sont le plus souvent des parfums d’homme.
Un parfum emblématique : Vétiver de Guerlain.


L’oriental est le parfum de la volupté par excellence.
Lascif et opulent, il évoque le mythe de l’Orient bienheureux avec ses soieries, ses épices, ses joyaux et ses nuits étoilées.
Aussi bien masculin que féminin, il distille des effluves d’encens, de baumes et de résines diverses, auxquelles peuvent s’ajouter des parfums de fleurs, d’épices et de bois.
Le légendaire Shalimar de Guerlain est considéré comme un sommet absolu du genre.
Cette famille très large se sub-divise en plusieurs branches, comme les orientaux boisés (Allure de Chanel), les orientaux épicés (Opium de Saint-Laurent), les orientaux gourmands (Angel de Thierry Mugler)…


Les hespéridés sont frais et légers, aux senteurs d’agrumes et d’herbes fraîches.
Un classique que portent tant femmes qu’hommes, est le Limes Extract de Penhaligon’s, ou encore L’Eau d’Orange Verte d’Hermès.
Savez-vous d’où vient le nom ?
C’était celui des déesses grecques, les Hespérides, qui gardaient le jardin aux pommes d’or de Junon…


La famille des fougères se rapproche des boisés, mais avec davantage de moiteur et de délicatesse, construite sur une base de lavande, de géranium, de coumarine et de mousse de chêne.
Une famille de parfums sobres mais sensuels, à laquelle appartiennent les plus grands parfums pour homme, comme Azzaro pour Homme ou Kouros, mais aussi le légendaire Jicky de Guerlain.
Le nom vient de Fougère Royale – un parfum d’Houbigant créé à la fin du 19ème siècle.


Les chyprés sont un hommage à Chypre, créé en 1917 par Coty.
Les chyprés sont construits autour d’un accord de bérgamote et de fleurs, et qui évoluent vers un fond boisé de mousse de chêne et de patchouli.
C’est Mitsouko de Guerlain, et Polo de Ralph Lauren, c’est aussi, plus récemment, Chance de Chanel ou Diamonds d’Armani.


Les parfums cuir évoquent, comme vous l’aurez deviné, l’odeur du cuir tanné à laquelle se mêlent les parfums de tabac, de miel et de bois.
C’est une famille petite et très typée, portée indifféremment par les femmes et les hommes.
Des parfums qui véhiculent une certaine animalité, plus torrides que sensuels, qui s’imposent violemment.
Cuir de Russie de Chanel, Bandit de Piguet, et récemment – tout en subtilité – Daim Blond de Serge Lutens.>

domenica 5 dicembre 2010

Tout (ou presque) sur le pain Poilâne










Fiche technique de la classique miche Poilâne :
La miche Poilâne est composée de 4 ingrédients : farine de blé broyée à la meule de pierre, du sel de Guérande, du levain et de l’eau.
C’est un pain rond à la croûte épaisse (car il est cuit au feu de bois) signée du P de Poilâne. Sa mie, dense, est de couleur bise ; sa saveur acidulée.
Elle pèse environ 1,9kg




Un peu d'histoire:

En 1932, un jeune boulanger normand monte à Paris ouvrir sa première boutique.
En suivant son intuition, Pierre Poilâne s’implante au 8 de la rue du Cherche-Midi. C’est un ancien faubourg de monastères adopté par les écrivains, les éditeurs et les artistes.
“Un quartier sans avenir”, lui prédit-on. De plus, la concurrence est rude, et c’est la plus petite des cinq boulangeries du coin. Aujourd’hui, c’est la seule.
Grâce à un pain au levain : la miche…

Un pain de tradition paysanne

La miche est un pain de tradition ancestrale en France.
Pierre Poilâne va donc à contre-courant : il mise sur le pain de ses aïeux.
Il s’y tiendra, malgré le goût des Parisiens pour le pain blanc dans les années 50, par opposition au pain noir mangé pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Pour lui, la taille de la miche présente un double avantage : elle se garde longtemps, et on peut y couper de larges tartines.
Pierre Poilâne va s’attacher à choisir des farines de blés broyés exclusivement à la meule de pierre, à utiliser du sel de Guérande, et à cuire son pain au levain dans un four chauffé au bois.

Du bougnat au restaurateur, le premier réseau de revendeurs

Peu à peu, la boulangerie fournit les bougnats qui ouvrent des bistrots à vin pour compléter leur activité de vente de charbon.
Les premières “tartines Poilâne” sont servies par un voisin, Au Sauvignon, rue des Saints-Pères.
Les fromagers suivent. Une affiche fleurit alors dans les bistrots : “Ici, Pain Poilâne, fait au levain, cuit au bois, à la farine moulue aux meules”.
Enfin, les restaurateurs commandent ses miches.
Pierre Poilâne tisse son réseau de revendeurs.

Dans les bagages de Lionel, le pain Poilâne gagne l’étranger

Dans les années 70, Lionel Poilâne reprend l’entreprise familiale.
Il a appris le métier dès ses 14 ans dans le fournil de la rue du Cherche-Midi.
Fort de cette expérience et de ses voyages, il se lance dans l’exportation de son pain à l’étranger.
Il commence par les Etats-Unis.
La réponse est positive. Il organise la livraison.
Au fil de ses pérégrinations, les livraisons s’étendent en Amérique, mais aussi en Asie, au Proche-Orient et en Afrique.
Malgré cette expansion de la production, chaque compagnon boulanger continue de façonner à la main et de cuire ses fournées dans un four à bois.
Lionel Poilâne préfère “l’intention à l’extension”.

