martedì 19 maggio 2009

Cannes déconcerte..


Le Danois Lars von Trier a déconcerté lundi au 62e Festival de Cannes avec le violent "Antichrist", film à la photographie d'une beauté stupéfiante où une femme sombre dans la folie, tandis que le Britannique Ken Loach dévoilait une jolie comédie, "Looking for Eric".
Festival

Après le rocker Johnny Hallyday, le footballeur Eric Cantona a foulé le tapis rouge, après avoir signé de nombreux autographes pour ses fans. Il interprète son propre rôle dans "Looking for Eric": celui d'un mythique buteur du Manchester United des années 90.

L'acteur américain Willem Dafoe, le réalisateur danois Lars Von Trier et l'actrice française Charlotte Gainsbourg le 18 mai 2009 à Cannes pour le film "Antichrist".
L'actrice américaine Hillary Swank, le réalisateur britannique Stephen Frears et Ayush Mahesh Khedekar qui jouait le petit garçon dans "Slumdog millionaire" ont aussi monté les marches avant la projection de cette comédie sociale et légère, très applaudie dans la journée.

Le Marseillais y débite des aphorismes au sens nébuleux, le torse bombé et l'air impassible, apportant une irrésistible touche comique.

Le scénariste Paul Laverty, fidèle collaborateur de Loach, a brodé ses répliques dans l'esprit du célèbre: "Quand les mouettes suivent un chalutier, c'est parce qu'elles pensent qu'on va leur jeter des sardines".

Mais c'est un quasi inconnu de 49 ans, Steve Evets, qui incarne le héros, donnant une belle humanité à ce postier déprimé, marié trop jeune, qui a déserté sur un malentendu l'amour de sa vie.

Flanqué de deux beaux-fils fainéants et irrespectueux, il juge sa vie ratée jusqu'au jour où son idole, Eric Cantona, lui apparaît et se met à le "coacher".

En compétition pour la 8e fois à Cannes où il a remporté la Palme d'or en 2006 avec "Le vent se lève" et grand fan de foot, Loach signe un film émouvant sur l'amitié et la solidarité, galvanisées par l'amour du ballon rond.

Il fait un bel hommage aux supporters d'origine populaire, tenus à l'écart des stades par les prix prohibitifs des billets.

A des années lumière, le sombre "Antichrist" signé par le Danois lauréat de la Palme d'or en 2000 avec "Dancer in the dark", met en scène la Française Charlotte Gainsbourg, dans sa composition la plus forte à ce jour, et l'Américain Willem Dafoe.

Ecrit par Lars von Trier en guise de "thérapie" au sortir d'une dépression et inspiré de ses rêves et obsessions, ce film est un cocktail inédit qui mêle imagerie chrétienne archaïque et critique de la psychanalyse pour parler de deuil, de culpabilité, de peurs primales et de pulsions oedipiennes.
Il s'ouvre sur une étourdissante scène en noir et blanc où un homme et une femme font l'amour tandis que leur petit garçon sort de son lit et les observe.
Attiré par la neige qui tombe de la fenêtre ouverte, il bascule dans le vide.

Insoutenable, le chagrin de la mère vire à la folie : le père tente alors une thérapie de choc, en l'emmenant dans le chalet perdu dans la forêt où elle et l'enfant ont passé un été.

Là, la nature lui inspire des visions de plus en plus angoissantes et la névrose prend possession d'elle, jusqu'au déferlement de violence final.

Imprégné de la majestueuse musique de Haendel, "Antichrist" marque d'abord par son atmosphère envoûtante, liée à la beauté de la photographie et les dialogues en grande partie susurrés.

Une lumière spectrale, une forêt de contes de fées nimbée de brouillard, un ralenti qui rapproche le film de la photographie : ces images semblent sorties de l'inconscient.

Moins convaincante, la dernière partie du film fait appel à l'imagerie médiévale de la chasse aux sorcières pour justifier le délire de l'héroïne.

La surenchère de violence des scènes finales qui allient nudité, sexe et auto-mutilation filmée frontalement, a choqué une partie des critiques.

lunedì 18 maggio 2009

Vuoi che ti presti un libro?


Te lo presta Franca B. , 36 anni, una ragazza piena di idee che ama i libri, la lettura e le dediche.

Dal 2004, quando ha aperto un blog, Librinprestito, invia uno degli oltre mille volumi della sua biblioteca personale a chi lo richiede.

Le "regole" sono solo due: impegnarsi a restituire il libro entro un mese e mezzo e fare in modo che il libro, tornando nelle sue mani racconti qualcosa del tempo trascorso da "ospite".

La Villa Borromeo Visconti Litta é aperta



Il 10 maggio 2009 la Villa Borromeo Visconti Litta ha riaperto le sue splendide entrate.
La Villa Borromeo Visconti Litta di Lainate, situata a una ventina di chilometri da Milano, ha riaperto al pubblico i famosi giochi d'acqua, i palazzi del 500 e del 700 , il giardino botanico, per delle giornate all’insegna del relax e della cultura e per un’ottima possibilità di svago di qualità.

Villa Borromeo Visconti Litta fu voluta da Pirro I Visconti Borromeo ispirato dalla Villa Toscana medicea.

Sin dalla progettazione, nel 1585, la finalità della Villa era assolutamente ludica: attività culturali e artistiche sono sempre state ospitate da questo pezzo di paradiso a Lainate.

A coronare definitivamente questo posto, nel 2008 è stata nominata dall’Expo internazionale di Saragozza come uno dei luoghi rappresentativi del connubio arte-acqua in Italia.

Il programma delle visite si amplierà a partire da giugno con le Domeniche in Villa, ai concerti aperitivo della domenica mattina e ai Notturni al Ninfeo (il sabato sera).

Per maggiori info clicca qui..

domenica 17 maggio 2009

Alla scoperta dei look degli adolescenti



"Mi vesto, dunque sono.."


