giovedì 12 marzo 2009

Le salon du livre sous le signe du Mexique

Rendez-vous au 29e Salon du Livre!
Acteur majeur du rayonnement de la lecture en France, le Salon du livre fête son 29e anniversaire cette année.
Du 13 au 18 mars 2009, ce sont 3000 auteurs qui sont attendus Porte de Versailles pour rencontrer le public, participer à des ateliers ou séances de dédicaces.

Dates : du 13 au 18 mars 2009
Lieu : Porte de Versailles / Pavillon 1
Tarifs : 7€,
Gratuit pour les - de 18, étudiants de - 26 ans, demandeurs d'emploi et les bénéficiaires du RMI
Sur le web : http://www.salondulivreparis.com/

Toujours ouvert sur le monde, le Salon invite cette année un hôte de marque, le Mexique.
Ce sont 36 auteurs de la littérature contemporaine mexicaine, traduits et publiés par des éditeurs français, que les lecteurs rencontreront.

Une immersion totale dans la littérature mexicaine avec une sélection de 15 livres soumis à l'appréciation des lecteurs. L'ouvrage ayant recueilli le plus grand nombre de voix se verra décerné le "Prix grand public Salon du Livre ".

Egalement au programme, une exposition de 20 illustrateurs mexicains qui habilleront les murs du Club jeunesse, un espace dédié à la BD et aux Mangas et un bar à sciences pour dialoguer avec des chercheurs à l'occasion de l'année mondiale de l'astronomie.

La déco caliente di Penelope Cruz














































Le sang chaud, le visage radieux, Penélope Cruz est une actrice comblée qui porte en elle le soleil d'Espagne.


Son intérieur est coloré et convivial,



Sur la photo : lit d'extérieur de la marque Lambert
Photo © Lambert

Lampe de jardin Paysage intérieur extérieur Waterproof Metalarte

Biographie:
Penélope Cruz Sánchez est une actrice espagnole née le 28 avril 1974 à Alcobendas, Communauté de Madrid.

Son père, Eduardo Cruz, tient une quincaillerie, et sa mère, Encarnacion Sanchez, est coiffeuse.
Penélope Cruz est la sœur de la ballerine et actrice Mónica Cruz et du chanteur Eduardo Cruz. Ses parents sont aujourd'hui séparés.
Elle commence les cours de danse à 5 ans et elle reste neuf ans au Conservatoire National.
Elle fait ensuite trois ans de ballets espagnols avec Angela Garrido, quatre ans à la Cristina Rota School de New York, et prend des cours de Jazz Dance avec Raúl Caballero. Elle se produit en Espagne et à New York.
Elle démarre une carrière de mannequin et fait la couverture de nombreux magazines. Elle apparaît dans des clips du groupe Mecano.
À l'âge de 14 ans, elle présente La Quinta Marcha, une émission télévisée pour enfants.
Carrière d'actrice
Elle débute comme actrice dans une série produite par Pierre Grimblat pour FR3, "la série Rose", (épisode "Elle et lui" de Jaime Chavarri). Elle joua notamment des rôles à caractère érotique (interdit au moins de 16 ans).
Après un second rôle dans Laberinto Griego de Rafael Alcaza, elle est révélée en 1992 par Jambon, jambon de Bigas Luna.
Mais sa carrière internationale commence vraiment en 1999 avec Tout sur ma mère de Pedro Almodóvar.
Elle tournera pour des réalisateurs de différents pays : Angleterre, États-Unis, Norvège.
En 2001, elle joue dans Vanilla Sky, remake du film Ouvre les yeux où elle interprétait le même rôle.
Elle est l'égérie de la marque Mango.
Le 22 février 2009, lors de la 81e cérémonie des Oscars, elle reçoit l'Oscar du meilleur second rôle féminin pour sa brillante interprétation de Maria Eléna dans Vicky Cristina Barcelona aux côtés de Rebecca Hall et de Scarlett Johansson.
Filmographie
au cinéma [1992 : Mecano - Los vídeos, de Joan-Lluís Arruga (vidéo) (segment La fuerza del destino) (non créditée)
1992 : Jambon, jambon (Jamón, jamón), de Juan José Bigas Luna
1992 : Belle époque (Belle epoque), de Fernando Trueba
1993 : Per amore, solo per amore, de Giovanni Veronesi
1993 : El Laberinto griego, de Rafael Alcázar
1993 : La Ribelle, d'Aurelio Grimaldi
1994 : Mi-figue, mi-raisin (Alegre ma non troppo), de Fernando Colomo
1994 : Todo es mentira, d'Álvaro Fernández Armero
1995 : Entre rojas, d'Azucena Rodríguez
1995 : L'Effet papillon (El Efecto mariposa), de Fernando Colomo (non créditée)
1996 : Brujas, d'Álvaro Fernández Armero
1996 : La Celestina, de Gerardo Vera
1996 : Más que amor, frenesí, d'Alfonso Albacete, Miguel Bardem et David Menkes
1996 : L'Amour nuit gravement à la santé (El Amor perjudica seriamente la salud), de Manuel Gómez Pereira
1997 : Et Hjørne af paradis, de Peter Ringgaard
1997 : En chair et en os (Carne trémula), de Pedro Almodóvar
1997 : Ouvre les yeux (Abre los ojos), d'Alejandro Amenábar
1998 : Don Juan, de Jacques Weber
1998 : If Only... (The Man with Rain in His Shoes), de María Ripoll
1998 : Talk of Angels, de Nick Hamm
1998 : La Fille de tes rêves (La Niña de tus ojos), de Fernando Trueba
1998 : The Hi-Lo Country, de Stephen Frears
1999 : Tout sur ma mère (Todo sobre mi madre), de Pedro Almodóvar
1999 : Volavérunt, de Juan José Bigas Luna
2000 : Amour, piments et bossa nova (Woman on Top), de Fina Torres
2000 : De si jolis chevaux (All the Pretty Horses), de Billy Bob Thornton
2001 : Blow, de Ted Demme
2001 : Capitaine Corelli (Captain Corelli's Mandolin), de John Madden
2001 : Sans nouvelles de Dieu (Sin noticias de Dios), d'Agustín Díaz Yanes
2001 : Vanilla Sky, de Cameron Crowe
2002 : Waking Up in Reno, de Jordan Brady
2003 : Masked and Anonymous, de Larry Charles
2003 : Fanfan la Tulipe, de Gérard Krawczyk
2003 : Gothika, de Mathieu Kassovitz et Thom Oliphant
2004 : À corps perdus (Non ti muovere), de Sergio Castellitto
2004 : Noel, de Chazz Palminteri
2004 : Nous étions libres (Head in the Clouds), de John Duigan
2005 : Sahara, de Breck Eisner
2005 : Chromophobia, de Martha Fiennes
2006 : Bandidas, de Joachim Roenning et Espen Sandberg
2006 : Volver, de Pedro Almodóvar
2006 : The Good Night, de Jake Paltrow
2008 : Elegy, de Isabel Coixet
2008 : Vicky Cristina Barcelona, de Woody Allen
2009 : Les Étreintes brisées (Los Abrazos rotos) de Pedro Almodóvar