Les recherches de Lionel Poilâne autour de la “Rétro-Innovation

En parallèle du développement de sa boulangerie, Lionel Poilâne mène des expériences agronomiques, biologiques, techniques – du blé au moulin, de la farine au pétrin, du levain au four.
Il se tient au courant des recherches technologiques, pour que la Maison Poilâne soit à la pointe de l’innovation.
Il est convaincu que le futur se construit en alliant le meilleur des techniques passées et le meilleur des techniques actuelles. C’est ce qu’il appelle la “Rétro-Innovation”.

Le pain, l’homme, et les choses de la vie

Lionel Poilâne voit en le pain un aliment noble, intimement lié à l’histoire de l’homme.
Sa curiosité le conduit vers tout ce qui indique la place du pain au cœur de la vie, de l’histoire, des civilisations – du passé comme du futur. Il recense les pains régionaux encore fabriqués en France, les sortant de l’oubli. Il rapporte les pains découverts au cours de ses voyages – comme des pains chinois en 1979, qu’il va conserver en inclusions.
Il commence une collection d’outils, de livres et d’œuvres d’art autour du pain. Son métier est sa passion, il souhaite la partager.

Les rencontres

En 1968, Lionel Poilâne rencontre Salvador Dali.
Très vite, l’artiste lui passe commande d’objets réalisés en pain.
Puis, en 1971, il demande une chambre à coucher en pain.
Le propos ? “Savoir s’il y a des souris chez moi” dira Dali, pince-sans-rire.
Lionel Poilâne ouvre ainsi la porte aux demandes d’artistes fascinés par ce matériau : César, les Lalanne, Man Ray, Pat Badani…
Il crée lui-même une cage en pain, cuite brin par brin, dont l’oiseau se nourrit pour s’envoler vers la liberté.

La manufacture aux 24 fours à bois

Les fournils de la rue du Cherche-Midi et du boulevard de Grenelle à Paris ne suffisent plus à répondre à la demande.
Lionel Poilâne dessine avec sa femme – architecte – une manufacture.
Leur défi ? Conserver une fabrication artisanale tout en produisant en quantité importante.
C’est ainsi que naît, au bord d’un champ de blé, une vaste structure ronde qui abrite 24 fours à bois identiques à ceux de ses boutiques.
Chaque boulanger y fabrique ses propres fournées, du pétrissage à la cuisson. De là, part le pain livré à nos revendeurs en France et à l’étranger.

Une boulangerie à Londres

En juin 2000, la Maison Poilâne ouvre sa première boutique à l’étranger, à Londres. Le côté cosmopolite, carrefour de cultures et de gastronomies a séduit Lionel Poilâne. Mais il a fallu deux ans d’efforts pour obtenir l’autorisation d’utiliser un four à bois : l’incendie de la ville, en 1666, était parti d’une boulangerie.

La reprise

Apollonia
a repris la Maison Poilâne en 2002. Elle entend poursuivre et développer le travail de son grand-père et de son père.


Boulangeries Poilâne
8 rue du Cherche-Midi,
Paris 6ème T. +33 (0) 1 45 48 42 59
49 bld de Grenelle,
Paris 15ème
T.+33 (0) 1 45 79 11 49
Ouvert le dimanche
46 Elizabeth Street,
Londres SW1W


CITATIONS sur le pain Poilane
Aimer les gens, c'est comme aimer des clients, il faut simplement leur faire du bon pain. Comme Poilâne, qui est mon héros : ce gars a même réussi récemment à installer un four à bois à Londres où c'est rigoureusement interdit : là je dis chapeau.
Professeur Choron, juin 2000

Poilâne, c'est le Français vivant que je préfère !
Salvador Dali, 1977

Inévitable que l'âne
S'en retourne à son chardon !
Pour moi le pain de Poilâne
De Dieu me paraît un don.
Maurice Fombeure, poête amateur, 1960

The fires of heaven
Are stoked with wood
In an oven below the ground
Where bread is rising,
Certain as the sun and rain,
Bread, my life, born early this morning
At Poilâne.
Pepersmith, a Poilâne bread lover, August 2000

Crois-tu qu'on puisse être bien tendre quand on manque de pain ?
Abbé Prévost (1697-1763), Histoire du Chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut

Le pain est le tuteur de la vie.
J. Smith, (1667-1745)

Conseils ptatiques
Côté conservation
Comment bien conserver nos pains ?
A l’abri de l’humidité, dans un endroit sec, avec assez d’air pour respirer. Vous pouvez laisser nos pains dans nos sacs en papier étudiés pour optimiser la conservation, ou entourer le pain dans un linge, en lin de préférence. Lionel Poilâne a également mis au point une boîte à pain disponible dans nos boutiques et en ligne.

Temps de conservation
Notez que le pain tranché se conserve moins longtemps que le pain non tranché.
La miche Environ 5 jours à compter de la date de fabrication. Au-delà, il est conseillé de la consommer grillée.
Le pain de seigle rond Environ 5 jours à compter de la date de fabrication.
Le pain aux noix Environ 2 jours à compter de la date de fabrication.
Le pavé de seigle aux raisins Environ 2 à 3 jours à compter de la date de fabrication.
Les Punitions® Environ 15 jours à compter de la date de fabrication.
Le pain décoré Environ 5 jours à compter de la date de fabrication. Au delà, il est conseillé de le consommer grillé. Le décor, lui, se conservera bien plus longtemps, surtout si il est verni.