Catherine Balet, fotografa francese va alla scoperta dell'abbigliamento degli adolescenti
C’è un rapporto ambiguo tra la moda ed il mondo degli adolescenti.

Si tratta di un rapporto che esula dal concetto di tendenza fine a sè stessa, o di adulazione delle grandi firme. Lo stile che gli adolescenti scelgono nell’abbigliamento é direttamente legato ad una simbologia, ad un senso di appartenenza e all’icona come legame viscerale.
La fotografa Catherine Balet ha iniziato nel 2004 uno studio sul look e lo stile degli adolescenti, partendo dalle polemiche sull’uso del velo, che avevano dato adito ad una serie di forti dibattiti nelle scuole francesi.

Da qui l’idea di prendere i giovani parigini come soggetti per le sue foto, intervistarli all’uscita della scuola e cercare di fare un vero e proprio esperimento sociologico. Un lavoro lungo, che l’ha portata fino a Londra, Berlino, Barcellona e Milano, per cercare di mettere a confronto generazioni dalle radici culturali totalente diverse.
La ricerca che si chiama Identity ha portato una serie di interessanti spunti, andando a tracciare una mappa morfologica del nuovo modo di vestire de giovani.

Dallo street style all’hip hop, dalle new lolita al vintage allo stile gothic, i ragazzi scelgono elementi spesso stravaganti e di difficile comprensione.

Attraverso le interviste è emerso però che l’elemento che lega l’abbigliamento e lo stile adottato è la musica." Io sono ciò che ascolto".

Dunque si sceglie uno stile se si ascolta la musica rock, se ne sceglie un altro se ci si orienta su quella rap.

La generazione dell’ ipod è forse ancor più legata alla musica rispetto a quelle passate.

Lo stile cambia anche a seconda delle città e delle radici culturali che esse trasmettono ai ragazzi: Parigi è sicuramnte la più eterogenea, Londra la più eccentrica, Berlino le più creativa, mentre per Milano il motto è vestirsi per essere osservati.

Tanti elementi che forniscono informazioni interessanti percercare di capire meglio il complicato mondo adolescenziale, che Catherine Balet considera creativo e ricco di sorprese.

Una di queste è che a discapito di molti luoghi comuni ci sono tantissimi giovani che scelgono di non appartenere a nessuno stile e rifiutano di essere etichettati attraverso l’uso di un codice.
Tanti stili, tante idee, tanta musica.
Il mondo degli adolescenti è anche questo.
PER VEDERE IL SITO DI CATHERINE BALET
http://mapage.noos.fr/catbal/identity.html

sabato 16 maggio 2009

Cannes ..Cannes
















Chaque année les organisateurs relèvent le défi de faire de Cannes la Capitale mondiale du cinéma pendant plus de dix jours.



Mais bien au-delà du cinéma, le Festival de Cannes et devenu un événement médiatique majeur. En effet de nombreuses manifestations se déroulent en marge du festival attirant un grand nombre de célébrités, de people, de personnes connues et anonymes à la recherche de sensation. Parmi ces manifestations le gala de l'amfAR est l'une des soirées les plus courues.

Cette année l'ancien président Bill Clinton et l'actrice Sharon Stone présideront le gala, pour l'occasion la chanteuse Annie Lennox (ex-Eurythmics) donnera un concert privé

Les temps forts

Pendant onze jours les amateurs du 7ème Art se donnent rendez-vous pour le plus grand Festival de cinema.
Chaque jour réservant son lot d’évènements et de surprises. Cette année c'est un film d'animation qui fera l'ouverture du festival.

Produit par le studio américain Pixar-Disney et signé par le réalisateur de "Monstres et compagnie" Pete Docter, "Là-haut" sera ainsi dévoilé dix semaines avant sa sortie en France, le 29 juillet.

Parmi les films en compétition les plus attendus on note les films de Jane Campion (Palme d’or en 1993), de Jacques Audiard, d’Ang Lee, de Ken Loach, de Lars Von Trier, Pedro Almodóvar, Marco Bellocchio, Quentin Tarantino, Alain Resnais, Michael Haneke, Gaspard Noé. Des réalisateurs pour la plupart habitués de la compétition. Le film "Antichrist" de Lars Von Trier fait d’ores et déjà office de film à scandale de cette édition 2009, alors que le film de Johnny To "Vengeance" avec Johnny Hallyday pourrait être l’une des curiosités.

Le film d’Alain Resnais "Les herbes folles" devrait lui aussi faire parler avec son casting bien français : les habitués Sabine Azema et André Dussolier, Anne Consigny, Emmanuelle Devos, Mathieu Amalric.

La musique du film (toujours très importante chez Alain Resnais) étant confiée à Mark Snow (X-Files).Le film de Ken Loach "Looking for Eric" avec Eric Cantona dans son propre rôle devrait surprendre. "Etreintes brisées" de Pedro Almodovar devrait plaire sur la Croisette ainsi qu’au public français toujours très accueillant avec les films du réalisateur espagnol d’autant plus que Pénélope Cruz bénéficie d’une belle côte de popularité en France.