à la télévision
1991 : Série rose, de Walerian Borowczyk (série TV)
1991 : Elle et lui, de Jaime Chávarri
1992 : Framed, de Geoffrey Sax (TV)
(octobre 2006)

Honneurs et récompenses
1999 Prix Goya de la meilleure actrice en 1999 pour La Fille de tes rêves.
2006 La France lui a remis le mercredi 11 janvier 2006 les insignes de Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres.
Au festival de Cannes 2006 , elle a reçu, avec l'ensemble de la distribution féminine, le prix d'interprétation pour Volver de Pedro Almodóvar.
European Film Awards 2006 : Meilleure actrice pour Volver.
Hollywood Film Festival - Actrice de l'année 2006 .
2007 Golden Globe 2007 : Meilleure actrice dans un drame Volver.
Oscar 2007 : Nomination Meilleure actrice dans un drame Volver.
BAFTA 2007 Meilleure actrice dans un drame Volver.
Prix Goya de la meilleure actrice en 2007 pour Volver.
2009 Prix Goya du meilleur second rôle féminin en 2009 pour Vicky Cristina Barcelona.
Oscar du cinéma 2009 : Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle pour Vicky Cristina Barcelona.
BAFTA 2009 : Meilleur second rôle féminin pour Vicky Cristina Barcelona.
Critics Choice Award 2009 : Meilleur second rôle féminin pour Vicky Cristina BarcelonaVie privée
De 2001 à 2004, elle a eu une liaison avec Tom Cruise qu'elle a rencontré sur le tournage de Vanilla Sky.
Elle vit aujourd'hui avec l'acteur espagnol Javier Bardem qu'elle avait rencontré en 1992 sur le tournage de Jambon, Jambon et avec qui elle a retravaillé en 2008 sur le tournage de Vicky Cristina Barcelona.




















super tendenza :orologi da muro design

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Fissano al muro le ore, son sempre sotto gli occhi.
Meglio sceglierli di design






1 Bodoni prende il nome dal carattere tipografico dei numeri disposti in ordine sparso.
Ha movimento al quarzo, diametro di 45 centimetri, corpo di alluminio e schermo di plexiglas. Due i colori.
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I listelli di betulla curvata disegnano i petali di un girasole dal diametro oversize di 75 centimetri.
Fa parte della collezione Wall Clocks del brand svizzero: serie di 20 orologi firmati dai grandi nomi del design del Novecento tra il 1946 e il 1960

domenica 8 marzo 2009

Raffaello a Urbino, una mostra da non mancare


Mostra Raffaello e Urbino

Palazzo Ducale

4 aprile 2009 - 12 luglio 2009



Urbino non fu solo la città natale di Raffaello, ma determinò in modo significativo la sua formazione, restando per tutta la sua vita un punto di riferimento essenziale. Partendo da questo presupposto, la grande mostra che si apre nel Palazzo Ducale di Urbino nella prossima primavera intende recuperare e valorizzare proprio questa stretta connessione tra Raffaello e la sua città natale. Esaminando il contesto urbinate, dalla fine degli anni Settanta a tutti gli anni Ottanta del Quattrocento, viene ricostruito l'ambito artistico-culturale in cui si formerà il giovane Raffaello e nel quale opera il padre, Giovanni Santi, pittore dei duchi e letterato, che è a capo di una ricca e fiorente bottega, oltre che autore della famosa Cronaca nella quale esprime importanti giudizi sui pittori a lui contemporanei.
La mostra, allestita nel Salone del Trono e nelle sale dell'appartamento della Duchessa del Palazzo Ducale, sede della Galleria Nazionale delle Marche, si pone l'obiettivo di ricondurre la prima formazione di Raffaello alla grande cultura espressa dalla corte urbinate e soprattutto all'influenza del padre, Giovanni Santi e presenta i capolavori giovanili di Raffaello, 20 dipinti e 19 disegni originali, messi in rapporto alla pittura del padre e di altri pittori vicini alla fase giovanile della sua formazione ad Urbino, 32 dipinti e 10 disegni.
Una sezione della mostra è inoltre dedicata al rapporto dell'opera di Raffaello con la più importante produzione del ducato di Urbino, la maiolica, basata sulle immagini raffaellesche, di cui sono esposti esemplari antichi. Sarà visibile, per la prima volta, un pezzo mai esposto, derivato direttamente da un disegno originale e non da un'incisione di Raffaello, assieme a numerosi esempi fra i più preziosi di questa produzione.
Raffaello nacque nel 1483 e fu di certo, come ricordano le fonti, un fanciullo prodigio.Ciononostante la storiografia ha troppo spesso trascurato la conoscenza dei suoi anni giovanili, la cui ricostruzione ci appare oggi come fondamentale. A cominciare dalla mostra di Londra del 2004, la critica sta portando la sua attenzione proprio sugli anni giovanili, prendendo in esame l'assunto di questa rassegna, cioè la prevalenza, nella formazione di Raffaello, del rapporto con il padre, con la sua bottega e soprattutto con la grande cultura che ha come epicentro il Palazzo Ducale con le sue collezioni d'arte. Raffaello, che è citato nel 1511 a Roma come allievo del padre Giovanni Santi, non si distaccò mai dalla sua città natale che rimase, anche nel periodo maturo della sua carriera, il centro dei suoi interessi, anche economici. Baldassar Castiglione, legato strettamente ai Montefeltro, e Bramante, protettore di Raffaello a Roma, sono state figure di riferimento per tutta la sua vita.
La mostra esamina quindi le vicende della bottega di Giovanni Santi dopo la sua morte avvenuta nel 1494. Il giovane Raffaello nel 1500 eredita la bottega paterna fino a firmarsi "Magister", con Evangelista da Piandimeleto, per la commissione della pala di S. Agostino a Città di Castello.
Le ricerche archivistiche in corso hanno peraltro portato alla luce un numero incredibile di nuovi documenti, non pubblicati da Pungileoni, che mostrano il tessuto artistico in cui si forma il giovane Raffaello e gli stretti legami, mai recisi, con la sua città natale, sia artistici che economici. La presenza di Bramante a Urbino, che sarà poi il più valido supporto alla sua carriera romana, la possibile influenza di altre personalità presenti nella città ducale come Girolamo Genga e Timoteo Viti, rendono molto interessante esplorare questo terreno. Senza trascurare il rapporto con Perugino che la tradizione storiografica, da Vasari in poi, ha messo al centro della sua formazione e che sarà naturalmente indagato nel percorso espositivo.
La mostra è curata da Lorenza Mochi Onori, Soprintendente per i Beni Storici Artistici e Etnoantropologici delle Marche e si avvale di un prestigioso comitato scientifico, che vede la partecipazione dei maggiori specialisti nella materia, impegnati in alcune delle più importanti collezioni museali del mondo:

Linda Wolk Simon, del Metropolitan di New York, che ha curato recentemente una mostra sul tema,

Carol Plazzotta e Tom Henry della National Gallery di Londra, curatori della mostra su Raffaello tenutasi a Londra nel 2004,

Silvia Ferino Pagden, del Kunsthistorisches Museum di Vienna, specialista della grafica raffaellesca,

Cristina Acidini, Antonio Natali e Marzia Faietti, rispettivamente Soprintendente del Polo Museale fiorentino, Direttore degli Uffizi e Direttore del Gabinetto Disegni e Stampe degli Uffizi,

Giovanna Perini, ordinario di Storia dell'Arte dell'Università degli Studi di Urbino "Carlo Bo",

Antonio Paolucci, e Arnold Nesselrath rispettivamente Direttore e curatore del Dipartimento di pittura dei Musei Vaticani, oltre ai direttori storici dell'arte della Soprintendenza di Urbino.
La mostra è promossa dal Ministero per i Beni e le Attività Culturali, Direzione regionale per i Beni Culturali e Paesaggistici delle Marche, Soprintendenza per i Beni Storici Artistici e Etnoantropologici delle Marche, dalla Regione Marche, dalla Provincia di Pesaro-Urbino, dal Comune di Urbino e dalla Fondazione Cassa di Risparmio di Pesaro.