Peut-on mettre la miche Poilâne au congélateur ?
Oui, si on l’enveloppe hermétiquement dans un sac de congélation. Pour congeler une miche entière, la couper en quarts ou en demies. Laisser décongeler à température ambiante.


Conseils d'utilisation
La miche :Fraîche ou toastée,avec les viandes, le saumon fumé, le foie gras, la charcuterie, le fromage ou tartinée de beurre et de miel.
En sandwich ou sous forme de tartine : avec tous types d’aliments.
Le pain de seigle rond :Pain recommandé pour les poissons, fumés ou non, les fruits de mer et la charcuterie fumée.

Le pain aux noix: A marier avec des fromages, type brie, camembert, ainsi qu’avec la salade.
Le pavé de seigle aux raisins Particulièrement recommandé pour les fromages bleus, la confiture, ou avec du beurre au petit déjeuner ou au goûter.

Les Punitions® :Ces sablés se dégustent comme mignardises, avec le thé ou le café. Ils peuvent accompagner un dessert, une glace ou une salade de fruits.
Le pain décoré Le pain décoré peut, au choix, être consommé comme une miche traditionnelle – prendre soin d’enlever le décor avant de couper ou devenir objet décoratif.
A conserver dans un endroit sec.

Je suis allergique. Y a-t il des allergènes dans les produits Poilâne ?
Tous les produits de la gamme Poilâne contiennent du gluten et d'éventuelles traces de fruits à coque (noix).
Le pain aux noix contient du gluten et des morceaux de noix.

Quand couper le pain ?

Au fur et à mesure de vos besoins.
Le pain se conserve en effet moins longtemps une fois tranché

Quel couteau utiliser pour couper le pain?
Un couteau à dents arrondies, pour mieux accrocher la croûte du pain. Nous vous en proposons dans nos boutiques et en ligne.

Quelle est la bonne épaisseur des tranches ?
A chacun son goût, mais l’épaisseur d’un doigt (1 cm) est un juste milieu pour la miche.

Pour les pains aux noix et de seigle, comptez un demi doigt (5mm).
Comment griller la miche Poilâne ?
Utiliser des tranches de pain qui ont quelques jours car le pain frais et/ou chaud supporte mal d’être grillé. Griller les tranches au dernier moment, à l’unilatéral pour conserver le moelleux de la tartine. Enfin, glisser vos tartines dans une serviette en coton ou en lin pour les garder au chaud plus longtemps.

Comment griller des tartines à l’unilatéral dans un toaster traditionnel ?
Insérer deux tranches dos à dos dans le grille-pain.

Voilà, c'est tout ou presque tout..
pour les fans rendez vous sur la page Facebook des "fans du pain Max Poilâne"

sabato 4 dicembre 2010

Flowerbomb c'est une bombe!




Hier dans ma boîte aux lettres j'ai trouvé un paquet avec un echantillon de parfum de Viktor et Rolf," Flowerbomb"..
Aussitot essayé, je suis tombé sous le charme. Il ressemble, en mieux, à Angel !!
J'ai cherché sur la toile et sje suis tombée sur un avis très sympathique et très pertinent, le voilà..


La mode comme le parfum sont une antidote à la réalité, contre laquelle nous n'avons qu'une seule arme : le rêve"

"Un parfum est l'expression la plus sublimée de la personnalité (...), chacun y projette ses folies, son imaginaire. On peut TOUT dire dans un flacon, il permet de capturer l'invisible." VIKTOR & ROLF ( couturiers, créateurs hollandais)
Ces quelques 'citations' en préambule pour vous brancher sur le plus... branché des duos de la mode du moment: les (faux) jumeaux, presque clones: Viktor & Rolf.
V&R sont encore peu connus dans l'hexagone, mais pourtant L'Oréal vient de leur déplier son somptueux tapis rouge pour produire leur parfum perso: "FLOWERBOMB".
Celui-ci a éclos au printemps. tout d'abord dans certains endroits confidentiels mais très chics: Saks à New-York, Colette à Paris. Cet élitiste élixir est arrivé finalement cette semaine dans nos parfumeries.

Bel objet que cette boîte cubique de carton rose très pâle, sanglée d'un ruban noir satiné, bouclée par un énorme sceau de "cire" noire comportant leurs initiales mêlées.
Le flacon, de cristal lourd, luxueusement taillé en diamant figure lui ... une grenade!
(l'arme)

Tiens..cela me rappelle ce livre de Maximilien Laroche:"Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ", connaissez-vous? *fin de la digression*
Je disais donc, le flacon est une grenade prête à être dégoupillée.
Oh ne reculez pas, mais plutôt ........come and see !!!
Regardez....le " jus"est aussi d'un tendre rose. C'est une guerre des fleurs, une guerre pour "de rire" plutôt que pour mourir..!

Créé par trois nez: Carlos Benaïm, Domitille Bertin et le grand Olivier Polge, FLOWERBOMB est un "méchant" floral!
Pas le genre petit-tout timide, un peu bcbg et passe-partout bien frais ...à offrir à belle-maman.
Ce n'est pas un parfum politiquement correct, c'est une BOMBE!
Oh il est doux pourtant, mais doux avec insolence et provocation comme son illustre aîné "Angel". Amusant qu'ils se ressemblent tant d'ailleurs alors qu'Angel avait fait sensation par son parti-pris de composition non-florale (vanille, chocolat, etc) et qu'à l'inverse FLOWERBOMB fait de ses mille fleurs sa profession de foi!