Quand au film de Jacques Audiard "Un prophète" il va plonger les festivaliers en plein dans l’actualité avec ce film de 2h30 au cœur du milieu carcéral. On attend également beaucoup du nouveau Tarantino "Inglourious basterds" avec son incroyable casting : Brad Pitt, Samuel L.Jackson, Diane Kruger, Mike Myers, Eli Roth, Mélanie Laurent (Photo page d'accueil). Ce film a l’esthétique soignée se déroulant durant la seconde guerre mondiale va sans doute faire grand bruit quand on connaît le caractère provocateur du réalisateur.
Les films hors compétition de cette année font également partis des temps forts très attendus. "Agora" de Alejandro Amenabar avec Rachel Weisz se déroulant au IVème siècle après Jésus-Christ en Egypte alors qu’elle est sous domination romaine. Un film d’aventure à grand spectacle qui sera projeté le 17 mai à Cannes. "L’Armée du Crime" de Robert Guediguian projeté le même jour nous plonge comme le Tarentino en pleine Seconde Guerre Mondiale ; On retrouve au générique Simon Abkarian, Virginie Ledoyen. Le nouveau Terry Gilliam "L'Imaginarium du Docteur Parnassus" avec le regretté Heath Ledger devrait être un moment là-aussi important d’autant plus qu’on retrouve au casting les acteurs Johnny Depp, Jude Law et Colin Farrell. On attend également avec impatience la projection du film de Jan Kounen "Coco Chanel & Igor Stravinsky" avec Anna Mouglalis qui fermera le Festival juste après la cérémonie de clôture qui dévoilera le palmarès de cette édition 2009.
Les Stars attendues

Si le festival de Cannes existe pour et par le cinéma c’est aussi un lieu incontournable pour de nombreuses stars en promotion où non. Ce 62ème Festival de Cannes nous permettra de voir les stars les plus glamour de la planète. Parmi lesquelles Brad Pitt, Johnny Depp, Diane Kruger, Mélanie Laurent, Charlotte Gainsbourg, Johnny Hallyday, Monica Bellucci, Charles Aznavour sans oublier les membres du jury Isabelle Huppert, Robin Wright-Penn, Asia Argento ou bien encore la sublime Shu Qi. Sans oublier les égéries de l’Oréal (partenaire du festival) : Aishwarya Rai, Elizabeth Banks, Eva Longoria, Gong Li , Doutzen Kroes, Michelle Yeoh, Noémie Lenoir, Milla Jovovich, Kerry Washington.

On n’oubliera pas les événements people que seront les grandes soirées de la Croisette notamment au VIP Room qui proposera cette année un programme alléchant avec Bob Sinclar, Martin Solveig, Joachim Garraud, Carl Cox, ou bien encore Dita Von Teese, Solange Knowles, Will I.Am, ça va être chaud !

Les stars asiatiques illuminent Cannes






Le festival de Cannes 2009 fait la part belle au cinéma asiatique et les stars venues d'Asie illuminent le tapis rouge du Palais des festivals.


On a ainsi vu Shu Qi, star taïwannaise membre du jury avec une parure signée Cartier, l'actrice et top model Devon Aoki portant une robe Alberta Ferretti de la collection Automne/Hiver 09-10, lors de la présentation du Film « Spring Fever » ou avec des bijoux Chopard lors de la soirée "Belle de nuit".
Dun-Na Bae était habillée par Christian Dior et Zhuo Tan en Roberto Cavalli, l'actrice du film "Nuits d'ivresse printanière" avait également sélectionné le collier “generous” et le sac "Marylin" de Swarovski et elle était maquillée par Christian Dior.

quest'estate tutte in giallo?


L'été arrive très bientôt avec lui son beau soleil jaune (on espère !) de quoi retrouver optimisme et sourire. Une couleur jaune que l'on peut adopter dès maintenant en pensant aux belles journées estivales.
Le jaune couleur vive par excellence est aussi une couleur qui s'adapte facilement avec des looks très différents.
Que vous soyez blonde ou brune il fera ressortir votre personnalité et c'est certain avec cette belle couleur vous ne passerez pas inaperçue.
Alors pour être à la pointe des tendances. Osons le jaune ...
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Cannes, les coulisses du festival



Cannes, c’est l’événement cinéma de l’année.
Celui que tout le monde attend. Journalistes, acteurs, réalisateurs et fans.

Glamour, paillettes, stars en pagaille, montée des marches: le festival regorge d’attraits et de moments forts.

Mais connaît-on bien les coulisses du festival?

Son jury, sa présidente, les films en compétition ou encore son impact sur l’industrie du 7e art.

Mais saviez-vous qu’Edouard Baer, qui présente le Festival pour la deuxième année consécutive, a de plus en plus le trac?
Selon lui, Cannes souffre d’une mauvaise image, «mélange d’exhibitionnisme et de vulgarité». Mais pour le comédien, c’est autre chose.
«Un Festival qui montre le cinéma d’auteur venu du monde entier».
Et si l’humoriste paraît serein à l’idée d’animer pour la seconde fois cette 62e cérémonie d’ouverture, il en est tout autrement en vrai. «J’ai plus le trac que l’année dernière.
C’est comme quand on réalise un deuxième film, on a le trac et on sent plus de pression que pour le premier», confie-t-il. Oui, réussir une fois ne présume pas qu’on passe l’épreuve haut la main une seconde fois.
Lui qui jouera dans Konck, un film «sur la manipulation et l’escroquerie», et qui montera à Nice un spectacle baptisé Miam Miam, devrait pourtant sans problème masquer son appréhension et nous régaler…
Saviez-vous aussi que la présidente du jury, Isabelle Huppert, est déjà surnommée «l’Huppert présidente»?
L’actrice, qui a joué avec les plus grands et qui a tourné pour quelques grands noms du cinéma, a cette année déjà posé bagages au Carlton.
Mardi soir, elle a animé une première séance de travail avec les jurés, mais a de suite donné le ton: il faut absolument l’appeler Isabelle.
Une actrice que l’on retrouvera vraisemblablement sur le plateau de Michel Denisot sur Canal +, qui fête cette année son 25e Festival de Cannes.
Le journaliste y présentera chaque soir un Grand Journal spécial Cannes, avec des invités de marque, tels Monica Bellucci, Penelope Cruz ou encore Quentin Tarantino.
Et devinez ce qui l’a le plus marqué depuis 25 ans… Coluche.
Le souvenir de l’humoriste est encore bien ancré chez l’animateur, dont le comique était l’invité permanent lors des premières années de l’émission et de Canal.
«Nous ne savions pas encore que cela correspondait aussi aux dernières années de sa vie», confie-t-il à l'AFP, nostalgique.
Autre souvenir impérissable?
L’émotion que lui a procuré le fameux duo entre Vanessa Paradis et Jeanne Moreau, entonnant ensemble Le Tourbillon de la Vie.
Une séquence qui restera l’une des plus forte pour beaucoup. Mais ce ne sont pas les seuls moments forts pour l’animateur, qui admet verser de nombreuses larmes lors des projections. Sa dernière émotion ciné? Etreintes Brisées, d’Almodovar, qui sera présenté mardi en sélection officielle.