L'organizzazione è affidata a Gebart in collaborazione con Civita.

Il catalogo è edito da Electa.

Urbino e i Montefeltro

La grande rassegna dedicata agli anni giovanili di Raffaello costituisce una straordinaria opportunità per conoscere o riscoprire le testimonianze storiche e artistiche dell’antica capitale del Ducato, che ci restituiscono ancora oggi gli spazi e i contesti in cui si è formato il Maestro.
Innanzitutto il Palazzo Ducale, opera di Luciano Laurana e Francesco di Giorgio voluta dal Duca Federico da Montefeltro: uno dei capolavori assoluti dell’architettura rinascimentale, cuore e simbolo visivo della città di Urbino, oltre splendido contenitore della Galleria Nazionale delle Marche, che conserva alcuni dei più grandi capolavori di tutti i tempi. Definito il palazzo in forma di città da Baldassarre Castiglione nel Cortegiano, il Palazzo si sviluppa intorno al cortile d’onore con oltre 250 stanze.


Nel piano nobile, tra gli ambienti più suggestivi del cosiddetto Appartamento del Duca, vi è lo Studiolo del Duca Federico con le meravigliose tarsie lignee e i ritratti degli uomini illustri.

Oltre la Sala del Trono si sviluppa invece l’Appartamento della Duchessa, dove è allestito il percorso di mostra. I

l piano superiore è risultato da un ampliamento successivo, realizzato da Gerolamo Genga su incarico dei Della Rovere che sostituirono i Montefeltro dopo la morte senza eredi di Guidubaldo, figlio del Duca Federico.
Dal cortile si accede agli ambienti che ospitavano la grande Biblioteca e, attraverso la Sala dei Banchetti, alla Cappella del Perdono e al Tempietto delle Muse che accoglieva le otto tavole di Giovanni Santi e Timoteo Viti oggi alla Galleria Corsini di Firenze, restaurate per l’occasione ed esposte in mostra.
Infine si possono visitare gli immensi sotterranei del Palazzo, che raccontano gli aspetti più quotidiani della vita di corte.

I due famosi Torricini guardano verso le terre del Duca, mentre la sua facciata ad ali disegna la piazza insieme alla Chiesa di San Domenico che nel portale esibisce l’elegante lunetta di Luca della Robbia e al Duomo che dissimula la massiccia mole dietro la nobile facciata neoclassica, di Giuseppe Valadier.
Grazie all’attività dell’Accademia Raffaello, fondata nel 1869 e sostenuta da numerosi privati italiani e stranieri, inglesi in particolare, Urbino conserva ancora il nucleo primitivo della casa natale di Raffaello.

Trasformata in museo, custodisce tra le altre tre opere importantissime, che saranno esposte in mostra: una predella di Berto di Giovanni, l’“Annunciazione” di Giovanni Santi e l’affresco raffigurante la “Madonna con Bambino” che la critica assegna alla giovane attività di Raffaello.
Ma è tutto il centro storico di Urbino, raccolto fra le mura rinascimentali, a testimoniare l’ambiente in cui Raffaello ha trascorso i suoi anni giovanili fino a diventare “magister”.

Molti dei suoi palazzi signorili, delle sue chiese e dei suoi oratori racchiudono capolavori assoluti. Eppure Urbino non è una “città – museo”, è un luogo dove la vivacità si incontra con la storia, creando delle atmosfere difficilmente ripetibili.
Il visitatore si trova a percorrere i caratteristici saliscendi delle strade accolto da architetture ben equilibrate, dove la luce delle stagioni esalta i colori caldi delle facciate.

“Gli edifici suoi sono di perfetta materia, mattoni e calce, ornati di varie sorti di pietra gentilmente lavorate…”, così Bernardino Baldi esalta il decoro edilizio di Urbino. La testimonianza più significativa della pittura tardo- gotica è il ciclo affrescato dai fratelli Salimbeni di San Severino nell’Oratorio di San Giovanni Battista.
Accanto, l’Oratorio di San Giuseppe ospita la Cappella del Presepe, nata dalla maestria scultorea di Federico Brandani.

Ricchi di testimonianze sono numerosi altri oratori, come quello di Santa Croce e quello dell’Umiltà, che custodiscono opere di Federico Barocci e della sua scuola.

L’imponente Monastero di Santa Chiara comprende uno straordinario giardino pensile che si affaccia sulle colline delle Cesane.
Appena fuori le mura si erge il mausoleo di San Bernardino, prestigioso monumento assegnato al genio dell'architetto senese Francesco di Giorgio.

Al suo interno era conservata la pala con la “Sacra Conversazione” di Piero della Francesca, oggi nella Pinacoteca di Brera.
Un ideale itinerario alla riscoperta della formazione di Raffaello può proseguire oltre la sua città natale, nel territorio dell’antico Ducato di Montefeltro, che proprio nel XV secolo ha conosciuto il suo massimo splendore, che possiamo ritrovare nelle pievi e nelle abbazie come quelle di Lamoli e di Fonte Avellana, nei borghi fortificati e nei castelli di Frontone, Piobbico, Piandimeleto, Sant’Agata Feltria, Frontino, nella rocca di San Leo, con la sua storia antica e piena di misteri, e in quella di Sassocorvaro, progettata come altre innumerevoli architetture militari e civili di queste terre dallo stesso Francesco di Giorgio e utilizzata durante l’ultima guerra mondiale come rifugio di migliaia di opere d’arte e straordinari capolavori.

Non solo quelli della Galleria Nazionale di Urbino, ma anche di altri musei di Venezia e di altre città.
Tra questi la straordinaria Incoronazione della Vergine di Giovanni Bellini, oggi conservata nei Musei Civici di Pesaro.