Il est donc doux... mais doux avec puissance!
Il est un peu fruité aussi et surtout mmmh.... infiniment fleuri...
L'effet n'est pas celui d'une chambre de palace où une starlette aurait reçu profusion de bouquets disparates. Non, ici, tout s'enchaîne, se répond, se complète. L'ensemble est structuré, cohérent. La composition d'un parfum relève à la fois de l'art et des mathématiques, évidemment conjugués à une alchimie bien secrète qui fait la patte des plus grands!


A défaut de sa formule , je vous en confie la composition. Il s'échafaude ainsi:
La note de tête part insolemment sur du thé et de la bergamote .
Puis son coeur chavire le nôtre avec sa senteur enivrante de jasmin Sambac, d'orchidée Catleya (....mmmh un parfum proustien... m'étonne que j'adore!) de freesia tout frais cueilli , et surtout de somptueuse rose Centifolia ...
Le fond , quant à lui est extraordinairement lumineux : tout en contraste et clair-obscur mystérieux Il est construit sur un échafaudage fascinant de bois précieux, d' écorce d'oranger, d' osmanthus rêveurs , et surtout de muscs et patchoulis un peu désuets ...

Vous l'aurez compris. J'ai eu un coup de foudre pour cette improbable utopie olfactive, délicieusement délirante et provoc'...
EXPLOSIVE!! , subversive juste ce qu'il faut ..mais finalement bien formatée pour un segment de marché un peu "borderline"par l'Oréal et ses stratèges en marketing .

Tsss voilà que je m'enlève mes illusions moi-même...Un comble ;-]) !!!!!!!!
Le message .......
Au premier degré cela pourrait être que la beauté est une arme.
Au second , il est plus philosophique(?) ...: style un peu message d'amour, de paix ("faites l'amour pas la guerre")comme celui de Benetton à la belle époque. A-t-on envie d'être assez innocent pour y croire?

Pour en revenir au parfum lui-même, car n'est-ce pas : "qu'importe le flacon ..." etc , je vous confie mon feeling perso dans le creux de l'oreille.
Au bout de quelques heures sur la peau, la fragrance atteint bizarrement une note intense, pure et ...métallique comme un acier qu'on aurait poli, frotté jusqu'à l'échauffer.
L'effet, loin d'être froid , est étrangement assez...hot!
Assez fascinante, cette persistance dans la tenue qui finit dans le métal.Rappel du thème de l'arme.
Odeur du fût d'une arme à feu ?

giovedì 2 dicembre 2010

Juliette Buré signe les très parisiens poudriers Bourjois.


La designer Juliette Buré signe la nouvelle collection de mini poudriers Bourjois. Baptisée "Bourjois fête Paris" elle est déclinée autour des monuments parisiens.

Juliette Buré, créatrice de luminaires fantaisistes, prête aujourd'hui ses talents à la marque de cosmétiques Bourjois (groupe Chanel) et relooke les boîtes des fameux blush multicolores de la marque, nés en 1863.

Sur le couvercle des petites boîtes rondes, la designer a ainsi apposé la Tour Eiffel, l’Arc de triomphe, la Bastille, l’Opéra Garnier, et le Sacré Cœur dans des couleurs pétillantes.

A chaque monument, un quartier, et à chaque quartier, une manière différente et légère de vivre la mode et la beauté. Cette série limitée comprend six nuances aux noms évocateurs : Rose coup de foudre, Ambre d'or, Lilas d'or, Rose d'or, Rose ambrée et Rose de jasp.

La collection Bourjois fête Paris sera mise en vente (11,95 €) en avant-première dans les parfumeries Douglas, à partir de novembre 2010, et dans les autres parfumeries, grands magasins, Citymarchés et sur leurs sites internet à partir de janvier 2011.

Led Light Exhibition a Milano. Viva il Led !









Un'onda di luci che parte dal Duomo .. Cinquecento lanterne luminose nei quartieri del Centro e un po' più in là..

Una luna d'argento e un bosco incantato in piazza Fontana, le nuvole su San Babila, nebbia in piazza Cavour, pesci fluo nel Naviglio, una distesa di panni tirati su via Della Spiga...

C'è il sogno di una Milano leggera, fiabesca, nei 60 progetti di light design che dal 4 dicembre al 10 gennaio abbaglieranno strade, piazze, scorci, sculture e porte monumentali della città.

Il Festival della Luce ha un prologo oggi, alle 19, nel Quadrilatero della Moda: l'inaugurazione delle «sfere» di Matteo Thun, in una via Montenapoleone aperta per shopping fino alle 21, apre il lungo Natale di Led.
«È il momento di consegnare queste opere di luce ai milanesi», sorride l'assessore al Decoro urbano, Maurizio Cadeo: «Sarà un successo».

Due progetti, per altro, resteranno nel tempo: i sistemi di illuminazione del Duomo e della Stazione Centrale.

Suggestioni, proiezioni, bagliori, rivisitazioni di monumenti e palazzi.
Contributi di artisti affermati e prove d'esame per gli studenti (Naba e Scuola Politecnica di design).