Et pour ceux qui préfèrent profiter du soleil azuréen et des nuits cannoises, bref, s’éclater, il y a l’embarras du choix.
Pas moins de vingt établissements où danser, se montrer, tenter d’apercevoir des stars et s’enivrer du glamour du festival. Parmi eux, le VIP Room, où Jean Roch officie, et une terrasse ultra-privée de 1500 m2 en plein air, sur le toit du Palm Beach. Aux platines des soirées cannoises: Cut Killer, Martin Solveig, et même la strip-teaseuse Dita Von Teese.
Par ailleurs, le styliste Christian Audigier fêtera son 51e anniversaire pendant le Festival le 21 mai, avec des invités comme Sharon Stone, s’il vous plaît, et Lenny Kravitz, qui donnera un concert privé. Rien que ça!
Les plus férus de soirées branchées peuvent aussi s’en remettre à la Villa Murano, ou au Jimmy’s, la boîte la plus sélecte de Cannes, ainsi qu’à la Terrazza Martini (sur la plage).
Par ailleurs, de nombreux clubs parisiens ont créé une succursale à Cannes. C’est le cas du Baron, mais aussi du Cha-Cha, un resto parisien créé par le réalisateur Thomas Langmann notamment.
Ils en ont ainsi crée une déclinaison «plus intime et plus cosy, les pieds dans l’eau», sur la Croisette.
Enfin, de nombreuses plages ont été privatisées, dont celle du Majestic, et la plage-discothèque tropézienne La Voile Rouge a même pris ses quartiers à Cannes!De quoi fêter le cinéma comme il se doit, mais attention, ne vous faites pas trop de films, les lendemains sont durs…

Le Festival de Cannes 2009



Du 13 au 24 mai 2009, tout le cinéma sera en émoi :

Sélection Officielle, Quinzaine des Réalisateurs, Un Certain Regard... la compétition sera rude ! Mais le Festival de Cannes, ce sont aussi les people foulant le tapis rouge et les robes de stars. Les paillettes de la Croisette sont de retour ! À 19 jours de l’ouverture, la sélection officielle de films a été annoncée. Petit aperçu des films en compétition.


Cette année, la sélection officielle s'ouvrira avec Là-Haut, le dernier Pixar de Pete Docter, présenté hors compétition.

Elle se refermera avec Coco Chanel & Igor Stravinsky de Jan Kounen (hors compétition aussi).

Quant à la compétition officielle, elle regroupe les grands noms du cinéma, habitués du Festival de Cannes :


Pedro Almodóvar (Los Abrazos Rotos);

Jacques Audiard (Un Prophète) ;

Ang Lee (Taking Woodstock),

Ken Loach (Looking For Eric) ;

Quentin Tarantino (Inglourious Basterds) ou encore

Lars Von Trier (Antichrist).

Quatre films français sont en lice pour la Palme d'Or :

Alain Resnais (Les herbes folles), Xavier Giannoli (A l'origine), Jacques Audiard (Un prophète) et Gaspar Noé (Enter the Void).


La 41e Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes

Les Etats-Unis, un peu absents cette année de la compétition officielle, sont par contre à l'honneur à la Quinzaine des Réalisateurs cette année, avec cinq films sur les vingt-quatre de la sélection.Trois films québécois participent également à la Quinzaine : J'ai tué ma mère, premier long métrage du jeune Xavier Dolan ; Polytechnique, de Denis Villeneuve ; et Carcasses, de Denis Côté.


Le jury sera présidé par l'actrice française Isabelle Huppert.

Elle sera entourée d'Asia Argento, Nuri Bilge Ceylan, Lee Chang-Dong, James Gray, Hanif Kureishi, Shu Qi, et Robin Wright Penn (la femme de Sean Penn).

Un jury éclectique, et un maître de cérémonie loufoque, Edouard Baer, qui, pour la deuxième année consécutive, va mener la cérémonie avec brio.


Quelques chiffres sur le Festival de Cannes

En 2009, 4272 films ont été reçus par les organisateurs du Festival de Cannes. Au total les films reçus (courts et longs) représentent 129 pays (contre 107 en 2008). 53 longs métrages représentant 32 pays de productions différents ont été sélectionnés. Canal + a investi un budget de 6 millions d'euros afin de couvrir l'événement ! Ils souhaitent offrir aux téléspectateurs un peu de rêve... dont ils ont bien besoin en cette période de morosité économique !

Quei blog che diventano libri..





Finiti i diari segreti custoditi con gelosia in un cassetto, ora le confessioni sono rigorosamente in rete e ritornano su carta solo quando diventano veri e propri libri.




Su Myspace mi sembravi più carino, di emoTrilly, Mondadori, pp. 204, euro 15,00
Non solo blog, ma anche MySpace.
Sara, alias emoTrilly, trascinata a Milano dal lavoro della mamma, scopre Myspace e decide di usarlo per conoscere nuovi amici.
Nato direttamente dal social network più usato dagli adolescenti, più che un romanzo questo è un viaggio nel loro mondo, fatto di add, di tag, di post, link e fav…


La notte dei blogger,
di AA.VV., Einaudi, 2004, pp. 358, euro 12,50
Einaudi, uno dei primi editori a portare sulla carta stampata il mondo dei blog, ha raccolto le voci di 18 tra i blogger più amati, chiedendo a ognuno di loro di scrivere un racconto ambientato di notte, quando il vero blogger esce dalla tana per scrivere!












venerdì 15 maggio 2009

Cannes..