Una tappa fondamentale è Cagli, sulla via Flaminia verso Roma, dove l’affresco della Cappella Tiranni nella Chiesa di San Domenico ci riconduce al fondamentale rapporto tra Raffaello e il padre. Recentemente restaurato, grazie al Comitato Cultura di Confindustria Pesaro Urbino, l’affresco è considerato il capolavoro di Giovanni Santi e rappresenta proprio il punto di tangenza con la pittura del figlio, che ne erediterà la bottega. Nelle sembianze di San Giovanni Battista e di un angelo sembra perfino di poter riconoscere l’autoritratto del pittore e il ritratto di Raffaello fanciullo.
Importante centro già in epoca romana, Cagli offre numerose altre architetture, come il Torrione di Francesco di Giorgio, il Palazzo Pubblico, la chiesa gotica di San Francesco, la chiesa di Sant’Angelo minore con la Loggetta e il Noli me tangere di Timoteo Viti. Urbania, l’antica Casteldurante, è il centro di una delle più importanti aree di produzione ceramica, a cui dobbiamo alcune tra le più belle maioliche del Rinascimento.
La grande fioritura del XVI secolo si nutrì infatti di riferimenti raffaelleschi e di motivi ispirati dagli artisti della corte urbinate, distinguendosi per la raffinatezza del genere istoriato. Totalmente legato alle vicende dei Montefeltro e dei Della Rovere è il palazzo Ducale di Urbania e appena fuori delle mura il Barco Ducale, nato come residenza di caccia.

Ma anche altre cittadine come Fossombrone, Fermignano, Sant’Angelo in Vado, Macerata Feltria, Mercatello sul Metauro, Apecchio, Novafeltria o Pennabilli custodiscono chiese, palazzi e piccoli musei, vantano spesso deliziosi teatri storici e sono inseriti in una magnifica cornice naturale.
Il Montefeltro è infatti ricchissimo di risorse ambientali (la foresta delle Cesane, l’Alpe della Luna, i monti Catria, Nerone e Carpegna) e di eccellenze gastronomiche come la caciotta di Urbino e il formaggio di fossa, il prosciutto di Carpegna e il salame del Montefeltro, il grande tartufo di Acqualagna.


Raffaello e Urbino: la formazione giovanile e i rapporti con la città natale

Urbino non fu solo la città natale di Raffaello, ma determinò in modo significativo la sua formazione, restando per tutta la sua vita un punto di riferimento essenziale. Partendo da questo presupposto, la grande mostra che si apre nel Palazzo Ducale di Urbino intende recuperare e valorizzare questa stretta connessione tra Raffaello e la sua città natale.
Esaminando il contesto urbinate dalla fine degli anni Settanta del Quattrocento, viene ricostruito l’ambito artistico-culturale in cui si formerà il giovane Raffaello e nel quale opera il padre, Giovanni Santi, pittore dei duchi e letterato, che è a capo di una ricca e fiorente bottega, oltre che autore della famosa “Cronaca” nella quale esprime importanti giudizi sui pittori a lui contemporanei.

La mostra, allestita nel Salone del Trono e nell’Appartamento della Duchessa del Palazzo Ducale, sede della Galleria Nazionale delle Marche, presenta i capolavori giovanili di Raffaello, 20 dipinti e 19 disegni originali, messi in rapporto alla pittura del padre e di altri artisti vicini alla fase giovanile della sua formazione.
La mostra rappresenta quindi un’occasione irripetibile che è resa possibile grazie a prestiti eccezionali concessi da alcune delle più prestigiose collezioni al mondo come il Prado, il Louvre, le National Gallery di Londra e Washington, il Getty Museum di Los Angeles, i musei di Lisbona, Berlino, Monaco, Francoforte, Vienna, Budapest, gli Uffizi, le Gallerie dell’Accademia di Venezia, la Pinacoteca di Brera, il Poldi Pezzoli, il Museo di Capodimonte ed altri ancora. Raffaello nasce in Urbino nel 1483.
Il padre, Giovanni Santi, muore nel 1494, quando il giovane Raffaello ha solo 11 anni, un’età in cui normalmente, in quell’epoca, i ragazzi avevano già mosso i primi passi del loro apprendistato nell’arte. Per descrivere la formazione di Raffaello, fino ad ora la storiografia si è basata sul racconto di Vasari, secondo cui il giovane pittore fu molto presto inviato dal padre nella bottega di Perugino.
Un racconto che sembra poco realistico, in particolare in rapporto con le date reali della vita del futuro maestro.

In realtà, già giovanissimo, egli aveva un solido patrimonio alle spalle e protettori importanti, mentre non esistono documenti che attestino un apprendistato diretto presso la bottega di Perugino.

Dopo la morte del padre, Raffaello ne eredita infatti la bottega, che gestisce con l’aiuto di Evangelista da Piandimeleto.
Forte di questa posizione e ricchezza, egli non aveva necessità di andare come garzone o allievo presso altri, se non in occasioni specifiche per conoscere il modo di operare degli artisti più noti. L’ubicazione e la consistenza della bottega che Giovanni Santi lascia in eredità al figlio, suo erede principale, è ora attestata da nuovi documenti.
La bottega, che era molto grande, attiva e fiorente, dopo la morte del Santi è la testimonianza che meglio chiarisce la qualifica di “Magister” riferita a Raffaello nel 1500 in occasione della commissione della pala di san Nicola per Città di Castello.

Come dimostrano i nuovi documenti emersi dalla ricerca approfondita negli archivi urbinati eseguita da Anna Falcioni e da Vincenzo Mosconi, è chiaro che Raffaello era radicato ad Urbino, - certa è la sua presenza nel 1497 e nel 1500, finora contestata dalla storiografia - da cui certamente si muoveva per altri luoghi, ma che rimane la sua base stabile, fonte di sussistenza e stabile punto di riferimento.
Giovanni Santi è la figura fondamentale nella formazione del giovane Raffaello, ma bisogna considerare l’influenza culturale non tanto e non solo di un pittore, quanto di un personaggio importantissimo nella cultura urbinate, cortigiano e uomo di lettere.

Così legato alla cultura dei Montefeltro egli era il tramite perfetto affinché il giovanissimo Raffaello traesse indelebili impressioni dalla immensa raccolta di capolavori presente nel palazzo ducale di Urbino.
E’ necessario ricordare che mentre la Perugia di fine Quattrocento era una città relativamente provinciale dal punto di vista culturale (Perugino, il pittore più ricercato e pagato del momento, lavorava per lo più a Firenze), Urbino era invece un fondamentale centro della cultura rinascimentale, che già all’epoca di Federico da Montefeltro rivaleggiava con Firenze con la sua originale accezione “matematica” del Rinascimento.
Una ampia rassegna della pittura fiorentina era raccolta nelle splendide miniature della biblioteca ducale, a cui aveva certamente accesso Giovanni Santi, che mostra di conoscere bene i codici conservati nella straordinaria biblioteca di Federico.

Fra gli elementi che avvalorano l’ipotesi di un rapporto diretto di Raffaello con la pittura del padre sono fondamentali i riscontri con l’ultima opera di Giovanni Santi, forse il suo capolavoro, la cappella Tiranni in San Domenico a Cagli.
I riscontri puntuali che emergono fra la pittura del giovane Raffaello e quella del padre sono stati tutti analizzati dalla critica, ma in questa mostra per la prima volta le sue opere giovanili sono messe in rapporto direttamente con quelle del padre.