Questo, anzitutto, è Led: «Una rassegna della creatività migliore», sintetizza Cadeo. La si ritrova nelle silhouette delle guglie del Duomo «ricalcate» sulla Triennale, nella Torre led alzata in via Beltrami (spostata dopo la polemica sul «suk» in piazza Duomo), nell'ironia degli abiti firmati da Fabio Novembre e appesi in via Della Spiga.

E, ancora: scintille sui grattacieli di ieri, su quelli in costruzione.
E segni di nostalgia su Palazzo Carminati: la facciata ritrova per una notte l'omino Brill e la donnina Kores, le insegne al neon di un secolo fa, grazie alle proiezioni di Piero Castiglioni.

L'illuminazione scenografica del Duomo (firmata Castagna & Ravelli e finanziata dalla Fondazione Aem) sarà salutata, l'8 dicembre, da 500 lanterne fluttuanti sulla piazza e un concerto d'organo.
«L'impegno non è nell'effimero.

Ma vuole permettere che questa meraviglia, il Duomo, anche quando è chiuso continui a parlare alla città con le sue vetrate», dice Benigno Visconti Mörling Castiglione, direttore della Veneranda Fabbrica.

L'altra installazione permanente sarà accesa il 13 dicembre, è quella «tra memoria e modernità» progettata da Alain Guilhot per la Stazione Centrale: «Ridiamo visibilità e significato alla porta di Milano».

Infine, le polemica: lasciare o togliere il vestito di led dall'Ago e Filo in Cadorna?
Gae Aulenti ha chiesto al sindaco Moratti di rispettare il monumento: «Un'opera di pregio avvolta come un salsicciotto? È una vergogna».

Durissima la risposta di Cadeo: «Ci sono architetti che sono stati lautamente pagati per il loro lavoro. Ma la città non è loro, è dei milanesi. Provo disgusto e fastidio: ad Aulenti proporrei di darmi la sua parcella, e in cambio le consegno l'Ago e Filo. L'architetto abbia almeno il pudore di tacere».
E lei: «Di fronte a questa volgarità non ho nient'altro da dire, il livello dell'assessore si commenta da sé».

Arriva a Milano da Parigi la "Donna allo specchio "di Tiziano Vecellio





Dal Louvre di Parigi è arrivata «Donna allo specchio», splendida tela di Tiziano Vecellio in prestito temporaneo a Palazzo Marino, che, con Caravaggio nel 2008 e Leonardo nel 2009, consolida l'ormai tradizionale iniziativa che ospita capolavori provenienti da istituzioni straniere, offrendone al pubblico la visione gratuita.

Realizzato dal pittore veneziano tra il 1514 e il 1515, il dipinto entrò a far parte della Galleria dei Gonzaga a Mantova per passare alle collezioni di Carlo I d'Inghilterra ed approdare definitivamente nella raccolta posseduta da Luigi XIV, nucleo del futuro Museo del Louvre.

Giochi di specchi, riflessi e anamorfosi rendono intrigante questa versione di un soggetto molto frequente nella pittura rinascimentale, e realizzato più volte dallo stesso Tiziano, tra virtù e vanitas, bellezza ideale ed allusioni simboliche.

Una dama alla toeletta si acconcia i capelli, con una mano regge una ciocca mentre intinge le dita dell'altra in un vasetto di unguento; accanto a lei una figura maschile le porge due specchi.

Giochi di specchi per la "Donna allo specchio" : il primo davanti alla donna non rivela nulla, restituisce la versione frontale che il pittore già descrive; mentre il secondo, di forma convessa, posto dietro la nuca mostra il retro della figura, aprendo lo spazio alla scenografia della stanza riflessa e dilatata, con una anamorfosi dell'uomo.

Sapienti virtuosismi ottici, dunque, che rendono «a tutto tondo» la visione bidimensionale del dipinto, allargando la conoscenza a dettagli che, senza riflessi, sfuggirebbero allo spettatore, o allora una rappresentazione allegorica della Pittura, in grado di rivelare ciò che all'occhio è invisibile, secondo alcune interpretazioni che tralasciano così di identificare la dama con l'amante di Alfonso d'Este o di Federico Gonzaga o dello stesso artista.

Tiziano. Palazzo Marino, Sala Alessi. Piazza della Scala 2.
Tel. 800.14.96.17.
Orari: 9.30-19.30; gio e sab 11-22.30.
Ingresso libero.
Dal 3 dicembre al 6 gennaio.

mercoledì 1 dicembre 2010

Alain Delon interpreta Silvio Berlusconi




Alain Delon to play Silvio Berlusconi in film adaptation of Italy's escort girl scandal.

Italy’s most famous escort girl, Patrizia d’Addario , continues to great waves in the country, with a film adaptation of the d’Addario biography on the cards.

At the recent 2010 Sanremo festival , d’Addario dropped a hint that none other than Quentin Tarantino would direct the film based on her biography and the scandal of Italy’s prime minister, Silvio Berlusconi , and his escort girls.

Italy’s most famous escort girl, Patrizia d’Addario, continues to great waves in the country, with a film adaptation of the d’Addario biography on the cards.

At the recent 2010 Sanremo festival, d’Addario dropped a hint that none other than Quentin Tarantino would direct the film based on her biography and the scandal of Italy’s prime minister, Silvio Berlusconi, and his escort girls.

After the rumours surrounding Tarantino (now fizzled out), another famous face is at the centre of the gossip from Italy, this time in the form of actor Alain Delon.