È finalmente iniziata la 62° edizione di Cannes.

Per la prima di Up, oltre ai palloncini non sono mancati glamour e stile, ingredienti essenziali per il festival perfetto!
Isabelle Huppert - presidentessa della giuria - indossa un abito dalla profonda scollatura a ‘V’ in organza di seta tonalità champagne decorato da fiori e strass, di Giorgio Armani Privé.

Gli artisti italiani a Parigi





A distanza di sette anni dall’inizio del progetto, l’Institut National d’Histoire de l’Art di Parigi mette in rete una delle sue proposte più ambiziose.
Quanti sono i dipinti italiani in Francia?

Per scoprirlo ora c’è il Retif...

“È ancora possibile scoprire in un piccolo museo di provincia un bel dipinto italiano su fondo-oro o, nella penombra di una chiesa, un’importante tela del Seicento?

Non è inimmaginabile”. Con queste parole Michel Laclotte, già direttore del Grand Louvre, annuncia la messa in rete sul sito dell’Institut National d’Histoire de l’Art di Parigi del Retif, il repertorio dei dipinti italiani nelle collezioni pubbliche francesi.

Secondo un calcolo orientativo, circa 12mila dipinti italiani sono conservati nei musei, nelle chiese e negli edifici pubblici francesi.
Cifre da capogiro, che lasciano intravedere la portata del progetto e permettono d’immaginare le difficoltà che l’intera équipe ha dovuto superare.

È oggi possibile consultare circa un sesto delle schede dei dipinti, mentre le altre dovrebbero essere aggiunte nel corso dei prossimi anni.

Dopo le regioni della Bretagna, del Centre, del Nord-Pas-de-Calais, dei Pays-de-Loire e del Poitou-Charentes, il gruppo attualmente lavora sulla regione dell’Auvergne e sulle due normandie (Basse-Normandie e Haute-Normandie).
Ogni scheda riporta le informazioni generali: dimensioni, supporto, bibliografia sommaria. Grande attenzione è stata data alla qualità delle immagini, che illustrano nella maggior parte dei casi le schede.
Ma il Retif ha anche voluto essere un momento di riflessione e un banco di prova, in un periodo storico in cui si assiste un po’ dappertutto a una digitalizzazione forsennata - e a volte insensata - delle collezioni pubbliche.

Due punti meritano particolare attenzione: l’attribuzione dei dipinti e la sua provenienza. Non tutti i potenziali consultatori del sito sanno infatti che non sempre si conosce l’autore di un dipinto. A volte l’opera è firmata o esistono documenti che ne segnalano la paternità, ma in molti casi è una categoria particolare di storici dell’arte - i cosiddetti “connaisseur” - a proporre un’attribuzione (si legga il romanzo di Henry James, La protesta, tradotto da Fazi nel 2006).

Capita allora di ritrovare nel Retif le proposte di Federico Zeri, di Roberto Longhi o di Bernard Berenson, nonché quelle di alcuni loro “eredi”, tra i quali si segnala qualche italiano: Roberto Contini, Andrea De Marchi, Mina Gregori e Giovanni Romano.

Le opere più importanti sono state studiate e presentate in convegni e mostre, ma si possono pure inviare le proprie proposte via mail.

Ogni sei mesi circa, il materiale raccolto sarà valutato e le indicazioni più pertinenti segnalate sulla scheda dell’opera. La provenienza dei lavori potrebbe essere invece argomento spinoso per un pubblico, quello italiano, assuefatto all’idea dei “furti d’arte” di Napoleone.

Se è innegabile che alcuni dei capolavori italiani di Francia siano il frutto delle campagne militari dell’esercito rivoluzionario prima e di quello napoleonico poi, non bisogna dimenticare che la maggior parte delle opere sottratte fu restituita nel 1815 e che il bottino supera oggi di poco i cento dipinti. La Gioconda è stata portata in Francia dallo stesso Leonardo, mentre - durante il regno di Luigi XIV - il re, i suoi ministri e tutta l’aristocrazia hanno fatto a gara per acquistare le opere dei migliori artisti italiani dell’epoca.

Nell’Ottocento, molti collezionisti privati hanno acquistato dipinti durante i loro soggiorni in Italia, o per il tramite di alcuni mercanti italiani, prima di farne dono al museo della propria città. Poche settimane fa, il museo di Fontainebleau ha acquisito un’Allegoria del mondo marino di Francesco Albani: la passione dei francesi per l’arte italiana non accenna dunque a diminuire.
Con un pizzico di sarcasmo, alcuni si son chiesti come si potesse esser sicuri che nessuna opera fosse sfuggita al censimento.

È a loro che Michel Laclotte risponde nella presentazione del progetto:

“Osiamo pensare che sia inevitabile e non necessariamente drammatico: che la gioia di scovare un capolavoro nei depositi dei musei, in una sacrestia o in un ufficio, sia offerta anche ai ricercatori di domani"

domenica 3 maggio 2009

turismo a Besançon


















Non solo per il suo famoso Museo del Tempo, ma anche per le sue incantevoli atmosfere, la città di Besancon fa sognare il passato.
La sua posizione all'interno di una dolce ansa del fiume Doubs, il suo sfondo immerso tra le boscose alture del Giura, ricordano le origini preromane e romane nel cuore dell'Europa.
Besancon infatti, capoluogo della Franca Contea, occupa una posizione centralissima in Europa e si raggiunge facilmente, provenendo dall'Italia, dopo aver superato il tunnel del Monte Bianco ed essere entrati in territorio francese.