Gli stretti rapporti della pittura di Raffaello con le opere del Perugino (non bisogna dimenticare anche il rapporto diretto fra Perugino e Giovanni Santi) vanno di pari passo con l’influenza della pittura paterna e di altri artisti, quali Signorelli e Pinturicchio, senza contare i rapporti con Timoteo Viti che è presente a Urbino dal 1495, dopo aver frequentato a Bologna la scuola del Francia e che Raffaello chiamerà poi a Roma.
Una sezione finale della mostra è dedicata al rapporto dell’opera di Raffaello con la più importante produzione del ducato di Urbino, la maiolica, basata sulle immagini raffaellesche, di cui sono esposti esemplari antichi.

Sarà visibile, per la prima volta, un pezzo mai esposto, derivato direttamente da un disegno originale e non da un’incisione di Raffaello, assieme a numerosi esempi fra i più preziosi di questa produzione.
In occasione della mostra la casa editrice Electa pubblicherà un prestigioso catalogo corredato da saggi dei maggiori studiosi, da ampi apparati documentari e da un regesto illustrato delle opere. Con la mostra saranno promossi itinerari nella città di Urbino, nel Montefeltro e nella regione Marche, alla scoperta degli ambienti e dei contesti in cui si è formata la personalità artistica di Raffaello.
Scarica elenco delle opere (pdf - 440Kb)



Palazzo DucalePiazza Duca Federico, 10761029 - Urbino

La mostra è aperta:Dal martedì alla domenica dalle 8.30 alle 19.15 (la biglietteria chiude alle 18.00)Lunedì dalle 8.30 alle 14.00 (la biglietteria chiude alle 12.30)Lunedì 13 aprile e 1° giugno dalle 8.30 alle 19.15 (la biglietteria chiude alle 18.00)

La donna nell'arte l' 8 marzo


Per il terzo anno consecutivo, il Ministero per i Beni Culturali celebra la Festa della Donna con l'evento La donna nell'arte, che prevede eventi speciali in tutta Italia, con l'ingresso gratuito per le donne in tutti i luoghi dell'arte statali.
Lo slogan scelto dal MiBAC, La donna nell'arte,
“ha l'obiettivo di valorizzare - specificano dal ministero - , attraverso una serie di manifestazioni organizzate a livello nazionale, la figura femminile sia nelle sue diverse rappresentazioni nel tempo e nelle diverse forme di arte che nella sua partecipazione alla produzione artistica attuale”.
Le manifestazioni comprenderanno concerti, mostre, laboratori, dibattiti e quanto altro dia risalto all'attività artistica svolta dalle donne.
Difficile dare conto degli eventi previsti in tutto il paese, dalla singolare ricostruzione della giornata tipo di Callicratea, una donna vissuta a Taranto alla fine del IV sec. a.C., al Museo archeologico di Como, al recital Donne, donne, donne di Gabriele D'Annunzio, presso il museo casa natale di D'Annunzio a Pescara.

Quella villa sul lago di Como..



Lo stile estremamente personale di un architetto italiano alle prese con classicismo e modernità.


Ogni casa finisce, inevitabilmente, con l’assomigliare ai propri abitanti.

Questa villa sul lago di Como è stata scelta alcuni anni fa dall’architetto Fabrizio Bartolomeo, di origine genovese ma di stanza a Milano, come buen retiro per sé e i propri amici.

Da modesta abitazione legata a un gusto anni Sessanta, che rispecchiava la figura dell’anziana proprietaria, è diventata un rifugio riservato e accogliente, arredato con passione antiquaria e senso estetico marcatamente personale.
Poco alla volta, dal 2005 fino a oggi, la villa nel cuore di Torno è stata rimaneggiata senza alterarne la natura. Le modifiche non sono state radicali e i dettagli che meglio ne rispecchiavano il carattere originario sono stati valorizzati, come nel caso dei bagni o della verandina.

Il giardino, curato affettuosamente dai padroni di casa, è diventato la sede ideale per feste e piccoli ricevimenti, con la funzionale particolarità delle finestre della cucina che affacciano direttamente sulla zona dedicata alla convivialità en plein air.
Nel tempo, le camere da letto si sono trasformate per ospitare al meglio i diversi amici che hanno alloggiato in questa casa in continua evoluzione, capace di cambiare carattere a seconda delle esigenze e degli stati d’animo degli abitanti.

Anche i due cani, che li accompagnano sempre, hanno dato un contributo all’arredamento: nel soggiorno una credenza in stile liberty ha le gambe cesellate a forma di Whippet, il piccolo levriero di casa.

Un rifugio su misura a un’ora da Milano
Tra i pezzi risalenti per lo più al Settecento e all’Ottocento, pazientemente scovati tra gli antiquari di tutta Europa, spiccano pezzi di design classico o ultra contemporaneo, insieme a dipinti seicenteschi e cartelloni pubblicitari anni Cinquanta.

A testimoniare un gusto eclettico capace di essere decorativo in un modo unico, sicuro delle proprie scelte senza compromessi e con una generosità (d’animo, oltre che intellettuale) che si respira in tutte le stanze.

LINK CORRELATI:
La maggior parte degli arredi di modernariato della villa a Torno provengono dal negozio milanese Spazio 900: http://www.spazio900.net/

miniguida dell'ecodesign


Una mini guida per conoscere i principi fondamentali dell’ecodesign, e non farsi cogliere impreparati quando si tratta di scegliere un prodotto attento all’ambiente.