Reported to play Berlusconi himself in the film, the rumours have so far been denied, as has the reported two million euros for the part.
There seems to be no question, however, that the film will be made, with Gioele Centanni as producer, and Dario Cioni as director.
Executive producer would be Raffaello Saragò, also a veteran in Italian film making circles.

While I haven’t read the biography, we can only hope for something of quality that won’t play into the propaganda machine that already gives fuel to the Berlusconi fire.
I’m not holding my breath though.
Executive producer Saragò says: “It won’t be a political film. I’m neither right wing nor left wing. It will be a story about a life lived: intense and even painful.
If one night Patrizia went where she went and met the Prime Minister, she’s certainly not the only one to have found herself in that position
.”

Meanwhile, the constant “Patrizia is the victim and Berlusconi the hero who sows his seeds” roles continue to play out.
D’Addario was actually at Sanremo to promote her new single and first venture into the music world and, surprise surprise, the lady will play herself in the film.
An escort girl turned Italian diva is hardly a turn-out for the books.

domenica 28 novembre 2010

Catastrophes à Genève !






Eh bien, Genève aussi peut avoir des ennuis..la neige et la tempête donnent des soucis aux habitants!

En effet la tempête s'abat sur Genève, les routes sont fermées, il y a des voitures dans le fossé et la circulation est chaotique dans le canton.
Une soixantaine d'accidents ont marqué la journée...

Voici quelques photos..

sabato 27 novembre 2010

La nuova boutique Borbonese a Torino


Ecco un indirizzo fashion, decisamente imperdibile, da annotare nella guida agli acquisti più cool di stagione.
A Torino si é aperta in via Amendola 4bis/B, la nuova boutique Borbonese, che inaugura il suo nuovo progetto di ampliamento del brand e presenta un innovativo concept, che guiderà tutte le prossime aperture in Italia e all’estero.

Contrasti in chiaro scuro, contrapposizione tra materiali lucidi e opachi, maxilampadari in legno che fanno da contraltare a luci filiformi in metallo: l’atmosfera dello store si gioca tutto sulle antinomie e sull’armonizzazione degli opposti.
Lontano dalle logiche industriali e forte di lavorazioni basate sull’artigianalità, lo spazio si snoda su due piani, con grandi vetrine – che esaltano la bellezza dei prodotti Borbonese – e un ampio ingresso pronto a contaminarsi con il mondo dell’arte. Per manifestare appieno la sua duplice anima, in cui lo yin e lo yang si fondono in un unico insieme per rendere il tuo shopping un’esperienza davvero emozionale.

Torino, Boutique Borbonese,
Via Amendola 4 bis/B

Et si on allait à Megève ?




Voilà, l'hiver est là !
Il est temps de savourer une parenthèse enchantée dans le charmant village de Megève afin de profiter de l'air vivifiant de la Haute Savoie et de la douceur de vivre megévanne...

Nichée au cœur des Alpes, en Haute Savoie, la petite station de ski à la renommée internationale accueille depuis le début du siècle dernier nombre de têtes couronnées et de V.I.P.

Les rues de ce village soucieux d’encourager un tourisme vert peuvent s’enorgueillir d’avoir préservé l’architecture harmonieuse du début du XXème siècle qui a fait la renommée de la station.

Après avoir découvert les massifs montagneux environnants (notamment via les pistes du vaste domaine skiable d’Evasion Mont-Blanc) et afin de surmonter le froid hivernal, on peux decouvrir une gastronomie toute « fromagère » accompagnée de délicieux vins de Savoie…

Si le temps n’est pas au beau fixe, profitez de votre passage à Megève pour découvrir le Musée du Haut Val d'Arly qui a pour particularité de se trouver dans une ferme ancienne. Vous découvrirez l'histoire de la station et du patrimoine local.

Infos Pratiques:

Pour se rendre à Megève en avion :
Les aéroports les plus proches sont ceux de d’Annecy et de Chambéry.
On peux également profiter de l’aérodrome de Megève.

Aéroport d’Annecy
www.annecy.aeroport.fr

Aéroport de Chambéry
www.chambery-airport.com

Aérodrome de Megève
www.aerocime.com

En train:
La gare la plus proche est celle de Sallanches.
A titre informatif :
Paris- Sallanches : 5h30 en moyenne
Lyon- Sallanches : 4h30 en moyenne

www.voyages-sncf.com

En voiture
Paris- Sallanches : 5h 30 environ en passant par l’A6 puis l’A40
Lyon- Sallanches : 2h environ en passant par l’A40

Sites et informations utiles

Office du tourisme de Megève
www.megeve.com

Comité Départemental du Tourisme de Haute Savoie et Savoie
http://hiver.savoie-mont-blanc.com

Comité Régional du Tourisme de Rhône Alpes
www.rhonealpes-tourisme.fr

Evénements à retenir
Décembre
Parade aux flambeaux
www.megeve.com

Janvier
Grande Odyssée
http://www.grandeodyssee.com
Megève Polo Masters
www.polo-master.com
Snow Golf Cup
www.snowgolfcup.com

Mars
Festival Cocteau
www.megeve.com
Championnats de France de ski freestyle et de bosses
http://www.skifreestylefrance.com

lunedì 22 novembre 2010

Una voglia di Argentina..