Le sue fortificazioni, che dominano soprattutto nell'imponente Citadelle collocata in alto, ricordano la potenza e la genialità di un famoso architetto del ‘600.
E una lenta passeggiata nel centro storico racconta il medioevo benedettino, la magnificenza dell'epoca di Luigi XVI, l'eleganza dei palazzi rinascimentali ispirati ai contemporanei palazzi italiani.
Il punto di vista più intrigante per avere un magnifico colpo d'occhio sulla città è il Quartier de Battant da cui si percepiscono l'andamento del fiume Doubs, le belle colline circostanti e la disposizione morbida della città che accompagna l'ansa del fiume.

Defilata appare la rotonda Tour de la Pelote medievale che oggi ospita un ristorante, mentre di fronte si mostrano sui Quai del Doubs gli eleganti edifici del ‘600, armoniosi e compatti, perfettamente conservati.

Prima di entrare in città dal Pont Battant, che ha rimpiazzato l'antico ponte di pietra romano, dove passava la principale via di collegamento fra l'Italia e le province renane, una passeggiata nel quartiere deve almeno toccare, fra gli antichi palazzi, l’Hotel de Campagney ornato da enormi doccioni sulla facciata.
Sono le decorazioni a forma di animali o mostri fantasiosi che concludevano gli sgocciolatoi dell'acqua e spesso esibivano la massima creatività degli scultori sopra facciate rigorose e geometriche.
Entriamo in città dunque percorrendo la Grande Rue, che attraversa Besancon, tutta fiancheggiata da nobili palazzi.

Dopo la conquista della Franca Contea da parte di Luigi XIV, la città, diventata capitale della provincia, aveva centralizzato i poteri amministrativi e militari. Dal 1720 aveva conosciuto un periodo di grande vitalità economica che naturalmente si tradusse in un intenso sforzo di costruzione.

Gli "hotels particuliers" appartenenti alle grandi famiglie nobili e alto borghesi cominciarono a rivaleggiare in lusso ed eleganza.
Si potrebbe compiere un percorso ideale anche solo osservando le facciate interne ed esterne dei palazzi: monogrammi, trompe l’oeil, massime in latino e invocazioni religiose incise sulle mura, simboli dei maestri muratori oppure le tracce di vecchie pubblicità.

Davvero originali poi le scale che nei cortili interni portano ai piani superiori: invece di svilupparsi dentro il muro del palazzo, si sviluppano ariose appoggiate esternamente, in basso costruite in pietra e ferro battuto fino al piano nobile, in alto per lo più in legno.

Motivo di questa scelta lo stretto spazio a disposizione delle case, serrate fra i meandri del Doubs e le alture della Cittadella. Il ridotto spazio per le costruzioni spinse i bisontini ad appoggiare le scale esternamente, il che dona ai cortili delle case un aspetto davvero particolare.

Anche il circuito delle fontane può raccontare molte storie, sia perché rappresentano la difficile e preziosa conquista dell'acqua nella città, sia perché esibiscono simboli divini e mitologici, storici e fiabeschi: Nettuno che cavalca un delfino, conchiglie e sirene di bronzo, Bacco per ricordare l'attività vinicola di alcuni quartieri.
Ci sono poi naturalmente i palazzi delle istituzioni. L'Hotel de Ville é un austero edificio rinascimentale del 1573: proprio sotto al portico si può vedere lo stemma della città, un’aquila raffigurata nell'atto di sorreggere due colonne.
Il Palazzo di Giustizia, dalla facciata rinascimentale, racchiude al suo interno una bella sala delle udienze del 1700 ornata di splendidi rivestimenti in legno.

Ma è soprattutto il Palais Granvelle l'esempio più significativo di palazzo del potere.
Costruito a metà del 1500 da Nicolas Perrenot, cancelliere dell'imperatore Carlo V e capostipite della più potente famiglia di Besancon, è un vero e proprio gioiello rinascimentale della Franca Contea. Volle ispirarsi al modello dei palazzi italiani con una facciata a tre ordini classici e un cortile a portici con finestre crociate: lo stesso termine “palazzo” identifica questa ispirazione.
Palais de Granvelle oggi ha un punto di attrazione in più: ospita il Museo del Tempo che, attraverso un percorso moderno e ludico, permette di scoprire lo studio della precisione, dalle scoperte di Copernico e Galileo all'invenzione di pendole e orologi, all'uso moderno del quarzo e dell'atomo.
L'interesse della città per il tema del tempo si manifesta in tanti altri piccoli segnali, come le numerose meridiane che animano le facciate delle case. D'altra parte non dimentichiamo che dalla fine del 1700 Besancon aveva ospitato la Manifacture Nationale d’Horlogerie, la produzione di parti di orologi in più di 400 laboratori artigianali dislocati in città, una scuola di orologeria e un osservatorio per la verifica dei cronometri.
La nostra passeggiata sulla Grande Rue fino alla Place Victor Hugo ci fa incontrare i nomi di alcuni importanti cittadini di Besancon.
Victor Hugo nacque qui nel 1802 e da qui si allontanò per raggiungere a Parigi i suoi grandi successi letterari, e nella stessa piazza nacquero anche i fratelli Lumière, come dimostra una lapide al numero 1.