Ogni giorno si sentono nominare sostenibilità, risparmio energetico, prodotti ecologici. Ma quali caratteristiche deve avere un oggetto per essere realmente rispettoso dell’ambiente? Facciamo chiarezza, almeno per quanto riguarda il settore della casa e dell’abitare in generale.
1- Le materie prime
Un mobile eco è costruito con materiali rinnovabili, riciclabili e abbondanti sul territorio. Inoltre, è importante che sia breve la distanza tra la fonte delle materie prime e il luogo di lavorazione, per limitare le emissioni di CO2 nel trasporto. La quantità di prodotto riciclabile è alta rispetto agli scarti prodotti nella lavorazione. Infine, è auspicabile che i materiali siano facilmente riciclabili a fine ciclo vitale.
2- La produzione
Un oggetto a basso impatto ambientale, oltre a consumare poco e ad essere riciclato o riciclabile, ha alle spalle un processo produttivo attento all’impatto ambientale. La sua produzione riduce al minimo gli scarti e non disperde sostanze tossiche o nocive. Infine, richiede un dispendio energetico contenuto in tutta la fase di produzione, anche per limitare l’emissione di gas serra.
3- L’estetica
Il discorso ambientale, specialmente in tema arredamento, non può prescindere soluzioni nate per soddisfare le esigenze dell’ambiente senza dimenticare l’estetica dall’estetica. Nasce così il concetto di ecodesign, seguito da molte aziende del settore. Un libro pubblicato dal Ministero dell’Ambiente, Design italiano per la sostenibilità, curato dall’architetto e designer Marco Capellini, descrive molti prodotti di ecodesign, esclusivamente made in Italy. Lo stesso Capellini, inoltre, è l’ideatore di Matrec (http://www.matrec.it/), la prima banca dati italiana di ecodesign dedicata ai materiali riciclati e al loro impiego nel mondo della produzione.
4- Il riciclo
Con 67 bottiglie di plastica si fa l’imbottitura di un piumino matrimoniale, quattro pallet di legno bastano per costruire una scrivania, con 11 contenitori del latte si costruisce un annaffiatoio. Sono alcuni esempi concreti di riciclo. L’utilizzo, il riciclo e il riutilizzo di alcuni materiali chiave, come alluminio, vetro, acciaio e cartone, porta alla creazione di prodotti d’arredo e di complementi sempre più innovativi ed ecologici. Il vetro e l’alluminio riciclato sono spesso usati per i pavimenti. Tavoli, sedie e poltrone possono essere fatti in cartone, acciaio o alluminio riciclato. Mentre per camere da letto, bagni e cucine, il legno riciclato prodotto da Pannello Ecologico è un riferimento per molti progettisti.
5-Il riuso
Diverso dal riciclo, che prevede la trasformazione dei materiali recuperati, è il riuso, cioè il riutilizzo di un prodotto obsoleto, spesso in chiave diversa. Per questo è possibile incontrare gli ecodesigner nelle discariche: dove noi vediamo solo spazzatura, loro cercano ispirazione per nuovi usi degli oggetti.
6- L’innovazione
L’ecodesign comprende anche gli elementi tecnologici della casa, come gli elettrodomestici e l’illuminazione. Oggi, la stragrande maggioranza dei prodotti elettronici è di plastica, alluminio e carbonio. Ma il futuro sembra essere altrove: per esempio nei computer di bambù, come l’ ECO book della Asus. Lavatrici, lavastoviglie e frigoriferi di ultima generazione (classe A+ o AAA) riducono i consumi energetici e di acqua. Per l’illuminazione, invece, una soluzione sono le lampade a led: sebbene non siano ancora competitive sul prezzo iniziale, permettono di ottimizzare i costi elettrici e la frequenza di acquisto.
7- I costi
Il fattore design incide sul costo dei prodotti eco, così come per qualsiasi mobile tradizionale; i prezzi variano da poche decine di euro per semplici complementi di cartone, a cifre più impegnative per elementi in metallo. L’acquisto di questi ultimi, però, in certi casi è una piccola forma di investimento. L’acciaio e l’alluminio sono beni quotati in borsa, e perciò alcuni produttori, come Alulife, applicano il concetto di riacquisto del bene: il cliente che vuole disfarsene può rivenderlo al fornitore alla quotazione del momento.

sabato 7 marzo 2009

L' 8 marzo, festa delle donne, a Firenze

L'8 Marzo, Firenze si tinge di rosa

FOTO : Credit: Mario Gabinio Torino.
Fotografa ambulante, 1936 (Museo di Storia della Fotografia Fratelli Alinari - fondo Gabinio, Firenze)

In piazza, nei gazebo, tra le fotografie d'epoca o in mezzo all'arte nei musei comunali e statali che per l'occasione si tingono di rosa e saranno gratis per il "gentil sesso". E allora, donne, pronte, ce n'è per tutti i gusti.
LA MOSTRA ALINARI -
Ottanta scatti dagli archivi Alinari che ritraggono donne al lavoro saranno esposti da domenica, 8 marzo, fino al 2 aprile nella chiesa di Sant’Andrea a Cennano, nell’ambito del «Forum donne Avis Toscana», dedicato quest’anno alla conciliazione dei tempi al femminile.
«Le immagini raccolte nella mostra Posa di lavoro, donne al lavoro nelle immagini degli archivi Alinari - si legge in una nota degli organizzatori - ripercorrono le molteplici espressioni del lavoro femminile in Italia, lungo un arco cronologico che va dalla fine dell’Ottocento alla metà del Novecento».

GRATIS NEI MUSEI -
Gli Uffizi, la Galleria dell’Accademia, ma anche gli affreschi di Masaccio e Masolino della Cappella Brancacci nella Basilica di Santa Maria del Carmine, le stanze delle meraviglie di Palazzo Vecchio, il museo della Basilica di Santa Maria Novella. L’arte è tutta per le donne che entrano gratis nei musei statali (lo slogan è «La donna dell’arte») e in quelli comunali di Firenze.

CINEMA -
In principio c’erano solo loro: Agnès Varda, Chantal Akerman, Margarethe von Trotta, le nostre Liliana Cavani e Lina Wertmüller.
Erano le signore della macchina da presa, le donne che hanno fatto la storia della settima arte.
Poi, le donne, hanno preso le redini del cinema, strappato il loro giusto spazio a un’industria da sempre sessista, conquistando un ruolo sempre maggiore una generazione dopo l’altra, un film dopo l’altro.
Il multisala Grotta di Sesto Fiorentino le intende omaggiare tutte, queste «nuove donne» del cinema italiano.
Con una bella retrospettiva, «La donna dello schermo», che ci propone da lunedì 9 marzo a martedì 7 aprile dieci lungometraggi simbolo dell’occhio femminile sulla realtà.

INFINE, NEI LOCALI -
Otto marzo «leopardato» al Cavalli Club di Firenze.
Nessuno strip né spettacolo, ma «semplicemente» uno statuario modello australiano che poserà sul trono del palco della ex chiesa. Come ogni domenica inoltre sarà presente l’aperitivo. Dalle ore 19 saranno servite al tavolo diverse portate a base di finger food, assaggi di carne e pesce e tempura mista.
Diversa l’atmosfera al Sexy Disco dell’Excelsior di San Donnino, dove la festa più che delle donne sarà degli uomini.
Protagonista Laura Perego, la pornostar che si è fatta conoscere per la sua irruzione sul palco del Festival di Sanremo.
In Versilia ospite speciale della Canniccia è Rocco Siffredi, mentre a mettere i dischi ci pensa Joe T Vannelli. L’ ingresso con cena costa 35 euro (senza cena 20). Ingresso riservato alle donne sino alle ore 20.

E PER CHI NON FESTEGGIA LA DONNA... SI ABBUFFI DI DOLCI AL PECCI DI PRATO - Ogni mattina dalle 10 alle 11 nell'area «Pecci. Eat» i pasticceri dell'Accademia Maestri Pasticceri e del Consorzio Pasticceri Pratesi prepareranno delle prime colazioni da sogno: dolci e tranci di torta abbinati a un'attenta selezione di caffé monorigine, in una piacevole e comoda atmosfera da salotto.
Domenica 8 è il turno della Puglia, con la Colazione Romantica firmata dai maestri Pietro Moffa e Cosimo Palmirotta.
Alle 5 del pomeriggio si potrà prendere parte ai «Tè letterari » conversando con il brillante critico enogastronomico Leonardo Romanelli.
Chiacchiere, libri e assaggi da gustare con calma davanti a una selezione di ottimi tè, biscotti e tranci di torte.
Appassionante e ricca di stimoli, anche la sezione dedicata ai dolci del futuro, dove a ciclo continuo si potrà assistere a delle dimostrazioni dei più innovativi pasticceri italiani: dal miglior artigiano cioccolatiere italiano, Andrea Bianchini, a Paolo Magni, allenatore dei campioni italiani di gelateria, senza dimenticare il partenopeo Salvatore De Riso, la giovanissima Loretta Fanella, il minimalista Ernst Knam e il creativo Marco Rinella.