Con i primi freddi arriva la voglia di scappare in luoghi caldi e gradevoli.
Oltre al clima, perché non aggiungere l'occasione di scoprire usi e costumi differenti, una storia e un contesto interessante.
E ancora..un continente lontano ma con origini e tradizioni legate al mio passato..e dunque, per concludere perché non andare in Argentina !
Trovata la destinazione, é meglio raccogliere le informazioni di base.
Un giretto su Internet e ecco fatto!


Informazioni Paese:
Lingua : La lingua ufficiale è lo spagnolo, con alcune differenze rispetto a quello parlato in Spagna.
L’italiano è piuttosto diffuso.

Valuta : Peso argentino (ARS), corrispondente a 0,1827 euro (1 euro = 5,4404 ARS).

Fuso Orario : -4 rispetto all’Italia (-5 quando in Italia vige l’ora legale).

Documenti : Passaporto con validità minima di sei mesi.
Non sono richiesti visti d’entrata per soggiorni inferiori a tre mesi.

Avvertenze sanitarie (vaccinazioni profilassi) e precauzioni :
Nessuna avvertenza particolare.
Si consiglia di stipulare un’assicurazione medica prima di partire.
Vista una certa diffusione della microcriminalità, è bene usare prudenza soprattutto nelle zone periferiche delle città e nelle ore notturne.

Come arrivare :
Si può volare senza scalo da Roma a Buenos Aires con circa 14 ore di percorrenza con Aerolineas Argentinas oppure con Alitalia, atterrando nell’Aeopuerto Internacional Ministro Pistarini.

Periodo migliore per partire
:
Le stagioni sono invertite rispetto alle nostre. Il clima risulta diversificato lungo il territorio.
A Buenos Aires si può andare tutto l’anno, mentre la zona nord-est ha un clima sub-tropicale e sempre umido.
Nelle località montane, dove si scia, il periodo migliore è la nostra estate, come pure se ci si vuole spingere fino all’estremo Sud della Patagonia. Un periodo ottimale per visitare l’intero paese in lungo e in largo è il nostro autunno, corrispondente alla primavera argentina.

La capitale: cosa vederell cuore di Buenos Aires è rappresentato da Plaza de Mayo, circondata dalla storica Torre di Guardia, dalla Casa Rosada (residenza del governo) e dalla Cattedrale. I lunghi viali intorno sono tutti molto animati.
Sulla Avenida de Mayo si trovano bistrò e locali caratteristici come l’antico Café Tortoni, mentre lungo l’Avenida Corrientes s’incontrano ristoranti, cinema e teatri. Famosa per la sua incredibile larghezza è la Avenida 9 de Julio, dove si trova anche il prestigioso Teatro Colòn.

Tra i quartieri della città, il più caratteristico è quello di San Telmo, dove in molti locali e ristoranti vanno in scena spettacoli di tango e dove si possono trovare non solo tanti negozietti vecchio stile ma anche un mercato delle pulci, che si svolge alla domenica in Plaza Dorrego.
Molto pittoresco è anche il quartiere italiano La Boca, contraddistinto dalle facciate vivacemente colorate delle casette. Chi vuole rilassarsi nel verde può dirigersi al periferico Aeroparque Jorge Newbery, nei pressi dell’aeroporto. In questa grande area si trova un lago artificiale, spazi per il picnic, un campo da golf, l’ippodromo cittadino e altre strutture sportive. Da non perdere lo spettacolo delle partite di polo che si svolgono in autunno nei campi del parco. Gli amanti del tango possono rendere omaggio al grande cantante Carlos Gardel visitando la sua grande e scenografica tomba presso il cimitero di Chacarita.

I luoghi da non perdere in ArgentinaT
ra le principali attrattive dell’Argentina ci sono quelle naturalistiche.
Molto visitata è la Patagonia, soprattutto nell’estremo Sud, nella Terra del Fuoco dove si trova la città di Ushuaia, la città più meridionale del mondo.
Qui si possono fare anche crociere tra i ghiacci e si possono ammirano foreste, laghi, ghiacciai e una ricca fauna di uccelli acquatici, leoni marini e castori. Nel Parco Nazionale Los Glaciares, vicino a El Calafate, i turisti arrivano per visitare soprattuto il colossale ghiacciaio Perito Moreno.
Al confine con il Brasile si trova invece un’altra meraviglia naturale: le spettacolari Cascate dell’Iguazù.
Tra le grandi città, meritano una visita Cordoba, seconda del Paese per popolazione dopo Buenos Aires, che conserva molti edifici storici, Rosario e Santa Fé.
Chi vuole vedere un’Argentina diversa troverà interessante la cittadina di Bariloche, famosa stazione andina di sporti sia invernali che estivi, nota come “la Svizzera argentina”.

Feste ed eventi
Nella capitale argentina il ballo nazionale dà vita a numerosi eventi, a partire dall’importante Festival internacional del tango che si svolge tra fine febbraio e marzo con decine di ballerini e musicisti impegnati in un centinaio di spettacoli. Il giorno 11 dicembre, anniversario della nascita di Carlos Gardel, è la volta di El dia nacional del tango, durante il quale in tutto il Paese si svolgono concerti con il contorno di competizioni di ballo.
Sempre per quanto riguarda la musica e le danze, a Cosquin in gennaio ha luogo il Festival nacional del folklore, con ballerini e musicisti di alto valore provenienti da tutta l’Argentina.
A Rosario, tra settembre e ottobre si svolge il curioso Encuentro Internacional de Escultura en Madera-Piedra-Cerro, una settimana durante la quale gli scultori fanno a gara per creare di fronte al pubblico opere in legno, pietra o ferro.
Per quanto riguarda lo sport, un appuntamento importante è quello con il Polo Argentine Open, torneo di polo di più che centenaria tradizione che si svolge tra novembre e dicembre al Campo Argentino de Polo di Buenos Aires.