Oltre la piazza si apre la Porte Noire, un imponente arco trionfale romano del secondo secolo eretto in onore dell'imperatore Marco Aurelio: molto eleganti il fornice centrale e i decori scolpiti che riprendono scene mitologiche e militari, in parte nascoste dai muraglioni che sono stati accostati all'arco durante il medioevo e hanno così interrotto la sua imponente solitudine.
Qualche passo in salita ed ecco la Cattedrale di Besancon, che deve la sua originalità alla pianta a due absidi, forse di derivazione carolingia e alla mancanza di una facciata principale. Nell'interno un’interessante sintesi dello stile romanico e dello stile gotico, mentre sul fianco della cattedrale si accede al famoso orologio astronomico composto da 30.000 congegni, animato da 70 quadranti e in grado di fornire 122 indicazioni. Un gioiello fortificato
Per godere ancora meglio una vista completa sulla città e scoprire un vero gioiello di architettura militare bisogna salire fino alla Citadelle, costruita dal 1668 al 1688 su una superficie di 11 ettari e a più di 200 m sopra i tetti della città vecchia. È un enorme complesso fortificato costruito da Vauban che oggi, oltre a costituire un magnifico belvedere, ospita nei diversi edifici ben quattro musei.
Il Museo dell'Agricoltura tradizionale riguarda la cultura materiale della campagna della Franca Contea, il Museo popolare del folklore racconta l'arte e le tradizioni popolari, il Museo della resistenza e della deportazione e il Museo di storia naturale completano il quadro.
Ma sono soprattutto le opere di ingegneria difensiva che colpiscono il visitatore: i frontoni a punta di freccia alti e profondi contro gli attacchi nemici, spalti rialzati, un pozzo profondo 132 metri scavato nella roccia rendevano la cittadella un sito inespugnabile.

Il progetto nacque a seguito della conquista della Franca Contea da parte di Luigi XIV: Vauban propose allora la costruzione di un'opera fortificata sul monte Saint Etienne, uno sperone roccioso che domina la città.
La costruzione durò parecchi anni e impiegò un immenso capitale
Per tutto l'anno 2007 la città di Besancon ha proposto visite tematiche dedicate alla personalità eccezionale di Vauban: teorico della fortificazione, stratega incomparabile, riformatore, ingegnere, capace di coniugare tutti i suoi talenti in progetti grandiosi.

A contatto con i migliori spiriti del suo tempo, membro dell'Accademia delle scienze, Vauban frequentò gli ambasciatori che gli offrirono un'apertura sui paesi stranieri, percorse migliaia di chilometri a cavallo ogni anno per conoscere il territorio e definire meglio le proprie imprese, godendo come nessun altro di libertà di parola presso il re Luigi XIV.
Oltre alla cittadella, Vauban progettò anche i bastioni delle mura della cinta urbana per proteggere la riva sinistra del Doubs attraverso casematte per i cannoni e piattaforme per l'artiglieria. Attualmente esiste un progetto per far inserire tutte le cittadelle e le fortificazioni progettate da Vauban nel patrimonio mondiale dell'umanità sotto la tutela dell'Unesco

Per entrare nel mondo di Besancon, clicca qui per vedere il video

NOTIZIE UTILI
Anche se la città si visita facilmente a piedi oppure con un breve spostamento in macchina fino alla cittadella per evitare la fatica della salita, può essere una bellissima esperienza, soprattutto nella bella stagione, una passeggiata in battello con una delle Vedettes panoramiques. http://www.vedettes-panoramiques.com/
oppure una romantica passeggiata in calesse attraverso uno dei grandi parchi cittadini http://www.lescalechesderoset.com/
Informazioni turistiche su alberghi e ristoranti della città presso l’Office de Tourisme et des Congrès
Ottima per il visitatore italiano la Guida Verde “Francia” del Touring Club Italiano

sabato 2 maggio 2009

Fotografia : Le bellezze di Russel James a Berlino




Le bellezze"naturali" di Russel James dal 25 aprile al 6 giugno alla Camera Work Gallery 61 scatti che rivelano il profondo legame con la sua terra d'origine (anche quando fotografa le donne più belle del mondo) .

Nato nel 1962 in Australia, Russel James non incarna lo stereotipo del fotografo cresciuto con una vocazione artistica per l'obiettivo.
Da un impiego in catena di montaggio per una fabbrica di bidoni della spazzatura a istruttore per cani, da poliziotto in unità speciale a modello, approda al successo nel mondo della fotografia a New York solo a 34 anni, ma recupera il tempo perduto scattando servizi e copertine per Vogue, Marie Claire, W e GQ.J
ames è stato consacrato come uno degli artisti più acclamati di quest'anno grazie alla sua mostra "Nomad. Two Worlds" tenutasi alla Urban Zen Gallery di New York a Gennaio.

Con un'inaugurazione presentata da Hugh Jackman e Donna Karan, il progetto racconta la cultura degli aborigeni Australiani e i loro compromessi con la cultura moderna.Camera Work presenta anche questi scatti in anteprima al pubblico di Berlino all'interno di un percorso espositivo di 61 foto che rivelano il profondo legame di James con la sua terra d'origine, l'Australia.
Tra quelle in mostra colpiscono, oltre ai dietro le quinte del famoso fashion show di Victoria's Secret, i ritratti di Heidi Klum, Gisele Bündchen, Scarlett Johansson, Adriana Lima e molte altre bellezze del nostro tempo, dove spesso gli elementi della natura si fondono con i corpi delle modelle.In occasione dell'inaugurazione verrà inoltre presentato dal fotografo il libro "Russell James" da poco pubblicato da teNeues.
Russell James
dal 25 Aprile al 6 Giugno 2009 Camera Work Gallery Kantstrasse 149, Berlino

Antica Roma : I Gladiatori come i calciatori..


L’amore nell’antica Roma quando i gladiatori erano come i calciatori !

Viaggio in una concezione dell’eros basata sul culto della virilità.

Le donne conquistate dal loro fascino.
Che l’eman­cipazione femmini­le non fos­se un fatto di élite, ma avesse toccato anche le donne del­le classi meno alte, è chiaramente mostrato dai reperti, e più in partico­lare dai graffiti pompeiani. Per cominciare: le donne di Pom­pei, oltre a frequentare i teatri, assi­stevano ai giochi gladiatori, ai quali pare si appassionassero non tanto per i giochi in sé quanto per i gladia­tori; i quali, se sopravvivevano alle lo­ro non facili esibizioni, diventavano le star dell’epoca — un po’ come i cal­ciatori di oggi, o come i cantanti rock, ammirati e amati dalle donne di ogni ceto sociale.