La vera star di Hollywood

Una casa da Oscar!

È famosa quanto una star di Hollywood.
A farla e rifarla è stato John Lautner, autore delle più celebri ville della Città degli Angeli

Quante volte nella vita di un architetto può succedere di riprogettare la stessa casa?


Allo statunitense John Lautner, classe 1911, collaboratore di Frank Lloyd Wright, è accaduto.
Con una delle case più celebri e fotografate di Beverly Hills.

Tra le colline di Beverly Hills una villa di rappresentanza degli anni ’60 ispirata ai film di James Bond trasformata nel 1981 in abitazione futurista
Protagonista di film, videoclip, e campagne pubblicitarie di successo.



Era il 1981 ed erano passati quasi vent’anni da quando nel 1963, affermato architetto, Lautner aveva consegnato la casa agli Sheats, proprietari originali della abitazione.
La villa era decisamente grandiosa e spettacolare e di li a poco avrebbe affascinato non soltanto l'alta società californiana, ma anche stelle della musica, cineasti di Hollywood e grandi fotografi di moda.
Nel 1972 la casa era stata acquistata dal miliardario americano James Goldstein, che da appassionato dell’architettura di Wright, invitò Lautner, ormai settantenne, a ripensarne la concezione.
Senza contraddirne il carattere, riconducibile a un’interpretazione molto personale dell’architettura organica di ispirazione wrightiana.


Il lavoro di trasformazione fu davvero impegnativo: un costante work in progress integrò gli spazi originali dell’abitazione con le più innovative tecnologie della domotica, aumentando la trasparenza delle superfici esterne e la relazione col fuori. Le parole d’ordine erano: evoluzione, flessibilità, modernità, espresse negli interni attraverso lo stile futurista dei racconti di Isaac Asimov: un misto tra rigore minimalista e ascetismo.
Attraverso le gigantesche vetrate gli spazi aperti della casa interagivano col paesaggio di Los Angeles e il giardino popolato da oltre 200 tipi di piante provenienti da tutto il mondo.


Una vera e propria giungla sotto il cielo della California, tra le cui piante oggi affiora lo Skyspace di James Turrel, ultimo architetto in ordine di tempo ad avere operato sulla casa dopo la scomparsa di Lautner nel 1994.
Skyspace è uno costruzione completamente vuota all’interno.
Le pareti variano di colore e sono regolate da ultratecnologici touch screen.
Il risultato di tanti prestigiosi interventi è un capolavoro senza tempo.
Che continua ad essere fotografato e ammirato.
Link correlati: http://www.johnlautner.org/

I Beatles studiati all'Università



A partire dal prossimo autunno,
l'università di Liverpool
proporrà un corso in laurea consacrato al fenomeno Beatles.
La Liverpool Hope University sarà la prima università
inglese a organizzare un cursus accademico sul celebre gruppo.
Questo corso di laurea, che si chiamerà I Beatles, musica pop e
società, studierà il fenomeno dei Beatles da un punto di vista
musicale, ma anche sociale ed economico.
Negli ultimi decenni, sono stati pubblicati più di 8 000 libri
sui Beatles.

Tuttavia, il gruppo non è mai stato studiato in modo serio da un’università.
L'università di Liverpool ha già ricevuto riscontri positivi da parte di studenti inglesi, americani e canadesi che vorrebbero iscriversi a questo corso di laurea il prossimo settembre.

Utrillo et Valadon


Utrillo et Valadon : quand la mère succède au fils

De Maurice Utrillo, on ne connaît pas grand chose, si ce n'est sa réputation de peintre maudit difficilement classable.
Gravement alcoolique, cet artiste du début du XXe siècle, qui inscrit son style avant-gardiste (pour l'époque) dans l'Ecole de Paris, a fait preuve d'un talent pictural flagrant avant de sombrer.

De Suzanne Valadon, sa mère, dont le succès prit le pas sur celui de son propre fils, on sait que de fille mère issue d'un milieu populaire, elle sut évoluer dans la sphère artistique de l'époque, et ainsi se faire connaître.

Photo :Portrait de Maurice Utrillo par Suzanne Valadon, 1921 / Coll. Pétridès, Paris


Leurs styles

Utrillo était maître dans l'art du paysage urbain : des images de Paris avec ses rues sans vie, à la perspective impec, avec des couleurs éteintes, et plus particulièrement un blanc mêlé de plâtre... ; et parfois des vues d'autres villes, peintes d'après carte postale avec un vrai souci de vérité.

Sa mère Suzanne, quant à elle, brillait par l'utilisation de ses teintes vivantes (on la rapprochait volontiers des Fauves), ses dessins de nus des femmes de son entourage, bref une œuvre pleine de vitalité.Ce qu'on en penseUne expo qui met en lumière l'histoire d'une filiation étonnante, de deux peintres qui ont compté dans le Montmartre arty, à travers un parcours pas trop long. Très bien expliqué sans que les parenthèses de textes soient jamais ennuyeuses, ce parcours post-impressionniste à la Pinacothèque de Paris est un vrai divertissement culturel.Ne manquez pas les ateliers pour enfants

Faites découvrir l'univers de Montmartre et initiez vos enfants à la Peinture (cet art avec un grand P !) grâce à quatre ateliers que propose la Pinacothèque.

Infos pratiques : Pinacothèque de Paris, 28 pl. de la Madeleine, 75008 Paris

Tél. : 01 42 68 02 01Tarifs expo : 9 € et 7 €

Ateliers enfants (de 5 à 11 ans) : tous les mercredis et samedis, 14h et 16h

Tarifs ateliers : 10 € pour 1h30 (résa obligatoire)

giovedì 5 marzo 2009

Les couleurs..

Pourquoi choisir telle couleur et pas une autre ?
Sortons des clichés du siècle dernier du type "parce que ça me va bien" et approfondissons, côté émotions


En Chine et en Inde, on utilise depuis toujours les couleurs pour guérir et éveiller les facultés spirituelles.
En Occident, nous commençons à reconnaître que les couleurs influencent notre moral et même notre santé.