In valigia
Per lui:
Se si è diretti al Nord si può mettere in valigia un abbigliamento leggero, pantaloni, camicie e scarpe comode. Se si punta verso Sud o alle montagne bisogna coprirsi bene: maglioni, cappello e giacca a vento. Scarpe da trekking per escursioni nei parchi.

Per lei:
a Buenos Aires, magliette, vestiti e almeno una camicia elegante con una gonna lunga per il tango, visto che prima o poi capiterà di lasciarsi trascinare nelle danze. In inverno (quello locale) ci vuole comunque una giacca di lana per le giornate più fresche. Al Sud, capi impermeabili e termoisolanti, con scarponcini.

Cosa mangiare
La cucina argentina è stata molto influenzata da quella europea, italiana e tedesca soprattutto.
Nelle città principali, oltre ai ristoranti che puntano a specialità della cucina locale si trovano quindi molti locali di gastronomia europea.
I piatti forti sono quelli a base della famosa e buonissima carne di manzo, che viene presentata soprattutto come asado (arrosto) o parrilla (alla griglia).
Un piatto tipico è la empanada, un involtino di pasta cotto al forno o fritto ripieno di carne o formaggio, uova, cipolle.
Una ricetta andina è quella della hunita criolla, a base di cipolle e pomodori fritti.
In Patagonia invece la specialità è la carne di agnello e nei luoghi di mare, come Ushuaia, prevale il pesce. A parte i vini argentini, di ottima produzione, molto diffuso come bevanda è il mate, un’infuso di erba che si beve solitamente anche come rituale di amicizia.

Cosa comprare :
Ottimi acquisti artigianali si fanno soprattutto negli articoli in pelle e in cuoio, come scarpe, borse, cinture. Nella zona delle Ande è diffusa la produzione di abbigliamento in lana, per esempio di maglioni molto caldi lavorati a mano.
Anche a Buenos Aires si possono trovare negozi che propongono tessuti e oggetti lavorati dagli indios.
Tipici acquisti dei turisti sono inoltre quelli di oggetti e gioielleria in argento e di confezioni di “yerba mate”, l’erba con cui si produce un ottimo infuso stimolante.

Da leggere sulla destinazione :
Per uno sguardo sulla storia recente del Paese, L’Argentina non vuole più piangere (ed. Sperling & Kupfer) di Italo Moretti, mentre per conoscere le radici della presenza italiana Storia degli italiani in Argentina (ed. Donzelli) di Fernando Devoto.
Una “storica” descrizione del Sud del Paese è quella fatta da Bruce Chatwin nel suo libro In Patagonia (ed. Adelphi).
Un bel libro di narrativa “on the road” ambientato in Argentina è L’ora senz’ombra di Osvaldo Soriano.

Indirizzi e link utiliSezione turismo dell’Ambasciata dell’Argentina: piazza dell’Esquilino 2, Roma,
tel. 06.48.07.33.00,
www.ambasciatargentina.it.

Michel Comte mette a nudo le celebrities !









Carla Bruni nuda é costata ben 91 mila dollari a un ricco cinese..
Lo scatto del 1993 porta l’inconfondibile firma di Michel Comte, lo svizzero che sa come prendere le donne.
Per vedere la celebre fotografia della première dame senza veli (o quasi) c'è Not only women. Feminine Icons of our Times, che inaugura a Lucca il 20 novembre, in concomitanta con l’apertura del LUCCA Digital PHOTO Fest.

Carla Bruni è in buona compagnia, con lei ci sono modelle, star del cinema e cantanti, da Pamela Anderson a Eva Herzigova, da Sophia Loren a Claudia Schiffer. L’Olimpo rosa dei nostri giorni è tutto riunito nelle sale del Lucca Center of Contemporary Art per mostrare il suo lato migliore.

Gli oltre 60 scatti esposti – alcuni di piccolo formato (30x30), altri a grandezza naturale – celebrano la femmilità contemporanea: una sofisticata e selvaggia Naomi Campbell; un'esuberante Tina Turner e una sensualissima Penelope Cruz.
Si nasconde nella penombra Sophie Marceau, mentre Demi Moore, in bianco e nero, mostra fiera i suoi bicipiti.

Nessuno sa mettere a nudo le donne come fa Michel Comte, "il cavaliere errante della fotografia", come lo chiama Geraldine Chaplin che a lui si è concessa con la grazia che la contraddistingue.
Fotografo di moda ricercatissimo da riviste patinate (Vogue e Vanity Fair) e da griffe internazionali per campagne pubblicitarie (Armani, Versace, D&G, Ferrè), Comte usa la macchina fotografica come punto d'osservazione privilegiato per "spogliare" i suoi soggetti.

Il risultato sono scatti memorabili diventati icone dell'immaginario collettivo. Stranamente, non solo di quello maschile.

Info: Michel Comte. Not only women. Feminine Icons of our Times, Lucca Center of Contemporary Art, via della Fratta 36, Lucca, tel. 0583.57.17.12, www.luccamuseum.com.
Fino al 23 gennaio 2011. Orari: 10-19, chiuso lun.
Biglietti: 7 €, ridotto 5.