A dimostrarlo, ecco le iscrizioni che a Pompei, più o meno scherzosamente, alludono al loro fascino irresistibile.

Il trace Celado, ad esempio — leg­giamo nella caserma dei gladiatori — fa sospirare le ragazze.

Chi lo ha scritto, una donna o un uomo? Poco importa, in ogni caso dal graffito vie­ne una conferma del fatto che le ra­gazze di Pompei non erano insensibi­li al fascino dei muscoli e della cele­brità. Sullo stesso edificio, un altro graf­fito ci informa che Crescente, il rezia­rio (uno dei gladiatori specializzati nel combattere con una rete, con cui dovevano difendersi dagli attacchi av­versari), era «il medico notturno del­le ragazze». Piacevano a tutte, questi gladiatori.
Oltre che alle ragazze di modeste condizioni sociali, anche al­le matrone, che a quanto pare, più es­si uscivano malconci dalle lotte, più li amavano.

Quanto meno, così vuol farci credere il solito Giovenale, che nella sua satira sulle donne racconta di una certa Eppia, che aveva abban­donato casa e famiglia per seguire un gladiatore, tal Sergetto, che attende­va, ormai, con quel braccio spezza­to il suo congedo; e molti sfregi avea nel volto, e il ciuffo diradato dall’el­mo, e in mezzo al naso un grossissi­mo porro; e un male acuto gli facea sempre gocciolare un occhio.

Ma un gladiatore egli era!

Per lui, dice Giovenale, anche se era stata abituata da bambina a ogni lusso, e anche se faceva grandissime difficoltà se il marito tentava di farla salire su una nave, Eppia aveva sfida­to le onde, seguendolo fino in Egitto: quel Sergetto non doveva essere ri­buttante come Giovenale lo descrive.

La patologica misoginia del poeta emerge anche in questi versi, e si con­ferma quando, generalizzando il comportamento di Eppia, scrive che quelle che a un amante van dietro, hanno stomaco di bronzo, quella vo­mita addosso al suo marito, questa tra i marinai mangia e passeggia su e giù per la nave e si compiace nel maneggiare i ruvidi cordami.
Non le amava affatto le donne, Gio­venale.

Ma, al di là delle sue esagera­zioni, possiamo cogliere una verità: anche le signore delle classi alte era­no sensibili al fascino dei gladiatori.
Come del resto parrebbe confermare un altro ritrovamento pompeiano.
Nell’alloggio dove dormivano i gla­diatori, infatti, sono stati trovati i re­sti di una persona di sesso femmini­le, e dei gioielli, che presumibilmen­te le appartenevano.
Cosa ci faceva, in quel posto, una signora ingioiella­ta? Esercitando un po’ la fantasia, si è diffusa l’idea che quella sera la signo­ra fosse andata, presumibilmente di nascosto, a trovare il suo bel gladiato­re.
Chissà se il cataclisma la sorprese appena arrivata, o mentre si accinge­va a tornare a casa. Come che sia, mo­rì in un momento felice.
Erano molto preoccupati, i roma­ni.

Nonostante l’impegno che aveva­no messo, e che continuavano a met­tere, nell’opera di educare le donne alla virtù, erano stati costretti a ren­dersi conto che qualcosa dovevano aver sbagliato.
A cavallo tra il I secolo avanti e il I secolo dopo Cristo, vedevano la città popolata da donne i cui costumi avrebbero fatto inorridire i loro ante­nati.

Delle libertà (alcune delle quali concesse da loro stessi, massima del­le beffe) le donne non si limitavano a fare un uso discreto, capace di non sconvolgere le antiche abitudini: ne abusavano, ne approfittavano in mo­do indecente. Questo pensavano i ro­mani.
A loro non piacevano proprio le donne emancipate.
Per loro, l’emancipazione era un pericolo so­ciale.
Diceva Cicerone, parafrasando Platone, che là dove donne e schiavi non obbedivano era l’anarchia.
Ma le accuse più pesanti alla presunta dis­solutezza delle donne vengono dai poeti: in particolare, i poeti satirici.

Giovenale, per cominciare. In lui, la descrizione della nequizia femmi­nile raggiunge livelli paradossali.
Al di là di ogni considerazione sulla en­fatizzazione e caricaturizzazione del­la realtà tipica del genere letterario, i versi di Giovenale rivelano una miso­ginia quasi patologica: «La lussuria è vizio di tutte, schiave e padrone», scrive nella sesta satira, «da quella che va scalza per le strade della città, a quella che si fa portare in lettiga da schiavi siriani, le donne, tutte, senza scampo, sono dissolute».
Certo.
Lo sappiamo: la satira porta la realtà alle estreme conseguenze, ri­dicolizzandola, non di rado per esor­cizzare nel riso il disagio e, spesso, una vera e propria paura. Ma perché avevano paura delle donne, i romani?
Cosa temevano?
In primo luogo, che volessero co­mandarli (come, secondo i poeti sati­rici, ormai facevano senza un mini­mo di ritegno). Soprattutto se erano ricche.
Un timore diffuso, che Marzia­le dichiara apertamente:
Donna ricca sposare?
No. Perché, mi domanda­te. Perché voglio sposare, non esse­re sposato.
La moglie, Prisco, sia soggetta al marito: è la sola egua­glianza possibile tra i due.
Più chiaro di così. Comandano, pretendono. Ormai, sono convinte che avere un amante sia un loro dirit­to.
Alcune arrivano a pensare che li­mitarsi a uno solo sia quasi una con­cessione al marito.