Même que cette science s'appelle la chromothérapie.
Mais au fait, que nous proposent les Tendances couleurs printemps été 2009 ?
Eh bien de nous débrouiller avec nos états d'âme en suivant bien évidemment la palette couleurs trendy des modeuses !
Du bleu pour se canaliser
Le bleu fait partie des couleurs "froides" favorisant la sécurité, la constance, le perfectionnement. Il représente l'évolution permanente. Il permettrait de chasser le stress. Il peut aussi être associé au pouvoir, à l'autorité...
Du vert pour retrouver le naturel
Le vert est la couleur du renouveau et du retour à la vie. Il représente l'espoir et donne le courage d'entreprendre. Le vert est une couleur rafraîchissante et fortifiante. Il fait grand effet auprès de personnes émotionnellement perturbées et stimule l'appétit sexuel.
Du noir so chic
Symbole de deuil, de peur, de journée sombre d'hiver, il représente pourtant l'élégance et emballe les produits de luxe... A la longue, il peut présenter des effets déprimants, mais si l'on est hyper actif, on peut utiliser ses effets apaisants en petites touches.
Du jaune pour se concentrer
Le jaune est une couleur chaude. Il va stimuler le psychisme. Il favorise la concentration, l'organisation. Tonique mais non excitant, c'est un anti-déprime qui apporte de l'énergie et facilite la communication.
Il motive et développe l'imagination.
Du orange pour sourire
Comme le jaune, l'orange va stimuler l'intellect. Il agirait surtout sur l'humeur en chassant les idées noires pour redonner le sourire. La couleur orange augmente le niveau d'énergie. Associée aux plaisirs, elle aide à conserver la jeunesse du cœur.
Du rouge avec modération
Le rouge est tout sauf une couleur apaisante.
À éviter chez les personnes colériques mais à renforcer auprès de celles qui manquent d'énergie. Il peut favoriser la colère et énerver, mais c'est aussi un puissant stimulant du corps et de l'esprit. Il est bon pour développer la créativité.
Il soigne la timidité et a un effet aphrodisiaque.
Tout est une question de nuance : un rouge-rosé serait idéal.
Du violet pour l'équilibre
Le violet calme sans freiner l'énergie. Le violet apaise les états coléreux et réveille l'inspiration. C'est un restructurant à utiliser sans modération. Il symbolise la maturité et éveille l'esprit.
Du rose pour voir la vie en...
Il combat le stress, le pessimisme et l'inquiétude, mais à petite dose. Le rose est également un excitant, moins puissant que le rouge.
Du blanc pour la pureté
Le blanc possède une action énergisante, purifiante.
Ses pouvoirs bactéricides et tonifiants sont depuis longtemps reconnus. Cette couleur procure une sensation de propreté et stimule l'intellectuel.


Et dire que dans notre ignorance nous nous contentions jusqu'à présent d'avoir une peur bleue, de voir la vie en rose, d'être rouge de colère, vert de rage, blanc de neige ou d'avoir des idées noires !


La Panton Chair, plastique et ultra-chic



Avec son incroyable silhouette en "S" et ses couleurs flashy, la Panton Chair est devenue un classique du design et de la tendance pop.

Un must-have en plastique unique en son genre, à la fois chic et abordable.

Que demander de plus ? Un modèle junior ? Et bien justement...
Pourtant au départ, rien n'était gagné.

Son créateur, le Danois Verner Panton, avait bien sa petite idée : une chaise toute en plastique, avec une forme surréaliste en "S".
"Out" la chaise à 4 pieds !
Une révolution, à l'époque, puisque c'est l'une des premières fois que l'on imagine une chaise qui ne reposerait pas forcément sur quatre pieds. Fallait y penser !

Oui mais voilà, dans les années 60's, la technique ne suit pas. Plusieurs modèles voient le jour mais sans vraiment réussir à être à la fois résistants et bon marché.

Il faudra attendre les années 80's pour que toutes les conditions soient réunies et que la Panton Chair devienne non seulement culte, mais aussi populaire.
Grande classe, petit prix
Aujourd'hui, des bars branchés aux décors de ciné, elle est absolument partout. Et que ce soit en version pop - en bleu, jaune ou rouge - ou plus chic, en noir ou en blanc, son prix de base reste le même : 224 euros environ.
Une version mini et tutti frutti
Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

Devant son succès, Vitra a décidé d'éditer la Panton en version junior.

Voilà donc un modèle plus petit et disponible dans une gamme de couleurs étendue au rose pâle, au bleu clair et au citron vert.
Une petite douceur acidulée à tout juste 139 euros.
Points de vente sur http://www.vitra.com/

Tam Tam, le tabouret mythique


Silhouette cintrée et prix riquiqui, le tabouret Tam Tam séduit depuis 40 ans les amoureux de design friqués comme les étudiants fauchés. Résultat : 12 millions d'exemplaires vendus dans le monde et des dizaines de versions différentes. Le dernier né ? Un modèle qui me permet d'écouter mon iPod. Si, si...
Celui de mon enfance était orange ; années 70's obligent.

Celui que j'avais au lycée, lui, était noir ; crise d'ado oblige.

Et celui dont je rêve aujourd'hui est plutôt rose, nacré... Bref, ultra-féminin.
Voilà, le Tam Tam, c'est ce tabouret aux mille et un visages et au tout petit prix qui nous suit depuis toujours.
Design populaire:
Imaginé par Henry Massonnet en 1968, le Tam Tam réussira à être à la fois une figure culte du design contemporain et un meuble très populaire.

Au plus fort de sa gloire, il fera même des petits avec des tables, des luminaires et même des cendriers.
En version customisée...
Ce succès international ne l'empêchera pourtant pas de connaître une longue traversée du désert dans les années 80's et 90's.

Aujourd'hui réédité avec succès par Branex Design, il fait régulièrement peau neuve.

Redécoré, accessoirisé... le Tam Tam inspire désormais autant la rue que les créateurs.
... ou en version électronique
Aujourd'hui, je peux l'acheter vintage ou neuf, à partir d'une vingtaine d'euros seulement.

A moins que je ne craque pour le dernier né : l'iTam Tam, mi-tabouret, mi-enceinte acoustique, destiné à accueillir mon iPod ou mon iPhone.

Forcément, il est un peu plus cher (360 euros environ) mais bon, un tabouret musical, ça court pas les rues, non ?
Points de vente sur http://www.branexdesign.com/rubrique.php3?id_rubrique=2

martedì 3 marzo 2009

Il verde va con tutto

Il verde va con tutto
Blanchard Tamsin
Casa editrice: TEA Anno 2009 - 368 pp. -
12,00 euro
Genere: Manualistica
Acclamato come il manifesto della perfetta eco-fashionista, questo libro ha un mantra che recita più o meno così: “ Il verde è il nuovo nero”.
Scritto dalla giornalista di moda Tamsin Blanchard, attualmente style director al Telegraph Magazine, potrebbe essere definito come una “summa ecologica” di consigli pratici su come vestirsi, risparmiare, riciclare, decorare, arredare… in nome di una coscienza verde.

Largo quindi agli indirizzi ad hoc, siti web e curiosità su abiti e accessori in materiale organico e riciclabile, cosmetici non testati sugli animali, elettrodomestici e prodotti per la casa a basso impatto ambientale.
La scoperta vera, però, è che un’anima “verde” non implica necessariamente un guardaroba triste, all’insegna della canapa o del cotone… anzi: si inizia con un bel repulisti del proprio armadio dei capi meno “etici” (leggi pelle) per poi dare il via libera al vintage e al riciclo eco-glamour.

A testimoniare come questo trend sia diventato uno stile di vita davvero cool ci sono le esperienze di celebs del calibro di Stella McCartney, stilista portavoce del vivo-eco per eccellenza, seguita a ruota da Kate Moss, Natalie Portman e dalle eco-amiche Madonna e Gwyneth Paltrow. Bonus extra: la passionale dichiarazione d’amore per tutto ciò che è equo & solidale – nella convinzione che si possa cambiare il mondo con stile –, fatta dalla modella Lily Cole nell’introduzione al libro.

Una guida preziosa da tenere sempre in borsetta, in ecopelle, of course!